- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE
au T4 de 495 millions $; bénéfice net ajusté de
540 millions $, en hausse de 16,4 %; bénéfice net
par action ajusté de 0,70 $, en hausse de 16,7 %
- Forte hausse de 11,4 % des flux de trésorerie
disponibles au T4, à 674 millions $
- Croissance à deux chiffres du BAIIA des secteurs Services
sans fil et Média de 10,4 % et de 33,7 %, respectivement,
entraînant une augmentation de 7,0 % du BAIIA total de
Bell
- Croissance positive du BAIIA des Services sur fil de Bell ce
trimestre du fait de la croissance plus forte des produits tirés
des services résidentiels sur fil et de l'amélioration d'un
exercice à l'autre de la performance financière de Bell Marchés
Affaires
- Ajouts nets élevés au T4 des services postpayés dans le
sans-fil de 119 520; hausse de 2,1 % du PMU combiné pour
les services sans fil reflétant l'utilisation accrue des services
de données attribuable à la croissance constante de l'adoption des
téléphones intelligents; réduction importante des tarifs
d'itinérance mobile pour les consommateurs
- Bell Télé Fibe maintient son élan avec des ajouts nets de
60 301, en hausse de 25,0 %, la zone de couverture du
service rejoignant plus de 4,3 millions de foyers;
augmentation de plus du double pour les activations nettes
d'abonnés d'Internet haute vitesse, à 15 690; amélioration de
27,3 % d'un exercice à l'autre des pertes d'abonnés des
services résidentiels d'accès local au réseau
- Tous les objectifs de l'orientation financière pour 2013 ont
été atteints
Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des
hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en
garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans le
communiqué.
MONTRÉAL, le 6 févr. 2014 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX,
NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du
Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour
le quatrième trimestre (T4) de 2013 ainsi que les résultats
annuels, en plus d'annoncer son orientation financière pour
2014 et une majoration de 0,14 $
par action du dividende annuel par action ordinaire, qui est porté
à 2,47 $.
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS |
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions $, sauf les
montants par action) (non audité) |
T4 2013 |
T4 2012 |
% de
variation |
|
2013 |
2012 |
% de
variation |
|
Bell (i) |
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits opérationnels |
4 813 |
4 577 |
5,2 |
% |
18 109 |
17 645 |
2,6 |
% |
BAIIA1 |
1 693 |
1 582 |
7,0 |
% |
6 817 |
6 596 |
3,4 |
% |
BCE |
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits opérationnels |
5 382 |
5 161 |
4,3 |
% |
20 400 |
19 978 |
2,1 |
% |
BAIIA |
1 998 |
1 896 |
5,4 |
% |
8 089 |
7 888 |
2,5 |
% |
Bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires |
495 |
666 |
(25,7) |
% |
1 975 |
2 456 |
(19,6) |
% |
BPA |
0,64 |
0,86 |
(25,6) |
% |
2,55 |
3,17 |
(19,6) |
% |
BPA ajusté2 |
0,70 |
0,60 |
16,7 |
% |
2,99 |
2,96 |
1,0 |
% |
Flux de trésorerie liés aux activités
opérationnelles |
1 838 |
863 |
113,0 |
% |
6 476 |
5 560 |
16,5 |
% |
Flux de trésorerie
disponibles3 |
674 |
605 |
11,4 |
% |
2 571 |
2 428 |
5,9 |
% |
(i) Bell comprend les secteurs
Services sans fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell
Média.
« La stratégie de Bell consistant à investir massivement
dans l'infrastructure de communications de prochaine génération du
Canada porte ses fruits pour nos clients et actionnaires. Tous
les secteurs d'activité de Bell maintiennent leur élan, en
particulier les services de croissance que sont les services sans
fil, de médias, de télé et Internet », affirme George Cope, président et chef de la direction
de Bell Canada et de BCE Inc.
« Nous avons connu une bonne performance au chapitre des
ajouts d'utilisateurs de téléphones intelligents et des données
opérationnelles dans le sans-fil, une croissance continue au
chapitre des services Télé Fibe et Internet Fibe et, pour Bell
Média, une solide croissance des données financières et au premier
rang des cotes d'écoute. Simultanément, nous avons réduit nos
pertes dans les services traditionnels résidentiels et d'affaires
offerts par lignes terrestres, ce qui a contribué à l'évolution
positive des produits des activités ordinaires et du BAIIA des
Services sur fil de Bell, et nous avons continué de réduire les
coûts opérationnels. Notre stratégie d'investissement dans les
services de croissance, alliée aux efforts intensifs de l'équipe de
Bell dans un marché concurrentiel, se traduit par des augmentations
importantes au chapitre de la croissance des produits des activités
ordinaires, du BAIIA et des flux de trésorerie
disponibles. »
Bell concentre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de six impératifs stratégiques : investir dans les
réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer
meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les
médias, améliorer le service à la clientèle et établir une
structure de coûts concurrentielle.
« Nous avons connu un autre exercice financier fructueux,
avec une solide croissance des produits des activités ordinaires et
du BAIIA, ce qui a généré une augmentation au chapitre des flux de
trésorerie disponibles et du bénéfice ajusté. Notre solide bilan
s'appuie sur de bonnes cotes de solvabilité, une situation de
trésorerie favorable et une amélioration importante de la situation
de capitalisation du régime de retraite à prestations définies de
Bell Canada », affirme
Siim Vanaselja, chef des affaires
financières de Bell Canada et de
BCE. « Notre orientation financière pour 2014 reflète la
persistance de la forte impulsion opérationnelle dans nos activités
principales, la transformation en cours de la composition des
produits des activités ordinaires et du BAIIA, de moins en moins
orientée vers les services voix, et nos achats de biens et de
services libellés en dollars américains qui sont entièrement
couverts à des taux proches de la parité. Notre solide position
financière et la croissance prévue des flux de trésorerie
disponibles pour 2014, nous donnent une marge de manœuvre
financière considérable pour mener à bien notre stratégie de
croissance du dividende, tout en intensifiant notre investissement
dans la croissance de notre entreprise. »
HAUSSE DU DIVIDENDE
L'annonce d'aujourd'hui sur le dividende représente la dixième
augmentation du dividende annuel par action ordinaire de BCE, soit
une augmentation de 69 %, au cours des cinq dernières
années. Le dividende annualisé par action ordinaire de BCE
augmentera de 6,0 %, ou 14 cents par action, passant de 2,33 $
à 2,47 $; cette augmentation s'appliquera au dividende du T1
2014 de BCE, payable le 15 avril 2014 aux actionnaires
inscrits à la fermeture des bureaux le 14 mars 2014. Cette
augmentation maintient notre ratio de distribution au milieu de la
fourchette de 65 % à 75 % des flux de trésorerie
disponibles établie dans la politique. Cette décision de majorer le
dividende pour 2014 s'appuie sur la génération de flux de
trésorerie disponibles prévus plus importants et sur des
perspectives commerciales positives pour 2014.
RÉSULTATS DE BCE
BCE a déclaré un bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires au T4 2013 de 495 millions $, ou 0,64 $
par action, comparativement à 666 millions $, ou
0,86 $ par action, au T4 2012. La diminution du bénéfice
net d'un exercice à l'autre est attribuable au profit sans effet de
trésorerie comptabilisé au T4 2012 à la suite du transfert de
spectre d'Inukshuk à ses partenaires. Le bénéfice net ajusté
attribuable aux actionnaires ordinaires s'est établi à
540 millions $, une hausse de 16,4 %, et le bénéfice
par action ajusté (BPA ajusté) a augmenté de 16,7 % pour
passer de 0,60 $ à 0,70 $, ce qui reflète principalement
l'augmentation du BAIIA de Bell.
