Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en
garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans ce
communiqué.
- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 707
millions $, en hausse de 32,9 %; bénéfice net ajusté de 734
millions $, en hausse de 4,1 %, pour un BPA ajusté de 0,85
$
- Croissance des produits tirés des services de 1,3 % et
gestion rigoureuse des coûts entraînant une augmentation de 3,3 %
du BAIIA ajusté; marge consolidée progressant pour atteindre 41
%
- Chef de file canadien pour ce qui est des services à large
bande : 93 000 nouveaux abonnés nets des services sans fil
postpayés et des services de télé IP et Internet haute
vitesse
- Solides résultats financiers dans le sans-fil : produits
tirés des services en hausse de 5,3 % sur un PMU plus élevé de 3,6
%; augmentation de 6,9 % du BAIIA ajusté entraînant une marge plus
élevée, à 48,2 %
- BAIIA ajusté des Services sur fil en hausse de 1,3 % et
coûts d'exploitation en baisse de 3,4 %, entraînant une progression
de 1,1 point de pourcentage de la marge, la plus élevée du secteur,
à 42,1 %
- Meilleure expérience Internet du Canada grâce au réseau de
fibre à large bande de Bell pouvant brancher directement plus de
2,5 millions d'emplacements; investissement de 1 milliard $ dans la
fibre à large bande pour l'expansion du service Fibe Gigabit à 3
millions de foyers et d'entreprises d'ici la fin de 2016
- Hausse du BAIIA ajusté du secteur Média de 2,8 % découlant
d'une augmentation de 2,1 % du total des produits des activités
ordinaires et du contrôle rigoureux exercé sur les coûts; TSN et
RDS consacrés chefs de file dans les sports et la télé spécialisée
au Canada
- Lancement du service The Movie Network (TMN) en tant que
service national de télé payante le 1er mars; clientèle
du service CraveTV offert directement au consommateur dépassant les
100 000 abonnés dans les 90 premiers jours
- Amélioration continue du service entraînant une diminution
du taux de désabonnement et des coûts d'exploitation
MONTRÉAL, le 28 avril 2016 /CNW Telbec/ - BCE
Inc. (TSX: BCE) (NYSE: BCE), la plus grande entreprise de
communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats du
premier trimestre (T1) de 2016.
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
(en millions $, sauf les montants par
action) (non audité)
|
T1 2016
|
T1 2015
|
% de
variation
|
BCE
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 270
|
5 240
|
0,6 %
|
BAIIA
ajusté(1)
|
2 163
|
2 094
|
3,3 %
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
707
|
532
|
32,9 %
|
BPA
|
0,82
|
0,63
|
30,2 %
|
BPA
ajusté(2)
|
0,85
|
0,84
|
1,2 %
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 290
|
1 045
|
23,4 %
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
418
|
231
|
81,0 %
|
Flux de trésorerie
disponibles par action(3)
|
0,48
|
0,27
|
77,8 %
|
|
|
|
|
« Comptant plus de 93 000 nouveaux abonnés des
services postpayés dans le sans-fil, la télé et Internet au T1,
Bell se positionne en ce début de 2016 comme chef de file de la
croissance de la large bande au Canada. La stratégie de Bell
consistant à investir dans les réseaux les plus avancés et les
innovations de produits, combinée à l'accent mis sur l'efficacité
opérationnelle à tous les niveaux, permet effectivement d'offrir la
meilleure expérience client dans les services à large bande, a
déclaré George Cope, président et chef de la direction de BCE
et de Bell Canada. La solide exécution opérationnelle par
l'équipe de Bell, les efforts visant à favoriser l'utilisation des
services à large bande et la gestion efficace des coûts dans le
sans-fil, le sur-fil et les médias nous ont permis d'enregistrer
42 trimestres consécutifs de croissance ininterrompue d'un
exercice à l'autre du BAIIA ajusté. »
« Alors que Bell célébrera demain son
136e anniversaire, nous continuons d'assurer notre
prépondérance en matière d'innovation dans les communications
canadiennes avec les réseaux les plus rapides, des nouveautés
exclusives en matière de fonctions télé et de services Internet,
ainsi que la programmation télévisuelle, radiophonique et numérique
la plus populaire du Canada. L'équipe de Bell demeure déterminée à
fournir des services de communication de niveau supérieur à ses
clients de détail et d'affaires, et les Canadiens y sont
sensibles : ils utilisent nos réseaux et services à large
bande de premier plan de manière plus intensive, et leur niveau de
satisfaction à cet égard est plus élevé », a souligné M.
Cope.
Bell centre ses efforts sur un objectif clair : être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, ce qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de six impératifs stratégiques : investir
dans les réseaux et les services large bande, accélérer le
sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre
leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et
établir une structure de coûts concurrentielle. Cette stratégie de
leadership dans les services à large bande a porté ses
fruits : investissements inégalés dans l'infrastructure réseau
de fibre et sans fil de pointe, solide performance continue sur le
marché dans les services de croissance que sont les services sans
fil, de télé, Internet et de médias et 12 augmentations du
dividende sur les actions ordinaires de BCE depuis le quatrième
trimestre de 2008, soit une majoration totale de 87 %.
« Nos résultats du premier trimestre augurent favorablement
pour la suite de l'exercice; ils démontrent une excellente
performance continue dans le sans-fil, une croissance régulière et
maîtrisée dans le sur-fil et des résultats de premier plan dans les
médias, des facteurs qui, collectivement, ont fortement contribué à
la croissance du BAIIA ajusté, du bénéfice net et des flux de
trésorerie disponibles consolidés, a affirmé Glen LeBlanc, chef des affaires financières de
BCE et de Bell Canada. BCE garde le cap sur la rentabilité en
matière d'abonnés et le contrôle exercé sur les coûts, tout en
visant le maintien à bon niveau des flux de trésorerie disponibles
et un bilan solide, ce qui nous permet d'effectuer des
investissements massifs pour soutenir la croissance future, tout en
appuyant la majoration du dividende sur les actions ordinaires de
BCE pour 2016 annoncée le 4 février. Comme les résultats du
premier trimestre sont conformes au plan, qu'aucun changement
important n'est apporté à nos perspectives globales et que notre
entreprise affiche un bon positionnement concurrentiel dans tous
les services et dans tous les marchés, BCE reconfirme aujourd'hui
son orientation financière pour 2016. »
RÉSULTATS DE BCE
Les produits d'exploitation de BCE
ont augmenté de 0,6 % au T1, pour s'établir à
5 270 millions $, ce qui reflète une croissance d'un
exercice à l'autre de 1,3 % du total des produits tirés des
services découlant de la solide croissance dans les services sans
fil et les services sur fil résidentiels et de médias. Les produits
d'exploitation tirés des produits ont diminué de 8,0 %, soit
de 31 millions $, au T1, par suite des offres
promotionnelles accrocheuses pour les combinés lancées par nos
concurrents et de la diminution des dépenses des clients d'affaires
pour des produits de données filaires.
