TORONTO, le
27 févr. 2019 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (la Banque) (RY sur TSX et NYSE) a
annoncé aujourd'hui avoir reçu l'approbation de la Bourse de
Toronto (TSX) et du Bureau du
surintendant des institutions financières (BSIF) pour lancer une
offre publique de rachat dans le cours normal des activités et
racheter, en vue de les annuler, jusqu'à
20 000 000 de ses actions ordinaires.
Le nombre maximal d'actions pouvant être rachetées aux fins
d'annulation représente environ 1,4 % des
1 435 590 130 actions ordinaires en circulation
au 15 février 2019. Les rachats pourront débuter le
1er mars 2019 et se poursuivre jusqu'au
29 février 2020, date d'expiration de cette offre de
rachat, ou jusqu'à une date antérieure si la Banque termine plus
tôt ses rachats conformément à l'avis d'intention déposé auprès du
TSX. Ils pourront être effectués par l'intermédiaire du TSX, de la
Bourse de New York (NYSE), et d'autres bourses et systèmes de
négociation canadiens désignés. Les actions seront rachetées à leur
cours au moment du rachat.
Le nombre de rachats au TSX dans une même journée ne dépassera
pas 647 412 actions ordinaires, soit 25 % du volume
moyen des opérations quotidiennes sur les actions de la Banque au
TSX pour le semestre terminé le 31 janvier 2019. Le
volume moyen des opérations quotidiennes sur les actions de la
Banque au TSX pour ce semestre, calculé selon les règlements du TSX
aux fins de l'offre publique de rachat, était de
2 589 651 actions.
L'offre publique de rachat dans le cours normal des activités
donnera à la Banque la souplesse nécessaire pour gérer son capital
tout en créant de la valeur pour les actionnaires.
La précédente offre publique de rachat dans le cours normal des
activités de la Banque, qui portait sur le rachat de
30 000 000 actions, a débuté le
27 février 2018 et a pris fin le
26 février 2019. Dans le cadre de cette dernière, la
Banque a racheté 9 721 300 actions sur le marché
libre à un prix moyen pondéré en fonction du volume d'environ
97,43 $ par action.
Mise en garde au sujet des déclarations prospectives
Certaines déclarations contenues dans le présent communiqué
pourraient être réputées constituer des déclarations prospectives
aux termes de certaines lois sur les valeurs mobilières, notamment
des « mesures refuges » (safe harbor) de la
Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des
États-Unis et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières
applicables. Ces déclarations prospectives comprennent notamment
des déclarations concernant l'offre publique de rachat dans le
cours normal des activités de la Banque Royale du Canada. Les mots « croire »,
« s'attendre à », « prévoir », « se
proposer », « estimer », « planifier »,
« projeter », « devoir » et
« pouvoir », de même que l'emploi du futur ou du
conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables dénotent
généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives reposent
sur des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques
intrinsèques qui entraînent la possibilité que nos prédictions,
prévisions, projections, attentes ou conclusions se révèlent
inexactes, que nos hypothèses s'avèrent erronées et que nos
déclarations prospectives, y compris les déclarations relatives à
l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la
Banque Royale du Canada, ne se
matérialisent pas. Nous avertissons les lecteurs de ne pas se fier
indûment à ces déclarations, puisque nos résultats réels pourraient
différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations
prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risques.
Ces facteurs, dont plusieurs sont indépendants de notre volonté et
dont nous pouvons difficilement prédire les effets,
comprennent : les risques de crédit, de marché, de liquidité,
de financement, d'assurance, de non-conformité à la réglementation
et de concurrence, les risques opérationnels, stratégiques et
réputationnels, les risques liés au cadre juridique et
réglementaire, les risques généraux du marché ainsi que d'autres
risques qui sont expliqués aux rubriques de notre rapport
annuel 2018 portant sur le risque ainsi qu'à la rubrique
« Gestion du risque » de notre rapport aux
actionnaires du premier trimestre de 2019, y compris
l'incertitude mondiale, le marché résidentiel et l'endettement des
ménages au Canada, le risque lié
aux technologies de l'information et à la cybersécurité, les
changements apportés à la réglementation, les perturbations
numériques et l'innovation, le risque lié aux données et aux tiers,
les changements climatiques, la conjoncture commerciale et
économique dans les régions où nous exerçons nos activités,
l'incidence des modifications des politiques gouvernementales
fiscales, monétaires et autres, le risque fiscal et la
transparence, et le risque environnemental et social.
Nous tenons à préciser que la liste susmentionnée de facteurs de
risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
également avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Les
investisseurs et autres personnes qui se fient à nos déclarations
prospectives pour prendre des décisions à notre égard doivent bien
tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes et événements
potentiels. Les hypothèses économiques importantes qui sous-tendent
les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué
sont présentées à la rubrique « Examen de la conjoncture
économique, des marchés et du contexte réglementaire et
perspectives » et, pour chacun de nos secteurs d'exploitation,
aux rubriques « Priorités stratégiques » et
« Perspectives » de notre rapport annuel 2018, tel
que mis à jour par la rubrique « Examen de la conjoncture
économique, des marchés et du contexte réglementaire et
perspectives » de notre rapport aux actionnaires du
premier trimestre de 2019. À moins que la loi ne l'exige,
nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque déclaration
prospective que ce soit qui est faite dans le présent
communiqué.
Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et sur
d'autres facteurs sont fournis aux
rubriques de notre rapport annuel 2018 portant sur le risque
ainsi qu'à la rubrique « Gestion du risque » de notre
rapport aux actionnaires du premier trimestre
de 2019.
SOURCE Banque Royale du Canada