Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en
garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans ce
communiqué de presse.
- Résultats du T1 et mesures en réponse à la COVID‑19 qui
soulignent la solidité financière de BCE et l'excellence de ses
réseaux à large bande sur fil, sans fil et de diffusion
- Augmentation du BAIIA ajusté de BCE de 1,4 % découlant de la
forte croissance d'un exercice à l'autre de 4,0 % pour les Services
sans fil de Bell et de 0,5 % pour les Services sur fil de Bell, ce
qui a généré des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation de 1 451 millions $ et des flux de trésorerie
disponibles de 627 millions $
- 45 042 ajouts nets d'abonnés des services sans fil, Internet
et de télé IP de détail au total
- Résultats de Bell Média touchés par le ralentissement du
marché publicitaire dans l'ensemble du secteur en raison de la
COVID‑19
- Bénéfice net de 733 millions $; bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires de 680 millions $, ou 0,75 $ par action
ordinaire; bénéfice net ajusté de 720 millions $ générant un BPA
ajusté de 0,80 $
- Retrait des orientations financières pour 2020 en raison de
l'incertitude autour de la durée et des répercussions de la
COVID‑19
- Marge de manœuvre financière
considérable pour gérer les activités pendant la crise de COVID‑19,
avec 3,2 milliards $ en trésorerie à la fin du T1 et une génération
de flux de trésorerie disponibles substantiels pour les dépenses
d'investissement prévues en 2020 et
le versement de dividendes sur actions ordinaires de BCE
- Dividende sur actions ordinaires de 0,8325 $ déclaré pour le
T2, en hausse de 5 % par rapport à l'exercice précédent
MONTRÉAL, le 7 mai 2020 /CNW Telbec/ - BCE Inc.
(TSX: BCE) (NYSE: BCE) a présenté aujourd'hui les résultats du
premier trimestre (T1) de l'exercice 2020.
« En cette période sans précédent, Bell s'efforce de faire
en sorte que les Canadiens restent connectés et informés, de mettre
la priorité sur la sécurité et de soutenir ses clients et les
communautés pendant que nous traversons la crise de COVID‑19
ensemble. Alors que nous célébrons le
140e anniversaire de notre entreprise, l'équipe de
Bell met à profit avec fierté son expérience dans le service aux
Canadiens pour fournir les connexions essentielles aux
consommateurs, aux entreprises, au gouvernement et aux intervenants
de la santé publique en cette période extraordinaire », a
affirmé Mirko Bibic, président et
chef de la direction de BCE et de Bell
Canada. « L'objectif de Bell est de transformer la
façon dont les Canadiens communiquent entre eux et avec le reste du
monde. Nos investissements de premier plan dans le secteur pour
accroître la couverture et la capacité de nos réseaux nous ont
permis de maintenir la disponibilité des réseaux à plus de
99,99 % tout au long de la crise, malgré les hausses
importantes d'utilisation des réseaux sans fil, sur fil et de
diffusion. Bâtir les meilleurs réseaux fait partie des principaux
impératifs stratégiques de Bell, et nous continuerons d'investir
dans les infrastructures de notre réseau et dans l'innovation pour
offrir la meilleure expérience client qui soit. »
« En tant que principal bâtisseur d'infrastructure de
communication au Canada depuis 1880, Bell continuera d'ouvrir
la voie avec des investissements et des innovations dans les
réseaux à mesure que le pays se relèvera de la crise. Bien que nous
ayons retiré nos orientations financières pour 2020 en raison
du contexte de la COVID‑19, nous ne prévoyons pas de changements
dans un avenir rapproché aux dépenses d'investissement ni aux
versements de dividendes prévus pour 2020. La crise a eu un
impact considérable sur les ventes au détail, les produits tirés de
la publicité dans les médias et plusieurs autres secteurs de notre
entreprise au T1, mais nos solides résultats soulignent le statut
de Bell en tant que chef de file dans les innovations touchant les
réseaux et les services, et le travail toujours exemplaire de son
équipe », a ajouté M. Bibic.
PRINCIPES OPÉRATIONNELS PENDANT LA CRISE DE COVID‑19
En tant que première entreprise de communications du Canada, Bell
continue de fournir des services essentiels pour soutenir les
consommateurs, les entreprises, les gouvernements et les
intervenants de la santé publique pendant la crise de COVID‑19.
Nous sommes guidés par trois principes opérationnels clés durant la
crise : Faire en sorte que les Canadiens restent connectés et
informés; Mettre la priorité sur la santé et la sécurité du public,
de nos clients et de notre équipe; et Soutenir nos clients et les
communautés.
Faire en sorte que les Canadiens restent connectés et
informés
- Accélération des investissements dans la capacité, la fiabilité
et la redondance des réseaux afin de gérer les hausses importantes
d'utilisation des réseaux attribuables au télétravail, à
l'isolement volontaire et en soutien aux interventions du
gouvernement et des services d'urgence.
- Cela représente notamment des augmentations de la transmission
de données sur Internet jusqu'à 60 % le jour et jusqu'à 20 % en
soirée; une croissance de 40 % de l'utilisation du service Internet
résidentiel sans fil en zone rurale; des hausses de 25 % du
visionnement de la télé en direct et de 75 % pour Crave; des fortes
hausses des volumes de trafic voix sur fil pouvant atteindre 200 %
aux heures de pointe; et une augmentation de 250 % des conférences
téléphoniques, en plus de la demande accrue des services 1‑800 pour
prendre en charge les lignes d'information de la santé publique et
d'autres services d'information gouvernementaux.
