Pour obtenir une description des facteurs de risque et des
hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en garde
concernant les déclarations prospectives plus loin dans ce
communiqué.
- Croissance de 6,8 % du BAIIA ajusté et augmentation de 1,8
point de pourcentage de la marge, à 43,8 % découlant de
l'augmentation de 2,5 % du total des produits des activités
ordinaires et de l'incidence d'IFRS 16
- 185 667 ajouts nets d'abonnés des services sans fil ainsi
qu'Internet et de télé IP de détail au total, une hausse de 25,5
%
- Excellente performance dans le sans-fil : meilleur T2 pour
les ajouts nets d'abonnés des services postpayés et prépayés au
total depuis 2001, de 149 478, une hausse de 30,6 %; croissance de
9,9 % du BAIIA ajusté avec une progression de 2,7 points de la
marge, à 44,8 %
- Augmentation de 2,1 % du BAIIA ajusté dans le sur-fil grâce
aux ajouts nets d'abonnés de 36 189 dans les services Internet et
de télé IP de détail au total
- Solides résultats dans les médias, les produits des
activités ordinaires ayant augmenté de 6,4 %, et BAIIA ajusté en
hausse de 23,9 %
- Croissance du bénéfice net de 8,2 %, à 817 millions $;
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires en hausse de
8,1 %, à 761 millions $, ou 0,85 $ par action ordinaire, en hausse
de 7,6 %; bénéfice net ajusté en hausse de 9,0 % à 847 millions $
générant une progression de 9,3 % du BPA ajusté, à 0,94 $
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation en
hausse de 1,8 %, à 2 093 millions $, croissance des flux de
trésorerie disponibles de 10,0 %, à 1 093 millions $
MONTRÉAL, le 1er août 2019 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX:
BCE), (NYSE: BCE) a présenté aujourd'hui les résultats du deuxième
trimestre (T2) de l'exercice 2019.
« La stratégie de Bell, qui mise sur l'offre des réseaux à
large bande les plus rapides ainsi que des plus récentes
innovations en matière de services aux Canadiens dans toutes les
régions, nous a permis de continuer de réaliser une solide
performance opérationnelle et financière dans l'ensemble de notre
entreprise au T2 », a déclaré George Cope, président et
chef de la direction de BCE Inc. et de Bell Canada.
« Nous affichons une augmentation considérable du nombre de
nouveaux abonnés nets dans nos services sans fil et nos services
Internet et de télé IP de détail, nous avons enregistré une
croissance dans les marchés d'affaires pour un
quatrième trimestre consécutif et nous continuons d'occuper le
premier rang dans le secteur canadien des médias pour ce qui est de
l'augmentation des cotes d'écoute et de l'innovation en
programmation ».
« Le BAIIA ajusté a fait un bond exceptionnel de 6,8 %
au T2 - notre 55e trimestre consécutif de
croissance d'un exercice à l'autre - qui, conjugué au maintien
de l'efficacité opérationnelle et de l'efficience du capital, a
permis de réaliser une forte croissance, soit de 10 %, des
flux de trésorerie disponibles ce trimestre. Il est évident qu'avec
Mirko Bibic comme chef de l'exploitation, les choses avancent
rondement, et je me réjouis à la perspective de travailler à ses
côtés jusqu'à la fin de 2019, alors qu'il progressera vers le poste
de chef de la direction en 2020 », souligne M. Cope.
FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
Mirko Bibic au poste de
président et chef de la direction de Bell en janvier 2020
Le
28 juin, le conseil d'administration de BCE a annoncé la
nomination du chef de l'exploitation, Mirko Bibic, au poste de
président et chef de la direction de BCE Inc. et
Bell Canada, nomination qui prendra effet lors du départ à la
retraite de George Cope, le 5 janvier 2020. Membre
de la haute direction de Bell depuis 2004, M. Bibic a
précédemment occupé le poste de vice-président exécutif,
Développement de l'entreprise et celui de chef des affaires
juridiques et réglementaires. M. Cope prendra sa retraite
après une carrière de 14 ans chez Bell, qui a débuté avec sa
nomination en tant que chef de l'exploitation en janvier 2006,
et il a été nommé président et chef de la direction en
juillet 2008.
Bell Média fera l'acquisition du réseau québécois de télé
V
Le 24 juillet, Bell Média a annoncé qu'elle a
convenu d'acquérir le réseau québécois de télévision
généraliste V et de la plateforme de vidéo sur demande
Noovo.ca afin d'offrir un plus grand choix en matière de contenu de
nouvelles et de divertissement aux téléspectateurs québécois et de
meilleures occasions aux créateurs de contenu et aux annonceurs.
Sous réserve de l'obtention des approbations réglementaires, la
transaction permettra à Bell Média d'avoir son premier réseau de
télévision généraliste francophone. De plus, cette transaction
bénéficie d'un appui important de la part des créateurs et des
producteurs du Québec, car elle accroît la concurrence dans un
secteur où la principale société de médias du Québec détient
actuellement une part de l'auditoire environ 4,5 fois plus
importante que celle de V.
Nouveaux choix dans les services sans fil
Bell
Mobilité a lancé des forfaits Données illimitées sans frais de
dépassement de données offrant 10 Gb ou 20 Gb de données
mobiles aux vitesses LTE maximales et un accès illimité aux
données, mais à des vitesses moindres, lorsque ces plafonds sont
dépassés. Le nouveau programme Paiements intelligents Bell permet
aux clients de se procurer leur téléphone intelligent en versant
des mensualités, sans intérêt et sans lien avec leur forfait.
Virgin Mobile demeure le chef de file en matière de service à la
clientèle (en anglais seulement) dans le sansfil, ayant réalisé
une meilleure performance que tous les autres fournisseurs, selon
l'étude réalisée en 2019 par J.D. Power sur le service à la
clientèle offert par les fournisseurs canadiens de services sans
fil, pour la troisième année consécutive.
