Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
ce communiqué.
- Bénéfice net en hausse de 2,1 %, à 817 millions $; bénéfice
net attribuable aux actionnaires ordinaires en hausse de 2,4 %, à
770 millions $, ou 0,86 $ par action ordinaire; bénéfice net ajusté
de 799 millions $, une hausse de 1,9 %, générant un BPA ajusté de
0,88 $
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de 2
233 millions $, une hausse de 14,9 % entraînant une croissance de
24,4 % des flux de trésorerie disponibles, ce qui soutient les
dépenses d'investissement et le dividende sur les actions
ordinaires
- Produits tirés des services et BAIIA ajusté en hausse de 5,9
% et de 5,8 %, respectivement, dégageant une marge du BAIIA ajusté
plus élevée de 41,7 % du fait de la solide croissance continue dans
le sans-fil, des meilleurs résultats au chapitre du nombre
d'abonnés dans le sur-fil et des synergies découlant de Bell
MTS
- 198 005 ajouts nets d'abonnés des services sans fil
postpayés, Internet et de télé IP au total, une hausse de 8,3
%
- Solide performance opérationnelle dans le sans-fil avec 117
182 ajouts nets d'abonnés des services postpayés, une augmentation
de 9,2 %, une hausse des produits tirés des services de 11,2 % et
une croissance du BAIIA ajusté de 9,4 %
- 80 823 ajouts d'abonnés des services Internet et de télé IP,
une hausse de 6,9 % d'un exercice à l'autre, en raison de
l'expansion rapide de la zone de couverture de notre service de
fibre à large bande et de l'innovation au chapitre des produits
pour la télé IP
- Croissance des produits tirés des services sur fil de 4,1 %
entraînant une augmentation du BAIIA ajusté de 4,4 % et une hausse
de 0,6 point de la marge la plus élevée dans l'industrie à 42,3 %,
ce qui suffit amplement pour continuer d'investir massivement dans
le réseau de fibre à large bande
- Produits tirés du secteur Média en hausse de 1,0 % avec un
BAIIA ajusté stable d'un exercice à l'autre; l'acquisition proposée
des chaînes spécialisées francophones Séries+ et Historia raffermit
la position concurrentielle de Bell Média dans le marché du
Québec
MONTRÉAL, le 2 nov. 2017 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX:
BCE) (NYSE: BCE), la plus grande entreprise de communications
du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats du troisième
trimestre (T3) de 2017.
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
|
|
|
|
(en millions $,
sauf les montants par action) (non audité)
|
|
T3 2017
|
T3 2016
|
% de
variation
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
|
5 678
|
5 407
|
5,0 %
|
Bénéfice
net
|
|
817
|
800
|
2,1 %
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
|
770
|
752
|
2,4 %
|
Bénéfice net
ajusté(1)
|
|
799
|
784
|
1,9 %
|
BAIIA
ajusté(2)
|
|
2 366
|
2 236
|
5,8 %
|
BPA
|
|
0,86
|
0,87
|
(1,1 %)
|
BPA
ajusté(1)
|
|
0,88
|
0,91
|
(3,3 %)
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
|
2 233
|
1 943
|
14,9 %
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
|
1 183
|
951
|
24,4 %
|
« Les avantages concurrentiels que nous procurent les
réseaux de fibre et sans fil évolués de Bell, conjugués à
l'exécution rigoureuse de notre stratégie d'innovation dans le
large bande par l'équipe de Bell partout au Canada, ont permis de
recruter près de 200 000 nouveaux abonnés nets des
services sans fil postpayés à large bande, Internet et de télé IP
au T3 - en hausse de plus de 8 % par rapport à l'exercice
précédent - et de réaliser des progrès substantiels au
chapitre de l'utilisation des réseaux, des produits des activités
ordinaires et de la satisfaction de la clientèle », a déclaré
George Cope, président et chef de la
direction de BCE Inc. et de Bell Canada. « Le déploiement
rapide du réseau Fibe à large bande et du réseau mobile LTE-A de
Bell ainsi que l'innovation des services nous ont permis
d'enregistrer un nombre record d'activations brutes de services
sans fil postpayés au T3 et notre meilleur résultat pour un T3
depuis 2012 au chapitre des ajouts nets aux services postpayés, de
même que de connaître notre premier trimestre marqué par une
