Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des
hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en garde
concernant les déclarations prospectives plus loin dans le
communiqué.
- Croissance du bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires de BCE au T1 de 8,7 %, à 615 millions $;
bénéfice net par action ajusté de 0,81 $, en hausse de
5,2 %.
- Flux de trésorerie disponibles en hausse de 6,1 %, à
262 millions $, sur une hausse de 4,1 % du BAIIA de
Bell.
- Forte croissance des produits tirés des services pour les
Services sans fil de Bell, de 4,7 %, soutenue par une
augmentation de 3,5 % du PMU combiné, entraînant une
augmentation de 7,4 % du BAIIA.
- Chef de file de la télé mobile au Canada avec 1 335 000 abonnés,
en hausse de 67 % d'un exercice à l'autre.
- Bell Télé Fibe ajoute 54 680 nouveaux abonnés
nets, une hausse de 15,2 %; activations nettes d'abonnés
d'Internet haute vitesse quatre fois plus élevées, à 15 627;
amélioration de 21,4 % des pertes d'abonnés des services
résidentiels d'accès local au réseau.
- Le total des abonnés des services de télé de BCE augmente de
8,1 %, à 2 529 471, ce qui inclut les
723 891 abonnés du service de télé IP.
- L'amélioration du service à la clientèle entraîne la
réduction du taux de désabonnement dans l'ensemble de nos services
résidentiels et sans fil.
- Croissance de 53,1 % du BAIIA de Bell Média, ce
qui reflète l'acquisition d'Astral et la part accrue des produits
tirés de la publicité et des frais d'abonnement imposés aux
entreprises de distribution de radiodiffusion.
- Acquisition de licences d'utilisation de spectre dans la
bande de 700 MHz pour les services sans fil à l'échelle
nationale afin d'étendre les réseaux sans fil à large bande évolués
aux petites villes, aux collectivités rurales et au nord du
Canada.
MONTRÉAL, le 6 mai 2014 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX,
NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du
Canada, a présenté aujourd'hui les
résultats de BCE et de Bell pour le premier trimestre (T1) de
2014.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS
|
|
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(en millions $, sauf les
montants par action) (non audité) |
T1 2014 |
T1 2013 |
% de
variation |
Bell(i) |
|
|
|
Produits d'exploitation |
4 538 |
4 348 |
4,4 % |
BAIIA(1) |
1 708 |
1 641 |
4,1 % |
BCE |
|
|
|
Produits d'exploitation |
5 099 |
4 919 |
3,7 % |
BAIIA |
2 022 |
1 962 |
3,1 % |
Bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires |
615 |
566 |
8,7 % |
BPA |
0,79 |
0,73 |
8,2 % |
BPA ajusté(2) |
0,81 |
0,77 |
5,2 % |
Flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation |
982 |
1 040 |
(5,6) % |
Flux de
trésorerie disponibles(3) |
262 |
247 |
6,1 % |
(i) Bell comprend les secteurs Services sans
fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell Média. |
« Les investissements stratégiques de Bell dans les réseaux
et services à large bande évolués, l'amélioration du service à la
clientèle et l'élaboration d'un contenu canadien dynamisent les
services de croissance que sont les services sans fil, de télé,
Internet et de médias, les moteurs de la transformation rapide de
notre entreprise », affirme George Cope, président et
chef de la direction de BCE et de Bell. « Le service
Télé Fibe, qui connaît un essor important, accroît la part de
Bell dans les foyers, car il permet de réaliser des gains
importants au chapitre des ajouts d'abonnés du service Internet
haute vitesse et des réductions des pertes dans les services de
téléphonie. Bell Média, qui profite de l'apport d'Astral à la
forte croissance du BAIIA et des flux de trésorerie disponibles,
continue d'accroître son leadership dans les médias avec une
nouvelle programmation canadienne de qualité exceptionnelle, des
innovations dans le service Télé Partout et une croissance du
nombre de téléspectateurs pour les sports. Les clients du sans-fil
utilisent leur téléphone intelligent et les services de données
plus que jamais auparavant sur le plus vaste
réseau 4G LTE au Canada
- et nous allons encore plus loin en étant les premiers à lancer le
service mobile avec de nouvelles fréquences dans la bande de
700 MHz. »
« L'équipe de Bell a réalisé des progrès remarquables dans
l'exécution de l'impératif d'améliorer le service à la clientèle,
grâce aux investissements d'environ 600 millions $ dans
de nouvelles améliorations au service apportées depuis 2008. Nous
avons conçu des applications innovatrices en ligne et pour le
service mobile dans le but d'améliorer l'expérience client, nous
avons développé au maximum les possibilités de notre parc de
véhicules de service en les équipant d'outils de répartition des
tâches et de communications à la fine pointe de la technologie et
nous avons annoncé l'ouverture de 3 nouveaux centres d'appels
pour le service à la clientèle de Bell au Québec et en Ontario l'année dernière », souligne
M. Cope. « Les efforts et les investissements
portent leurs fruits, car nos progrès en matière de service sont
soulignés par une panoplie d'outils d'évaluation de l'industrie.
Mentionnons à ce titre la réduction du taux de désabonnement dans
tous nos services résidentiels et sans fil, et la diminution de
7 % du nombre d'appels dans nos centres de services par
rapport au T1 de l'exercice précédent. Bell n'a pas encore réalisé
tous ses objectifs en matière de service à la clientèle, mais elle
est dans la bonne voie. »
Dans son plus récent sondage en ligne intitulé « North
American Technographics Telecom and Devices Online Q4
2013 Survey », la société de recherche mondiale Forrester
Research Inc. a constaté que Bell a considérablement augmenté son
résultat en ce qui concerne l'indice mesurant l'expérience
client dans l'ensemble de ses services résidentiels et sans
fil. La satisfaction de la clientèle quant aux services Bell
Télé, Internet, de téléphonie et sans fil a été grandement
améliorée, comme l'indique la hausse moyenne de 41 %, de 2010 à
2013, de l'indice mesurant l'expérience client pour ces
services.
Bell concentre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, qu'elle
compte atteindre grâce à l'exécution de 6 impératifs
stratégiques : investir dans les réseaux et les services large
bande, améliorer le service à la clientèle, accélérer le sans-fil,
tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans
les médias et établir une structure de coûts concurrentielle.