Pour 2013, le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires s'est chiffré à 1 975 millions $, ou
2,55 $ par action, en baisse comparativement à
2 456 millions $, ou 3,17 $ par action, en
2012. La diminution d'un exercice à l'autre est imputable à
l'obligation au titre des avantages tangibles de
230 millions $ dont le paiement a été imposé à Bell par
le CRTC dans le cadre de l'acquisition d'Astral qui a été conclue
au T3 2013, à la valeur plus élevée du règlement favorable de
positions fiscales incertaines en 2012, ainsi qu'au profit sans
effet de trésorerie susmentionné comptabilisé à la suite du
transfert de spectre d'Inukshuk à ses partenaires. Le bénéfice net
ajusté attribuable aux actionnaires ordinaires de
2 317 millions $ et le BPA ajusté de 2,99 $ ont
augmenté de 1,0 % par rapport à 2012, ce qui reflète la portée
concrète de l'augmentation du BAIIA des Services sans fil de Bell
et de Bell Média.
Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE
se sont élevés à 1 838 millions $, comparativement à
863 millions $ au T4 de l'exercice 2012. Ce résultat
s'explique principalement par la diminution des cotisations aux
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi, attribuable à la
cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de
retraite à prestations définies faite en 2012. Les flux de
trésorerie disponibles se sont établis à 674 millions $,
en hausse de 11,4 % contre 605 millions $ l'exercice
précédent, ce qui est attribuable à la hausse du BAIIA et à
l'augmentation du fonds de roulement. De même, pour l'ensemble de
l'exercice 2013, les flux de trésorerie liés aux activités
opérationnelles ont augmenté de 16,5 % pour s'établir à
6 476 millions $ et les flux de trésorerie
disponibles ont augmenté de 5,9 % pour se chiffrer à
2 571 millions $.
À la fin du T4 2013, BCE (Bell et Bell Aliant) comptait au
total : 7 925 032 clients du sans-fil, soit une
hausse de 1,3 % par rapport au T4 2012;
2 489 248 abonnés des services de télé (ce qui
inclut les 657 513 abonnés du service de télé IP
reflétant l'ajout de 75 120 nouveaux abonnés nets du
service de télé IP au T4 2013), soit une augmentation de
7,7 %; 3 136 636 abonnés d'Internet haute
vitesse, soit une augmentation de 3,0 %; et
7 595 569 abonnés des SAR, soit une diminution de
6,6 %.
RÉSULTATS DE BELL
Les produits opérationnels de Bell ont augmenté de 5,2 % pour
s'établir à 4 813 millions $ au T4 2013, soutenus
par la croissance régulière des produits tirés des services sans
fil, la croissance positive des produits tirés des services
résidentiels sur fil du fait que l'expansion des services de télé
et Internet a été plus forte que les diminutions au chapitre des
services voix traditionnels, et la contribution d'Astral aux
résultats de Bell Média.
Le BAIIA de Bell s'est élevé à 1 693 millions $
au T4, en hausse de 7,0 %, ce qui reflète la forte croissance
à deux chiffres du BAIIA de 10,4 % pour les Services sans fil
de Bell et de 33,7 % pour Bell Média. En particulier, nous
avons généré une croissance positive du BAIIA de 0,3 % dans
les Services sur fil de Bell ce trimestre, avec une amélioration
d'un exercice à l'autre de 41 000 du nombre total des
pertes d'abonnés nettes des services résidentiels sur fil de Bell,
une hausse du PMU par foyer et une réduction des coûts
opérationnels. L'augmentation du BAIIA dans tous les secteurs de
Bell a contribué à une amélioration de 0,6 point de
pourcentage de la marge consolidée du BAIIA de Bell, qui s'est
élevée à 35,2 %.
Pour 2013, conformément aux objectifs de l'orientation pour
l'exercice, les produits opérationnels et le BAIIA de Bell ont
augmenté de 2,6 % et de 3,4 %, respectivement, pour
s'établir à 18 109 millions $ et à
6 817 millions $. Les produits opérationnels et le
BAIIA de Bell de 2013 reflètent la
contribution d'Astral aux produits des activités ordinaires et au
BAIIA de Bell Média après son intégration dans Bell Média le
5 juillet 2013.
Bell a investi 992 millions $ en nouveau capital au T4
2013, ce qui porte les dépenses d'investissement totales à
3 001 millions $ en 2013, une hausse de 2,7 %
par rapport à 2012. Ces investissements reflètent la poursuite du
déploiement de la fibre à large bande dans des domiciles, des
quartiers et des entreprises au Québec et en Ontario, ce qui soutient l'expansion rapide du
service Télé Fibe, la poursuite du lancement du service mobile 4G
LTE dans des marchés partout au Canada, les dépenses accrues visant
la capacité du réseau afin de satisfaire à la demande croissante
pour les services Internet et les services de données mobiles,
l'amélioration des systèmes de service à la clientèle ainsi que
l'ajout de nouveaux magasins Bell et La Source partout au
Canada.
RÉSULTATS OPÉRATIONNELS DE BELL PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les produits opérationnels des Services sans fil de Bell ont
augmenté de 3,2 % pour s'établir à
1 505 millions $ au T4 2013 tandis que les produits
tirés des services ont enregistré une hausse de 3,7 % pour
s'établir à 1 359 millions $ et le BAIIA, une hausse
de 10,4 % pour s'établir à 529 millions $. Ces
résultats reflètent la progression du nombre d'abonnés des services
postpayés utilisant un téléphone intelligent acquis en 2013, ainsi
que la croissance du PMU combiné découlant des produits plus élevés
tirés des services de données.
Les produits tirés des services de données sans fil ont augmenté
de 15,2 % en raison de l'utilisation plus intensive
correspondant à l'adoption croissante des téléphones intelligents
par les clients et de la consommation croissante des services de
données sur notre réseau 4G LTE, qui stimulent la croissance
des services sans fil, Internet, de vidéo en continu et de données,
comme le service Télé Mobile de Bell. Au T4, Bell a également
continué de réduire les tarifs de l'itinérance mobile pour les
consommateurs canadiens qui voyagent vers des destinations
internationales populaires.
Le BAIIA des Services sans fil de Bell a augmenté de 10,4 %
pour s'établir à 529 millions $, entraînant une
progression de 2,4 points de pourcentage de la marge du BAIIA
liée aux services, qui s'est établie à 38,9 %, profitant
également de la diminution de 0,3 % des coûts opérationnels
grâce à la gestion serrée des dépenses relatives à l'acquisition
d'abonnés des services postpayés et à la fidélisation de la
clientèle.
Pour l'ensemble de l'exercice 2013, les produits opérationnels
des Services sans fil de Bell ont augmenté de 4,7 % pour
s'établir à 5 849 millions $, dans le sillage de la
croissance des produits tirés des services postpayés de 6,7 %
et de la croissance des services de données de 19,4 %. Le
BAIIA a augmenté de 10,6 % pour atteindre
2 340 millions $ dans la foulée de la hausse de la
marge liée aux services de 2,0 points de pourcentage,
s'établissant à 43,6 %, notre meilleur résultat à ce chapitre
depuis 2009.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés au T4 ont
totalisé 119 520, comparativement à 143 834 au T4 2012.