Bell désigné le FSI le plus rapide au Canada
Bell Aliant a été désigné le fournisseur du service Internet
le plus rapide au Canada et Bell Canada a été désigné le grand
fournisseur le plus rapide au pays dans le classement 2019 des FSI
les plus rapides au Canada selon PCMag. Maintenant
achevée à 50 %, la zone de couverture du réseau entièrement
optique de Bell s'étendait à 4,9 millions de foyers et
d'entreprises à la fin du T2. Offrant les vitesses du service
d'accès Internet à large bande aux résidents de villes plus petites
et de collectivités rurales, le service Internet résidentiel sans
fil à large bande de Bell rejoint maintenant plus de
100 localités en Ontario et
au Québec, la toute dernière expansion ayant eu lieu dans la région
viticole du Niagara.
Auditoire record des chaînes de télé spécialisée dans les
sports et le divertissement
Bell Média a continué d'élargir
son auditoire des services de télé traditionnelle, payante et
spécialisée au T2. Un nombre record de 7,9 millions de
téléspectateurs ont regardé les Raptors de Toronto devenir la première équipe canadienne
à remporter le championnat de la NBA (en anglais seulement) sur TSN
et RDS, les chaînes de télé spécialisée dans les sports les plus
populaires, ainsi que sur CTV. Premier réseau de télévision aux
heures de grande écoute (en anglais seulement) pour la
18e année consécutive, CTV, a diffusé l'épisode
d'une série ayant obtenu la meilleure cote d'écoute en 15 ans
au Canada, soit le dernier épisode de The Big Bang Theory. La
dernière saison de Game of Thrones sur Crave a été l'émission la
plus regardée dans l'histoire de la télé payante et spécialisée au
Canada. Crave, maintenant accessible aux Canadiens sur le site
Crave.ca, par l'intermédiaire des distributeurs de télévision
participants et sur Android, l'Apple TV, iOS, les téléviseurs
intelligents Samsung, Xbox et la clé Fire TV d'Amazon (en
anglais seulement), comptait plus de 2,7 millions de
téléspectateurs dans l'ensemble du Canada à la fin du T2.
Appui aux soins communautaires en santé mentale
Puisant dans son fonds spécialement consacré à la santé mentale
autochtone au Manitoba, Bell Cause
pour la cause a versé un don de 240 000 $ à la Behavioural Health
Foundation de Winnipeg afin de
soutenir les programmes offerts aux Autochtones dans le cadre d'un
traitement résidentiel destiné aux adultes et aux familles aux
prises avec des problèmes de dépendance et de santé mentale. Plus
de 120 organismes locaux offrant des soins de première ligne
dans diverses collectivités partout au Canada ont été sélectionnés
pour recevoir des subventions du Fonds communautaire Bell Cause
pour la cause, qui totalise 2 millions $ cette
année.
RÉSULTATS DE BCE
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
|
|
|
|
(en millions $, sauf les montants par
action)
(non
audité)
|
T2 2019
|
T2 2018
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 930
|
5 786
|
2,5
|
%
|
Bénéfice
net
|
817
|
755
|
8,2
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
761
|
704
|
8,1
|
%
|
Bénéfice net
ajusté(1)
|
847
|
777
|
9,0
|
%
|
BAIIA
ajusté(2)
|
2 595
|
2 430
|
6,8
|
%
|
BPA
|
0,85
|
0,79
|
7,6
|
%
|
BPA
ajusté(1)
|
0,94
|
0,86
|
9,3
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 093
|
2 057
|
1,8
|
%
|
Dépenses
d'investissement
|
(972)
|
(1 056)
|
8,0
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
1 093
|
994
|
10,0
|
%
|
« Notre performance financière au T2 démontre que nous
mettons clairement l'accent sur l'acquisition disciplinée et
rentable d'abonnés, comme le démontrent la forte croissance
continue des produits des activités ordinaires et du BAIIA ajusté
dans tous les secteurs opérationnels de Bell, la progression de la
marge ainsi que l'augmentation du bénéfice et des flux de
trésorerie disponibles ꟷ tous ces résultats étant conformes aux
objectifs de notre orientation pour 2019 », a affirmé
Glen LeBlanc, chef des affaires
financières. « Étant donné que nous continuons de dégager des
flux de trésorerie disponibles et que les perspectives financières
pour nos secteurs du sans-fil, du sur-fil et des médias sont
positives, nous disposons d'une souplesse financière considérable
pour mettre en œuvre la stratégie d'investissement de Bell dans les
réseaux de fibre et sans fil à large bande, tout en positionnant
BCE pour la réalisation d'une 12e année d'affilée
de croissance du dividende en 2020. »
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 2,5 % au
T2, pour s'établir à 5 930 millions $, entraînés par
une hausse de 2,0 % des produits tirés des services, à
5 231 millions $. Les produits d'exploitation tirés
des produits ont augmenté de 6,4 %, pour s'établir à
699 millions $, en raison d'une proportion plus
importante d'appareils mobiles haut de gamme en service ainsi que
des ventes accrues d'équipements de transmission de données aux
grandes entreprises clientes.