« Bell entame 2014 avec de solides résultats
financiers pour le premier trimestre, qui soulignent l'élan
opérationnel dans nos services de croissance, en particulier dans
les services sans fil et les services sur fil résidentiels et de
médias », a affirmé Siim
Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell.
« La croissance du BAIIA au T1 a généré des augmentations
importantes du bénéfice et des flux de trésorerie disponibles,
soutenant nos investissements stratégiques dans le réseau à large
bande et un taux de dividende sur les actions ordinaires supérieur
pour 2014. Compte tenu de ce bon début d'année dans tous les
secteurs d'activité de Bell et des perspectives favorables, nous
reconfirmons notre orientation financière de 2014, car nous
demeurons sur la bonne voie pour réaliser notre plan d'affaires
pour l'exercice. »
RÉSULTATS DE BCE
BCE a généré une solide croissance des produits des activités
ordinaires et du BAIIA(1) de 3,7 % et de
3,1 %, respectivement, au T1 2014, et la marge du
BAIIA(1) est demeurée relativement stable, à
39,7 %, soutenue par l'amélioration d'un exercice à l'autre
des résultats financiers de Bell. Cette croissance a été en partie
contrebalancée par la baisse des produits des activités ordinaires
et du BAIIA de Bell Aliant, secteur où les mesures de gestion
des coûts ont contribué à préserver la performance financière
globale des répercussions négatives de l'intense concurrence.
BCE a déclaré au T1 2014 un bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires de 615 millions $, en hausse de
8,7 % comparativement à 566 millions $ au
T1 2013, et un bénéfice net ajusté(2) de
626 millions $, une augmentation de 4,5 %
comparativement à 599 millions $ l'exercice précédent. Le
bénéfice net par action (BPA) de 0,79 $ et le BPA ajusté de
0,81 $ ont augmenté de 8,2 % et de 5,2 %,
respectivement, ce qui reflète la hausse du BAIIA découlant de la
contribution accrue des services de croissance de Bell (services
sans fil, de télé, Internet et autres services à large bande et de
médias).
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont établis à 982 millions $ au T1 2014,
comparativement à 1 040 millions $ au T1 2013,
en raison de la diminution enregistrée par Bell Aliant, qui a
été partiellement compensée par l'augmentation enregistrée par
Bell. Les flux de trésorerie disponibles(3) ont augmenté
de 6,1 % pour s'établir à 262 millions $,
comparativement à 247 millions $ l'exercice précédent, ce
qui reflète la hausse du BAIIA de Bell et l'amélioration du fonds
de roulement. Ce résultat est en partie contrebalancé par les
dividendes moindres reçus de Bell Aliant en 2014, ce qui
s'explique par la modification des dates de paiement de ses
dividendes sur les actions ordinaires, et par l'augmentation de
l'impôt sur le résultat payé par Bell, surtout du fait de l'absence
d'avantage fiscal, aucune cotisation exceptionnelle n'ayant été
versée au régime de retraite. Les flux de trésorerie disponibles
par action(3) au T1 2014 se sont établis à
0,34 $ par action ordinaire, comparativement à 0,32 $ par
action ordinaire à l'exercice précédent.
Au 31 mars 2014, BCE (Bell Canada et Bell Aliant) comptait au
total : 7 908 596 abonnés du sans-fil, soit une
hausse de 1,2 % par rapport au T1 2013;
2 529 471 abonnés des services de télé, soit une
augmentation de 8,1 % (ce qui inclut les
723 891 abonnés du service de télé IP, soit une
augmentation de 67,2 % par rapport au T1 2013);
3 163 218 abonnés d'Internet, soit une augmentation
de 3,4 %; et 7 462 829 abonnés des SAR, soit
une diminution de 6,7 %.
RÉSULTATS DE BELL
Les produits d'exploitation de Bell ont augmenté de 4,4 % pour
s'établir à 4 538 millions $. Ce résultat est
attribuable à l'augmentation de 5,0 % des produits tirés des
services, reflétant la contribution d'Astral aux résultats de
Bell Média, à la solide croissance des produits tirés des
services sans fil ainsi qu'à l'augmentation des produits tirés des
services de télé et Internet qui a donné lieu à une croissance
positive des produits tirés des services résidentiels sur fil ce
trimestre, ce qui a largement compensé la baisse continue, mais qui
va en s'atténuant, des produits tirés des services voix
traditionnels.
Les services de croissance ont continué de s'accélérer; nos
services sans fil, de télé, Internet et autres services à large
bande sur fil et de médias génèrent maintenant 83 % des
produits d'exploitation, soit une augmentation de 7,2 %, ou
251 millions $, au T1 2014.
Le BAIIA de Bell a augmenté de 4,1 % pour s'établir à
1 708 millions $, ce qui reflète des augmentations
de 7,4 % pour les Services sans fil de Bell et de 53,1 %
pour Bell Média, atténuées par la diminution de 2,9 %
dans les Services sur fil de Bell. La marge du BAIIA consolidée de
Bell est demeurée stable, à 37,6 % au T1 2014,
comparativement à 37,7 % à l'exercice précédent, en raison de
la hausse du produit moyen par unité (PMU)(4) dans les
Services sans fil, de la diminution de l'érosion des services voix
sur fil et des gains d'efficacité sur le plan des coûts.
Bell continue de faire des investissements stratégiques dans les
réseaux et les services, dans une plus grande mesure que toute
autre entreprise du secteur, avec des dépenses d'investissement de
594 millions $ au T1, un niveau inchangé d'un exercice à
l'autre. Ces investissements reflètent la poursuite à grand rythme
du déploiement de la fibre à large bande dans des domiciles, des
quartiers et des entreprises au Québec et en Ontario, ce qui soutient l'expansion rapide du
service Télé Fibe, les dépenses accrues visant la capacité du
réseau afin de soutenir l'utilisation croissante de la bande
passante pour les services Internet et la demande grandissante pour
les services de données mobiles sur le réseau 4G LTE,
ainsi que l'amélioration des systèmes de soutien et de service à la
clientèle.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BELL PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les produits d'exploitation des Services sans fil de Bell ont
augmenté de 4,5 % pour s'établir à
1 472 millions $ au T1 2014, comparativement à
1 409 millions $ à l'exercice précédent. Les
produits tirés des services ont enregistré une hausse de 4,7 %
pour s'établir à 1 364 millions $, du fait de la
proportion accrue d'abonnés des services postpayés dans notre
clientèle d'abonnés du sans-fil et de la forte croissance du PMU
combiné attribuable à l'utilisation accrue des services de données.