Ce chiffre reflète une diminution de 6,7 % des activations
brutes des services postpayés attribuable au niveau élevé
d'intensité de la concurrence pendant la période des fêtes ainsi
qu'au nombre moindre de rabais sur les combinés et à la majoration
des prix des forfaits pour les nouveaux contrats de deux ans,
décrétée à la suite de la mise en œuvre du nouveau code de conduite
fédéral sur les services sans fil, ce qui a eu une incidence sur
les acquisitions d'abonnés d'un exercice à l'autre.
- Les utilisateurs de téléphones intelligents représentaient
73 % du total des abonnés des services postpayés à la fin de
2013, comparativement à 62 % à l'exercice précédent. La
clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans fil de
Bell totalisait 6 677 692 abonnés à la fin de
l'exercice, une augmentation de 3,9 %. La clientèle totale des
Services sans fil de Bell a augmenté de 1,3 %, pour s'établir
à 7 778 334 abonnés. Avec prise d'effet au T4
2013 et de manière prospective, tous
les abonnements aux communications intermachines ont été exclus des
mesures fondées sur le nombre d'abonnés.
- Le taux de désabonnement des services postpayés a connu une
amélioration en s'établissant à 1,29 %, comparativement à
1,35 %, ce qui reflète l'accroissement de l'investissement
dans le service à la clientèle et la fidélisation des abonnés.
- Le PMU combiné a augmenté de 2,1 % ce trimestre pour
s'établir à 57,92 $, ce qui représente un seizième trimestre
consécutif d'amélioration d'un exercice à l'autre. Cette croissance
découle principalement de la proportion accrue d'abonnés des
services postpayés dans notre clientèle d'abonnés du sans-fil et de
la consommation croissante des services de données correspondant à
l'adoption grandissante des téléphones intelligents et à
l'utilisation plus intensive des services de données mobiles sur
nos réseaux à large bande sans fil 4G de premier plan. Pour
l'ensemble de l'exercice 2013, le PMU combiné a augmenté de
2,6 % pour s'établir à 57,25 $.
- Le coût d'acquisition a diminué de 2,5 % ce trimestre pour
se chiffrer à 468 $ par abonné, ce qui reflète surtout la
diminution des rabais moyens sur les combinés. Pour 2013, le coût
d'acquisition par activation brute est demeuré relativement stable,
à 421 $, comparativement à 416 $ en 2012.
- Les coûts de fidélisation de la clientèle en pourcentage des
produits tirés des services ont augmenté à 12,4 % au T4 2013,
comparativement à 12,1 % au T4 2012, en raison du nombre plus
élevé de mises à niveau hâtives des combinés, d'un exercice à
l'autre, et du fait que nous avons aligné nos offres à l'égard des
combinés sur celles, plus généreuses, de nos concurrents.
Conformément à notre plan, les coûts de fidélisation de la
clientèle de 2013 se sont élevés à 10,3 % du total des
produits tirés des services sans fil.
- Réagissant aux demandes des clients, Bell a continué de réduire
le coût de l'itinérance mobile dans les pays où les Canadiens
voyagent le plus. Faisant suite aux importantes réductions des
tarifs d'itinérance pour les consommateurs aux États-Unis en
septembre, au T4, Bell a réduit les tarifs pour les services
données, textos et appels en itinérance pour les Bermudes, les
destinations soleil des Antilles et les principales destinations
mondiales des voyageurs canadiens, notamment l'Europe, le Mexique, la Chine, la Turquie,
l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Bell continue de collaborer
avec des entreprises internationales de télécommunications en vue
de réduire le coût de l'itinérance mobile internationale pour les
consommateurs canadiens.
- Les abonnés du service Télé Mobile de Bell ont franchi le cap
du 1,2 million à la fin de 2013, en hausse de 66 %
par rapport à l'exercice précédent. Ce service offre un accès
mobile à plus de 40 chaînes de sports, d'actualités, de
divertissement et de télé pour enfants. En outre, l'application
Télé Mobile permet aux abonnés d'accéder à plus de 70 autres
chaînes en direct et sur demande par réseau Wi-Fi à partir de leur
téléphone intelligent ou de leur tablette.
- Bell a continué d'étoffer sa gamme de téléphones intelligents
numéro un dans l'industrie, en offrant les appareils BlackBerry
Z30, Google Nexus 5, Samsung Galaxy Note 3, Samsung Galaxy S4 Mini,
Sony Xperia Ultra et Sony Xperia Z1.
- Bell offre aux abonnés un accès au plus vaste réseau mobile 4G
LTE du Canada, qui couvre actuellement 80 % de la population
canadienne, complété par la couverture du réseau 4G HSPA+
rejoignant plus de 98 % de la population.
Services sur fil de Bell
L'augmentation des produits tirés de nos services de télé et
Internet, alimentée par la croissance du nombre d'abonnés à Télé
Fibe et la hausse du PMU, s'ajoutant à la forte croissance des
services de connectivité IP et des services professionnels, a
freiné la diminution des produits tirés des Services sur fil ce
trimestre.
Les produits opérationnels des Services sur fil de Bell sont
essentiellement inchangés par rapport au T4 2012, en baisse de
0,3 % pour s'établir à 2 601 millions $ au T4
2013. Les Services résidentiels de Bell ont généré une croissance
des produits de 3,1 %, tandis que le rythme de diminution des
produits de Bell Marchés Affaires a ralenti d'un exercice à
l'autre. Les Services sur fil de Bell ont également généré une
croissance positive du BAIIA ce trimestre, lequel a augmenté de
0,3 % pour s'établir à 934 millions $, et la marge a
augmenté de 0,2 point de pourcentage pour s'établir à
35,9 %, soutenue par la diminution de 10 millions $
des coûts opérationnels d'un exercice à l'autre.
Pour l'ensemble de l'exercice 2013, les produits opérationnels
des Services sur fil ont diminué de 1,2 %, s'établissant à
10 097 millions $, tandis que les coûts
opérationnels ont été stables par rapport à l'exercice précédent,
ce qui s'est traduit par une diminution de 3,2 % du BAIIA des
Services sur fil, qui s'établit à 3 794 millions $.
La marge du BAIIA des Services sur fil s'est chiffrée à
37,6 %, en baisse de 0,8 point de pourcentage, contre
38,4 % en 2012, du fait des coûts d'acquisition accrus que
nous avons subis en raison du nombre considérablement plus élevé de
nouvelles activations d'abonnés des services Télé Fibe et Internet
en 2013 par rapport à l'exercice précédent, et du coût accru des
services rendus au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi (charge de retraite).
- Le service Bell Télé Fibe a ajouté 60 301 nouveaux
abonnés nets, en hausse de 25,0 %, comparativement à
48 234 au T4 2012. Les acquisitions d'abonnés du service Télé
Fibe ont continué de s'accélérer, d'un exercice à l'autre, avec
l'expansion continue de la zone de couverture du service Fibe et
avec les fonctions enrichies, notamment le récepteur sans fil de
Télé Fibe et l'application Télécommande Fibe. À la fin de 2013, les
abonnés du service Bell Télé Fibe totalisaient 479 430, soit
près du double des 248 298 abonnés enregistrés à la fin de
2012.