Le bénéfice net a augmenté de 8,2 %, pour s'établir à
817 millions $, et le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires a totalisé 761 millions $, soit
0,85 $ par action, en hausse de 8,1 % et de 7,6 %,
respectivement. L'augmentation du bénéfice net et du bénéfice net
par action ordinaire est attribuable à la forte croissance du BAIIA
ajusté et à la diminution des autres charges ainsi que de celle de
l'impôt sur le résultat. Cette augmentation a été partiellement
contrebalancée par l'augmentation de la dotation à l'amortissement
des immobilisations corporelles et des charges d'intérêts ainsi que
par l'augmentation des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres. Dans l'ensemble, l'adoption d'IFRS 16
n'a pas eu d'incidence importante sur le bénéfice net. Le bénéfice
net ajusté s'est établi à 847 millions $, soit
0,94 $ par action ordinaire, comparativement à
777 millions $, soit 0,86 $ par action ordinaire, au
T2 de l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté a augmenté de 6,8 %, pour s'établir à
2 595 millions $, entraîné par les hausses d'un
exercice à l'autre de 9,9 % pour les Services sans fil de
Bell, de 2,1 % pour les Services sur fil de Bell et de
23,9 % pour Bell Média. Le BAIIA ajusté a été
favorablement touché par IFRS 16, du fait que la plupart des
charges liées aux contrats de location simple sont maintenant
comptabilisées dans la dotation à l'amortissement des
immobilisations corporelles et dans les charges d'intérêts, plutôt
que dans les coûts d'exploitation, dans le BAIIA ajusté. La marge
du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a augmenté, passant
à 43,8 %, contre 42,0 % au T2 2018, ce qui découle
de la progression au chapitre de la croissance des produits tirés
des services, de l'accroissement de la portée des services Internet
à large bande, du contrôle rigoureux exercé sur les dépenses à
l'égard des acquisitions d'abonnés des services sans fil ainsi que
de la diminution de 0,6 % des coûts d'exploitation totaux
reflétant l'incidence favorable d'IFRS 16.
Les dépenses d'investissement de BCE ont totalisé
972 millions $, en baisse contre
1 056 millions $ au T2 2018, ce qui
représente un ratio d'intensité du capital(5) (les
dépenses d'investissement en pourcentage du total des produits des
activités ordinaires) de 16,4 %, contre 18,3 % à
l'exercice précédent. Cette diminution des dépenses
d'investissement d'un exercice à l'autre est attribuable au
calendrier, mais leur nombre devrait augmenter au second semestre
de l'exercice. Les dépenses d'investissement ont été concentrées
sur la poursuite de l'expansion des zones de couverture du réseau
de fibre jusqu'aux locaux de l'abonné (FTTP) et du réseau sans fil
fixe au domicile (WTTH) de Bell, sur la connexion directe par fibre
optique des services Internet et de télé à plus de foyers et
d'entreprises ainsi que sur l'investissement dans les réseaux sans
fil, ce qui comprend le déploiement des petites cellules afin
d'accroître les vitesses des réseaux, la couverture et la qualité
du signal, ainsi que les liaisons de raccordement au réseau de
fibre pour les services de données en vue du service 5G.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont établis à 2 093 millions $, en hausse de
1,8 % par rapport à l'exercice précédent. Cette augmentation
est surtout attribuable à l'augmentation du BAIIA ajusté, mais elle
a été partiellement contrebalancée par la diminution de la
trésorerie liée au fonds de roulement et par l'augmentation des
paiements d'intérêts, ce qui reflète l'incidence défavorable de
l'adoption d'IFRS 16. Les flux de trésorerie disponibles se
sont établis à 1 093 millions $, une augmentation de
10,0 % par rapport au T2 2018, du fait de la diminution
des dépenses d'investissement et de l'augmentation des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation, exclusion faite des
coûts liés aux acquisitions et autres payés.
Au T2, BCE a enregistré 149 478 nouveaux abonnés nets des
services sans fil (102 980 abonnés des services postpayés
et 46 498 abonnés des services prépayés),
19 414 nouveaux abonnés nets des services Internet de
détail, 16 775 nouveaux abonnés nets des services de télé IP,
une perte nette de 14 425 abonnés du service de télé par
satellite de détail et une perte nette de 72 780 abonnés des
SAR résidentiels de détail(5).
Les connexions de BCE dans les services sans fil et les services
Internet, de télé et SAR résidentiels de détail totalisaient
18 680 588 à la fin du T2, soit une hausse de 1,1 %
par rapport à l'exercice précédent. Ce total inclut
9 630 313 abonnés du sans-fil(4), soit
une hausse de 3,4 % (y compris les 8 911 169 abonnés
des services postpayés, soit une augmentation de 3,7 %, et
719 144 abonnés des services prépayés, soit une augmentation
de 0,4 %), 3 461 825 abonnés des services
Internet de détail(4), soit une augmentation de
4,1 %; 2 767 201 abonnés des services de télé
de détail, soit une augmentation de 1,0 % (y compris les
1 713 397 abonnés des services de télé IP, soit une
augmentation de 7,1 %, et 1 053 804 abonnés du
service de télé par satellite de détail, soit une diminution de
7,6 %) et 2 821 249 abonnés des SAR
résidentiels de détail, soit une diminution de 8,8 %.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
« Bell a enregistré une augmentation des produits des
activités ordinaires et du BAIIA ajusté dans tous nos secteurs
opérationnels, soit le sans-fil, le sur-fil et les médias. Dans
l'ensemble, les ajouts d'abonnés des services à large bande ont
progressé de 25,5 % d'un exercice à l'autre, pour s'établir à
186 000, ce qui reflète le leadership de Bell dans les réseaux
et le service, le réseau de distribution national hors pair et la
qualité d'exécution de notre équipe dans un marché
concurrentiel », a affirmé le chef de l'exploitation,
Mirko Bibic.