Les produits tirés des services de données sans fil ont augmenté de
17,5 %, reflétant l'adoption et l'utilisation plus élevées des
téléphones intelligents.
Le BAIIA des Services sans fil de Bell a augmenté de 7,4 %
pour s'établir à 628 millions $, ce qui reflète la portée
concrète de la forte croissance du PMU et le contrôle rigoureux des
dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés des services postpayés
et à la fidélisation de la clientèle. Il en est résulté une
augmentation de 1,1 % de la marge du BAIIA liée aux services,
qui s'est établie à 46,0 %, notre meilleure performance
trimestrielle en près de cinq ans (depuis le T2 2009).
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont totalisé
33 964, comparativement à 59 497 à l'exercice précédent.
Ce chiffre reflète la diminution de 6,8 % des activations
brutes des services postpayés attribuable au ralentissement de la
croissance globale du marché par suite de la majoration des prix
des forfaits pour les nouveaux contrats de deux ans, dans la foulée
de la mise en œuvre du nouveau code de conduite fédéral sur les
services sans fil, et au nombre moindre de lancements de téléphones
intelligents d'envergure au cours du trimestre. Les pertes nettes
d'abonnés des services prépayés ont diminué de 27,5 % d'un
exercice à l'autre, s'établissant à 49 642, en raison de la
diminution du nombre de désactivations d'abonnés.
- Les téléphones intelligents ont représenté 74 % du total
des activations brutes de services postpayés au T1 2014,
comparativement à 71 % au T1 2013, ce qui porte le
pourcentage des abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent à 74 % au 31 mars 2014,
comparativement à 65 % à la fin du T1 2013.
- Le taux de désabonnement des services postpayés(4) a
connu une amélioration de 0,01 % en s'établissant à
1,24 %, ce qui reflète la qualité et la couverture du réseau
de Bell, les investissements ciblés dans le service à la clientèle
et la fidélisation des abonnés, ainsi que le nombre moindre de
clients peu fidèles du fait de l'approche plus rigoureuse adoptée
par les entreprises du secteur en ce qui a trait aux prix et aux
rabais sur les combinés.
- La clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans
fil de Bell totalisait 6 711 656 abonnés, une
augmentation de 3,5 % par rapport à l'exercice précédent. La
clientèle totale des Services sans fil de Bell a augmenté de
1,2 %, pour s'établir à 7 762 656 abonnés.
- Le PMU combiné a augmenté de 3,5 % pour s'établir à
57,90 $, soutenu par l'adoption croissante des téléphones
intelligents, l'utilisation plus intensive des services de données
et la majoration des prix des forfaits occasionnée par le passage
des contrats de trois ans aux contrats de deux ans.
- Le coût d'acquisition(4) a augmenté pour se chiffrer
à 442 $ par abonné, comparativement à 404 $ à l'exercice
précédent, ce qui reflète l'augmentation des commissions de vente
et l'augmentation des frais liés à la commercialisation pour la
publicité entourant les Jeux olympiques.
- Les dépenses relatives à la fidélisation de la clientèle au T1
ont suivi la croissance des produits tirés des services sans fil
et, par conséquent, sont demeurées essentiellement inchangées, d'un
exercice à l'autre, à 10,2 %, comparativement à 10,3 % à
l'exercice précédent.
- Bell a continué de faire figure de proue, en matière de
réduction du coût de l'itinérance mobile dans les pays où les
Canadiens voyagent le plus, réduisant les prix des appels et des
services de données en itinérance au T1 pour les clients qui se
rendent à Cuba et au Japon. Ces
réductions font suite aux baisses importantes des tarifs pour les
États-Unis, l'Europe, le Mexique,
la Chine, la Turquie, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, les
Bermudes et la plupart des îles des Caraïbes.
- Le service Télé Mobile de Bell, numéro un dans
l'industrie, comptait 1 335 000 abonnés au
T1 2014, en hausse par rapport à environ 800 000 à la
période correspondante de l'exercice précédent. La lecture en
continu de vidéos avec le service Télé Mobile a connu une
croissance de 22,5 % au T1 pour passer à plus de
10,6 millions, ce qui comprend des événements majeurs comme le
Super Bowl et Sochi 2014.
- Au T1, Bell et la Banque Royale du Canada (RBC) ont lancé un service de paiement
mobile sécurisé permettant aux clients de RBC d'utiliser leur
téléphone intelligent Bell Mobilité compatible pour régler
leurs achats au moyen de leur carte de débit ou de crédit dans des
magasins de détail qui acceptent les paiements sans contact.
- Bell offre aux abonnés un accès au plus vaste réseau
mobile 4G LTE du Canada,
qui couvre 81 % de la population canadienne à la fin du T1,
complété par la couverture du réseau 4G HSPA+ rejoignant plus
de 98 % de la population.
- Le 2 avril 2014, Bell a acquis 31 licences pour
480 millions de MHz par population de spectre dans la bande de
700 MHz à l'échelle nationale, au coût de
566 millions $, à la suite de la vente aux enchères de
spectre sans fil du gouvernement fédéral de février, ce qui porte
le total des avoirs de Bell dans diverses bandes de spectre à plus
de 4 200 millions de MHz par population à l'échelle
nationale. Le même jour, une première au Canada, Bell a lancé le service LTE dans la
bande de 700 MHz, au moyen des bords inférieurs du bloc de
fréquences C avec lesquelles la plupart des téléphones
intelligents de Bell sont déjà compatibles aujourd'hui. Avec le
spectre dans la bande de 700 MHz dans tous les marchés
nationaux, Bell étendra le service à large bande mobile 4G aux
petites villes, aux collectivités rurales et au nord du
Canada, avec l'objectif d'offrir
un réseau LTE évolué à plus de 98 % de la population.