- Déploiement accéléré du service Internet résidentiel sans fil,
nouveau ou amélioré, en avril auprès de 137 000 foyers de plus que
prévu initialement dans 180 collectivités rurales.
- Plus de 4 000 agents de service à la clientèle équipés pour le
télétravail et des milliers de membres de l'équipe Bell réaffectés
à des services de première ligne.
- Clientèle encouragée à profiter des options de libre-service
comme le portail en ligne MonBell et l'application mobile; le
libre-service numérique représente plus de 50 % de l'ensemble des
transactions des clients depuis le début de la crise de
COVID‑19.
- Poursuite du programme d'investissement, y compris le
déploiement en cours de la fibre haute vitesse, la préparation du
lancement de la technologie mobile 5G et l'investissement dans des
améliorations de l'expérience client, notamment le traitement de
commandes en ligne, le libre-service numérique et la fonctionnalité
accrue de l'application.
Mettre la priorité sur la santé et la sécurité du public, de
nos clients et de notre équipe
- Procédures strictes d'assainissement et de sécurité mises en
œuvre dans tous nos établissements en conformité avec les plus
récents protocoles de santé publique et équipes dotées des
équipements de protection individuels (EPI) nécessaires.
- Mise en œuvre d'innovations comme le Programme
d'auto-installation et de réparations assistées qui permet aux
techniciens des Services extérieurs d'offrir du soutien aux clients
depuis l'extérieur par communication vocale et liens vidéo.
- Accélération des arrangements de télétravail pour les employés
partout au Canada, soutien du revenu offert aux employés touchés
par les fermetures temporaires ou la réduction de la charge de
travail qui n'ont pas pu être réaffectés à des services de première
ligne et accès amélioré aux services de santé mentale en milieu de
travail.
- Fermeture temporaire des points de vente au détail à l'échelle
du pays, sauf un nombre limité de boutiques ayant pignon sur rue
qui restent ouvertes pour offrir le soutien essentiel à la
clientèle, et accroissement des services de soutien et de vente par
téléphone et en ligne.
- Outre les EPI nécessaires pour l'équipe de Bell, 1,5 million de
masques protecteurs N95 et KN95 ont été acquis et donnés à des
travailleurs de première ligne partout au Canada.
Soutenir nos clients et les communautés
- Annulation des frais de dépassement sur les forfaits Internet
résidentiels sur fil jusqu'au 30 juin et des frais d'itinérance sur
les services sans fil des clients en voyage à l'étranger jusqu'au
30 avril.
- Instauration d'options de paiement souples pour les clients qui
vivent des difficultés financières causées par la crise et
suspension de toutes les nouvelles hausses de prix des
services.
- Visionnement gratuit d'un large éventail de chaînes de
nouvelles, d'émissions familiales et de divertissement de Bell Télé
et essais gratuits de 30 jours offerts par Crave pour les nouveaux
clients.
- Milliers de téléphones intelligents, de tablettes et de minutes
d'utilisation offerts gratuitement à des établissements de soins de
santé, à des refuges et à d'autres fournisseurs de services
sociaux.
- Augmentation de 5 millions $ du financement de l'initiative en
santé mentale Bell Cause pour la cause, y compris un soutien
immédiat aux organismes canadiens qui offrent des services et des
interventions d'urgence aux jeunes et aux familles, comme la
Croix-Rouge canadienne et Jeunesse, J'écoute.
- Présentation par Bell Média du concert-bénéfice exclusivement
canadien Stronger Together, Tous Ensemble le 26 avril, pour
soutenir les travailleurs de première ligne et Banques alimentaires
Canada, avec des dons de plus de 8,6 millions $.
RÉSULTATS DU T1 DE BCE
Faits saillants
financiers
|
|
|
|
|
(en millions $,
sauf les montants par action)
(non audité)
|
T1 2020
|
T1 2019
|
% de
variation
|
BCE
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 680
|
5 734
|
(0,9 %)
|
Bénéfice
net
|
733
|
791
|
(7,3 %)
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
680
|
740
|
(8,1 %)
|
Bénéfice net
ajusté(1)
|
720
|
692
|
4,0 %
|
BAIIA ajusté(2)
|
2 442
|
2 409
|
1,4 %
|
Bénéfice net par
action ordinaire (BPA)
|
0,75
|
0,82
|
(8,5 %)
|
BPA
ajusté(1)
|
0,80
|
0,77
|
3,9 %
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 451
|
1 516
|
(4,3 %)
|
Dépenses
d'investissement
|
783
|
850
|
7,9 %
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
627
|
642
|
(2,3 %)
|
« Malgré la COVID‑19, Bell a enregistré des produits tirés
des services positifs et une croissance du BAIIA ajusté au T1,
qui s'expliquent par l'accroissement continu de la clientèle
d'abonnés des services sans fil à large bande, Internet et de télé
IP et par la réduction de 2,6 % des coûts d'exploitation
totaux. Notre performance financière ce trimestre, dans son
ensemble, y compris les solides flux de trésorerie disponibles
générés pour financer des investissements stratégiques dans
l'infrastructure vitale de nos réseaux, reflète la force, la
résilience et la viabilité de notre entreprise », a affirmé
Glen LeBlanc, chef des affaires
financières de BCE et de Bell
Canada. « Alors que le Canada attend la sortie de
crise, la situation financière de BCE demeure saine, avec
3,2 milliards $ en liquidités, un solide bilan, un accès
continu aux marchés financiers et un profil de flux de trésorerie
disponibles plus qu'adéquat pour répondre aux besoins de liquidité
de BCE pour le reste de l'exercice. »
- Les produits d'exploitation de BCE se sont établis à 5 680
millions $, en baisse de 0,9 % comparativement au T1 2019, en
raison du ralentissement de l'activité économique et commerciale
découlant de la COVID‑19, qui a nui aux résultats financiers de
tous les secteurs opérationnels de Bell.