« La croissance exceptionnelle réalisée dans le sans-fil,
soit plus de 149 000 ajouts nets, notre meilleure
performance pour un deuxième trimestre depuis 2001, découle de
l'amélioration importante du taux de désabonnement dans les
services postpayés ainsi que du regain de vigueur de Bell dans le
marché des services prépayés avec le succès persistant de
Lucky Mobile. Les ajouts nets dans les services Internet de
détail ont augmenté de plus de 19 000 - soit une hausse
de 51,6 % par rapport à l'exercice précédent - et les
abonnés des services de télé IP ont augmenté de près de
17 000, car nous offrons les vitesses les plus rapides pour
les services Internet résidentiels et les meilleurs services de
télé grâce au réseau entièrement optique en croissance de Bell. La
seule entreprise de médias canadienne à faire croître son auditoire
dans toutes les principales catégories démographiques d'un exercice
à l'autre, Bell a continué de présenter les émissions de sports, de
divertissement et de nouvelles les plus regardées au pays à la télé
traditionnelle, payante et spécialisée, attirant un auditoire
record pour le championnat de la NBA avec les Raptors de
Toronto ainsi que pour le dernier
épisode des séries Game of Thrones et The Big Bang Theory, tout en
réalisant une croissance de la publicité à la télé, d'un exercice à
l'autre, pour un quatrième trimestre consécutif. »
Services sans fil de Bell
Les Services sans fil de
Bell ont enregistré des produits d'exploitation totaux de
2 189 millions $ au T2, soit une augmentation de
3,2 % par rapport au T2 de l'exercice précédent. Les produits
tirés des services ont augmenté de 2,5 %, pour s'établir à
1 618 millions $, ce qui découle de la croissance
continue de la clientèle d'abonnés des services postpayés et de la
contribution positive des services prépayés aux produits des
activités ordinaires d'un exercice à l'autre. Les produits
d'exploitation tirés des produits ont progressé de 5,2 %, pour
s'établir à 571 millions $, reflétant la proportion plus
importante de téléphones intelligents haut de gamme en service par
rapport à l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté des services sans fil a totalisé
980 millions $, soit une augmentation de 9,9 % par
rapport au T2 2018, ce qui a permis de dégager une
augmentation de 2,7 points de pourcentage de la marge, à
44,8 %. Cette augmentation découle de la progression au
chapitre des produits tirés des services qui génèrent une marge
élevée, de l'approche rigoureuse en matière d'établissement des
prix des promotions ainsi que de la diminution de 1,6 % des
coûts d'exploitation principalement du fait de l'incidence
favorable d'IFRS 16.
- Le total des ajouts nets d'abonnés des services postpayés et
prépayés a augmenté de 30,6 %, à 149 478, notre meilleure
performance pour un deuxième trimestre depuis 2001.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont totalisé
102 980, en baisse comparativement à 122 092 au T2 2018, les ajouts
bruts ayant diminué de 4,8 % en raison du nombre moindre d'un
exercice à l'autre d'ajouts d'abonnés découlant de notre contrat de
services mobiles à long terme avec Services partagés Canada (SPC).
Exclusion faite du contrat avec SPC, les ajouts nets d'abonnés des
services postpayés ont été plus élevés qu'à l'exercice précédent,
ce qui reflète le leadership de Bell dans les réseaux mobiles, le
niveau soutenu de réalisation des ventes dans tous nos canaux de
vente au détail, ainsi que la diminution du taux de désabonnement
des services postpayés(5), lequel a diminué de 0,04
point de pourcentage, à 1,06 %.
- La clientèle des services prépayés de Bell a augmenté de 46 498
nouveaux abonnés nets, comparativement à une perte nette de 7 606
au T2 2018. Cette augmentation reflète la hausse de 92,6 % d'un
exercice à l'autre des ajouts bruts découlant du maintien d'une
forte demande pour Lucky Mobile, notre service prépayé à faible
coût, ainsi que de l'entente nationale exclusive de
commercialisation au détail conclue avec Dollarama. Le taux de
désabonnement des services prépayés a augmenté de 0,86 point de
pourcentage, pour s'établir à 4,20 %, en raison de
l'intensification de la concurrence et d'un changement apporté à
notre politique de désactivation d'abonnés des services prépayés au
début de 2019, qui est passée de 120 jours et de 150 jours, à 90
jours.
- La clientèle totale des services sans fil de Bell à la fin du
T2 a augmenté de 3,4 %, à 9 630 313 abonnés, ce qui comprend 8 911
169 abonnés des services postpayés, en hausse de 3,7 % par rapport
à l'exercice précédent, et 719 144 abonnés des services prépayés,
en hausse de 0,4 %.
- La facturation moyenne par utilisateur (FMU)
combinée(5) a augmenté de 1,6 %, pour s'établir à 68,79
$, ce qui reflète la proportion grandissante d'abonnés optant pour
des forfaits mensuels à valeur plus élevée offrant une limite
d'utilisation des données supérieure, ainsi que l'effet des
modifications des prix et des ajustements apportés à la clientèle
d'abonnés au début de 2019.
Services sur fil de Bell
Les produits d'exploitation
totaux ont augmenté de 0,9 % au T2, pour s'établir à
3 088 millions $, ce qui comprend la croissance de
0,4 % des produits tirés des services, à
2 958 millions $, et l'augmentation de 12,1 %
des produits d'exploitation tirés des produits, à
130 millions $. La croissance découle de l'accroissement
de la clientèle d'abonnés des services Internet et de télé IP,
de l'effet des hausses annuelles des prix des services résidentiels
et de la croissance du chiffre d'affaires dans les marchés
d'affaires pour un quatrième trimestre consécutif, qui reflète
l'augmentation des dépenses des clients dans les services de
connectivité à large bande IP et les services d'affaires ainsi
que l'augmentation des ventes de produits de données. Dans
l'ensemble, la croissance des produits des activités ordinaires
dans le sur-fil a été atténuée par la non-récurrence des produits
des activités ordinaires générés au T2 2018 par le Sommet du
G7 et les élections générales en Ontario.
Le BAIIA ajusté dans le sur-fil a augmenté de 2,1 %, à
1 361 millions $, ce qui découle de l'augmentation
du nombre d'abonnés des services Internet et de télé IP à large
bande, de l'amélioration des résultats des marchés d'affaires et de
la stabilité des coûts d'exploitation, qui ont diminué de
0,1 % par rapport à l'exercice précédent en raison de
l'incidence favorable d'IFRS 16, des économies découlant des
réductions de personnel effectuées en 2018
et des mesures d'efficience opérationnelle liée à la fibre.
Ces résultats ont entraîné une augmentation de 60 points de
base de notre marge, la plus élevée du secteur, à 44,1 %.