Services sur fil de Bell
Notre secteur des Services sur fil a poursuivi sa transformation,
ce qui a ralenti la diminution des produits des activités
ordinaires et du BAIIA au T1 2014 avec une diminution de
65 %, ou 40 500, du nombre total de pertes nettes
d'abonnés résidentiels (télé, Internet et lignes d'accès
locales).
Dans la foulée de la solide performance de Télé Fibe —
augmentations importantes des ajouts nets pour Internet haute
vitesse et baisse des pertes au chapitre des SAR résidentiels par
rapport à l'exercice précédent — les Services résidentiels de Bell
ont généré une croissance positive des produits pour un deuxième
trimestre consécutif. Le rythme de diminution des produits de
Bell Marchés Affaires a aussi ralenti d'un exercice à
l'autre, mais les résultats ont subi les contrecoups des pressions
de la concurrence sur les prix et de la contraction des dépenses
des grandes entreprises clientes en raison de la faiblesse
persistante de l'économie.
De plus, la diminution marquée, d'un exercice à l'autre, des
ventes d'équipements électroniques grand public à La Source,
attribuable en grande partie à une baisse de l'achalandage dans les
magasins imputable aux conditions météorologiques hivernales, a
négativement touché les produits tirés des Services sur fil ce
trimestre. Par conséquent, les produits d'exploitation des Services
sur fil de Bell au T1 ont diminué de 1,8 % pour s'établir à
2 462 millions $, comparativement à
2 508 millions $ à l'exercice précédent.
Le BAIIA des Services sur fil a diminué de 2,9 % pour
s'établir à 930 millions $ au T1 et nous avons maintenu
la marge à 37,8 %, comparativement à 38,2 % au
T1 2013. Il s'agit d'une amélioration notable par rapport à la
diminution du BAIIA de 4,5 % de l'exercice précédent, qui a
été soutenue par la réduction, d'un exercice à l'autre, de
18 millions $, ou 1,2 %, des coûts d'exploitation ce
trimestre.
Une part d'environ 1 %, ou 9 millions $, de la
diminution du BAIIA des Services sur fil ce trimestre est imputable
à la baisse des ventes à La Source. La hausse des coûts
d'exploitation du réseau découlant des conditions météorologiques
difficiles dans le centre du Canada cet hiver et de la publicité liée aux
Jeux de Sochi 2014 a également contribué à la diminution du
BAIIA des Services sur fil au T1 2014.
- Le service Bell Télé Fibe a ajouté
54 680 nouveaux abonnés nets, soit 15,2 % de plus
qu'au T1 2013. Ainsi, le nombre total d'abonnés de
Bell Télé Fibe passe à 534 110, en hausse de
80,6 % par rapport à l'exercice précédent.
- La zone de couverture du service résidentiel
Bell Télé Fibe s'est étendue à un million de foyers de
plus qu'à l'exercice précédent, rejoignant
4,5 millions de foyers à la fin du T1.
- Les pertes d'abonnés du service Bell Télé Satellite
ont diminué de 22,0 %, s'établissant à 26 119, par suite
de la diminution du nombre de désactivations d'abonnés du service
de détail, malgré les offres accrocheuses en vue de la conversion
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution. Ce résultat
reflète notre concentration sur l'amélioration de l'expérience
client avec les améliorations apportées aux produits, notamment
l'ajout de plus de contenu sur demande.
- Les ajouts nets combinés d'abonnés des services Télé Fibe
et Télé Satellite ont plus que doublé d'un exercice à l'autre,
s'établissant à 28 561. Le nombre d'abonnés de Bell Télé
a totalisé 2 306 994 à la fin du T1 2014, une
augmentation de 6,3 % d'un exercice à l'autre.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont augmenté
de presque quatre fois pour s'établir à 15 627,
comparativement à 3 952 au T1 2013, ce qui découle de
l'effet de Bell Télé Fibe, de l'acquisition de clients de
gros et de la diminution du taux de désabonnement des abonnés des
services résidentiels. La clientèle d'Internet haute vitesse à la
fin du trimestre totalisait 2 200 170 abonnés, une
augmentation de 3,3 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les produits tirés des services de données sur fil se sont
établis à 1 463 millions $, en hausse de 2,1 %,
soutenus par la forte croissance continue des services résidentiels
et par une augmentation de 3,7 % des produits tirés des
services de connectivité IP dans l'unité
Bell Marchés Affaires. Les produits tirés des services de
données résidentiels ont augmenté de 4,8 % au T1, ce qui
reflète la hausse des produits tirés des services de télé et
Internet, entraînée par la croissance plus robuste de la clientèle
des services Fibe et la demande accrue pour le service Internet
nécessitant plus de bande passante.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels ont diminué
de 21,4 % au T1 pour s'établir à 65 638, comparativement
à 83 557 à l'exercice précédent. Cette diminution est
attribuable aux tarifs plus élevés pour les ventes complémentaires
de Télé Fibe, ce qui a favorisé la fidélisation de la
clientèle des SAR, contribuant à une augmentation de 18 % des
3 produits par foyer ce trimestre.
- Les pertes d'abonnés d'affaires des SAR ont augmenté de
43,0 %, ou de 10 706 par rapport à l'exercice précédent,
pour s'établir à 35 595, en raison du nombre accru de
désactivations dans notre secteur des grandes entreprises par suite
de l'abandon graduel des lignes téléphoniques au profit des
services IP et des pertes dues à la concurrence.
- La clientèle totale des SAR de Bell à la fin du T1 2014
était de 5 141 016, en baisse de 7,1 %
comparativement à 5 536 493 à l'exercice précédent. Par
conséquent, les produits tirés des services locaux et d'accès de
Bell ont diminué de 6,7 % pour s'établir à
603 millions $, tandis que les produits tirés des
services interurbains ont baissé de 12,0 % pour s'établir à
162 millions $.
Bell Média
Bell Média a continué d'aller de l'avant en s'appuyant sur sa
position de plus grande entreprise canadienne de médias offrant une
vaste programmation d'actualités, de sports et de divertissement
qui attire un large auditoire et des cotes d'écoute élevées, pour
contribuer à la solide performance financière et opérationnelle ce
trimestre.