Le BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 3,3 %, pour s'établir
à 2 163 millions $, entraîné par une croissance
positive d'un exercice à l'autre dans tous les secteurs
opérationnels de Bell : de 6,9 % pour les Services sans
fil de Bell, de 1,3 % pour les Services sur fil de Bell et de
2,8 % pour Bell Média. La marge du BAIIA ajusté(1)
consolidée de BCE a augmenté, passant à 41,0 %, contre
40,0 % au T1 2015, reflétant l'incidence de la hausse
marquée du produit moyen par utilisateur(4) (PMU) dans
le sans-fil, l'accroissement de la portée de nos services de télé
IP et Internet générant une croissance des trois produits par foyer
et des produits tirés des services résidentiels, ainsi que la
gestion rigoureuse des coûts.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est
établi à 707 millions $, soit 0,82 $ par action au
T1, en hausse de 32,9 % et de 30,2 %, respectivement,
comparativement à 532 millions $, soit 0,63 $ par
action, à l'exercice précédent. L'augmentation d'un exercice à
l'autre est attribuable à la diminution des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres (BCE a
comptabilisé une charge de 137 millions $ au T1 2015
relativement au litige au sujet du piratage du signal de télé par
satellite), à l'augmentation du BAIIA ajusté et à celle des autres
produits. Cette augmentation a été partiellement contrebalancée par
la hausse de l'impôt sur le résultat et l'augmentation du montant
au titre de la dotation aux amortissements en raison d'un volume
accru d'immobilisations amortissables en service.
Exclusion faite de l'incidence des coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, des profits nets ou des pertes
nettes sur placements et des coûts relatifs au remboursement
anticipé de la dette, le bénéfice net ajusté(2) a
augmenté de 4,1 %, pour s'établir à 734 millions $,
soit 0,85 $ par action ordinaire, comparativement à
705 millions $, soit 0,84 $ par action ordinaire, au
T1 2015.
Comme BCE est le chef de file en matière de réseaux à large
bande et d'innovation dans les services, ses dépenses
d'investissement de 852 millions $ au T1 ont augmenté de
3,0 % par rapport à l'exercice précédent, soit un ratio
d'intensité du capital(4) (les dépenses d'investissement
en pourcentage du total des produits des activités ordinaires) de
16,2 %, comparativement à 15,8 % au T1 2015. Les
dépenses d'investissement concernaient principalement l'expansion
de notre réseau de fibre à large bande en vue de brancher un plus
grand nombre de foyers et d'entreprises directement, ce qui
comprend la construction de l'infrastructure Fibe Gigabit à
Toronto et dans d'autres centres
urbains; l'investissement continu afin d'améliorer la qualité, la
vitesse et la zone de couverture sans fil des services primés
4G LTE et LTE Advanced (LTE-A) de Bell; l'augmentation de
la capacité globale des réseaux sans fil et Internet pour soutenir
l'utilisation croissante des services vidéo et autres services de
données.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont élevés à 1 290 millions $, comparativement à
1 045 millions $ au T1 2015. Les flux de
trésorerie disponibles du premier trimestre, qui accusent une
faiblesse saisonnière, se sont établis à 418 millions $,
en hausse de 81,0 %, contre 231 millions $ à
l'exercice précédent. Cette augmentation découle de la croissance
du BAIIA ajusté, de la diminution des impôts en espèces et de
l'évolution positive du fonds de roulement, partiellement
contrebalancée par l'augmentation planifiée des dépenses
d'investissement et l'augmentation des coûts liés aux indemnités de
départ relatives aux initiatives en matière de restructuration de
la main-d'œuvre entreprises au T4 2015. Les flux de trésorerie
disponibles par action se sont élevés à 0,48 $ au T1, une
hausse de 77,8 %, comparativement à 0,27 $ à l'exercice
précédent.
Dans l'ensemble, au T1 2016, BCE a ajouté 25 805
nouveaux abonnés nets des services sans fil postpayés et a subi une
perte nette de 35 673 abonnés des services prépayés, a ajouté
47 740 nouveaux abonnés nets du service Télé Fibe et a
subi une perte nette de 37 741 abonnés du service Télé
Satellite, et a ajouté 19 783 nouveaux abonnés nets d'Internet
haute vitesse. Les pertes nettes totales au chapitre des SAR se
sont établies à 107 632 abonnés.
Au 31 mars 2016, BCE comptait au total 8 235 963
abonnés du sans-fil, soit une hausse de 1,6 % d'un exercice à
l'autre (y compris les 7 401 221 abonnés des services
postpayés, soit une augmentation de 3,6 %),
2 748 495 abonnés des services de télé au total, soit une
augmentation de 3,4 % (y compris les 1 230 531
abonnés du service Télé Fibe, soit une augmentation de
24,3 %), 3 411 246 abonnés d'Internet haute vitesse
au total, soit une augmentation de 3,4 %, et, enfin,
6 565 508 abonnés des SAR au total, soit une diminution
de 6,4 %. Notre clientèle d'abonnés des services Internet
haute vitesse et des SAR d'affaires ce trimestre inclut des
ajustements effectués en début d'exercice pour retrancher
21 684 et 15 526 abonnés, respectivement, afin
d'uniformiser les pratiques de présentation de l'information
financière de Bell Aliant avec celles de Bell.
FAITS NOUVEAUX DE L'ENTREPRISE
TSN et RDS consacrés réseaux des sports et chaînes de télé
spécialisée numéro un au T1
Selon les données sur la
mesure de l'écoute compilées par Numeris, TSN se classe au rang de
meilleure chaîne de télé spécialisée du Canada et de réseau des
sports numéro un au pays au T1, avec des cotes d'écoute moyennes de
19 % plus élevées que celles de son plus proche concurrent.