- Bell a ajouté 19 414 nouveaux abonnés des services Internet de
détail, une augmentation de 51,6 % par rapport au T2 2018, ce qui
reflète l'expansion continue de la zone de couverture des réseaux
FTTP et WTTH de Bell, laquelle a également entraîné une diminution
du taux de désabonnement des services résidentiels, ainsi que
l'effet des activations d'abonnés des services Internet découlant
du service Alt Télé de Bell. La clientèle des services Internet de
détail totalisait 3 461 825 abonnés à la fin du T2, une
augmentation de 4,1 % par rapport à l'exercice précédent.
- Bell Télé a ajouté 16 775 nouveaux abonnés nets des services de
télé IP de détail, une diminution par rapport à 20 653 au T2 2018,
malgré l'augmentation d'un exercice à l'autre des ajouts nets
d'abonnés du service Alt Télé et de la diminution du taux de
désabonnement. Ce résultat reflète le taux de pénétration élevé
dans les marchés actuels de Fibe, le ralentissement de l'expansion
de la zone de couverture du service et la substitution constante en
faveur des services de télé par contournement. À la fin du T2, Bell
comptait 1 713 397 abonnés des services de télé IP de détail, soit
une hausse de 7,1 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service de télé par satellite de
détail ont diminué de 5,1 %, pour s'établir à 14 425 abonnés,
contre 15 201 abonnés au T2 2018, en raison du nombre moindre de
désactivations d'abonnés.
- À la fin du T2, Bell comptait un nombre total combiné de 2 767
201 abonnés des services de télé IP et de télé par satellite de
détail, soit une hausse de 1,0 % par rapport au T2 2018.
- Les produits tirés des services de données filaires ont
augmenté de 3,2 %, pour s'établir à 1 929 millions $, par suite de
la croissance de la clientèle d'abonnés des services Internet et de
télé IP, des augmentations des tarifs des services résidentiels,
des mises à niveau à des vitesses Internet plus élevées et de
l'adoption de forfaits offrant plus de données, ainsi que des
produits accrus tirés des services de connectivité à large bande IP
d'affaires et des services d'affaires.
- Les produits d'exploitation tirés des produits filaires ont
augmenté de 12,1 %, pour s'établir à 130 millions $, ce qui découle
principalement des ventes accrues de produits de données aux
grandes entreprises clientes dans les secteurs public, bancaire et
du commerce de détail.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR résidentiels de détail ont
augmenté pour s'établir à 72 780, comparativement à 69 558 au T2
2018, en raison de la substitution technologique continue ainsi que
du nombre moindre de nouvelles activations, le marché continuant de
s'orienter vers les forfaits comprenant deux services, soit
Internet et de télé. La clientèle des SAR résidentiels de détail de
Bell totalisait 2 821 249 abonnés à la fin du T2, une diminution de
8,8 % d'un exercice à l'autre.
- Les produits tirés des services voix filaires ont diminué de
5,9 %, pour se chiffrer à 897 millions $, par suite de la
diminution de la clientèle d'abonnés des SAR, de la conversion des
clients d'affaires aux services de données IP ainsi que de
l'utilisation moindre des services interurbains traditionnels, tant
par les clients résidentiels que par les clients d'affaires. Cette
diminution a été partiellement compensée par l'effet des
augmentations annuelles des tarifs des services résidentiels.
Bell Média
Les produits d'exploitation de
Bell Média ont augmenté de 6,4 % au T2, pour s'établir à
842 millions $, ce qui découle de l'augmentation des
produits tirés de la publicité dans les services de télé
traditionnelle, de télé spécialisée et d'affichage extérieur
d'Astral, ainsi que de l'augmentation des produits tirés des frais
d'abonnement principalement attribuable à la forte croissance de la
clientèle d'abonnés de Crave. Cette solide performance au chapitre
des produits d'exploitation, combinée à la stabilité des coûts
d'exploitation, qui ont augmenté de 0,3 % en raison de
l'augmentation des coûts de programmation au titre de
l'enrichissement continu du contenu de Crave, largement compensée
par l'incidence favorable d'IFRS 16, a entraîné une
augmentation de 23,9 % du BAIIA ajusté, à
254 millions $.
- CTV s'est illustré comme le réseau de télévision le plus
regardé au Canada aux heures de grande écoute pour une
18e année consécutive et comptait plus d'émissions que
tout autre réseau parmi les 20 émissions du printemps les plus
regardées.
- Bell Média arrive en tête dans la télé spécialisée et payante
avec 5 des 10 meilleures chaînes anglophones : TSN, Comedy, Space,
Discovery et CP24, et 3 des 10 meilleures chaînes francophones :
RDS, Super Écran et Canal D.
- TSN demeure la chaîne de télé spécialisée dans les sports
numéro un au Canada et la meilleure chaîne de télé spécialisée
depuis le début de l'année de diffusion 2018-2019, grâce à une
programmation de qualité supérieure, notamment le championnat de la
NBA avec les Raptors et la Coupe du Monde féminine de la FIFA.
- Bell Média est encore une fois demeuré le premier
radiodiffuseur du Canada, rejoignant en moyenne plus de 16,1
millions d'auditeurs, lesquels ont écouté, chaque semaine, environ
70 millions d'heures de contenu.
- Chef de file du secteur numérique parmi tous les concurrents
canadiens du secteur des médias, Bell Média a rejoint 21,7 millions
de visiteurs uniques mensuellement et a enregistré des moyennes de
471 millions de pages consultées et de 1 milliard de minutes
passées en ligne chaque mois.
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,7925 $ par action ordinaire, payable le 15 octobre 2019
aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le
16 septembre 2019.
PERSPECTIVES POUR 2019
BCE a confirmé les objectifs de
son orientation financière pour 2019, tels qu'ils ont été présentés
le 7 février 2019.
|
Orientation au
7 février
|
Orientation au
1er août
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
1 % à
3 %
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
5 % à
7 %
|
Sur la bonne
voie
|
Intensité du
capital
|
approx.