Les produits d'exploitation de Bell Média ont augmenté de
40,7 %, pour s'établir à 722 millions $, et le BAIIA
a progressé de 53,1 %, pour s'établir à
150 millions $ au T1 2014. Ces augmentations
importantes d'un exercice à l'autre reflètent la hausse des
produits tirés de la publicité et des frais d'abonnement découlant
de l'acquisition d'Astral, ainsi que l'effet de la hausse des
tarifs établis en fonction du marché en 2013 pour les services de
télé spécialisée et l'augmentation des produits découlant des
nouvelles ententes de contenu mobile et des produits de la Télé
Partout. La croissance globale des produits tirés de la publicité
ce trimestre a été ralentie par la faiblesse persistante du marché
de la publicité, les annonceurs s'étant tournés vers le principal
diffuseur des Jeux olympiques d'hiver de Sochi. Les coûts accrus
pour la programmation télé, la hausse des dépenses relativement aux
productions maison canadiennes ainsi que les coûts des ententes sur
les droits de diffusion dans les sports, qui continuent de grimper
pour toutes les entreprises du secteur, ont été absorbés par les
synergies opérationnelles découlant de l'intégration réussie
d'Astral au sein de Bell Média.
- Bell Média a continué d'obtenir un vaste auditoire pour
toutes ses propriétés de télé traditionnelle et spécialisée. À la
fin de la saison d'hiver, CTV comptait 12 des 20 émissions les
plus écoutées par les téléspectateurs à l'échelle nationale et
diffusait des émissions canadiennes prestigieuses, comme
MasterChef Canada, Biteen et
les prix JUNO.
- TSN demeure la première station spécialisée dans les sports,
avec une augmentation de 8 % du nombre de téléspectateurs au
T1 grâce à la réintroduction des matchs de hockey de la saison
régulière de la LNH et à la couverture des Jeux olympiques d'hiver
de Sochi 2014. TSN a diffusé plus de 250 heures de
Sochi 2014.
- L'offre d'options pour la Télé Partout de Bell Média a été
considérablement enrichie avec l'application TSN GO, qui
permet aux abonnés d'accéder à plus de 6 000 heures de
programmation de sports en direct et sur demande sur les chaînes de
sports les plus populaires au Canada, soit TSN et TSN 2. TSN GO
est le plus récent ajout aux produits de la Télé Partout
de Bell Média, qui comprennent TMN GO et CTV GO et
qui en compteront bientôt d'autres.
- L'Académie canadienne du cinéma et de la télévision a
récompensé Bell Média et ses partenaires de production pour
l'excellence de leur programmation dans de multiples catégories
lors du gala Les prix Écrans canadiens. Des prix ont
été décernés au bulletin CTV National News, animé par
Lisa LaFlamme (le meilleur journal télévisé national), à W5
(prix Gordon Sinclair pour le journalisme de radiotélévision),
à The Amazing Race Canada, (3 prix, dont celui du meilleur
scénario d'une série de téléréalité), au gala des MuchMusic Video
Awards (la meilleure émission ou série de musique) et à la
couverture de la Coupe Grey par TSN, arrivée première dans de
nombreuses catégories dans les sports (y compris celle du meilleur
événement sportif en direct), soit 54 prix au total.
- Bell a poursuivi le dessaisissement des actifs de télé et de
radio exigé par le Conseil de la
radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) et le
Bureau de la concurrence dans le cadre de leur approbation de
l'acquisition d'Astral par Bell. Au T1, Bell a réalisé la vente de
6 services de télé et de 2 stations de radio à
Corus Entertainment Inc., de 3 stations de radio à
Jim Pattison Broadcast Group et de 5 stations
de radio à Newcap Inc., pour un produit total de
538 millions $. La vente des 5 actifs de télé
restants d'Astral à DHX Media Ltd. et à
Groupe V Médias devrait être conclue plus tard cette
année, sous réserve de conditions de clôture comprenant
l'approbation par le CRTC et des droits de résiliation, ce qui
porte le produit total prévu du dessaisissement d'actifs à plus de
720 millions $.
RÉSULTATS DE BELL ALIANT
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant
(TSX : BA) ont diminué de 1,2 % pour s'établir à
676 millions $ au T1 2014, comparativement à
684 millions $ à l'exercice précédent, par suite de la
baisse continue des produits tirés des services voix (services
locaux et d'accès et services interurbains) et de l'incidence
négative sur les produits des intenses pressions concurrentielles
sur les prix, tant dans le marché résidentiel que dans le marché
d'affaires, qui n'ont pas été totalement compensées par la forte
croissance continue des produits tirés des services de données
(Internet et télé). Le BAIIA de Bell Aliant a diminué de
2,2 % pour s'établir à 314 millions $
comparativement à 321 millions $, malgré la relative
stabilité d'un exercice à l'autre des coûts d'exploitation, du fait
de la baisse des produits d'exploitation. Pour en savoir plus,
visitez le site BellAliant.ca.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,6175 $ par action ordinaire, payable le
15 juillet 2014 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 16 juin 2014.
PERSPECTIVES
BCE a confirmé les objectifs de son orientation financière pour
2014, tels qu'ils ont été présentés le
6 février 2014 :
|
|
|
|
Orientation du
6 février |
Orientation du
6 mai |
Bell (i) |
|
|
Croissance des produits des
activités ordinaires |
2 % à 4 % |
Sur la bonne voie |
Croissance du BAIIA |
3 % à 5 % |
Sur la bonne voie |
Intensité du
capital(4) |
16 % à 17 % |
Sur la bonne voie |
BCE |
|
|
BPA ajusté |
3,10 $ à 3,20 $ |
Sur la bonne voie |
Croissance des flux de trésorerie
disponibles |
3 % à 7 % |
Sur la bonne voie |
Dividende annuel par action
ordinaire |
2,47 $ |
2,47 $ |
Politique de distribution du
dividende(4) |
65 % à 75 %
des flux de trésorerie
disponibles |
Sur la bonne voie |
(i) |
L'orientation financière de Bell pour 2014 concernant les
produits des activités ordinaires, le BAIIA et l'intensité du
capital exclut Bell Aliant. |
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T1 2014,
le mardi 6 mai, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont
invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour
participer, composez le 416-340-2216 ou le numéro sans frais
1-866-223-7781 peu de temps avant le début de la conférence. Une
reprise sera disponible pendant une semaine, au 905-694-9451 ou au
1-800-408-3053 (composez le code d'identification 9343972#).