- La zone de couverture du service Télé Fibe rejoignait plus de
4,3 millions de foyers à la fin de 2013, par rapport à environ
3,3 millions à la fin de 2012.
- Les pertes totales d'abonnés du service Bell Télé Satellite ont
diminué de 16,9 % ce trimestre, s'établissant à 24 112,
ce qui reflète la diminution du taux de désabonnement entraînée par
l'alignement sur les prix des offres concurrentielles, les
améliorations apportées aux produits et le ralentissement de la
migration des abonnés vers le service Télé Fibe.
- Les ajouts nets combinés d'abonnés des services Télé Fibe et
Télé Satellite ont augmenté de 88,3 %, s'établissant à
36 189 par rapport à 19 218 au T4 2012. Le nombre
d'abonnés de Bell Télé a totalisé 2 278 433 à la fin de
2013, une augmentation d'un exercice à l'autre de 5,7 %.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse de Bell se
sont élevés à 15 690 au T4 2013, soit plus du double des
7 269 abonnés ajoutés au T4 2012. L'amélioration d'un exercice
à l'autre reflète l'augmentation des ventes complémentaires de
services Internet sur les forfaits incluant le service Télé Fibe et
l'augmentation des vitesses de transmission rendue possible par
l'expansion continue du réseau de fibre à large bande, qui a
contribué à la diminution du taux de désabonnement des clients
résidentiels. Bell comptait 2 184 543 abonnés
d'Internet haute vitesse à la fin de 2013, soit une hausse de
2,7 % par rapport à 2012.
- Les produits tirés des services de données sur fil se sont
établis à 1 513 millions $ ce trimestre, en hausse
de 4,1 %, soutenus par la forte croissance des services
résidentiels et l'amélioration de la performance de Bell Marchés
Affaires d'un exercice à l'autre. Les produits tirés des services
de données sur fil résidentiels ont augmenté de 9,2 % au
T4 2013 dans la foulée de la forte hausse des produits tirés
des services de télé et Internet, tandis que la forte croissance
des produits tirés des services de connectivité IP, de 6,1 %,
et la progression des dépenses de nos moyennes et grandes
entreprises clientes pour des services d'affaires professionnels
ont soutenu l'amélioration des résultats de l'unité Marchés
Affaires par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels au T4 2013
ont diminué de 27,3 %, ou 63 281, comparativement à
celles de 87 029 à l'exercice précédent, grâce à l'effet
marqué des forfaits de services Télé Fibe. Les pertes d'abonnés
d'affaires des SAR ont également diminué, de 11,4 %, ou
32 478, par rapport à 36 641 au T4 2012, dans la foulée
de la demande accrue pour des nouvelles installations dans nos
marchés des petites entreprises et de gros et de la diminution du
nombre de désactivations d'abonnés dans nos marchés de masse, des
moyennes entreprises et de gros. La clientèle totale des SAR à la
fin de 2013 était de 5 242 249, soit une diminution de
7,1 % par rapport à l'exercice précédent, ce qui est
attribuable à la vive concurrence que continuent d'exercer les
câblodistributeurs et à l'augmentation de la substitution
technologique en faveur des services sans fil et Internet.
- Concordant avec la diminution d'un exercice à l'autre des
pertes nettes au chapitre des SAR, le rythme de diminution des
produits tirés des services locaux et d'accès a ralenti pour
s'établir à 6,6 % au T4 2013, soit à
606 millions $.
- Les produits tirés des services interurbains ont diminué de
10,5 % pour s'établir à 171 millions $. Cette
diminution reflète la baisse des minutes de conversation par les
abonnés résidentiels et d'affaires en raison des pertes d'abonnés
des SAR et du phénomène de substitution technologique, des
pressions continues sur les prix et des ventes moindres de minutes
de conversations interurbaines globales.
Bell Média
Les produits opérationnels de Bell Média sont en hausse de
38,9 % au T4 2013, s'établissant à 821 millions $,
tandis que le BAIIA a augmenté de 33,7 % pour s'établir à
230 millions $. Ces augmentations reflètent
l'augmentation des produits tirés de la publicité et des frais
d'abonnement découlant de l'acquisition d'Astral, conclue le
5 juillet 2013, ainsi que la majoration planifiée des tarifs
de la télé spécialisée imposés aux distributeurs de radiodiffusion
pour le contenu et la programmation de Bell Média. Pour l'ensemble
de l'exercice 2013, les produits opérationnels et le BAIIA ont
augmenté de 17,1 % et de 21,7 %, respectivement,
s'établissant à 2 557 millions $ et à
683 millions $.
- Bell Média a maintenu sa position de chef de file avec un vaste
auditoire pour toutes ses propriétés de télé traditionnelle et
spécialisée. À la fin de la saison d'automne, CTV comptait
12 des 20 émissions les plus écoutées par les
téléspectateurs à l'échelle nationale dans toutes les catégories
démographiques, et 4 des 5 émissions les plus écoutées
par les téléspectateurs. Dans les heures de grande écoute, la cote
d'écoute moyenne de CTV était de 55 % supérieure à celle de
son plus proche concurrent en télé traditionnelle.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée, Bell Média a rejoint
87 % des téléspectateurs de télé spécialisée et payante
anglophone d'une semaine moyenne au T4 2013, avec en tête TSN, dont
l'auditoire moyen a connu une hausse grâce à la programmation du
hockey; Discovery, l'une des chaînes spécialisées dans le
divertissement les plus populaires au Canada; Space, la chaîne de
télé spécialisée la plus prometteuse pour ce qui est de la
croissance de l'auditoire féminin dans la tranche des 25 à
54 ans; et The Movie Network, la figure de proue parmi les
services de télé payante aux heures de grande écoute au Canada.
- Bell Média maintient sa position de chef de file au Québec avec
ses propriétés de télé spécialisée rejoignant plus de 85 % des
téléspectateurs francophones d'une semaine moyenne au T4 2013, avec
en tête RDS, la chaîne spécialisée francophone la plus populaire,
Canal D, la première parmi toutes les chaînes de télé spécialisée
dans le divertissement francophones chez les adultes de 25 à 42
ans, et Canal Vie, avec le plus important auditoire cumulé moyen
hebdomadaire dans le marché de la télé spécialisée francophone
visant les femmes de 25 à 54 ans.
- Bell Média est première parmi toutes les propriétés en ligne de
réseaux de diffusion et vidéo de diffusion au Canada, et septième
parmi toutes les propriétés en ligne au Canada, avec des moyennes
mensuelles de plus de 12,2 millions de visiteurs uniques, de
451 millions de pages consultées et de 114 millions de
vidéos regardées.
- Bell Média a également maintenu sa position de chef de file
dans la radio, rejoignant 1 Canadien sur 2 à l'écoute en
moyenne 6,4 heures par semaine. Bell Média était le premier
radiodiffuseur au Québec, avec 25 stations rejoignant plus de
5,7 millions d'auditeurs.