16,5 %
|
Sur la bonne
voie
|
BPA ajusté
|
3,48 $ à
3,58 $
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles
|
7 % à
12 %
|
Sur la bonne
voie
|
Dividende sur actions
ordinaires annualisé
|
3,17 $
|
3,17 $
|
Politique de
distribution de dividendes(3)
|
65 % à 75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
Sur la bonne
voie
|
À noter qu'en excluant l'incidence d'IFRS 16, la croissance
du BAIIA ajusté pour 2019 devrait s'établir entre 2 % et
4 % et celle des flux de trésorerie disponibles consolidés,
entre 3 % et 7 %, tandis que le BPA ajusté s'établirait
entre 3,53 $ et 3,63 $.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T2 2019, le jeudi 1er août, à 8 h (heure de
l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre
d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le numéro sans
frais
1-800-478-9326 ou le 416-340-2219. Une reprise sera disponible
jusqu'à minuit le 5 septembre 2019 au 1-800-408-3053 ou au
905-694-9451 (composez le code d'identification 5175558#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une
webdiffusion en direct sur le site Web de BCE, à Téléconférence sur
les résultats de BCE pour le T2 2019. Le fichier MP3 sera
également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de
temps après la téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté
n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est
donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le
bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes (profits
nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de
couverture économique des régimes de rémunération fondée sur des
actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres, les
pertes nettes (profits nets) sur placements, les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette et les charges pour perte de
valeur, déduction faite de l'impôt et des participations ne donnant
pas le contrôle (PNDPC). Nous définissons le BPA ajusté comme le
bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le
bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent ces mesures, entre autres,
pour évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des
coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres,
des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur
placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette et
des charges pour perte de valeur, déduction faite de l'impôt et des
PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA
sont les mesures financières conformes aux normes IFRS les plus
comparables. Le tableau suivant présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T2 2019
|
T2 2018
|
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
761
|
0,85
|
704
|
0,79
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
28
|
0,04
|
18
|
0,02
|
(Profits nets) pertes
nettes lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre
de couverture économique des régimes de rémunération fondée sur des
actions qui sont réglés en instruments de capitaux
propres
|
(9)
|
(0,02)
|
22
|
0,02
|
Pertes nettes sur
placements
|
53
|
0,06
|
20
|
0,02
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
13
|
0,01
|
13
|
0,01
|
Charges pour perte de
valeur
|
1
|
-
|
-
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
847
|
0,94
|
777
|
0,86
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes
IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les états
consolidés du résultat net de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de
BCE correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4,
Information sectorielle, des états financiers consolidés du
T2 2019 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté
comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous
utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer
la performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur
rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une
société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à
d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure
courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des
télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA
ajusté est également un facteur dans la détermination de la
rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des
dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière conforme aux
normes IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge du
BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau suivant
présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions de
dollars)
|
|
T2 2019
|
|
T2 2018
|
|
Bénéfice
net
|
817
|
|
755
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
39
|
|
24
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
888
|
|
787
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
223
|
|
221
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
Charges
d'intérêts
|
281
|
|
246
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
15
|
|
17
|
|
Autres
charges
|
56
|
|
88
|
|
Impôt sur le
résultat
|
276
|
|
292
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 595
|
|
2 430
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 930
|
|
5 786
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
43,8
|
%
|
42,0
|
%
|
(3) Les termes flux de trésorerie disponibles et ratio
de distribution n'ont pas de définition normalisée en vertu des
normes IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés
avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite des
coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui comprennent les
coûts importants liés aux litiges, et du financement des
cotisations volontaires aux régimes de retraite, moins les dépenses
d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées et les
dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC. Nous
excluons les coûts liés aux acquisitions et autres payés et le
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Nous considérons les flux de trésorerie
disponibles comme un important indicateur de la solidité financière
et de la performance de nos activités, car ils révèlent le montant
des fonds disponibles pour payer des dividendes sur actions
ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans notre société.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les
flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses
actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité financière et la
performance de nos activités. Les flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation sont la mesure financière conforme aux
normes IFRS la plus comparable. Nous définissons le ratio de
distribution comme les dividendes payés sur actions ordinaires
divisés par les flux de trésorerie disponibles. Nous considérons le
ratio de distribution comme un important indicateur de la solidité
financière et de la performance de nos activités, car il met en
évidence la pérennité des paiements de dividendes de la société. Le
tableau suivant présente un rapprochement des flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation et des flux de trésorerie
disponibles, sur une base consolidée.
(en millions de
dollars)
|
|
T2 2019
|
T2 2018
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 093
|
2 057
|
Dépenses
d'investissement
|
(972)
|
(1 056)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(37)
|
(35)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de
PNDPC
|
(12)
|
-
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
21
|
28
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 093
|
994
|
(4) Au début du T1 2019, nous avons ajusté notre clientèle
d'abonnés des services sans fil afin de retrancher 167 929
abonnés (72 231 abonnés des services postpayés et 95 698
abonnés des services prépayés) comme suit : 65 798
abonnés (19 195 abonnés des services postpayés et 46 603
abonnés des services prépayés), en raison de l'achèvement des
travaux de mise hors service du réseau AMRC le 30 avril 2019;
49 095 abonnés des services prépayés par suite de la
modification des conditions de notre politique de désactivation
qui, principalement, sont passées de 120 jours pour Bell et Virgin
Mobile et de 150 jours pour Lucky Mobile, à 90 jours; 43 670
abonnés des services postpayés, du fait que nous avons raffiné
notre définition du terme abonné relativement à l'Internet des
objets (IdO) pour tenir compte de l'évolution technologique, et
9 366 abonnés du service Internet sans fil fixe postpayé
transférés à Bell Internet.