La conférence téléphonique sera archivée sur le site Web de BCE
sous Appel conférence sur les résultats de BCE pour le T1 2014. Le
fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette
page, peu de temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non
auditée.
1. |
Les termes BAIIA et marge du BAIIA n'ont pas de
définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable
qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le BAIIA comme
les produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme
il est présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Le
BAIIA des secteurs de BCE correspond au bénéfice sectoriel présenté
à la note 3 des états financiers consolidés du T1 2014 de BCE. Nous
définissons la marge du BAIIA comme le BAIIA divisé par les
produits d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA et la marge du
BAIIA pour évaluer le rendement de nos activités puisqu'ils
reflètent leur rentabilité continue. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la
capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de
satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue
une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans
l'industrie des télécommunications. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent également le BAIIA et la marge
du BAIIA pour évaluer le rendement de nos activités. Le BAIIA est
également un facteur dans la détermination de la rémunération
incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants.
Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS
directement comparable au BAIIA et à la marge du BAIIA. Pour
remédier à la situation, le tableau suivant présente un
rapprochement du bénéfice net et du BAIIA. |
(en millions de dollars) |
|
|
|
|
|
T1 2014 |
|
T1 2013 |
|
Bénéfice net |
714 |
|
672 |
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres |
38 |
|
33 |
|
Amortissement des
immobilisations corporelles |
699 |
|
675 |
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles |
167 |
|
163 |
|
Charges
financières |
|
|
|
|
|
Charge d'intérêts |
235 |
|
221 |
|
|
Intérêts liés aux obligations au
titre des avantages postérieurs à l'emploi |
25 |
|
37 |
|
Autres produits |
(87) |
|
(80) |
|
Impôt sur le
résultat |
231 |
|
241 |
|
BAIIA |
2 022 |
|
1 962 |
|
|
|
|
|
|
|
Produits d'exploitation de
BCE |
5 099 |
|
4 919 |
|
Marge du BAIIA |
39,7 |
% |
39,9 |
% |
2. |
Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté
n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc
peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le
bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes
nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la
dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté
par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net
ajusté et le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs
et analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer le
rendement de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits
nets) pertes nettes sur placements et des primes au remboursement
anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous
excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la
comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement
donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en
matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces
éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice
net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA sont les
mesures financières selon les IFRS les plus comparables. Le tableau
ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté,
préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA
ajusté), respectivement. |
(en millions de dollars, sauf les montants par
action) |
|
|
|
T1 2014 |
T1 2013 |
|
TOTAL |
PAR ACTION |
TOTAL |
PAR ACTION |
Bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires |
615 |
0,79 |
566 |
0,73 |
Coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres |
23 |
0,03 |
23 |
0,03 |
Profits nets sur placements |
(12) |
(0,01) |
(2) |
- |
Primes au remboursement anticipé
de la dette |
- |
- |
12 |
0,01 |
Bénéfice net ajusté |
626 |
0,81 |
599 |
0,77
|
3. |
Les termes flux de trésorerie disponibles et flux de
trésorerie disponibles par action n'ont pas de
définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable
qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons les flux de
trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux
acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au
régime de retraite, plus les dividendes reçus de Bell Aliant, moins
les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées, les dividendes payés par des filiales aux détenteurs
de PNDPC et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous
définissons les flux de trésorerie disponibles par action comme les
flux de trésorerie disponibles divisés par le nombre moyen
d'actions ordinaires en circulation. Nous considérons les flux de
trésorerie disponibles et les flux de trésorerie disponibles par
action comme d'importants indicateurs de la solidité financière et
du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des
fonds disponibles pour payer des dividendes, rembourser la dette et
réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie
disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent
également les flux de trésorerie disponibles et les flux de
trésorerie disponibles par action pour évaluer la solidité
financière et le rendement de nos activités. Les flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation sont la mesure financière selon
les IFRS la plus comparable. Le tableau ciaprès présente un
rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base
consolidée. |
(en millions de
dollars, sauf les montants par action) |
|
|
|
|
T1 2014 |
|
T1 2013 |
Flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation |
982 |
|
1 040 |
Dividendes de Bell
Aliant à BCE |
- |
|
48 |
Dépenses
d'investissement |
(729) |
|
(722) |
Dividendes en espèces
payés sur actions privilégiées |
(32) |
|
(26) |
Dividendes en espèces
payés par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant
pas le contrôle |
(7) |
|
(73) |
Coûts liés aux
acquisitions payés |
14 |
|
10 |
Flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant |
34 |
|
(30) |
Flux de trésorerie
disponibles |
262 |
|
247 |
|
Nombre moyen d'actions
ordinaires en circulation |
776,5 |
|
775,7 |
Flux de trésorerie
disponibles par action |
0,34 |
|
0,32 |
4. |
Nous utilisons le PMU, le taux de désabonnement, le coût
d'acquisition, l'intensité du capital et le ratio de distribution
pour évaluer les progrès accomplis à l'égard de nos impératifs
stratégiques. Ces indicateurs de performance clés ne sont pas des
mesures comptables et pourraient ne pas être comparables à des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Se reporter à
la section 8.2, Mesures financières non définies par les PCGR et
indicateurs de performance clés du rapport de gestion du T1
2014 de BCE pour obtenir une définition de ces indicateurs de
performance clés. |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y
compris, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière pour 2014 (ce qui comprend les produits des
activités ordinaires, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA
ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives
commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités
stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de dividendes sur actions ordinaires de BCE pour 2014,
nos plans de déploiement pour les réseaux, la vente des
cinq derniers actifs de télé d'Astral, ainsi que d'autres
déclarations qui ne sont pas des faits historiques, constituent des
déclarations prospectives. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, plan,
stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que
les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de
certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir,
avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer
à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes
ces déclarations prospectives sont faites conformément aux
dispositions refuges prévues dans les lois canadiennes applicables
en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine
intitulée Private Securities Litigation Reform Act of
1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu
à la possibilité que les résultats ou les événements réels
diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou
sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos
perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités
stratégiques ne soient pas atteints. Par conséquent, nous ne
pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et
nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le
fait de s'appuyer sur ces déclarations prospectives. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
décrivent nos attentes en date du 6 mai 2014
et, par conséquent, pourraient changer après cette date.
Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs
mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à
jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le
présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour
toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE,
les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments
exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions,
d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres
transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 6
mai 2014. L'incidence financière de ces transactions, de ces
éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut
s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux.
Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence
prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus
touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont
présentées dans le présent communiqué dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2014, ainsi que nos
objectifs, nos priorités stratégiques et notre perspective
commerciale pour 2014, et à mieux
comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que
cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importants
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et
aux activités d'exploitation et d'hypothèses financières ont été
formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives pour 2014 contenues dans le présent communiqué, y
compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- La croissance du PIB du Canada
de 2,3 % en 2014, selon la plus récente estimation de la
Banque du Canada, soit une
diminution de vingt points de base comparativement à l'estimation
antérieure de 2,5 %;
- Une croissance des niveaux d'emploi plus rapide qu'en
2013;
- Le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- Une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du marché du sans-fil, en raison de l'adoption plus
généralisée des téléphones intelligents, des tablettes et d'autres
appareils 4G, de l'expansion du service LTE dans les marchés non
urbains, de l'offre de nouvelles applications et de nouveaux
services de données, ainsi que de l'augmentation de la
population;
- Un marché publicitaire relativement stable pour Bell
Média.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du marché du sans-fil au Canada;
- Le maintien de la part de marché de Bell des activations nettes
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- L'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- Notre capacité de monétiser l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- La poursuite de l'expansion de notre réseau sans fil 4G LTE
dans des régions rurales et dans de plus nombreux marchés urbains
partout au Canada;
- Les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- L'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle et concurrentielle découlant de modifications
défavorables de la réglementation sur nos activités dans le
sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- L'intensification de la substitution technologique par le
sans-fil et les services Internet;
- Des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
régions où nous fournissons des services sur fil;
- La stabilisation du taux d'érosion au chapitre des SAR
résidentiels, à mesure que nous tirons parti de nos investissements
dans les réseaux à large bande pour Télé Fibe, afin d'accroître la
pénétration des trois produits par foyer, d'étendre notre part du
marché des immeubles à logements multiples et de générer des tarifs
plus élevés pour les ventes complémentaires de nos services
Internet et de téléphonie résidentiels;
- La croissance du produit par foyer et l'effet de l'augmentation
des tarifs, établis en fonction du marché, des produits
résidentiels liés au taux de pénétration accru des
trois produits par foyer;
- Une croissance des niveaux d'emploi et de l'économie plus
rapide qu'en 2013;
- La migration continue des clients d'affaires vers les systèmes
IP;
- Les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- La capacité de réaliser des économies de coûts grâce à la
réduction des postes de cadre à la suite de départs naturels et de
départs à la retraite, à l'efficience des centres d'appels, à
l'amélioration de la productivité dans les services extérieurs, à
la réduction des taux contractuels des fournisseurs, à la
diminution des coûts d'impression et de mise à la poste, à la
gestion des coûts relatifs au contenu et à la réduction du trafic
non acheminé par notre propre réseau;
- La consommation croissante par les abonnés des services de télé
par contournement et de vidéo en continu, la croissance prévue de
la Télé Partout ainsi que la multiplication des appareils, comme
les tablettes, qui exigent une bande passante très élevée, ce qui
exigera un niveau soutenu d'investissements constants.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Un marché publicitaire relativement stable;
- Des coûts croissants pour obtenir de la programmation télé et
du contenu de sports;
- La poursuite des acquisitions fructueuses d'émissions à cotes
d'écoute élevées et de contenu différencié;
- La hausse normale des tarifs du marché pour le contenu de la
télé spécialisée;
- L'établissement et le maintien d'ententes stratégiques quant à
l'approvisionnement en contenu sur les quatre écrans;
- La réalisation complète des synergies de coûts découlant de
l'intégration d'Astral au sein de Bell Média;
- L'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications
défavorables de la réglementation dans les médias.
Hypothèses concernant notre secteur Bell
Aliant
- La poursuite de la reprise économique;
- L'intensité soutenue de l'activité concurrentielle sur les
marchés d'affaires et résidentiel;
- L'accentuation de la substitution des services sur fil par le
sans-fil dans les marchés de Bell Aliant, mais en accusant un
retard par rapport à d'autres régions du Canada;
- La stabilisation des pertes nettes au chapitre des SAR;
- Une demande constante pour le service FibreOP, alimentant les
acquisitions de clients des services Internet et de télé IP à des
niveaux similaires à ceux de 2013;
- La poursuite des réductions de coûts réalisées grâce à nos
initiatives de productivité, permettant de compenser largement les
hausses de coûts associées à la croissance de la clientèle des
services de télé IP et des coûts liés au contenu télévisuel
connexes, de même que les pressions inflationnistes normales.
Hypothèses financières concernant Bell (excluant Bell
Aliant)
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de Bell pour 2014 :
- Le maintien d'une marge consolidée du BAIIA relativement
stable;
- L'augmentation de l'apport au BAIIA des services sans fil et
l'expansion de la marge;
- L'amélioration du rythme de la diminution des produits et du
BAIIA des services sur fil, d'un exercice à l'autre;
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de
Bell qui devrait s'établir à environ 310 millions $, selon un
taux d'actualisation comptable estimatif de 4,9 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
d'environ 220 millions $ et d'une charge financière nette
estimative au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
inférieure au BAIIA d'environ 90 millions $;
- Des besoins de capitalisation des régimes de retraite
totalisant environ 350 millions $;
- Des impôts en espèces d'environ 600 millions $;
- Une charge d'intérêts nette d'environ 750 millions $;
- Des versements d'intérêts nets d'environ 775 millions
$;
- Une évolution du fonds de roulement et des coûts liés aux
indemnités de départ et autres d'environ 175 millions $.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2014 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de
BCE qui devrait s'établir à environ 390 millions $ comprenant
un montant d'environ 80 millions $ lié à Bell Aliant, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
d'environ 280 millions $ et d'une charge financière nette
estimative au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
inférieure au BAIIA d'environ 110 millions $;
- Une dotation aux amortissements supérieure d'environ
115 millions $ à celle de 2013;
- Une charge d'intérêts nette d'environ 900 millions $;
- Des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,04 $;
- Un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- Une participation ne donnant pas le contrôle d'environ
280 millions $;
- Un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,47 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 6 mai 2014, pourraient se
révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient
différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont
énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation
financière pour 2014, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de
nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre
les résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation
financière pour 2014, dépend essentiellement du rendement de notre
entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques.
Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous
les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter :
- L'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que
l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients
actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies
d'établissement des prix, sur nos résultats financiers et sur nos
données opérationnelles, comme le PMU;
- Le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation
des services voix sur fil traditionnels;
- L'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la
fragmentation accrue au sein du marché de la distribution des
services de télé de Bell Télé et des marchés de la télé et de la
radio de Bell Média;
- La variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de
fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions
d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones
intelligents et des rabais sur les combinés;
- Les initiatives et les procédures réglementaires, les
consultations gouvernementales et les positions gouvernementales
qui nous touchent et qui touchent nos activités;
- La conjoncture économique et les conditions du marché des
capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs,
la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de
ceux-ci;
- La dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une
demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur
celle-ci des conditions économiques, des variations cycliques et
saisonnières, ainsi que de la part d'audience et des cotes
d'écoute;
- La complexité de notre gamme de produits, de nos plans
tarifaires, de nos promotions, de nos plateformes technologiques et
de nos systèmes de facturation;
- Notre incapacité à répondre aux attentes des clients et à
élaborer un modèle de prestation de services à faible coût;
- Notre incapacité à mener les activités liées à l'évolution de
notre réseau filaire et à respecter les échéanciers pour la mise à
niveau et le déploiement du réseau conformément à nos objectifs en
matière d'intensité du capital;
- Notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle de
notre réseau, étant donné une augmentation importante de la demande
pour les services à large bande et du volume du trafic des services
de données sans fil;
- Notre incapacité à prévoir les changements technologiques et à
nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir
rapidement de nouveaux produits et services;
- Notre incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir, en temps
opportun, des systèmes de technologies de l'information (TI)
efficaces, ainsi que la complexité de notre environnement de TI et
les coûts qui s'y rapportent;
- Notre incapacité à protéger nos centres de données, nos
dossiers électroniques et physiques, ainsi que les renseignements
qu'ils contiennent;
- Le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement, et
les interruptions de travail;
- Notre incapacité à réaliser nos impératifs stratégiques ainsi
que nos plans de développement des affaires afin de produire les
avantages attendus, y compris la poursuite de la mise en œuvre de
nos initiatives de réduction des coûts visées;
- Une gestion inefficace du changement découlant de
réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que
notre incapacité à intégrer avec succès les entreprises acquises et
les unités d'affaires existantes;
- La volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- Les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers
fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels
et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- La qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des
clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des
défauts de fabrication;
- Les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de
notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre
capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir et à les
remplacer;
- Les risques en orbite liés aux satellites utilisés par Bell
Télé;
- Un règlement défavorable des litiges, en particulier, des
recours collectifs;
- Des modifications défavorables aux lois applicables;
- Les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les
exigences liées au financement et à la dette et notre incapacité à
accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour
répondre à nos besoins de liquidités et mettre en œuvre notre plan
d'affaires, de même que notre incapacité à gérer les différents
risques de crédit, de liquidité et de marché;
- Notre incapacité à supprimer certains services dans la mesure
nécessaire pour améliorer la productivité du capital et
l'efficience opérationnelle;
- Notre incapacité à rehausser nos pratiques et à effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- Le vol de nos services de télé par satellite de radiodiffusion
directe (SRD);
- La violation des droits d'auteur et l'utilisation non autorisée
de notre contenu;
- Des impôts plus élevés découlant de nouveaux impôts, de la
majoration des taux d'imposition ou de modifications apportées aux
lois fiscales, et notre incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux;
- Les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils et de l'équipement sans
fil;
- Notre incapacité à maintenir le service à la clientèle et à
assurer le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des
pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
- La dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales,
partenariats et des autres entités dans lesquelles elle détient une
participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute
autre distribution;
- L'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- La volatilité des marchés boursiers.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2013 de BCE, daté du 6 mars 2014 (inclus dans le
rapport annuel 2013 de BCE) ainsi que le rapport de gestion du
premier trimestre 2014 de BCE, daté du 5 mai 2014, pour obtenir
plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et
hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses,
ces documents étant déposés par BCE auprès des autorités des
provinces canadiennes en valeurs mobilières (disponibles au
Sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des
États-Unis (disponibles au SEC.gov). Ces documents sont également
disponibles au BCE.ca.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble complet et
novateur de services de communications à large bande à ses clients
résidentiels et d'affaires, sous les marques Bell et Bell Aliant.
Bell Média est la première entreprise canadienne de multimédias.
Elle possède des actifs dans les secteurs de la télévision, de la
radio et des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de
télévision du Canada, et les
chaînes spécialisées les plus regardées au pays. Pour en savoir
plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative en santé mentale de Bell, nommée « Bell Cause
pour la cause », est un programme de bienfaisance et de
sensibilisation d'envergure nationale, dédié à la promotion de la
santé mentale au Canada par
l'intermédiaire d'une campagne de lutte contre la stigmatisation
marquée par la Journée Bell Cause pour la cause et du financement
important fourni par Bell pour l'accès aux soins communautaires, la
recherche et les initiatives au travail. Pour en savoir plus,
visitez le site Bell.ca/cause.
Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca. Pour de
l'information sur les produits et services de Bell, visitez le site
Bell.ca. Pour de l'information sur Bell Média, visitez le site
BellMedia.ca.
SOURCE BCE INC.