augmentation d'un exercice à l'autre de la clientèle combinée des
services Internet et de télé IP depuis le T1 2015 - ce qui comprend
une croissance positive nette de l'ensemble de nos services de télé
au pays. »
« Le réseau LTE de Bell rejoignant 99 % des Canadiens
au T3, et 86 % de nos abonnés des services mobiles utilisant
maintenant le meilleur réseau national au Canada, l'augmentation
considérable de l'utilisation des services de données mobiles a
continué de soutenir la croissance des produits tirés des services
sans fil et du BAIIA ajusté, la plus élevée dans l'industrie. La
forte augmentation de la clientèle d'abonnés des services
Télé Fibe et Internet a entraîné une hausse de 4,4 % du
BAIIA ajusté dans le sur-fil ainsi que des améliorations au
chapitre de la satisfaction de la clientèle en raison de
l'expansion continue de la zone de couverture du service Fibe,
tout en faisant progresser nos résultats dans les SAR résidentiels
et d'affaires. Bell Média a continué de consolider sa position de
leader dans le secteur des multimédias, avec notamment les
émissions les plus regardées à la télé traditionnelle, spécialisée
et payante, ce qui s'est traduit par une croissance des produits
des activités ordinaires et une performance stable du BAIIA ajusté
dans un marché des médias en évolution rapide. »
Bell centre ses efforts sur un objectif clair : être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, ce qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de 6 impératifs stratégiques : investir dans
les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil,
tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans
les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une
structure de coûts concurrentielle. Cette stratégie de leadership
dans les services à large bande a porté ses fruits : réseaux
de fibre et sans fil LTE figurant parmi les plus performants au
monde, solide performance continue dans les services de croissance
que sont les services sans fil, de télé, Internet et de médias,
48 trimestres consécutifs de croissance ininterrompue d'un
exercice à l'autre du BAIIA ajusté et 13 hausses du dividende
par action ordinaire de BCE depuis la fin de 2008, soit une
majoration totale de 97 %.
FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOTRE SOCIÉTÉ
Pour obtenir tous
les détails sur les faits récents de BCE pour ce trimestre,
veuillez vous reporter au Rapport aux actionnaires du T3 2017
de BCE, à BCE.ca.
Le réseau mobile LTE de Bell marque une étape importante en
rejoignant 99 % des Canadiens
- Le réseau LTE de Bell rejoint maintenant 99 % des Canadiens;
c'est la première fois qu'une technologie de télécommunications
sans fil fournit une couverture sur réseau à large bande à la
quasi-totalité de la population du pays.
- Bell poursuit l'expansion de sa couverture afin de suivre le
rythme de la croissance démographique dans les villes, petites et
grandes - ce qui comprend un plan annoncé le 18 septembre visant
l'expansion du service sans fil à large bande à l'ensemble des 25
collectivités du Nunavut.
Simultanément, Northwestel, une filiale de Bell, a annoncé qu'elle
offrira le service Internet à 15 mégabits par seconde (Mbps) dans
ces collectivités en partenariat avec le gouvernement fédéral dans
le cadre du programme Brancher pour innover.
- En tant que chef de file en matière d'innovation dans le
sans-fil au Canada, Bell continue d'accroître les vitesses de
transmission de données mobiles au Canada pour les porter aux mêmes
niveaux que celles des réseaux les plus rapides au monde. LTE
fournit des vitesses théoriques de téléchargement de données allant
jusqu'à 150 Mbps à 99 % de la population du pays, et 82 % de cette
population est maintenant couverte par le service Bell LTE Advanced
(LTE-A), dont les vitesses peuvent atteindre 260 Mbps. Bell rejoint
maintenant 33 % des Canadiens avec le service LTE-A tribande, qui
offre des vitesses théoriques pouvant atteindre 335 Mbps, et 21 %
de la population avec le service de pointe LTE-A quadribande de
Bell, qui offre des vitesses théoriques pouvant atteindre 750
Mbps.