- Les produits tirés des services ont augmenté de 0,3 % pour
s'établir à 5 058 millions $, du fait de l'augmentation d'un
exercice à l'autre des produits tirés des services sans fil et du
secteur Média. Les produits d'exploitation tirés des produits ont
régressé de 9,7 %, à 622 millions $, ce qui reflète la baisse des
transactions dans le sans-fil en raison de la COVID‑19 et la baisse
des ventes d'équipements de transmission de données des services
sur fil d'affaires.
- Le bénéfice net a diminué de 7,3 %, pour s'établir à 733
millions $, et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires a totalisé 680 millions $, soit 0,75 $ par action, en
baisse de 8,1 % et de 8,5 %, respectivement. Ces baisses
s'expliquent par la hausse des autres charges, principalement des
pertes nettes liées à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres.
Elles ont été partiellement contrebalancées par une augmentation du
BAIIA ajusté et une diminution de l'impôt sur le résultat.
- Le bénéfice net ajusté au T1 s'est établi à 720 millions $, soit
0,80 $ par action ordinaire, comparativement à 692 millions $, soit
0,77 $ par action ordinaire au T1 2019, une hausse de
respectivement 4,0 % et 3,9 %.
- Le BAIIA ajusté a augmenté de 1,4 %, pour s'établir à 2 442
millions $, grâce aux hausses de 4,0 % pour les Services sans fil
de Bell et de 0,5 % pour les Services sur fil de Bell. Le BAIIA
ajusté de Bell Média a diminué de 6,1 %, en raison des
répercussions de la COVID‑19 sur les ventes de publicités dans
l'ensemble du secteur.
- La marge du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a
augmenté de 1,0 point de pourcentage, passant à 43,0 %, ce qui
reflète une diminution de 2,6 % des coûts d'exploitation découlant
d'une baisse des dépenses variables relatives à l'acquisition
d'abonnés, y compris les rabais sur les appareils mobiles, et un
recul, d'un exercice à l'autre, des ventes de produits sur fil
générant de faibles marges.
- Les dépenses d'investissement de BCE ont totalisé 783 millions
$, contre 850 millions $ au T1 de l'exercice précédent, ce qui
représente une amélioration du ratio d'intensité du
capital(4) de 13,8 %, comparativement à 14,8 % au T1 de
l'exercice précédent, qui s'explique par le calendrier des dépenses
d'investissement. Les dépenses d'investissement ont été concentrées
dans l'amélioration de la capacité de notre réseau pour gérer la
hausse de la demande pendant la crise de COVID‑19, ainsi que dans
nos réseaux optique et LTE et dans la préparation de l'arrivée de
la technologie mobile 5G.
- Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont établis à 1 451 millions $, en baisse de 4,3 % par rapport
au T1 2019. Cette diminution s'explique par l'augmentation des
paiements d'intérêts et la réduction des rentrées de trésorerie
provenant du fonds de roulement, imputable en partie au
ralentissement des recouvrements des débiteurs et à l'augmentation
du stock d'appareils mobiles liés à la COVID‑19. Ces facteurs ont
été contrebalancés par le report de la date limite des paiements
des versements de l'impôt sur le résultat, une des mesures de
soutien du gouvernement face à la COVID‑19, par une augmentation du
BAIIA ajusté et par une diminution des paiements au titre des
indemnités de départ et autres.
- Les flux de trésorerie disponibles ont diminué de 2,3 %, pour
s'établir à 627 millions $ par rapport à 642 millions $ au T1 de
l'exercice précédent, du fait de la diminution des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation, exclusion faite des
coûts liés aux acquisitions et autres payés, en partie
contrebalancée par la diminution des dépenses
d'investissement.
FAITS SAILLANTS DU T1 SUR LES ABONNÉS
- BCE a enregistré 19 595 nouveaux abonnés nets des services sans
fil (23 650 abonnés des services postpayés et une perte nette de 4
055 abonnés des services prépayés), 22 595 nouveaux abonnés nets
des services Internet de détail, 2 852 nouveaux abonnés nets des
services de télé IP, une perte nette de 21 407 abonnés du service
de télé par satellite de détail et une perte nette de 61 595
abonnés des SAR résidentiels de détail.