RDS s'est classé comme premier réseau de sports francophone et
première chaîne spécialisée au Québec, l'auditoire global ayant été
presque trois fois plus élevé que celui de son plus proche
concurrent au T1.
TSN compte un plus grand nombre de championnats très prisés que
tout autre diffuseur au Canada, et ses cotes d'écoute élevées ont
été favorisées par les séries éliminatoires de la NFL, la Saison
des champions de curling, les Internationaux d'Australie, le March
Madness® de la NCAA® et le toujours très
populaire Championnat mondial de hockey junior. Sur la chaîne RDS,
le Super Bowl 50 a été le match de football le plus regardé de
l'histoire du réseau, la nouvelle saison de la F1 a commencé avec
un auditoire accru de 36 % d'un exercice à l'autre, et la
programmation maison exclusive, comme le Challenge Hockey RDS EA
Sports, continue d'attirer de nouveaux téléspectateurs.
La technologie FTTH offre la vitesse Internet la plus
rapide : Bell investit 1 milliard $ dans de nouveaux
déploiements de la fibre en 2016
Selon les résultats d'une
étude commandée par le CRTC sur la performance des services
Internet, et dont les résultats ont été publiés en mars 2016,
les connexions du réseau de fibre jusqu'au domicile (FTTH), comme
celles de Bell, fournissent le meilleur service Internet du Canada
à l'heure actuelle. Bell prévoit investir environ
1 milliard $ dans le déploiement de la fibre à large
bande en 2016 pour offrir le service novateur Internet Fibe Gigabit
à environ 3 millions de foyers et d'entreprises en
Ontario, au Québec et dans le
Canada atlantique d'ici la fin de l'exercice. Dans le cadre de
cette étude, on a testé les services à large bande des
10 principaux fournisseurs de services Internet filaires au
Canada à la fin de 2015. Les résultats indiquent invariablement que
les réseaux FTTH sont plus performants que toutes les autres
technologies filaires, y compris les connexions utilisées par les
entreprises de câblodistribution.
Expansion à l'échelle nationale du service The Movie
Network
Bell Média a annoncé l'expansion à l'échelle
nationale des services de télé payante de premier choix The Movie
Network (TMN) et TMN Encore le 1er mars, après que
Corus Entertainment eut renoncé à ses droits sur le contenu de HBO
et eut cessé progressivement les activités de ses services de télé
payante Movie Central et Encore Avenue dans l'Ouest et le Nord
canadiens. Avec quatre canaux multiplexes haute définition,
TMN présente les plus prestigieuses productions cinématographiques
issues des studios d'Hollywood,
une programmation exclusive de HBO et de SHOWTIME, ainsi que des
longs métrages canadiens ayant reçu beaucoup d'éloges et d'autres
émissions. TMN Encore offre deux chaînes HD présentant des
classiques du cinéma de toutes les époques. Les abonnés de TMN ont
également accès au service TMN OnDemand et au service de vidéo
mobile en continu TMN GO.
Progrès continus réalisés dans le service à la
clientèle
Avec des investissements importants dans les
systèmes de soutien de TI, la formation des équipes, la facturation
simplifiée et les applications libre-service en ligne et mobiles
qui connaissent un succès croissant auprès de la clientèle, Bell
continue d'améliorer la satisfaction de la clientèle, ce qui s'est
traduit par une diminution du taux de désabonnement pour
Bell Mobilité et les Services résidentiels de Bell et une
réduction continue des volumes des centres d'appels au T1, même si
Bell a enregistré une croissance plus rapide que celle de ses
concurrents. Le nombre de plaintes au sujet de Bell et de Virgin
Mobile reçues par le Commissaire aux plaintes relatives aux
services de télécommunications (CPRST) a diminué de 17 % entre
le 1er août 2015 et le
31 janvier 2016 par rapport à la période correspondante
de l'exercice précédent.
Bell Marchés Affaires forme un partenariat avec IBM pour
élargir la portée de l'écosystème d'informatique en nuage
Le
8 février, Bell a annoncé un nouveau partenariat avec IBM
Canada Ltée (IBM) pour élargir la portée des services
d'informatique en nuage accessibles au moyen du service Solution
d'affaires en nuage de Bell. Ce partenariat permettra aux
entreprises de partout au Canada d'accéder au Nuage IBM et à sa
vaste gamme d'options de stockage et de ressources informatiques
offertes sur demande au moyen d'une connexion privée haute vitesse
sécurisée de Bell, ce qui simplifie la manière dont les clients
adoptent et développent leurs nuages hybrides.
Émission de titres d'emprunt de
750 millions $
Le 29 février,
Bell Canada a réalisé une émission publique de débentures à
moyen terme (MTN) pour un montant en capital de
750 millions $ dans le cadre de son programme de
débentures MTN. Les débentures MTN, série M-41, d'un montant en
capital de 750 millions $, viendront à échéance le
2 mars 2026 et sont assorties d'un taux d'intérêt annuel
de 3,55 %. Le produit net de cette émission a été utilisé
principalement pour financer le remboursement avant l'échéance, le
31 mars 2016, des débentures de série M-32 à 5,41 %,
d'un montant en capital de 500 millions $, de
Bell Canada échéant le 26 septembre 2016. Le reste
du produit net a été affecté aux fins générales de l'entreprise, y
compris au remboursement du capital de 150 millions $ des
débentures à taux variable de Bell Canada, série M-38, échéant
le 22 avril 2016. Avec cette émission de titres
d'emprunt, les objectifs de refinancement de Bell Canada pour
2016 sont atteints.
Monique Leroux et Calin Rovinescu se joignent au
conseil, et Gordon Nixon sera nommé
président du conseil
Soulignant davantage le calibre et la
vaste expérience en gouvernance du conseil d'administration de BCE,
la société a annoncé le 9 mars la nomination de Monique F. Leroux et de Calin Rovinescu pour
élection au conseil lors de l'assemblée générale annuelle des
actionnaires de BCE qui aura lieu aujourd'hui à Montréal. Cette
annonce fait suite à celle du 4 février relativement à
l'intention du conseil de nommer Gordon M.
Nixon au poste de président du conseil, à la suite du départ
à la retraite de Thomas C. O'Neill
aujourd'hui.