- Même si Bell n'a pas réussi à faire reconduire le contrat
visant ses droits de diffusion nationale de la Ligue nationale de
hockey (LNH), qui expire à la saison 2013-2014 de la LNH, les
réseaux des sports de Bell Média ainsi que le réseau anglophone TSN
et le réseau francophone RDS demeureront des joueurs importants
dans la couverture du hockey professionnel dans les deux langues
officielles. En plus des droits de diffusion à long terme pour les
matchs des Maple Leafs de Toronto
(TSN et TSN Radio 1050), des Jets de Winnipeg (TSN et TSN Radio 1290) et des
Canucks de Vancouver (TEAM 1040),
Bell Média a récemment conclu des ententes de diffusion à long
terme avec deux autres équipes canadiennes de la LNH, qui prennent
effet avec la saison 2014-2015 de la LNH :
-
- En décembre, RDS et Les Canadiens de Montréal ont annoncé une
nouvelle entente de 12 ans sur les droits de diffusion régionale
aux termes de laquelle RDS demeurera le diffuseur officiel des
Canadiens jusqu'à la saison 2025-2026. L'entente vise les droits de
diffusion pour 60 matchs de la saison régulière et les matchs
additionnels d'avant-saison chaque année, et Bell conserve
également les droits de dénomination du légendaire Centre Bell
jusqu'en 2028.
- En janvier, TSN et RDS ont annoncé une nouvelle entente de
12 ans sur les droits de diffusion régionale et les
commandites d'entreprise avec les Sénateurs d'Ottawa jusqu'à la saison 2025-2026. Ce
partenariat de 12 ans comprend les droits régionaux de
télédiffusion en anglais pour TSN (minimum de 52 matchs de la
saison régulière et d'avant-saison), les droits régionaux en
français pour RDS (minimum de 40 matchs de la saison régulière et
d'avant-saison) et les droits régionaux de radiodiffusion en
anglais et en français pour tous les matchs. L'entente a aussi pour
effet de renforcer la commandite d'entreprise exclusive de Bell en
télécommunications pour les Sénateurs, notamment par des
initiatives au sein de la communauté, par les commandites
d'amphithéâtre et de marque ainsi que par la vente au détail par
l'entremise de La Source.
- Bell Média et la National Football League (NFL) ont conclu une
prolongation de plusieurs années de leur partenariat qui permettra
la diffusion de davantage de matchs de la NFL sur un plus grand
nombre de chaînes et de plateformes de Bell Média que jamais. Pour
la première fois, tous les matchs du dimanche après-midi seront
diffusés sur CTV et TSN. À l'automne 2014, Bell Média deviendra le
titulaire des droits pour le football de la NFL au Canada pour tous
les matchs de la saison régulière du dimanche après-midi et du
dimanche soir, tous les matchs de la saison régulière du lundi
soir, tous les matchs des séries éliminatoires ainsi que le Super
Bowl. En outre, pour la première fois, la nouvelle entente donne à
Bell Média les droits pour les médias numériques; les amateurs
canadiens seront désormais en mesure de regarder des matchs et du
contenu de la NFL sur les plateformes de La Télé Partout de Bell
Média, y compris CTV GO et TSN GO.
- Bell Média a conclu la prolongation sur plusieurs années de son
partenariat avec les Whitecaps FC de Vancouver; TSN devient ainsi le diffuseur
officiel des Whitecaps FC dès 2014 et
obtient les droits d'apposer la marque Bell sur les maillots et
l'équipement officiels de l'équipe.
Bell Aliant
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant ont diminué de
0,9 % pour s'établir à 688 millions $ au T4 2013, la
croissance enregistrée dans les services Internet et de télé ayant
été contrebalancée par la baisse continue des produits tirés des
services locaux et d'accès ainsi que des services interurbains
traditionnels. Le BAIIA de Bell Aliant a diminué de 2,9 % pour
s'établir à 305 millions $ ce trimestre, par suite de la
diminution des produits des activités ordinaires et de
l'augmentation des coûts opérationnels découlant principalement de
la croissance de ses services FibreOP. De même, pour l'ensemble de
l'exercice 2013, les produits des activités ordinaires et le BAIIA
de Bell Aliant ont diminué de 0,1 % et de 1,5 %,
respectivement, pour s'établir à 2 759 millions $ et
à 1 272 millions $.
INTERVENTION DE BELL À LA SUITE DU PIRATAGE CHEZ UN TIERS
FOURNISSEUR
Le dimanche 2 février, Bell a annoncé que 22 421 noms d'utilisateur
et mots de passe, ainsi que cinq numéros de carte de crédit valides
de petites entreprises clientes de Bell, ont été publiés sur
Internet au cours de cette fin de semaine. Ces données ont été
dérobées à la suite d'une introduction illégale dans le système
informatique d'un tiers fournisseur d'Ottawa. Conformément à ses politiques
rigoureuses en matière de sécurité et de protection de la vie
privée, Bell a désactivé tous les mots de passe en cause, a
communiqué avec les clients touchés et a informé les fournisseurs
des cartes de crédit concernés. Bell poursuit son enquête en
collaboration avec le fournisseur, les autorités policières et les
responsables gouvernementaux de la sécurité. Le réseau et les
systèmes TI de Bell n'ont pas été touchés. Cet incident n'affecte
pas les clients des services résidentiels et mobiles, ni les
grandes entreprises clientes de Bell.
MISE À JOUR SUR LES DESSAISISSEMENTS CHEZ
ASTRAL
Le 28 novembre 2013, Bell a annoncé la conclusion d'une
entente avec DHX Media Ltd. (DHX) à l'égard de la vente proposée de
ses services de télévision Family Channel, Disney XD, Disney Junior
(en anglais) et Disney Junior (en français). En outre, le
3 décembre 2013, Bell a annoncé la vente de ses deux
propriétés de télé musicales en français, MusiquePlus et MusiMax, à
Groupe V Médias, propriétaire de V Interactions. Avec ces annonces,
Bell a conclu des ententes avec des acheteurs visant toutes les
propriétés dont le Bureau de la concurrence et le Conseil de la radiodiffusion et des
télécommunications canadiennes (CRTC) l'obligeaient à se départir
dans le cadre de l'acquisition d'Astral, afin de se conformer à la
politique du CRTC concernant la propriété commune.
En janvier 2014, nous avons réalisé la vente de six services de
télé et de deux stations de radio de Bell Média à Corus
Entertainment Inc. (Corus) pour un produit total de
400,6 millions $, ainsi que de trois stations de radio à
Jim Pattison Broadcast Group Limited Partnership. La réalisation du
reste des dessaisissements de certains actifs de télé et radio de
Bell Média, comprenant les ventes proposées à Newcap Inc., la
filiale en propriété exclusive de Newfoundland Capital Corporation,
à DHX et à Groupe V Médias, demeure assujettie à l'approbation du
CRTC. Ces ventes devraient être conclues au premier semestre de
2014.
LA JOURNÉE BELL CAUSE POUR LA CAUSE 2014
La Journée Bell Cause pour la cause 2014 a été un immense
succès : les Canadiens se sont joints à la conversation sur la
santé mentale avec 109 451 718 appels sans fil et appels
interurbains passés, tweets transmis et messages partagés sur
Facebook, le 28 janvier, lors de notre quatrième journée Bell
Cause pour la cause. Comme Bell verse 5 ¢ à des programmes
consacrés à la santé mentale pour chaque message envoyé, et que
l'entreprise a annoncé un investissement additionnel de
5 472 585,90 $ en santé mentale au Canada, la
contribution totale de Bell pour la cause s'établit aujourd'hui à
67 515 875,20 $. Avec
la championne olympique canadienne et porte-parole nationale
Clara Hughes, la Journée Bell Cause
pour la cause 2014 a fracassé des records de participation,
notamment un soutien extraordinaire sur Twitter, le sujet Bell
Cause pour la cause ayant été la tendance Twitter numéro un au
Canada et numéro trois dans le monde.