- Les connexions de BCE dans les services sans fil et les
services Internet, de télé et SAR résidentiels de
détail(4) totalisaient 18 945 550, soit une hausse de
2,0 % par rapport au T1 2019. Ce total inclut 9 977 557 abonnés du
sans-fil, soit une hausse de 5,2 % (y compris les 9 183 590 abonnés
des services postpayés, soit une augmentation de 4,3 %, et les 793
967 abonnés des services prépayés, soit une augmentation de 18,0
%), 3 578 196 abonnés des services Internet de détail, soit une
augmentation de 3,9 %, 2 753 909 abonnés des services de télé de
détail, soit une diminution de 0,4 % (y compris les 1 770 034
abonnés des services de télé IP, soit une augmentation de 4,3 %, et
983 875 abonnés du service de télé par satellite de détail, soit
une diminution de 7,9 %) et 2 635 888 abonnés des SAR résidentiels
de détail, soit une diminution de 8,9 %.
FAITS RÉCENTS DU T1 TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
- Bell Média a reçu l'approbation du CRTC pour l'acquisition du
réseau de télévision généraliste V et du service de vidéo sur
demande Noovo.ca auprès de Groupe V Média. Cette transaction
assurera la viabilité de la programmation francophone de nouvelles
et de divertissement de V, préservera des emplois et améliorera le
choix et la concurrence dans le secteur des médias du Québec.
- Dans le cadre du plan d'investissement de 1 milliard $ de Bell
pour le Manitoba, Bell MTS a
annoncé un investissement de 400 millions $ pour fournir des
connexions au réseau entièrement optique à 275 000 foyers et
entreprises de Winnipeg, ainsi que
pour l'expansion du réseau de fibre optique à la ville de
La Salle, située dans la
municipalité rurale de Macdonald
au Manitoba. Bell MTS a déjà
étendu la couverture du réseau entièrement optique de Bell à plus
de 30 nouvelles collectivités de la province, des petites comme des
grandes.
- Bell est devenue le partenaire canadien de Quibi, en
fournissant du contenu de CTV News et du contenu sportif de TSN à
la nouvelle plateforme mobile de divertissement vidéo et en faisant
la commercialisation de ce service par l'intermédiaire des canaux
de Bell Mobilité.
- Bell Mobilité a lancé son offre de nouveaux téléphones
intelligents 5G, la série Samsung Galaxy S20 5G et le LG V60 ThinQ
5G Dual Screen, ainsi que le iPhone SE de deuxième génération
d'Apple et le Samsung's Galaxy Z Flip, le premier téléphone
intelligent pliable.
- Après une Journée Bell Cause pour la cause record le 29
janvier, Bell a annoncé le prolongement de l'initiative Bell Cause
pour la cause jusqu'en 2025 et une hausse de son engagement
financier en santé mentale à 150 millions $ - qui a par la suite
été bonifié à 155 millions $ avec 5 millions $ additionnels pour
aider les jeunes, les familles et les collectivités à faire face à
la COVID‑19. Bell Cause pour la cause a également annoncé un
partenariat de 10 millions $ avec la Fondation Graham Boeckh de
Montréal afin de soutenir les services en santé mentale pour les
jeunes partout au Canada.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DU T1 PAR SECTEUR
Afin de
refléter les changements liés à la façon dont nous gérons nos
activités et nous évaluons le rendement, notre secteur Services sur
fil de Bell inclut maintenant les résultats d'exploitation de notre
réseau de radiocommunications terrestres pour la sécurité publique,
avec prise d'effet le 1er janvier 2020, et les
chiffres des périodes antérieures ont été retraités à des fins de
comparaison. Auparavant, ces résultats étaient inclus dans notre
secteur Services sans fil de Bell. Notre réseau de
radiocommunications terrestres pour la sécurité publique, qui bâtit
et gère des réseaux de radiocommunications mobiles terrestres
destinés principalement au secteur public, est désormais géré par
notre équipe Bell des marchés d'affaires afin de mieux servir nos
clients avec des solutions de communications clés en main.
Services sans fil de Bell
- Les produits d'exploitation totaux ont reculé de 2,0 % à 2 035
millions $, en raison de la diminution des produits tirés des
services, qui a été en partie compensée par une augmentation d'un
exercice à l'autre des produits tirés des services.
- Les produits tirés des services ont augmenté de 0,5 %, pour
s'établir à 1 547 millions $, ce qui est principalement attribuable
à la croissance de la clientèle d'abonnés des services postpayés et
prépayés par rapport au T1 de l'exercice précédent.
- La baisse de 9,1 % des produits d'exploitation tirés des
produits, à 488 millions $, s'explique par la diminution des
transactions des clients attribuable à la perturbation des canaux
de vente au détail causée par la pandémie de COVID‑19.
- Le BAIIA ajusté des services sans fil a augmenté de 4,0 %, pour
s'établir à 928 millions $, ce qui a permis de dégager une
augmentation de 2,7 points de pourcentage de la marge, à 45,6 %.
Cette augmentation résulte de la progression de la croissance des
produits tirés des services et de la diminution de 6,6 % des coûts
d'exploitation, entraînée par la baisse du coût des produits
vendus, en raison de la baisse des ventes de téléphones
intelligents, et par la diminution des dépenses variables relatives
à l'acquisition d'abonnés.
- Bell a ajouté 19 595 nouveaux abonnés nets des services
postpayés et prépayés au total, comparativement à 38 282 au T1
2019.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont totalisé
23 650, en baisse par rapport à 50 204 au T1 2019. La fermeture
temporaire des commerces de détail et les incidences sur les
centres d'appel en raison de la COVID‑19 se sont répercutées sur
les abonnés et l'activité promotionnelle, ce qui a fait baisser de
11,9 % les ajouts bruts d'abonnés des services postpayés au T1.