Mme Leroux était présidente du conseil,
présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins, le
premier groupe financier coopératif au Canada, jusqu'au
9 avril. Elle est membre des conseils d'administration
d'Alimentation Couche-Tard et des groupes Crédit Industriel et
Commercial et Michelin. Avant de se joindre au Mouvement Desjardins
en 2001, Mme Leroux a occupé des postes de haut
dirigeant chez Québécor, RBC et Ernst & Young. M. Rovinescu est
président et chef de la direction d'Air Canada depuis
avril 2009 et il est président du conseil d'Acasta
Enterprises. M. Rovinescu a été vice-président général -
Croissance et Stratégie d'Air Canada de 2000 à 2004 et il a occupé les fonctions de chef de la
Restructuration. Il a été cofondateur et directeur principal de
Genuity Capital Markets et il a été associé au sein du cabinet
d'avocats Stikeman Elliott S.E.N.C.R.L., s.r.l.
Gordon Nixon est administrateur de BCE depuis
novembre 2014. Il a été président et chef de la direction de
la Banque Royale du Canada de 2001 à 2014
et président et chef de la direction de RBC Dominion valeurs
mobilières de 1999 à 2001. M. Nixon est également administrateur
des sociétés George Weston Limited et BlackRock et président du
conseil de MaRS, un centre d'innovations basé à Toronto. Partant à la retraite,
Thomas O'Neill quitte aujourd'hui son poste de président du
conseil. Il siège au conseil de BCE depuis 2003 et occupait le poste de président du conseil
depuis février 2009. BCE salue le départ de M. O'Neill en le
remerciant sincèrement de son rôle de leader dans la transformation
réussie de Bell en chef de file canadien des services à large bande
ainsi que des services inestimables rendus à nos clients, à nos
actionnaires, aux membres de l'équipe et à la collectivité.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Dans les Services sans fil
de Bell, les produits tirés des services ont augmenté de
5,3 %, pour se chiffrer à 1 579 millions $,
comparativement à 1 500 millions $ au T1 2015,
reflétant une proportion accrue d'abonnés des services postpayés et
la croissance du PMU combiné la plus élevée de l'industrie, en
raison de l'utilisation plus intensive des réseaux mobiles
4G LTE et LTE-A de Bell.
Les produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
18,1 %, pour s'établir à 104 millions $, en raison
des prix extrêmement concurrentiels des offres promotionnelles sur
les combinés ainsi que du nombre moins élevé de mises à niveau et
d'ajouts bruts d'abonnés des services postpayés par rapport au
T1 2015. Les produits d'exploitation totaux tirés des Services
sans fil de Bell ont augmenté de 3,4 %, pour s'établir à
1 693 millions $, en hausse par rapport à
1 637 millions $ à l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil a augmenté de 6,9 %,
pour se chiffrer à 761 millions $, soit une augmentation
de 0,7 point de pourcentage de la marge liée aux services, qui
s'élève à 48,2 %, ce qui souligne l'importance que nous
accordons à la rentabilité au chapitre des abonnés des services
postpayés et à la gestion rigoureuse des coûts. Malgré
l'augmentation de 23 millions $ des dépenses totales à
l'égard de la fidélisation de la clientèle et du coût
d'acquisition(4), les coûts d'exploitation sont demeurés
essentiellement stables par rapport à l'exercice précédent, en
hausse de 0,8 % seulement.
Les Services sans fil de Bell ont également continué de
contribuer fortement aux flux de trésorerie disponibles de BCE au
T1, avec une croissance de 6,8 % du BAIIA ajusté, moins les
dépenses d'investissement, à 599 millions $.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont totalisé
25 805, comparativement à 35 373 au T1 de l'exercice précédent, en
raison d'une diminution de 1,3 % des ajouts bruts, à 275 415, par
suite du ralentissement de l'activité sur le marché, en particulier
pendant la première moitié du trimestre.
- Le taux de désabonnement des services postpayés(4)
au T1 a diminué de 0,03 point de pourcentage par rapport à
l'exercice précédent, pour s'établir à 1,15 %, ce qui reflète
l'amélioration des données sur le service à la clientèle.
- La clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans
fil de Bell totalisait 7 401 221 abonnés à la fin du T1 2016, une
augmentation de 3,6 % par rapport à l'exercice précédent. La
clientèle totale des Services sans fil de Bell a augmenté de 1,6 %,
pour s'établir à 8 235 963 abonnés.
- Le pourcentage des abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent a augmenté à 82 %, comparativement à 77 % à
la fin du T1 2015. La proportion d'abonnés des services postpayés
sur le réseau LTE a atteint 73 %, en hausse comparativement à 52 %
à l'exercice précédent.
- Le PMU combiné a augmenté de 3,6 %, pour s'établir à 63,02 $,
en raison du pourcentage plus élevé d'abonnés ayant signé des
contrats de deux ans, de l'utilisation plus intensive des services
de données sur notre réseau 4G LTE de premier plan et de la
proportion accrue d'abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent dans la clientèle totale.
- Le coût d'acquisition a augmenté de 9,3 %, pour s'établir à 494
$ par abonné, ce qui reflète une plus grande proportion d'abonnés
des services postpayés et des prix plus élevés pour les combinés en
raison de la faiblesse du dollar canadien.
- Les dépenses de fidélisation de la clientèle ont augmenté, pour
s'établir à 11,8 % des produits tirés des services sans fil,
comparativement à 11,5 % au T1 2015, malgré le nombre moins élevé
de mises à niveau d'un exercice à l'autre. Cette augmentation est
principalement imputable à la proportion plus importante de
téléphones intelligents haut de gamme dans notre chiffre d'affaires
et à l'intensification de l'activité de vente promotionnelle.
- Bell a poursuivi le lancement de son réseau sans fil LTE-A
bibande, qui fournit maintenant le service à 49 % de la population
canadienne à des vitesses de transmission de données pouvant
atteindre 260 mégabits par seconde (Mbps) (vitesses de
téléchargement moyennes attendues de 18 Mbps à 74 Mbps), et cette
proportion devrait atteindre 75 % d'ici la fin de 2016. De plus, un
service sans fil LTE-A tribande offre des vitesses de transmission
de données pouvant atteindre 335 Mbps (vitesses moyennes attendues
de 25 Mbps à 100 Mbps) à Halifax,
à Fredericton, à Moncton, à Toronto, à Hamilton et à Oakville. Le réseau mobile national 4G LTE est
également offert à titre de complément, rejoignant 96 % des
Canadiens à la fin du T1 2016, à des vitesses de transmission de
données allant de 75 Mbps à 150 Mbps (vitesses moyennes attendues
de 12 Mbps à 40 Mbps).