(5) Nous utilisons la FMU, le taux de désabonnement, l'intensité
du capital et les unités d'abonnement pour effectuer le suivi des
indicateurs de performance clés dans le rapport de gestion annuel
afin d'évaluer les progrès accomplis à l'égard de nos impératifs
stratégiques. Ces indicateurs de performance clés ne sont pas des
mesures comptables et pourraient ne pas être comparables à des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière (ce qui comprend les produits des activités
ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le BPA ajusté
et les flux de trésorerie disponibles), le dividende sur actions
ordinaires annualisé et la politique de distribution de dividendes
sur actions ordinaires de BCE pour 2019, la croissance du dividende
attendue de BCE en 2020, nos plans de déploiement pour les réseaux
et les dépenses d'investissement, la réalisation attendue de
l'acquisition proposée du réseau généraliste V et de ses actifs
numériques, nos perspectives commerciales, objectifs, plans et
priorités stratégiques, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont
pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, projet,
stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que
les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de
certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir,
avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer
à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes
ces déclarations prospectives sont faites conformément aux
« dispositions refuges » prévues dans les lois
canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la
loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of
1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 1er août 2019 et,
par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois applicables en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour
toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE,
les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 1er août 2019. L'incidence
financière de ces transactions et de ces éléments exceptionnels
peut s'avérer complexe et dépend de faits particuliers à chacun
d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative
l'incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques
connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué sont présentées dans le but
d'aider les investisseurs et les autres parties à comprendre
certains éléments clés de nos résultats financiers prévus, ainsi
que nos objectifs, priorités stratégiques et perspectives
commerciales, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous
prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde
contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à
d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Une amélioration graduelle de la croissance économique, étant
donné la plus récente estimation de la Banque du Canada de la
croissance du produit intérieur brut du Canada de 1,3 % en 2019, ce
qui représente une légère augmentation par rapport à l'estimation
antérieure de 1,2 %;
- les gains au chapitre de l'emploi devraient continuer en 2019,
car le niveau d'investissement des entreprises devrait augmenter,
mais demeurer variable;
- les taux d'intérêt devraient se maintenir à leur niveau actuel
ou près de ce niveau;
- le dollar canadien devrait se maintenir à son niveau actuel.
Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de l'incidence
de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt et des
variations des prix des marchandises;
- l'intensification continue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration des
clients d'affaires vers des solutions de télécommunications
traditionnelles à plus faible prix ou des services par
contournement offerts par des concurrents;
- l'incidence éventuelle de la baisse des cotes d'écoute et de la
demande variable sur le marché publicitaire;
- la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir
de la programmation télévisuelle;
- l'érosion constante de la clientèle du service de télé
linéaire, en raison du nombre grandissant d'abonnés qui se
débranchent du câble et de personnes qui n'ont jamais été abonnées
à un service de câblodistribution.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien de notre part du marché des ajouts nets d'abonnés
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- la hausse des ajouts nets d'abonnés des services prépayés;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et LTE-A et de nouveaux services de
données;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle découlant de la hausse du coût
des combinés;
- l'amélioration de la FMU combinée, stimulée par une proportion
accrue d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones
intelligents, la consommation croissante des services de données
sur les réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs d'accès,
partiellement contrebalancée par l'incidence de la proportion
accrue d'abonnés des services prépayés parmi notre clientèle totale
et par l'incidence du contrat conclu entre Bell Mobilité et
SPC;
- l'expansion de la couverture du réseau LTE-A à environ 94 % de
la population canadienne et la poursuite des préparatifs liés à la
technologie 5G, avec les essais de la technologie sur le réseau,
ainsi que le déploiement de petites cellules et la mise en place de
la technologie de la fibre dans toutes les nouvelles stations
cellulaires;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données, le secteur s'orientant vers
les forfaits de données illimitées;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- une croissance continue du nombre d'abonnés résidentiels des
services de télé IP et Internet de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du produit moyen par utilisateur des services
résidentiels par foyer, générée par l'adoption croissante des
forfaits multiproduits par foyer et l'augmentation des prix;
- la poursuite des lancements d'offres accrocheuses de forfaits
de services résidentiels par nos concurrents dans la
câblodistribution dans les zones où nous fournissons des services
sur fil locaux;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption accélérée par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans la zone de couverture des services sur fil, et l'accélération
de la construction de notre réseau sans fil fixe au domicile (WTTH)
dans les collectivités rurales;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu
d'investissements constants;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction du
nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs naturels
et de départs à la retraite, de la réduction des taux contractuels
des fournisseurs, de l'efficacité opérationnelle découlant de
l'expansion de la zone de couverture du réseau de fibre au moyen de
connexions directes, des changements liés aux comportements des
consommateurs et à l'innovation au chapitre des produits et de la
réalisation de synergies additionnelles découlant des prochaines
étapes de l'intégration de Manitoba Telecom Services Inc.;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- La performance au chapitre des produits des activités
ordinaires devrait refléter la croissance accrue de la clientèle
d'abonnés de Crave, l'effet marqué de la hausse des tarifs pour les
entreprises de distribution de radiodiffusion et l'établissement de
tarifs stratégiques pour les ventes de publicité;
- l'augmentation des coûts d'exploitation entraînée par la hausse
des coûts de la programmation, compte non tenu de l'incidence
d'IFRS 16, découlant principalement de l'investissement continu
dans le contenu de Crave;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption des produits de
Crave et de sports offerts directement aux consommateurs;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- la monétisation des droits sur le contenu et des propriétés de
Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- une baisse du nombre d'abonnés pour de nombreuses propriétés
vidéo de Bell Média entraînée par le dégroupement des chaînes de
télé et la popularité grandissante du visionnement de contenu par
contournement;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La
section qui suit présente les principales hypothèses financières de
BCE pour 2019 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 310 millions $ à 330 millions $, selon