Cette baisse a cependant été contrebalancée par une diminution de
0,1 point de pourcentage du taux de désabonnement(4), à
0,97 %, notre meilleur taux à ce jour, ce qui reflète le niveau
d'activité moins élevé sur le marché du fait de la COVID‑19.
- Les pertes nettes d'abonnés des services prépayés ont diminué
de 66,0 %, pour s'établir à 4 055 abonnés par rapport à 11 922
abonnés au T1 2019, ce qui reflète une hausse de 38,2 % des ajouts
bruts découlant de la demande forte et soutenue pour Lucky Mobile,
notre service prépayé à faible coût. Le taux de désabonnement des
services prépayés a augmenté de 0,54 point de pourcentage pour
s'établir à 5,03 %, principalement en raison de l'intensification
de la concurrence dans le marché des services mobiles
économiques.
- La clientèle totale des services sans fil de Bell s'établissait
à 9 977 557 à la fin du T1, une hausse de 5,2 % par rapport au T1
2019, ce qui comprend 9 183 590 abonnés des services postpayés, en
hausse de 4,3 %, et 793 967 abonnés des services prépayés, en
hausse de 18,0 %.
- La facturation moyenne par utilisateur (FMU)
combinée(4) a diminué de 2,7 %, pour s'établir à 65,53
$, principalement en raison de la baisse des produits tirés des
frais de dépassement de données, qui s'explique par la hausse du
nombre d'abonnés ayant des forfaits de données illimitées et des
forfaits de paiements par versements; de l'effet dilutif de
l'augmentation du nombre d'abonnés des services prépayés; et de la
diminution des produits tirés des services d'itinérance,
attribuable à la réduction des voyages et à l'annulation des frais
d'itinérance entraînées par la pandémie de COVID‑19.
Services sur fil de Bell
- Le total des produits d'exploitation a diminué de 0,7 % au T1,
à 3 076 millions $.
- Les produits tirés des services sont demeurés essentiellement
stables d'un exercice à l'autre, en baisse de 0,1 % pour s'établir
à 2 941 millions $. En effet, la diminution des produits tirés des
services voix, dans les SAR traditionnels et les services
interurbains, et des services de télé par satellite a été largement
compensée par la hausse des produits tirés des données, attribuable
à la hausse du nombre d'abonnés aux services Internet de détail et
aux services de télé IP.
- La baisse de 11,8 % des produits tirés des produits, qui se
sont établis à 135 millions $, est imputable à une diminution des
ventes d'équipements de transmission de données générant de faibles
marges aux grandes entreprises clientes, la croissance ayant été
solide au T1 2019, et au fait que les
clients ont reporté leurs dépenses en raison du contexte économique
actuel.
- Le BAIIA ajusté des services sur fil a augmenté de 0,5 % au T1,
pour s'établir à 1 359 millions $. Cela a donné lieu à une hausse
de 50 points de base de la marge, à 44,2 %, les coûts
d'exploitation ayant baissé de 1,6 % en raison d'une diminution des
ventes de produits, des coûts de la main-d'œuvre et des coûts
relatifs à la programmation télévisuelle, ainsi que de
l'amélioration des rapports coûts-efficacité due à des changements
aux méthodes de prestation de services aux clients et aux dépenses
discrétionnaires dans le contexte de la COVID‑19.
- Bell a ajouté 22 595 nouveaux abonnés des services Internet de
détail, comparativement à 22 671 au T1 2019. En effet, les
activations résidentielles brutes ont augmenté, en raison de
l'expansion de la couverture du réseau de fibre au moyen de
connexions directes et du service Internet résidentiel sans fil de
Bell, et les désactivations d'abonnés ont diminué pendant la
pandémie de COVID‑19. Ces résultats ont cependant été
contrebalancés par la hausse des pertes nettes d'abonnés dans le
secteur des affaires, attribuable à la fermeture des entreprises
non essentielles pendant la crise.
- La clientèle des services Internet de détail totalisait 3 578
196 abonnés à la fin du T1, une augmentation de 3,9 % par rapport
au T1 de l'exercice précédent.
- Bell Télé a ajouté 2 852 nouveaux abonnés nets des services de
télé IP de détail, en baisse par rapport à 20 916 au T1 2019, en
raison du taux de saturation accru des services Télé Fibe et Alt
Télé de Bell, de la substitution constante en faveur des services
de télé par contournement et du nombre réduit de clients qui
installent de nouveaux services télé dans le contexte de la
pandémie de COVID‑19. Bell comptait 1 770 034 abonnés des services
de télé IP de détail à la fin du T1, soit une hausse de 4,3 % par
rapport au T1 2019.
- Les pertes nettes d'abonnés du service de télé par satellite de
détail ont diminué de 4,8 %, passant de 22 476 au T1 2019 à 21 407,
en raison de la baisse des désactivations d'abonnés.
- À la fin du T1, Bell comptait 2 753 909 abonnés des services de
télé IP et de télé par satellite de détail, soit une baisse de 0,4
% par rapport au T1 2019.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels de détail se
sont établies à 61 595 au T1, une baisse de 7,8 % découlant d'une
diminution du nombre de clients ayant des forfaits promotionnels
expirés et d'une plus grande fidélisation de la clientèle
attribuable à la COVID‑19. À la fin du T1, la clientèle des SAR
résidentiels de détail de Bell totalisait 2 635 888 abonnés, une
diminution de 8,9 % par rapport au T1 de l'exercice précédent.