- Bell a lancé en février les services voix et vidéo sur LTE
(VoLTE) dans certains secteurs du grand Toronto pour les clients de Bell utilisant un
téléphone intelligent Samsung Galaxy S6 opérant sur Android 5.1.1
ou une version ultérieure. Les services VoLTE permettent un
établissement d'appels plus rapide, une qualité de la voix
améliorée et la capacité de passer de l'option vocale à l'option
vidéo pendant un appel.
- Lancement en mars de l'option d'itinérance internationale
Voyagez mieux, offrant aux abonnés de Bell Mobilité des tarifs
spéciaux lorsqu'ils sont en voyage : des appels et des textos
illimités ainsi que 100 Mo de données supplémentaires réservées à
10 $ par jour dans plus de 110 destinations en Europe, dans les Amériques, en Asie, au
Moyen-Orient, en Australie et en Afrique du Sud, une couverture
internationale plus étendue que celle de tout autre concurrent. Le
forfait Voyagez mieux aux États-Unis, lancé en novembre 2015, offre
le même volume d'appels, de textos et de données aux États-Unis
pour 5 $ par jour.
Services sur fil de Bell
Les produits d'exploitation
tirés des Services sur fil ont diminué de 1,5 %, à
2 983 millions $, ce qui reflète l'incidence sur les
marchés d'affaires des pressions concurrentielles sur les prix et
de la faible croissance économique, réduisant la demande des
clients à l'égard des principaux services de connectivité, des
solutions d'affaires et des produits de données. L'unité Services
résidentiels sur fil a généré une croissance des produits d'un
exercice à l'autre pour le 10e trimestre
consécutif, avec des produits en hausse de 1,0 % découlant de
la croissance combinée de 6,6 % des produits totaux des
services de télé et Internet.
Les Services sur fil de Bell ont généré une croissance positive
du BAIIA ajusté pour un septième trimestre consécutif, augmentant
de 1,3 %, à 1 257 millions $. Cette croissance
a permis une amélioration de 1,1 point de pourcentage de la
marge, la plus élevée de l'industrie, à 42,1 %, et reflète une
diminution de 3,4 % des coûts d'exploitation en raison des
initiatives de restructuration organisationnelle entreprises au
T4 2015 ainsi que de l'amélioration continue du service, des
économies réalisées à la suite de l'intégration de Bell Aliant et
du maintien d'un contrôle des dépenses.
Les Services sur fil de Bell ont généré un BAIIA ajusté, moins
les dépenses d'investissement, de 588 millions $, en
hausse de 0,5 % malgré les investissements accrus d'un
exercice à l'autre dans la fibre à large bande pour soutenir la
croissance future des services de télé et Internet.
- Bell Télé a ajouté 47 740 nouveaux abonnés nets du service Télé
Fibe, comparativement à 60 863 au T1 2015, ce qui reflète une
expansion moindre de la zone de couverture. À la fin du T1 2016,
BCE comptait 1 230 531 abonnés du service Télé Fibe, soit une
hausse de 24,3 % par rapport au T1 2015.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont
augmenté, passant de 33 873 au T1 de l'exercice précédent à 37 741,
en raison des offres accrocheuses en vue de la conversion lancées
par des câblodistributeurs dans les zones où BCE n'offre pas de
service de télé IP et de l'augmentation du nombre de désactivations
d'abonnés du service de gros.
- La clientèle totale d'abonnés des services de télé pour tous
les services de télé de BCE a augmenté de 3,4 %, pour s'établir à 2
748 495 abonnés à la fin du T1.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont totalisé
19 783, comparativement à 39 650 au T1 2015. Malgré l'incidence
positive de la vitesse et de la fiabilité du service Bell Internet
Fibe sur le taux de désabonnement, le total des ajouts nets
d'abonnés d'Internet a diminué par suite principalement du nombre
moindre d'ajouts nets de clients de gros.
- La clientèle d'abonnés d'Internet haute vitesse de BCE
s'élevait à 3 411 246 abonnés à la fin du T1, en hausse de 3,4 %
par rapport au T1 2015.
- Les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté
de 2,1 %, pour s'établir à 1 794 millions $, ce qui résulte de la
forte croissance des produits tirés des services de télé et
Internet. Cette augmentation a été atténuée par la diminution des
dépenses des clients dans les services de connectivité à large
bande IP, les solutions d'affaires et les produits de données par
la clientèle des grandes entreprises.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels ont augmenté
de 2,4 %, à 67 428, comparativement à 65 870 à l'exercice
précédent, ce qui découle de l'augmentation constante de la
substitution technologique en faveur des services sans fil et IP et
des offres de forfaits de services accrocheuses de nos concurrents
dans la câblodistribution.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont diminué de
8,8 %, pour s'établir à 40 204, comparativement à 44 069 au T1
2015. La diminution du nombre de désactivations de petites et de
grandes entreprises est attribuable à l'amélioration au chapitre de
la fidélisation de la clientèle, au nombre moindre de pertes dues à
la concurrence et au ralentissement de la conversion des lignes
téléphoniques d'affaires au profit des services IP.
- La clientèle totale des lignes d'accès aux SAR à la fin du T1
2016 était de 6 565 508, soit une baisse de 6,4 %.
- Par suite de la diminution d'un exercice à l'autre de la
clientèle des lignes d'accès aux SAR, les produits de BCE tirés des
services locaux et d'accès ont diminué de 4,2 %, à 789 millions $,
tandis que les produits tirés des services interurbains ont diminué
de 10,3 %, à 191 millions $.
Bell Média
Les produits tirés du secteur Média ont
augmenté de 2,1 %, à 741 millions $, en hausse
comparativement à 726 millions $ au T1 de l'exercice
précédent. La forte croissance des produits tirés des frais
d'abonnement reflète l'expansion à l'échelle nationale du service
The Movie Network (TMN), les ajustements favorables des tarifs pour
la télé spécialisée dans les sports avec un distributeur de
télédiffusion et la hausse des produits tirés de CraveTV et de la
gamme de produits GO de Télé Partout.
Les produits tirés de la publicité pour les services de télé
traditionnelle et spécialisée ont été touchés par la réduction,
d'un exercice à l'autre, des dépenses par certains segments de
clientèle clés et par le nombre de téléspectateurs qui avait été
plus élevé pour le championnat mondial junior au T1 2015, cet
événement ayant eu lieu au Canada. Les produits tirés de la
publicité à la radio ont également diminué en raison principalement
de la faiblesse de l'économie dans l'Ouest canadien. La croissance
enregistrée par Astral Affichage a atténué la baisse du total des
produits tirés de la publicité au T1.