un taux d'actualisation comptable estimatif de 3,8 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 250 millions $ à 260 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 60
millions $ à 70 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 4 375 millions $ à 4
475 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ 1 125 millions $ à 1 150
millions $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 25 %;
- des PNDPC d'environ 50 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite
totalisant environ 375 millions $;
- des impôts en trésorerie d'environ 650 millions $ à 700
millions $;
- des paiements d'intérêts nets d'environ 1 125 millions $ à 1
150 millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 900 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,17 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 1er août
2019, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos
résultats réels pourraient différer de façon significative de nos
attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent
communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon significative de ceux qui sont
exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives,
y compris notre orientation financière pour 2019, sont
énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations
prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats
financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour
2019, dépend essentiellement de la performance de notre entreprise
qui, à son tour, est assujettie à de nombreux risques. Par
conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous les
risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable significative sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter :
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, jumelée au lancement de nouveaux
produits, ainsi que l'incidence connexe sur le coût lié à la
conservation de nos clients actuels et à l'obtention de nouveaux
clients, de même que sur nos parts de marché, nos volumes de
service et nos stratégies d'établissement des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à réduire l'utilisation de
nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité, ce qui modifie
l'environnement de nos activités liées à la télé et aux médias et
pourrait accélérer le débranchement des services de télé et la
réduction des dépenses pour ces services, ainsi que la
fragmentation du marché de la publicité et les changements qui s'y
produisent;
- la concurrence pour le contenu de programmation avec des
concurrents mondiaux, en plus des concurrents canadiens
traditionnels dans les services de télé, qui pourrait entraîner
d'importantes hausses des coûts d'acquisition du contenu et nuire à
notre capacité d'obtenir du contenu de premier plan;
- la prolifération du piratage de contenu, qui pourrait avoir une
incidence sur la croissance des abonnés ainsi que sur notre
capacité à monétiser les produits et les services, et également
comprimer la bande passante;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence défavorable connexe sur la
demande de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et
le volume des créances douteuses;
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, les ventes aux enchères de spectre, les codes de
conduite à l'égard des consommateurs, l'approbation d'acquisitions
et les exigences relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion
et à la propriété étrangère;
- l'incapacité à protéger nos actifs corporels et incorporels,
notamment les réseaux, les systèmes de TI, les bureaux, les
magasins et l'information de nature sensible, contre des événements
comme des atteintes à la sécurité de l'information, l'accès ou
l'entrée non autorisés, des incendies et des catastrophes
naturelles;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et
la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer
correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
ou à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir dans des fonctions de
prochaine génération de manière rigoureuse et stratégique;
- l'incapacité à créer une expérience client positive dans tous
les aspects de notre engagement envers la clientèle;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation, canaux de
vente et bases de données de commercialisation, ainsi que d'une
myriade de forfaits, d'offres promotionnelles et de gammes de
produits;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI très performants soutenus par un cadre de gouvernance et
opérationnel efficace;
- le risque que nous puissions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
niveau de systèmes, des réductions de personnel, des refontes de
processus, et de l'intégration des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour
fournir notre service de télé par satellite;
- notre dépendance aux tiers fournisseurs, aux impartiteurs et
aux consultants qui nous fournissent de façon ininterrompue les
produits et services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités, mettre en œuvre de nouvelles technologies liées aux
réseaux et autres, offrir de nouveaux produits et services, ainsi
que respecter différentes obligations;
- les modifications à notre répertoire de fournisseurs et
d'impartiteurs que nous pourrions décider d'effectuer ou que nous
serions tenus d'apporter;
- l'incapacité d'assurer, par nos processus de sélection, de
gouvernance et de surveillance des fournisseurs conçus pour ce
faire, la pleine transparence en ce qui concerne le risque lié aux
fournisseurs actuels ou aux nouveaux fournisseurs;
- le risque lié à la sécurité et à la fuite de données si les
protocoles de contrôle de la sécurité qui concernent nos
fournisseurs sont contournés;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE, que le dividende sur
actions ordinaires sera majoré ou que la politique de distribution
de dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts nouvellement exigés ou plus élevés découlant de
l'adoption de nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées
aux lois fiscales existantes ou à leur interprétation, et
l'incapacité à prévoir l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
actions collectives;
- de nouvelles modifications ou des modifications défavorables
aux lois applicables et l'incapacité d'agir en amont pour ce qui
est du respect de nos obligations juridiques et
réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils et des équipements de
communications sans fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux en cas d'épidémies, de pandémies
ou d'autres éventualités menaçantes pour la santé;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement;
- la réalisation attendue de l'acquisition proposée du réseau de
télé généraliste V et de ses actifs numériques, assujettie aux
conditions de clôture, à des droits de résiliation et à d'autres
risques et incertitudes, y compris l'obtention des approbations
réglementaires.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2018 de BCE (inclus dans le rapport annuel 2018 de
BCE), daté du 7 mars 2019, ainsi que les rapports de gestion
du premier et du deuxième trimestre de 2019 de BCE, datés du
1er mai 2019 et du
31 juillet 2019, respectivement, pour obtenir plus de détails
au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses
mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces
documents étant déposés par BCE auprès des autorités des provinces
canadiennes en valeurs mobilières (disponibles à Sedar.com) et de
la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à
SEC.gov). Ces documents sont également disponibles à BCE.ca.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE offre des services large bande
évolués sans fil, de télévision, Internet et de communications
d'affaires et exploite Bell Média, première entreprise de création
de contenu et d'actifs média au pays. Pour en savoir plus, visitez
les sites Bell.ca ou BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la
santé mentale au Canada par des campagnes nationales de
sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation comme la
Journée Bell Cause pour la cause, et elle assure un important
financement aux soins communautaires, à la recherche et aux
initiatives de leadership en milieu de travail. Pour en savoir
plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Marie-Eve Francoeur
514-391-5263
marie-eve.francoeur@bell.ca
Questions des investisseurs :
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SOURCE Bell Canada