Bell Média
- Les produits d'exploitation de Bell Média ont augmenté de 0,9
%, pour s'établir à 752 millions $, du fait de l'augmentation des
produits tirés des frais d'abonnement découlant de la croissance de
Crave par rapport au T1 de l'exercice précédent et des
renouvellements de contrats avec des fournisseurs de services de
télé.
- Les produits tirés de la publicité ont été inférieurs à ceux du
T1 2019, principalement en raison de l'incidence de la COVID‑19 sur
les dépenses des clients sur toutes les plateformes publicitaires -
télé, radio, affichage et médias numériques - l'activité
commerciale ayant été considérablement ralentie, les saisons des
grandes ligues sportives ayant été suspendues et d'autres
événements en direct ayant été annulés pendant la crise.
- Le BAIIA ajusté a diminué de 6,1 %, à 155 millions $, en raison
de la baisse des produits tirés de la publicité et de la hausse des
coûts d'exploitation découlant principalement de l'expansion
continue du contenu de Crave et des droits de diffusion du Super
Bowl.
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,8325 $ par action ordinaire, payable le
15 juillet 2020 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 juin 2020.
PERSPECTIVES FINANCIÈRES
Étant donné la vitesse à
laquelle évolue la pandémie de COVID‑19 et l'incertitude quant à sa
gravité, sa durée et ses conséquences possibles, nous ne sommes pas
en mesure, pour le moment, d'estimer les répercussions qu'aura la
crise sur nos activités ou sur nos résultats financiers futurs et
les hypothèses connexes. La mesure dans laquelle la pandémie de
COVID‑19 continuera d'avoir une incidence sur nos activités, notre
situation financière, notre liquidité et nos résultats financiers
dépendra de l'évolution future de la situation, laquelle est
inconnue et impossible à prévoir, de même que des nouvelles
informations qui pourraient être dévoilées concernant la gravité et
la durée de cette pandémie et les actions requises pour juguler le
coronavirus ou remédier à ses effets, entre autres choses. En
conséquence, compte tenu du contexte inédit et hautement incertain,
BCE retire toutes les orientations financières pour 2020
qu'elle avait annoncées le 6 février 2020.
Les assises commerciales sous-jacentes de BCE restent solides.
Notre situation de trésorerie robuste, qui repose sur un bilan
sain, la génération de flux de trésorerie disponibles substantiels
et l'accès aux marchés des capitaux d'emprunt et des capitaux
bancaires, devrait nous procurer une marge de manœuvre financière
considérable pour réaliser nos dépenses d'investissement prévues
en 2020 et pour soutenir les versements de dividendes sur
actions ordinaires de BCE dans un avenir prévisible.
Veuillez consulter le rapport de gestion du T1 2020 de BCE,
entre autres les sections Vue d'ensemble (introduction de la
section 1), Hypothèses (section 1.3), Liquidité
(section 4.7) et Risques d'entreprise (section 6), pour en
savoir plus sur les conséquences à ce jour et les conséquences
potentielles futures de la pandémie de COVID‑19 sur notre
entreprise, notre situation financière, nos liquidités et nos
résultats financiers.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T1 2020, le jeudi 7 mai, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1‑800‑806‑5484 ou le 416‑340‑2217 et utilisez le code
d'identification 4789815#. Une reprise sera disponible jusqu'à
minuit le 5 juin 2020 au 1800408‑3053 ou au
905‑694‑9451 (composez le code
d'identification 3452793 #).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une
webdiffusion en direct sur le site Web de BCE, à Téléconférence sur
les résultats de BCE pour le T1 2020. Le fichier MP3 sera
également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de
temps après la téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non
auditée.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de
définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est donc peu
probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le bénéfice net
ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, les pertes nettes (profits nets) lié(e)s à
la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture
économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui
sont réglés en instruments de capitaux propres, les pertes nettes
(profits nets) sur placements, les coûts liés au remboursement
anticipé de la dette et les charges pour perte de valeur, déduction
faite de l'impôt et des participations ne donnant pas le contrôle
(PNDPC). Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net
ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net
ajusté et le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs
et analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer la
performance de nos activités avant l'incidence des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres,
des pertes nettes (profits nets) sur placements, des coûts liés au
remboursement anticipé de la dette et des charges pour perte de
valeur, déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces
éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières
conformes aux normes IFRS les plus comparables. Le tableau suivant
présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté,
préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA
ajusté), respectivement.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T1 2020
|
T1 2019
|
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
680
|
0,75
|
740
|
0,82
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
12
|
0,01
|
18
|
0,02
|
Pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux
propres
|
20
|
0,03
|
(73)
|
(0,07)
|
(Profits nets) pertes
nettes sur placements
|
(9)
|
(0,01)
|
4
|
-
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
12
|
0,01
|
-
|
-
|
Charges pour perte de
valeur
|
5
|
0,01
|
3
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
720
|
0,80
|
692
|
0,77
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA ajusté n'ont pas
de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est donc peu
probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le
BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins les coûts
d'exploitation, comme il est présenté dans les états consolidés du
résultat net de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 3,
Information sectorielle, des états financiers consolidés du
T1 2020 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté
comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous
utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer
la performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur
rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une
société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à
d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure
courante servant à évaluer les entreprises dans le secteur des
télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA
ajusté est également un facteur dans la détermination de la
rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des
dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière conforme aux
normes IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge du
BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau suivant
présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions de
dollars)
|
|
T1 2020
|
T1 2019
|
Bénéfice
net
|
733
|
791
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
16
|
24
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
868
|
882
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
234
|
221
|
Charges
financières
|
|
|
Charges
d'intérêts
|
279
|
283
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
12
|
16
|
Autres charges
(produits)
|
55
|
(101)
|
Impôt sur le
résultat
|
245
|
293
|
BAIIA
ajusté
|
2 442
|
2 409
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 680
|
5 734
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
43,0 %
|
42,0 %
|
(3) Le terme flux de trésorerie disponibles n'a pas de
définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est donc peu
probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons les flux de
trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux
acquisitions et autres payés, qui comprennent les coûts importants
liés aux litiges, et du financement des cotisations volontaires aux
régimes de retraite, moins les dépenses d'investissement, les
dividendes sur actions privilégiées et les dividendes payés par des
filiales aux détenteurs de PNDPC. Nous excluons les coûts liés aux
acquisitions et autres payés et le financement des cotisations
volontaires aux régimes de retraite parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles
pour payer des dividendes sur actions ordinaires, rembourser la
dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie
disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents
et pour évaluer la solidité financière et la performance de nos
activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
sont la mesure financière conforme aux normes IFRS la plus
comparable. Le tableau suivant présente un rapprochement des flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions de
dollars)
|
|
T1 2020
|
T1 2019
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 451
|
1 516
|
Dépenses
d'investissement
|
(783)
|
(850)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(36)
|
(26)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de
PNDPC
|
(14)
|
(27)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
9
|
29
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
627
|
642
|
(4) Nous utilisons la FMU, le taux de désabonnement, l'intensité
du capital et les unités d'abonnement afin d'évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations portant sur les
effets possibles sur nos activités, notre situation financière,
notre liquidité et nos résultats financiers de la pandémie de
COVID‑19, le dividende sur actions ordinaires annualisé de BCE
pour 2020 et la poursuite du versement de celui-ci dans un
avenir prévisible, nos plans de déploiement pour les réseaux et de
dépenses d'investissement, les sources de liquidités auxquelles
nous prévoyons recourir pour répondre à nos besoins de liquidités
prévus en 2020, les perspectives commerciales, objectifs,
plans et priorités stratégiques de BCE, ainsi que d'autres
déclarations qui ne renvoient pas à des faits historiques.
Habituellement, les termes comme hypothèse, but,
orientation, objectif, perspective,
projet, stratégie, cible et d'autres
expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le
futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser,
s'attendre à, croire, prévoir, avoir
l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform
Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 7 mai 2020 et, par conséquent, pourraient changer
après cette date. Sauf dans la mesure où les lois applicables en
matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons
aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations
prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite
de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence
d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf indication
contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne
tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments exceptionnels,
ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions,
d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui
pourraient être annoncés ou survenir après le 7 mai 2020.
L'incidence financière de ces transactions et de ces éléments
exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend de faits
particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de
manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même
façon que les risques connus touchant nos activités. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
sont présentées dans le but d'aider les investisseurs et les autres
parties à comprendre nos objectifs, priorités stratégiques et
perspectives commerciales, et à mieux comprendre le contexte dans
lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc
mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas
convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les déclarations prospectives
énoncées dans le présent communiqué de presse reposent sur
certaines hypothèses, y compris, sans s'y limiter, les
hypothèses suivantes. Étant donné la vitesse à laquelle évolue la
pandémie de COVID‑19 et l'incertitude quant à sa gravité, sa durée
et ses conséquences possibles, nous ne sommes pas en mesure, pour
le moment, d'estimer les répercussions qu'aura la pandémie sur nos
activités ou sur nos résultats financiers futurs et les hypothèses
connexes. Les hypothèses décrites dans le présent communiqué de
presse et, par conséquent, les déclarations prospectives fondées
sur ces hypothèses, pourraient donc se révéler inexactes.