Le BAIIA ajusté du secteur Média a augmenté de 2,8 %, pour
se chiffrer à 145 millions $, comparativement à
141 millions $ au T1 de l'exercice précédent, ce qui
résulte de l'augmentation des produits des activités ordinaires
d'un exercice à l'autre et des économies liées à la restructuration
de la main-d'œuvre qui ont atténué la croissance des coûts
d'exploitation ce trimestre.
Les coûts d'exploitation du secteur Média ont augmenté de
1,9 %, pour s'établir à 596 millions $, en raison de
l'augmentation des coûts des droits de diffusion dans les sports et
des investissements dans le contenu de CraveTV.
Bell Média a contribué à la croissance des flux de trésorerie
disponibles consolidés de BCE avec un BAIIA ajusté, moins les
dépenses d'investissement, de 124 millions $, en hausse
de 2,5 % par rapport au T1 2015.
- CTV est arrivé en tête pour la saison d'hiver de télé avec 14
des 20 émissions les plus regardées, soit plus que tous les autres
réseaux canadiens réunis. CTV détient également les droits sur 8
des 10 émissions les plus populaires de la nouvelle saison de
printemps.
- TSN été la chaîne spécialisée la plus populaire au Canada chez
l'ensemble des téléspectateurs, profitant d'un vaste auditoire pour
le championnat mondial junior, les matchs des Raptors de
Toronto, le championnat
Tim Hortons Brier et les courses
NASCAR Xfinity.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante,
Bell Média a rejoint 83 % de l'ensemble des téléspectateurs
canadiens anglophones de la télé spécialisée et de la télé payante
d'une semaine moyenne au cours du T1 2016. Bell Média arrive en
tête aux heures de grande écoute avec la meilleure chaîne
spécialisée dans le divertissement (Discovery) chez les
téléspectateurs dans la tranche des 25 à 54 ans, tandis que Space,
Comedy et Bravo se classent toutes parmi les 10 meilleures
chaînes.
- Bell Média a conservé sa position de leader du marché
francophone au Québec, l'auditoire de la télé spécialisée
atteignant 81 % de l'ensemble des téléspectateurs d'une semaine
moyenne. Trois des cinq chaînes de télé spécialisée les plus
populaires chez les téléspectateurs dans la tranche des 25 à 54 ans
sont des propriétés de Bell Média : RDS, Super Écran et Canal
D.
- Bell Média demeure le chef de file sur la scène numérique
canadienne au chapitre des visiteurs uniques (18,2 millions de
visiteurs uniques), du temps d'utilisation (842 millions de
minutes) et des vidéos regardées (34 millions).
- Bell Média a maintenu sa position de premier radiodiffuseur du
Canada au T1, rejoignant 16,6 millions d'auditeurs, lesquels ont
écouté, chaque semaine, plus de 78 millions d'heures.
- Bell Média et ses partenaires de production se sont vu décerner
56 prix par l'Académie canadienne du cinéma et de la télévision
lors du récent gala annuel Les prix Écrans canadiens. Démontrant le
maintien de leur leadership en matière de création et de
développement de contenu original canadien, Bell Média et ses
partenaires ont récolté 37 prix en télévision, notamment dans les
principales catégories, dont celles de la meilleure série
dramatique, de la meilleure série ou émission de téléréalité ou de
compétition, du meilleur journal télévisé national, de la meilleure
série ou émission-débat et de la meilleure émission spéciale de
divertissement. TSN a récolté sept prix au total, soit plus que
tous les autres diffuseurs de sports réunis, y compris le prix du
meilleur événement sportif en direct pour la Coupe du Monde
féminine FIFA Canada 2015. Les projets de film soutenus par Bell
Média ont récolté 19 prix, dont le prix de la meilleure œuvre
cinématographique, celui du meilleur acteur dans un rôle principal
et celui de la meilleure actrice dans un rôle principal.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,6825 $ par action ordinaire, payable le
15 juillet 2016 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 juin 2016.
PERSPECTIVES POUR 2016
BCE a confirmé les objectifs de
son orientation financière pour 2016, tels qu'ils ont été présentés
le 4 février 2016 :
|
Orientation au
4 février
|
Orientation au
28 avril
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
1 % à
3 %
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2 % à
4 %
|
Sur la bonne
voie
|
Intensité du
capital
|
Environ
17 %
|
Sur la bonne
voie
|
BPA ajusté
|
3,45 $ à
3,55 $
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles
|
Environ 4 % à
12 %
|
Sur la bonne
voie
|
Dividende annualisé
par action ordinaire
|
2,73 $
|
2,73 $
|
Politique de
distribution du dividende(4)
|
65 % à 75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
Sur la bonne
voie
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T1 2016, le jeudi 28 avril, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1‑866‑225-0198 ou le 416-340-2218. Une reprise sera disponible
pendant une semaine au 1‑800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez
le code d'identification 7097861#).
La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE
sous : Téléconférence du T1 2016 de BCE. Le fichier MP3
sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu
de temps après la téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1)
|
Les termes BAIIA
ajusté et marge du BAIIA ajusté n'ont pas de définition normalisée
en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être
comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les produits
d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il est
présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA
ajusté des secteurs de BCE correspond au bénéfice sectoriel
présenté à la note 4 des états financiers consolidés du
T1 2016 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté
comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous
utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer
la performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur
rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une
société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à
d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure
courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des
télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA
ajusté est également un facteur dans la détermination de la
rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des
dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS
directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge du BAIIA
ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau suivant
présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA
ajusté.
|
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
|
|
T1 2016
|
|
T1 2015
|
|
Bénéfice
net
|
758
|
|
583
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
42
|
|
224
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
739
|
|
712
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
149
|
|
127
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
|
Charge
d'intérêts
|
219
|
|
226
|
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
20
|
|
27
|
|
Autres (produits)
charges
|
(23)
|
|
20
|
|
Impôt sur le
résultat
|
259
|
|
175
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 163
|
|
2 094
|
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 270
|
|
5 240
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
41,0
|
%
|
40,0
|
%
|
(2)
|
Les termes bénéfice
net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en
vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être
comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les
coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres,
les (profits nets) pertes nettes sur placements et les coûts liés
au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA
ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE.
Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous
croyons que certains investisseurs et analystes utilisent ces
mesures, entre autres, pour évaluer la performance de nos activités
avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur
placements et des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières
selon les IFRS les plus comparables. Le tableau ci-après présente
un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une
base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté),
respectivement.
|
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T1 2016
|
T1 2015
|
|
TOTAL
|
PAR
ACTION
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
707
|
0,82
|
532
|
0,63
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
31
|
0,03
|
164
|
0,20
|
(Profits nets) pertes
nettes sur placements
|
(12)
|
(0,01)
|
2
|
-
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
8
|
0,01
|
7
|
0,01
|
Bénéfice net
ajusté
|
734
|
0,85
|
705
|
0,84
|
(3)
|
Les termes flux de
trésorerie disponibles et flux de trésorerie disponibles par action
n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc
peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons les
flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés
aux activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux
acquisitions et autres payés, qui comprennent les coûts importants
liés aux litiges, et du financement des cotisations volontaires aux
régimes de retraite, moins les dépenses d'investissement, les
dividendes sur actions privilégiées et les dividendes payés par des
filiales aux détenteurs de PNDPC. Nous définissons les flux de
trésorerie disponibles par action comme les flux de trésorerie
disponibles divisés par le nombre moyen d'actions ordinaires en
circulation. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles et
les flux de trésorerie disponibles par action comme d'importants
indicateurs de la solidité financière et de la performance de nos
activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour
payer des dividendes, rembourser la dette et réinvestir dans notre
société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une
entreprise et ses actifs sous-jacents. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent également les flux de
trésorerie disponibles et les flux de trésorerie disponibles par
action pour évaluer la solidité financière et la performance de nos
activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le
tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation et des flux de trésorerie
disponibles, sur une base consolidée.
|
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T1 2016
|
T1 2015
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 290
|
1 045
|
Dépenses
d'investissement
|
(852)
|
(827)
|
Dividendes en espèces
payés sur actions privilégiées
|
(36)
|
(39)
|
Dividendes en espèces
payés par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant
pas le contrôle
|
(12)
|
-
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
28
|
52
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
418
|
231
|
|
Nombre moyen
d'actions ordinaires en circulation (en millions)
|
867,1
|
841,0
|
Flux de trésorerie
disponibles par action
|
0,48
|
0,27
|
(4)
|
Nous utilisons le
PMU, le taux de désabonnement, le coût d'acquisition, l'intensité
du capital et la distribution du dividende pour évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Se reporter à la section 8.2,
Mesures financières non définies par les PCGR et indicateurs de
performance clés, du rapport de gestion du T1 2016 de BCE
pour obtenir une définition de ces indicateurs de performance
clés.
|
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent
communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces
déclarations prospectives comprennent, sans s'y limiter, des
déclarations concernant notre orientation financière pour 2016 (ce
qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA
ajusté, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de
trésorerie disponibles), le dividende par action ordinaire
annualisé et la politique de dividendes sur actions ordinaires de
BCE pour 2016, nos plans de déploiement pour les réseaux, y
compris, sans s'y limiter, les dépenses d'investissement qui
devraient être engagées relativement à l'expansion prévue de notre
service Internet Fibe Gigabit en Ontario, au Québec et dans le Canada
atlantique, nos perspectives commerciales, nos objectifs, plans et
priorités stratégiques, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont
pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, projet,
stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que
les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de
certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir,
avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer
à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes
ces déclarations prospectives sont faites conformément aux
« dispositions refuges » prévues dans les lois
canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la
loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform
Act de 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans
ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints.
Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des
déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur
contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces
déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 28 avril 2016 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ni pour toute
autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 28 avril 2016. L'incidence financière de
ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2016, ainsi que nos
objectifs, nos priorités stratégiques et nos perspectives
commerciales pour 2016, et à mieux
comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que
cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Un raffermissement graduel de l'économie stimulé par l'activité
dans les secteurs autres que celui des ressources, basé sur
l'estimation la plus récente de la Banque du Canada de la
croissance du produit intérieur brut du Canada de 1,7 % en 2016, ce
qui représente une augmentation de 30 points de base par rapport à
l'estimation antérieure de 1,4 %;
- une faiblesse persistante des niveaux d'emploi, car le niveau
d'investissements des entreprises devrait demeurer peu élevé
globalement;
- des taux d'intérêt relativement stables pour le reste de
2016;
- un dollar canadien qui s'apprécie depuis le début de
l'exercice, pour s'établir près de son niveau actuel. Toute
nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de l'incidence de la
vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt et des variations
des prix des marchandises;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- le maintien d'une approche rigoureuse en matière
d'établissement des prix dans le secteur du sans‑fil, compte tenu
des prévisions relativement à un nombre plus élevé d'abonnés dont
le contrat est expiré, en raison de l'expiration des contrats de
service de deux ans ou de trois ans dans la foulée du code de
conduite devant être suivi par les fournisseurs de services vocaux
et de données sans fil mobiles de détail au Canada (le Code sur les
services sans fil);
- la faiblesse attendue du marché publicitaire en raison de la
demande variable et des coûts croissants pour obtenir de la
programmation télé.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien du rythme en ce qui a trait à notre part du marché
des activations d'abonnés des services postpayés dans le sans-fil
pour les entreprises titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- la durée plus courte des contrats de deux ans par rapport aux
contrats de trois ans, entraînant une augmentation du nombre
d'abonnés pouvant procéder à une mise à niveau;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison de la hausse des
coûts des combinés et d'un nombre plus élevé de mises à niveau des
appareils, ce qui reflète un nombre plus important d'abonnés qui
n'ont plus de contrat, en raison de la durée plus courte des
contrats de deux ans;
- une croissance du PMU combiné, stimulée par une proportion
accrue de la clientèle des services postpayés qui utilise des
téléphones intelligents, une consommation croissante des services
de données sur les réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs
d'accès découlant de l'augmentation des tarifs;
- l'achèvement de la construction du réseau LTE, qui couvre 98 %
de la population canadienne, et l'expansion de la couverture du
réseau LTE-A à environ 75 % de la population canadienne;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission, qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- des ajouts nets d'abonnés résidentiels positifs pour l'ensemble
de l'exercice dans la zone de couverture des services sur fil,
générés par la croissance continue des services de télé IP et
l'expansion du réseau de fibre jusqu'aux locaux de l'abonné (FTTP)
qui soutiennent l'effet marqué du service Internet sur fibre
optique et des SAR résidentiels, permettant une pénétration accrue
des forfaits multiproduits par foyer;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels par foyer
générée par l'adoption croissante des forfaits multiproduits par
foyer, l'expiration des offres promotionnelles et l'augmentation
des tarifs;
- des offres de forfaits de services résidentiels accrocheuses
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
zones où nous fournissons des services sur fil;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos unités
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande, la croissance
prévue de la gamme des produits Télé Partout ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu
d'investissements constants;
- la réduction modérée des forfaits télé actuels par les clients
entraînée par la mise en œuvre du dégroupement des chaînes de
télé;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction des
postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la
retraite, de la réduction des taux contractuels des fournisseurs et
de la diminution du trafic non acheminé par notre propre
réseau;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice, en raison de la croissance de CraveTV, de l'expansion à
l'échelle nationale du service de télé payante TMN et des économies
liées à la main-d'œuvre découlant des réductions de personnel
effectuées en 2015, ayant plus que compensé l'augmentation des
coûts de la programmation télé et des droits de diffusion dans les
sports, l'investissement continu lié à CraveTV et l'incidence
financière du dégroupement des chaînes de télé;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption de CraveTV, y
compris le lancement réussi du service offert directement au
consommateur;
- la capacité de procéder à des acquisitions fructueuses
d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu
différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur les quatre
écrans;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé de Bell Média entraînée par le dégroupement des
chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de
contenu par contournement;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2016.