- Bell procède actuellement à de nouveaux essais de la
technologie mobile de cinquième génération (5G) dans les bandes de
28 GHz et de 3,5 GHz avec Huawei, son partenaire de technologie.
Précédemment, Bell a fait la démonstration probante du potentiel de
la technologie 5G dans la bande de 73 GHz en collaboration avec
Nokia en 2016. La technologie 5G permettra d'accroître
considérablement les vitesses de transmission des données, de
diminuer le temps d'attente et d'augmenter la capacité afin de
répondre à la demande créée par les applications pour la diffusion
de vidéos, la réalité virtuelle et l'Internet des objets (IdO).
Bell est membre du consortium Next Generation Mobile Networks,
l'organisme mondial qui définit les exigences de l'écosystème
international 5G.
Bell MTS va de l'avant au Manitoba
- Bell MTS continue de déployer son nouveau service de fibre à
large bande et sans fil au Manitoba, dans le cadre du plan de Bell visant
à investir 1 milliard $ sur 5 ans dans la province.
- Bell Internet Fibe, qui permet des vitesses de téléchargement
allant jusqu'à 940 Mbps, est maintenant offert dans certains
secteurs des localités suivantes : Beausejour, Blumenort, Brandon, Carberry, Dauphin, Dugald, Gimli, Killarney, La
Salle, Lorette,
Minnedosa, Mitchell, Morden, Neepawa, Niverville, Oakbank, Oakbluff, Selkirk, Steinbach, Stonewall, The
Pas, Thompson et
Winkler, en plus du service Fibe
qui est déjà offert dans certains secteurs de Winnipeg.
- Environ 85 % du réseau sans fil de Bell MTS a été mis à niveau
pour permettre d'atteindre les vitesses du réseau LTE-A, notamment
à Winnipeg, Brandon, Portage La
Prairie, Selkirk,
Steinbach, Gimli, Morden, Winkler, Churchill, Thompson, Flin
Flon, Falcon Lake,
East St. Paul et Grand Beach. De plus, la semaine prochaine,
Bell achèvera la couverture sans fil continue le long de
l'important corridor de l'autoroute 75 qui relie Winnipeg à Emerson, à la frontière des États-Unis.
- Bell deviendra le seul télécommunicateur à offrir le service
cellulaire pour la nouvelle montre Apple Watch Series 3 au
Manitoba dès le début de
décembre.
- Ce mois-ci, Bell MTS lancera le service Télé Fibe dans
certaines régions de la province, notamment des fonctions
télévisuelles novatrices exclusives comme « Rejouer », qui permet
de regarder une émission de télé en cours à partir du début ou
jusqu'à 30 heures après son début.
Contrats avec le gouvernement fédéral pour les services sans
fil et de réseau étendu
- Le 3 octobre, Services partagés Canada (SPC) a annoncé le choix
de Bell Mobilité à titre de principal fournisseur du gouvernement
du Canada pour les services cellulaires et les appareils mobiles
pour les 6 prochaines années, avec possibilité de renouvellement.
Bell Mobilité fournira des services de téléphonie, de messagerie
texte et de données et environ 230 000 appareils mobiles aux
employés fédéraux de plus de 100 ministères et agences.
- Le 20 octobre, SPC a octroyé à Bell Marchés Affaires un contrat
de 7 ans pour les services internationaux du réseau étendu du GC -
Volet 3, visant la fourniture de services internationaux de réseau
étendu aux ministères fédéraux, notamment Affaires mondiales,
Défense nationale et Anciens Combattants, dans plus de 140 pays.
Grâce aux capacités des réseaux MPLS et IP de Bell, le réseau du GC
- Volet 3 ouvrira la voie à de nouvelles applications en matière de
services vidéo, de données et de services téléphoniques.
Seule Bell offre tous les plus récents produits mobiles Apple
au Canada
- Le 22 septembre, Bell annonçait l'arrivée de la nouvelle
génération d'appareils iPhone 8 et iPhone 8 Plus, ainsi que l'offre
du service Apple TV 4K, et elle est devenue le seul fournisseur au
Canada (1 sur seulement 13 dans le monde) à offrir le service
cellulaire pour la montre Apple Watch Series 3.