- Les liquidités que nous tirons de notre solde de trésorerie et
d'équivalents de trésorerie, de la capacité inutilisée de nos
facilités de crédit engagées, de nos flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation, de notre accès continu aux marchés
publics des titres, au marché du crédit bancaire et au marché du
papier commercial grâce à nos notations de première qualité, et de
notre accès continu aux programmes de créances clients titrisées
seront suffisantes pour combler nos besoins de liquidités pour le
reste de 2020
- L'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos secteurs d'activité.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon significative de ceux qui sont
exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives,
comprennent, sans s'y limiter : des pandémies, des épidémies
et d'autres risques pour la santé publique, notamment, en
particulier, la pandémie de COVID‑19, ainsi que la gravité et la
durée de ses conséquences néfastes; notre incapacité d'accéder à
des sources de capital adéquates et de générer des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour
répondre à nos besoins de liquidités; notre incapacité à maintenir
le fonctionnement de nos réseaux dans le contexte de l'augmentation
importante de la demande relativement à la capacité; le risque que
nous puissions devoir engager des dépenses d'investissement
importantes afin de fournir une capacité supplémentaire et de
réduire la congestion sur nos réseaux; notre incapacité à créer une
expérience client positive; les interruptions de travail et les
pénuries de main-d'œuvre; notre dépendance aux tiers fournisseurs,
aux impartiteurs et aux consultants pour exercer nos activités;
l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par
le conseil d'administration de BCE, ni que le dividende sur actions
ordinaires sera majoré; la volatilité liée à l'obligation au titre
des régimes de retraite et les cotisations accrues aux régimes
d'avantages postérieurs à l'emploi; les initiatives, les procédures
et les décisions réglementaires ainsi que les consultations, les
positions, les actions et les mesures gouvernementales qui nous
touchent et qui touchent nos activités; l'intensité de l'activité
de nos concurrents, y compris de concurrents nouveaux et
émergents, jumelée au lancement de nouveaux produits et services;
le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à l'accélération des
perturbations et à la désintermédiation dans chacun de nos secteurs
d'activité; les effets négatifs de l'évolution des habitudes en
matière de visionnement et de l'expansion des fournisseurs de télé
par contournement sur la croissance du nombre d'abonnés et de
téléspectateurs et sur le marché de la publicité; l'augmentation
des coûts du contenu liée au nombre croissant de concurrents
nationaux et mondiaux convoitant le même contenu, et les obstacles
à notre capacité à acquérir ou à concevoir du contenu de premier
plan; la prolifération du piratage de contenu, qui pourrait avoir
une incidence sur notre capacité à monétiser les produits et les
services, et également comprimer la bande passante; la hausse du
taux de pénétration des téléphones intelligents au Canada et du
coût des appareils qui pourrait nuire à la croissance du nombre
d'abonnés et augmenter le coût d'acquisition d'abonnés et de
fidélisation de la clientèle; l'incapacité à protéger nos actifs
corporels et incorporels contre des événements comme des atteintes
à la sécurité de l'information, des incendies et des catastrophes
naturelles; l'incapacité à transformer nos activités en vue de
créer les conditions propices à une expérience véritablement
centrée sur le client, tout en aplanissant notre structure de
coûts; l'incapacité à continuer d'investir dans des fonctions de
prochaine génération; la complexité de nos activités découlant des
multiples plateformes technologiques, systèmes de facturation,
canaux de vente et bases de données de commercialisation, ainsi que
d'une myriade de forfaits, d'offres promotionnelles et de gammes de
produits; l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des
systèmes de TI très performants; l'incapacité à générer les
avantages escomptés de nos restructurations d'entreprises, des
remplacements et des mises à niveau de systèmes, des réductions de
personnel, des refontes de processus, et de l'intégration des
entreprises acquises; l'incapacité de tester, de maintenir, de
remplacer et de mettre à niveau nos réseaux, nos systèmes de TI,
notre équipement et nos autres installations; les risques liés au
matériel en orbite et les autres risques opérationnels auxquels
sont exposés les satellites utilisés pour fournir notre service de
télé par satellite; l'incapacité à attirer des employés possédant
les compétences appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur
performance dans un environnement sûr; les modifications à notre
répertoire de fournisseurs et d'impartiteurs que nous pourrions
décider d'effectuer ou que nous serions tenus d'apporter; l'échec
de nos processus de sélection, de gouvernance et de surveillance
des fournisseurs; le risque lié à la sécurité et à la fuite de
données si les protocoles de contrôle de la sécurité qui concernent
nos fournisseurs sont contournés; la qualité de nos produits et de
nos services et la mesure dans laquelle ils peuvent comporter des
défauts de fabrication ou ne pas être conformes aux normes et aux
règlements gouvernementaux applicables; l'incapacité à gérer les
différents risques de crédit, de liquidité et de marché; des impôts
nouvellement exigés ou plus élevés découlant de l'adoption de
nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées aux lois
fiscales existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à
prévoir l'issue des audits gouvernementaux; l'incapacité à réduire
les coûts, ainsi que toute augmentation imprévue de coûts;
l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses; un
règlement défavorable des litiges, en particulier des actions
collectives; de nouvelles modifications ou des modifications
défavorables aux lois applicables et l'incapacité d'agir en amont
pour ce qui est du respect de nos obligations juridiques et
réglementaires; l'incapacité à comprendre les préoccupations
concernant les changements climatiques ou les attentes du public et
du gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et
à y répondre adéquatement; et les préoccupations en matière de
santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils
et des équipements de communication sans fil.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion du premier trimestre de 2020 de BCE, daté du
6 mai 2020, pour obtenir plus de détails au sujet de
certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant
déposés par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en
valeurs mobilières (disponibles à Sedar.com) et de la Securities
and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ce
document est également disponible à BCE.ca.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE offre des services large bande
évolués sans fil, de télévision, Internet et de communications
d'affaires et exploite Bell Média, première entreprise de création
de contenu et d'actifs média au pays. Pour en savoir plus, visitez
les sites Bell.ca ou BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la
santé mentale au Canada par des campagnes nationales de
sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation comme la
Journée Bell Cause pour la cause, et elle assure un important
financement aux soins communautaires, à la recherche et aux
initiatives de leadership en milieu de travail. Pour en savoir
plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Marie-Eve Francoeur
514 391‑5263
marie-eve.francoeur@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514 870‑4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE BCE inc.