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 300 millions $ à 350 millions $, selon
un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,2 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 230 millions $ à 270 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 70
millions $ à 80 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 3 525 millions $ à 3
575 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 875 millions $ à 925
millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,05 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC) d'environ
40 millions $ à 60 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite d'environ
400 millions $ à 450 millions $, au total;
- des impôts en espèces d'environ 675 millions $ à 725 millions
$;
- des versements d'intérêts nets d'environ 875 millions $ à 925
millions $;
- d'autres éléments des flux de trésorerie disponibles, ce qui
inclut une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres payés, des dividendes sur actions
privilégiées et des dividendes aux détenteurs de PNDPC payés
d'environ (50) millions $ à 25 millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 870 millions;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,73 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 28 avril 2016,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés
ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris
notre orientation financière pour 2016, sont énumérés ci-dessous.
La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre
capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans
notre orientation financière pour 2016, dépend essentiellement de
la performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie
à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde
contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles
d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations
prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, le principe de neutralité du Net, les ventes aux
enchères de spectre, l'approbation d'acquisitions et les exigences
relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion et à la
propriété étrangère;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, ainsi que l'incidence connexe
sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer
de nouveaux, de même que sur nos parts de marché, nos volumes de
service et nos stratégies d'établissement des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à réduire l'utilisation de
nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité qui est en train de se
produire, ce qui modifie l'environnement de nos activités liées à
la télé et aux médias et pourrait accélérer le débranchement des
services de télé et la réduction des dépenses pour ces services,
ainsi que la fragmentation du marché de la publicité;
- la concurrence avec des concurrents mondiaux, en plus des
concurrents canadiens traditionnels, pour le contenu de
programmation pourrait entraîner d'importantes hausses des coûts
d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir du
contenu de premier plan;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence négative connexe sur la demande
de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et le
volume des créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs, notamment les réseaux, les
systèmes de TI, les locaux et l'information de nature sensible,
contre des événements et des attaques comme les cybermenaces, et
les dommages causés par les incendies et les catastrophes
naturelles;
- les risques liés à la sécurité et les risques de fuite de
données advenant le contournement des protocoles de contrôle de la
sécurité applicables à nos solutions infonuagiques;
- l'incapacité à susciter une expérience client positive
découlant, en particulier, du défaut d'adopter de nouvelles
approches et de repousser les limites opérationnelles;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation et bases de
données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits,
d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et
la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer
correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
ainsi qu'à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir de manière rigoureuse et
stratégique dans des fonctions de prochaine génération, notamment
des stratégies de service à la clientèle reposant sur l'information
en temps réel;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- le risque que nous pourrions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel
efficace;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
jour de systèmes, des refontes de processus, et de l'intégration
des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés par
notre unité d'affaires Bell Télé;
- les événements ayant une incidence sur la capacité de nos tiers
fournisseurs et impartiteurs à continuer de nous fournir les
produits et les services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités;
- l'incapacité d'adopter des pratiques de gestion de
l'approvisionnement et des fournisseurs permettant de gérer
adéquatement les risques associés aux modèles de nos fournisseurs,
existants ou nouveaux;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr et sécuritaire;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités et pour
soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles
lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales
existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à prévoir
l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses, y
compris l'utilisation non autorisée de notre contenu et le vol de
nos services de télé;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
recours collectifs;
- des modifications défavorables aux lois applicables et
l'incapacité d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos
obligations juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans
fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et
d'autres éventualités menaçantes pour la santé survenaient;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2015 de BCE (inclus dans le rapport annuel 2015 de
BCE), daté du 3 mars 2016, ainsi que le rapport de gestion du
premier trimestre 2016 de BCE, daté du 27 avril 2016, pour
obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque
et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et
hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des
autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières
(disponibles à Sedar.com) et de la Securities and Exchange
Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces documents
sont également disponibles à BCE.ca.
À PROPOS DE BCE
À titre de plus grande entreprise de
communication du Canada, BCE fournit un ensemble complet et
novateur de services sans fil à large bande, de télé et Internet
ainsi que des services de communication d'affaires par
l'intermédiaire de Bell Canada et de Bell Aliant. Bell Média
est la première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède
des actifs de premier plan dans les secteurs de la télévision, de
la radio, de l'affichage extérieur et des médias numériques. Pour
en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative de Bell « Bell Cause pour la cause » est
dédiée à la promotion de la santé mentale au Canada, à la
sensibilisation à l'échelle nationale par l'intermédiaire de
campagnes de lutte contre la stigmatisation, comme la Journée Bell
Cause pour la cause, et au financement important fourni par Bell
pour l'accès aux soins communautaires, la recherche et les
initiatives au travail. Pour en savoir plus, visitez le site
Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
514-870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514-870-4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE Bell Canada