BCE REÇOIT UN PRIX POUR LA GOUVERNANCE D'ENTREPRISE
BCE s'est vu décerner le prix de la meilleure gouvernance globale
d'entreprise, niveau international, lors de la sixième cérémonie
annuelle de remise des prix d'excellence en gouvernance de
Corporate Secretary. Rivalisant avec des entreprises canadiennes et
internationales très en vue, BCE a été reconnue pour la meilleure
gouvernance globale, la conformité et l'éthique dans la structure
de son conseil d'administration, les communications avec les
actionnaires, les dépôts réglementaires et d'autres activités de
gouvernance.
BELL RECONNUE COMME L'UN DES MEILLEURS EMPLOYEURS À MONTRÉAL
POUR UNE DEUXIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE
Bell est fière d'avoir été désignée, pour la deuxième année
consécutive, comme l'un des meilleurs employeurs à Montréal en 2014
dans le cadre du classement annuel établi par MediaCorp Canada.
Bell a été reconnue pour son leadership en santé mentale au
travail, ses investissements considérables dans la formation et le
développement professionnel, la grande diversité des possibilités
de carrière qu'elle offre, ses programmes innovateurs de soutien
aux parents et son régime d'achat d'actions qui permet à tous les
membres de l'équipe de profiter du succès de l'entreprise. En tant
qu'entreprise située à Montréal depuis sa création en 1880, Bell
est la plus grande entreprise de communications du Québec et elle
apporte une contribution majeure à la prospérité de la province sur
les plans technologique, économique et social.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,6175 $ par action ordinaire, payable le
15 avril 2014 aux actionnaires inscrits à la fermeture des
bureaux le 14 mars 2014.
PERSPECTIVES POUR 2014
Les perspectives financières de BCE pour 2014 reflètent les progrès
continus dans la réalisation des six impératifs stratégiques de
Bell, de concert avec la ferme priorité axée sur notre stratégie de
croissance du dividende. En effet, au fil de sa transformation,
Bell continue d'investir de façon considérable dans les services de
croissance de prochaine génération — télé, sans fil, Internet et
médias — et de viser une exécution opérationnelle de niveau
supérieur dans le marché hautement concurrentiel des communications
au Canada afin de faire croître les produits des activités
ordinaires, le BAIIA, le bénéfice et les flux de trésorerie
disponibles.
Notre orientation pour 2013, nos résultats de
2013 ainsi que nos objectifs de l'orientation financière pour 2014
sont les suivants :
|
Orientation pour
2013 |
Résultats de 2013 |
Orientation pour
2014 |
Bell (i) |
|
|
|
Croissance des produits des activités
ordinaires |
2 % à 4 % |
2,6 % |
2 % à 4 % |
Croissance du BAIIA |
3 % à 5 % |
3,4 % |
3 % à 5 % |
Intensité du capital |
16 % à 17 % |
16,6 % |
16 % à 17 % |
BCE |
|
|
|
BPA ajusté |
2,97 $ à 3,03 $ |
2,99 $ |
3,10 $ à 3,20 $ |
Croissance des flux de trésorerie
disponibles |
5 % à 9 % |
5,9 % |
3 % à 7 % |
Dividende annuel par action
ordinaire |
2,33 $ |
2,33 $ |
2,47 $ |
Politique de distribution du
dividende |
65 % à 75 % des flux
de trésorerie disponibles |
69,8 % |
65 % à 75 % des flux
de trésorerie disponibles |
(i) L'orientation financière de
Bell pour 2014 concernant les produits des activités ordinaires, le
BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant.
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes
financiers afin de traiter de ses résultats du T4 2013, le jeudi
6 février, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont
invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Composez le
numéro sans frais 1-866-226-1792 ou le 416-340-2216. Une reprise
sera disponible pendant une semaine, au 1-800-408-3053 ou au
905-694-9451 (composez le code d'identification 3092522#).
La conférence téléphonique sera archivée sur le site Web de BCE
sous Appel conférence sur les résultats T4 2013 de BCE. Le fichier
MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page,
peu de temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non
auditée.
1. |
Le terme BAIIA n'a pas de définition normalisée en vertu
des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA comme les produits opérationnels moins les
coûts opérationnels, comme il est présenté dans les comptes
consolidés de résultat de BCE. Nous utilisons le BAIIA pour évaluer
la performance de nos entreprises puisqu'il reflète leur
rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la capacité d'une société
d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres
obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante
servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des
télécommunications. Le BAIIA est également un facteur dans la
détermination de la rémunération incitative à court terme pour
l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière
selon les IFRS directement comparable au BAIIA. Pour remédier à la
situation, le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice
net et du BAIIA de BCE. |
(en millions de dollars) |
|
|
|
|
31 décembre |
T4 2013 |
T4 2012 |
2013 |
2012 |
Bénéfice net |
593 |
765 |
2 388 |
2 876 |
Coûts liés aux indemnités de départ,
aux acquisitions et autres |
48 |
69 |
406 |
133 |
Amortissement des immobilisations
corporelles |
695 |
693 |
2 734 |
2 678 |
Amortissement des immobilisations
incorporelles |
160 |
175 |
646 |
714 |
Charges financières |
|
|
|
|
|
Charge d'intérêts |
240 |
224 |
931 |
865 |
|
Intérêt lié aux obligations au titre des avantages
postérieurs à l'emploi |
37 |
32 |
150 |
131 |
Autres produits (charges) |
(1) |
(243) |
6 |
(269) |
Impôt sur le résultat |
226 |
181 |
828 |
760 |
BAIIA |
1 998 |
1 896 |
8 089 |
7 888 |
2. |
Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté
n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc
peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le
bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes
nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la
dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté
par action ordinaire de BCE Inc. Nous utilisons le bénéfice net
ajusté et le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs
et analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer la
performance de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits
nets) pertes nettes sur placements et des primes au remboursement
anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et de la
participation ne donnant pas le contrôle. Nous excluons ces
éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et le bénéfice par action sont les mesures
financières selon les IFRS les plus comparables. Le tableau
ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et du bénéfice par action avec le bénéfice
net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire
de BCE Inc. (BPA ajusté), respectivement.
|
(en millions de dollars, sauf les montants par
action) |
|
T4
2013 |
T4
2012 |
2013 |
2012 |
|
Total |
Par
action |
Total |
Par
action |
Total |
Par
action |
Total |
Par
action |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires |
495 |
0,64 |
666 |
0,86 |
1 975 |
2,55 |
2 456 |
3,17 |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et
autres |
33 |
0,04 |
46 |
0,06 |
299 |
0,38 |
94 |
0,12 |
Pertes nettes (profits nets) sur placements |
12 |
0,02 |
(248) |
(0,32) |
7 |
0,01 |
(256) |
(0,33) |
Primes au remboursement anticipé de la dette |
- |
- |
- |
- |
36 |
0,05 |
- |
- |
Bénéfice net ajusté |
540 |
0,70 |
464 |
0,60 |
2 317 |
2,99 |
2 294 |
2,96
|
3. |
Le terme flux de trésorerie disponibles n'a pas de
définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable
qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées
par d'autres émetteurs. Nous définissons les flux de trésorerie
disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités
opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions
payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de
retraite, plus les dividendes reçus de Bell Aliant, moins les
dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées,
les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux
détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux
de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux
de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la
solidité financière et du rendement de nos activités, car ils
révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette
et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie
disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents.
Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles sont la
mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau
ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux
activités opérationnelles et des flux de trésorerie disponibles,
sur une base consolidée. |
(en millions de dollars) |
|
|
|
|
|
T4 2013 |
T4 2012 |
2013 |
2012 |
Flux de trésorerie liés aux activités
opérationnelles |
1 838 |
863 |
6 476 |
5 560 |
Dividendes de Bell Aliant payés à BCE |
48 |
48 |
191 |
191 |
Dépenses d'investissement |
(1 139) |
(914) |
(3 571) |
(3 515) |
Dividendes en espèces payés sur actions
privilégiées |
(31) |
(39) |
(127) |
(133) |
Dividendes en espèces payés par des filiales aux
détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle |
(68) |
(85) |
(283) |
(340) |
Coûts liés aux acquisitions payés |
30 |
5 |
80 |
101 |
Cotisation volontaire au régime de retraite à
prestations définies |
- |
750 |
- |
750 |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant |
(4) |
(23) |
(195) |
(186) |
Flux de trésorerie disponibles |
674 |
605 |
2 571 |
2 428 |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y
compris, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière pour 2014 (ce qui comprend les produits des
activités ordinaires, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA
ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives
commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités
stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé, la
politique de dividendes sur actions ordinaires et le ratio de
distribution cible de BCE pour 2014, nos plans de déploiement pour
les réseaux de fibre à large bande, le service de télé IP et les
réseaux sans fil, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas
des faits historiques, constituent des déclarations prospectives.
Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation,
objectif, perspective, plan, stratégie, cible et d'autres
expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le
futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser,
s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier,
chercher à et aspirer à, permettent de repérer les
déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives
sont faites conformément aux dispositions refuges prévues dans les
lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et
dans la loi américaine intitulée Private Securities Litigation
Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu
à la possibilité que les résultats ou les événements réels
diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou
sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos
perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités
stratégiques ne soient pas atteints. Par conséquent, nous ne
pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et
nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le
fait de s'appuyer sur ces déclarations prospectives. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
décrivent nos attentes en date du 6 février 2014 et, par conséquent, pourraient changer après
cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière
de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement
à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant
dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de
nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni
pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de
BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de
l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments
exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions,
d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres
transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le
6 février 2014. L'incidence financière de ces transactions, de
ces éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut
s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux.
Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence
prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus
touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont
présentées dans le présent communiqué dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2014, ainsi que nos
objectifs, nos priorités stratégiques et notre perspective
commerciale pour 2014, et à mieux
comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que
cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et
aux activités opérationnelles et d'hypothèses financières ont été
formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives pour 2014 contenues dans le présent communiqué, y
compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- une croissance du PIB du Canada de 2,5 % en 2014,
comparativement à la croissance estimative de 1,8 % en 2013,
selon la plus récente estimation de la Banque du Canada;
- une croissance des niveaux d'emploi plus rapide qu'en
2013;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du marché du sans-fil, surtout en raison de l'adoption
accrue des téléphones intelligents, des tablettes et d'autres
appareils 4G, de l'expansion du service LTE dans les marchés non
urbains, de la disponibilité des nouvelles applications et des
nouveaux services de données, ainsi que de l'augmentation de la
population;
- un marché publicitaire relativement stable pour Bell
Média.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles
concernant les Services sur fil de Bell (excluant Bell
Aliant)
- l'élargissement de la couverture du service Bell Télé Fibe, qui
couvrira environ 5 millions de foyers d'ici la fin de 2014,
grâce à l'expansion des zones de couverture des technologies FTTN,
FTTH et FTTB qui couvrent plus de 6 millions
d'emplacements;
- l'apport du service Bell Télé Fibe à la forte croissance
globale des abonnés des services de télé, à de nombreuses ventes
complémentaires de services Internet et à une baisse des pertes au
chapitre des SAR résidentiels permettant la diminution du total des
pertes nettes d'abonnés aux services résidentiels sur fil d'un
exercice à l'autre et une augmentation de la part de marché des
trois produits par foyer;
- l'intensification de la substitution technologique par le
sans-fil et les services Internet;
- la poursuite de la migration de grandes entreprises clientes
vers les systèmes sur IP, l'intensité soutenue de la concurrence
dans les marchés d'affaires de masse et des moyennes entreprises et
les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- la croissance du PMU et l'effet de l'augmentation des tarifs
des produits résidentiels liés au taux de pénétration accru des
trois produits par foyer;
- la poursuite de la concurrence sur les prix et des offres de
rabais promotionnels pour les forfaits de services sur fil aux
clients résidentiels et aux petites entreprises ainsi que pour les
forfaits de services sans fil et les appareils;
- la réalisation d'économies suffisantes sur les coûts
opérationnels et l'amélioration de l'efficience de la main-d'œuvre
dans toute l'organisation de Bell afin de contrebalancer les coûts
liés à la croissance des activations d'abonnés du service Bell Télé
Fibe, à l'érosion continue des services voix sur fil et à la hausse
de l'investissement dans la fidélisation des abonnés du
sans-fil;
- l'amélioration du rendement de notre unité Marchés Affaires
grâce à une forte croissance de l'économie et des niveaux
d'emploi;
- aucune incidence importante de nature financière,
opérationnelle et concurrentielle découlant de modifications
défavorables de la réglementation sur nos activités dans le
sur-fil.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles
concernant les Services sans fil de Bell (excluant Bell
Aliant)
- le maintien de la part de marché de Bell Mobilité des
activations nettes des services postpayés dans le sans-fil pour les
entreprises titulaires;
- un niveau relativement stable, d'un exercice à l'autre et en
pourcentage des produits tirés des services sans fil, de
l'investissement lié au coût d'acquisition d'abonnés par activation
brute et aux dépenses relatives à la fidélisation de la
clientèle;
- la hausse du PMU combiné pour nos services sans fil liée à
l'utilisation accrue des services de données, attribuable à une
plus grande diversité de la clientèle des services postpayés
utilisant des téléphones intelligents et à la consommation
croissante des services de données sur nos réseaux 4G LTE,
ainsi qu'à la hausse des tarifs d'accès pour les nouveaux contrats
d'une durée de deux ans, contrebalancée en partie par la baisse du
PMU de la composante services téléphoniques découlant de la
substitution en faveur des services de données et de la
tarification concurrentielle;
- la réalisation d'économies suffisantes sur les coûts
opérationnels et l'amélioration de l'efficience de la main-d'œuvre
dans toute l'organisation de Bell afin de contrebalancer les coûts
liés à la hausse de l'investissement dans la fidélisation des
abonnés du sans-fil, à la croissance des activations d'abonnés du
service Bell Télé Fibe et à l'érosion continue des services voix
sur fil;
- aucune incidence importante de nature financière,
opérationnelle et concurrentielle découlant de modifications
défavorables de la réglementation sur nos activités dans le
sans-fil;
- l'acquisition de spectre dans la bande de 700 MHz pour les
services sans fil afin d'étendre notre réseau 4G LTE aux
marchés ruraux en vue d'augmenter notre zone de couverture pour
qu'elle rejoigne plus de Canadiens.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles
concernant Bell Média
- la réalisation complète des synergies de coûts découlant de
l'intégration d'Astral au sein de Bell Média;
- aucune incidence importante de nature financière,
opérationnelle et concurrentielle découlant de modifications
défavorables de la réglementation sur nos activités dans les
médias.