- En plus de soutenir les capacités de réseau avec la technologie
voix sur LTE (VoLTE) pour pouvoir activer les fonctions GPS et
cellulaires de la montre Apple Watch, Bell a également lancé le
service Numéro partagé, un service qui permet aux clients
d'apparier leur montre Apple Watch à leur iPhone utilisant le même
numéro de téléphone.
- Avec l'offre de l'appareil iPhone X dans les magasins Bell et
La Source dès demain, Bell devient le seul fournisseur au Canada à
offrir la gamme complète des produits Apple de dernière
génération.
- Bell a de nouveau enrichi sa gamme d'appareils mobiles de
pointe au T3 avec le téléphone intelligent Google Pixel 2; le Pixel
2 XL, doté d'un plus grand écran, devrait être offert dans les
magasins le 15 novembre.
Ouverture d'un centre de service et d'innovation au
Nouveau-Brunswick de Bell Marchés Affaires
- Le 6 octobre, Bell et le gouvernement du Nouveau-Brunswick ont
annoncé l'ouverture d'un centre de service national à Fredericton, qui créera jusqu'à 150 emplois à
temps plein au cours des 5 prochaines années, notamment des postes
d'analystes techniques, commerciaux et en sécurité, de spécialistes
de l'assurance qualité, de développeurs et de spécialistes de la
gestion de projet. Ce centre permettra d'améliorer la prestation de
solutions de technologie aux grandes entreprises clientes dans
l'Atlantique et ailleurs au Canada tout en facilitant le
développement de nouvelles solutions en cybersécurité.
- Bell a également annoncé un investissement de 100 000 $ dans
l'Institut canadien sur la cybersécurité de l'Université du
Nouveau-Brunswick afin de favoriser la collaboration dans l'un des
secteurs technologiques affichant la croissance la plus rapide au
monde.
Bell Média élargit sa gamme de chaînes francophones et la
couverture de la LNH
- Le 17 octobre, Bell Média a annoncé la conclusion d'une entente
avec Corus Entertainment Inc. pour faire l'acquisition des chaînes
spécialisées francophones Séries+ et Historia. L'ajout de ces
chaînes de premier plan renforcera la gamme d'émissions de télé
francophones de Bell Média dans le marché du Québec. D'une valeur
approximative de 200 millions $, la transaction est assujettie à
l'obtention des approbations réglementaires du gouvernement fédéral
et elle devrait se conclure en 2018.
- TSN et RDS, les services anglophone et francophone de télé
spécialisée dans les sports de Bell Média, ont considérablement
élargi leur couverture régionale de la LNH pour la présente saison
de hockey; ainsi, TSN présentera plus de 190 matchs de la saison
régulière dans 4 marchés et RDS diffusera 119 matchs des Canadiens
de Montréal et des Sénateurs d'Ottawa. TSN présentera également au total 60
matchs de la saison régulière des Jets de Winnipeg aux téléspectateurs du Manitoba.
#BellLetsTalk est le mot-clic le plus populaire de tous les
temps sur Twitter au Canada
- Pour souligner le 10e anniversaire du #mot-clic de
Twitter, le 23 août dernier, le réseau social a annoncé les 5
mots-clics les plus utilisés de tous les temps au Canada, et
#BellLetsTalk arrive en tête. En 2013, Twitter a commencé à
soutenir la Journée Bell Cause pour la cause et, depuis, près de 27
millions de tweets ont été publiés avec le mot-clic #BellLetsTalk
et le mot-clic français #BellCause afin d'encourager la
conversation sur la santé mentale.
- Cette année, le Fonds communautaire Bell Cause pour la cause
appuie 70 organismes locaux de base en santé mentale dans
l'ensemble du Canada. Depuis 2011, 414 groupes communautaires de
première ligne de toutes les régions du pays ont reçu des
subventions provenant du Fonds communautaire annuel. Les demandes
pour le fonds 2018 pourront être envoyées dès janvier sur le site
Bell.ca/cause.