Hypothèses financières concernant Bell (excluant Bell
Aliant)
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de Bell pour 2014 :
- le maintien d'une marge consolidée du BAIIA relativement
stable;
- l'augmentation de l'apport au BAIIA des services sans fil et
l'expansion de la marge;
- l'amélioration du rythme de la diminution des produits et du
BAIIA des services sur fil, d'un exercice à l'autre;
- un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de
Bell qui devrait s'établir à environ 310 millions $,
selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,9 %,
qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
d'environ 220 millions $ et d'une charge financière nette
estimative au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
inférieure au BAIIA d'environ 90 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite
totalisant environ 350 millions $;
- des impôts en espèces d'environ 600 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ
750 millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ
775 millions $;
- une évolution du fonds de roulement et des coûts liés aux
indemnités de départ et autres d'environ
175 millions $.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2014 :
- un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de
BCE qui devrait s'établir à environ 390 millions $
comprenant un montant d'environ 80 millions $ lié à Bell
Aliant, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au
titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au
BAIIA d'environ 280 millions $ et d'une charge financière
nette estimative au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi inférieure au BAIIA d'environ
110 millions $;
- une dotation aux amortissements supérieure d'environ
115 millions $ à celle de 2013;
- une charge d'intérêts nette d'environ
900 millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ
0,04 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- une participation ne donnant pas le contrôle d'environ
280 millions $;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,47 $
par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 6 février 2014,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation financière
pour 2014, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos
déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les
résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation
financière pour 2014, dépend essentiellement du rendement de notre
entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques.
Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous
les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter :
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que
l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients
actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies
d'établissement des prix, sur notre PMU et sur nos résultats
financiers;
- notre incapacité à prévoir les changements technologiques et à
nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir
rapidement de nouveaux produits et services;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à réduire l'utilisation
des services voix sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la
fragmentation accrue au sein du marché de la distribution des
services de télé de Bell Télé et des marchés de la télé et de la
radio de Bell Média;
- la variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de
fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions
d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones
intelligents et des rabais sur les combinés;
- les initiatives et procédures réglementaires, les récentes
consultations gouvernementales et les positions gouvernementales
qui nous touchent et qui touchent nos activités;
- la conjoncture économique et les conditions du marché des
capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs,
la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de
ceux-ci;
- la dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une
demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur
celle-ci des conditions économiques et des variations cycliques et
saisonnières;
- la complexité de notre gamme de produits, de nos plans
tarifaires, de nos promotions, de nos plateformes technologiques et
de nos systèmes de facturation;
- notre incapacité à mener les activités liées à l'évolution de
notre réseau filaire et à respecter les échéanciers pour la mise à
niveau et le déploiement du réseau conformément à nos objectifs en
matière d'intensité du capital;
- notre incapacité à répondre aux attentes des clients et à
élaborer un modèle de prestation de services à faible coût;
- notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle de
notre réseau, étant donné une augmentation importante de la demande
pour les services à large bande et du volume du trafic des services
de données sans fil;
- notre incapacité à mettre en œuvre, en temps opportun, ou à
maintenir des systèmes de TI efficaces, ainsi que la complexité de
notre environnement de TI et les coûts qui s'y rapportent;
- notre incapacité à protéger nos centres de données, nos
dossiers électroniques et physiques, ainsi que les renseignements
qu'ils contiennent;
- le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement, et
les interruptions de travail;
- notre incapacité à mettre en œuvre nos impératifs stratégiques
ainsi que nos plans de développement des affaires afin de produire
les avantages attendus, y compris la poursuite de la mise en œuvre
de nos initiatives de réduction des coûts visées;
- une gestion inefficace du changement découlant de
réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que
notre incapacité à intégrer avec succès les nouvelles entreprises
acquises et les unités d'affaires existantes;
- les cotisations accrues aux régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi;
- les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers
fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels
et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- la qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des
clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des
défauts de fabrication;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de
notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre
capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir et à les
remplacer;
- les risques liés aux satellites utilisés par Bell Télé;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier, des
recours collectifs;
- des modifications défavorables aux lois applicables;
- les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les
exigences liées au financement et à la dette et notre incapacité à
accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de
trésorerie liés aux activités opérationnelles suffisants pour la
mise en œuvre de notre plan d'affaires, de même que notre
incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité
et de marché;
- notre incapacité à supprimer certains services dans la mesure
nécessaire pour améliorer la productivité du capital et
l'efficience opérationnelle;
- notre incapacité à rehausser nos pratiques et à effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- le vol de nos services de télé par SRD;
- la violation des droits d'auteur et l'utilisation non autorisée
de notre contenu;
- une majoration des taux d'imposition découlant de nouvelles
taxes ou de modifications aux lois fiscales, ou notre incapacité à
prédire l'issue des audits gouvernementaux;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils et de l'équipement sans
fil;
- notre incapacité à maintenir le service à la clientèle et à
assurer le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des
pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
- la dépendance de BCE à l'égard de la capacité de ses filiales,
partenariats et des autres entités dans lesquelles elle détient une
participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute
autre distribution;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- la volatilité des marchés boursiers;
- notre incapacité à mener à bien le reste des dessaisissements
exigés par le Bureau de la concurrence et le CRTC à la suite de
l'acquisition d'Astral.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats.
Nous encourageons les investisseurs à lire également l'Avis
concernant les déclarations prospectives de BCE, daté du
6 février 2014, pour obtenir plus de détails au sujet de
certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, ce document étant déposé
par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs
mobilières (disponible au Sedar.com) et de la Securities and
Exchange Commission des États-Unis (disponible au SEC.gov. Ce
document est également disponible au BCE.ca.
L'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE, daté du
6 février 2014, est intégré par
renvoi dans le présent communiqué de presse. Pour obtenir plus de
renseignements, veuillez consulter les présentations intitulées
Appel conférence sur les résultats T4 2013 et l'orientation financière 2014 de BCE,
datées du 6 février 2014, disponibles sur le site Web de
BCE.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et
fournit un ensemble complet et novateur de services de
communications à large bande à ses clients résidentiels et
d'affaires, sous les marques Bell et Bell Aliant. Bell Média est la
première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des
actifs dans les secteurs de la télévision, de la radio et des
médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision du
Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays.
L'initiative en santé mentale de Bell, nommée « Bell Cause
pour la cause », est un programme de bienfaisance et de
sensibilisation d'envergure nationale, dédié à la promotion de la
santé mentale au Canada par l'intermédiaire d'une campagne de lutte
contre la stigmatisation marquée par la Journée Bell Cause pour la
cause et du financement important fourni par Bell pour l'accès aux
soins communautaires, la recherche et les initiatives au travail.
Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca. Pour de
l'information sur les produits et services de Bell, visitez le site
Bell.ca. Pour de l'information sur Bell Média, visitez le site
BellMedia.ca.
SOURCE Bell Canada