- Bell Cause pour la cause continue d'être reconnue pour ses
travaux innovateurs visant à éliminer la stigmatisation entourant
la maladie mentale et à encourager les initiatives liées aux soins,
à la recherche et au leadership en milieu de travail en santé
mentale. En octobre, Bell Cause pour la cause a reçu le Best
Workplace Initiative Award de Global Carrier Awards 2017 ainsi que
le Prix humanitaire 2018 de l'Académie canadienne du cinéma et de
la télévision.
RÉSULTATS DE BCE
« Nous avons réalisé de bons
résultats dans l'ensemble de nos activités au T3, avec un trimestre
très satisfaisant en ce qui a trait à la croissance des produits
tirés des services, du BAIIA ajusté et de la marge, ce qui découle
de l'excellente performance continue au chapitre de la clientèle
d'abonnés des services sans fil postpayés et des données
financières, de l'augmentation des ajouts nets d'abonnés des
services Internet et de télé IP résidentiels, d'un autre trimestre
marqué par une performance financière stable dans le secteur Média,
ainsi que de l'incidence positive de Bell MTS », a
affirmé Glen LeBlanc, chef des
affaires financières de BCE et de Bell. « La croissance de nos
flux de trésorerie disponibles depuis le début de l'exercice, de
20,1 %, et la solidité de notre bilan justifient amplement
l'augmentation prévue des dépenses d'investissement dans les
réseaux et services à large bande évolués, ce qui est essentiel
pour soutenir la croissance à long terme de nos activités et
atteindre nos objectifs à l'égard des marchés financiers. En outre,
grâce à la récente hausse des taux d'intérêt et aux rendements
solides des actifs, le ratio de solvabilité du régime de retraite à
prestations définies de Bell Canada dépasse maintenant 97 %,
soit sa meilleure position en plus de dix ans ».
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 5,0 % au
T3, pour s'établir à 5 678 millions $. Ce résultat
tient à la croissance de 5,9 % des produits tirés des services
reflétant les hausses enregistrées dans les secteurs Services sans
fil de Bell et Services sur fil de Bell, lesquelles comprennent une
contribution financière positive découlant de l'acquisition de
Manitoba Telecom Services Inc. (MTS) conclue le 17 mars, ainsi
qu'à la croissance du chiffre d'affaires de Bell Média. Les
produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
6,8 %, pour s'établir à 356 millions $, du fait de
la baisse des ventes de produits de données filaires aux clients
d'affaires.
Le bénéfice net a augmenté de 2,1 %, pour s'établir à
817 millions $, tandis que le bénéfice net attribuable
aux actionnaires ordinaires a progressé de 2,4 %, à
770 millions $, soit 0,86 $ par action
comparativement à 0,87 $ par action au T3 2016.
L'augmentation du bénéfice net est attribuable à la croissance des
produits d'exploitation qui a entraîné une augmentation du BAIIA
ajusté, ainsi qu'à la diminution de l'impôt sur le résultat,
partiellement contrebalancées par l'augmentation du montant net au
titre de la dotation aux amortissements et la hausse de la charge
d'intérêts et des autres charges. À l'exclusion des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes
ou des profits nets sur placements, des charges pour perte de
valeur et des coûts relatifs au remboursement anticipé de la dette,
le bénéfice net ajusté a augmenté de 1,9 % au T3, pour
s'établir à 799 millions $, soit 0,88 $ par action
ordinaire, en baisse comparativement à 0,91 $ par action à
l'exercice précédent. Le nombre moyen plus élevé d'actions
ordinaires de BCE en circulation, qui découle des actions émises
aux fins de la composante capitaux propres liée à l'acquisition de
MTS, a entraîné la dilution du bénéfice par action ce
trimestre.
Le BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 5,8 %, pour s'établir
à 2 366 millions $, ce qui s'explique par une
croissance d'un exercice à l'autre de 9,4 % pour les Services
sans fil de Bell et de 4,4 % pour les Services sur fil de
Bell, en raison de la contribution financière de Bell MTS. Le
BAIIA ajusté de Bell Média s'est établi à
187 millions $, ce qui constitue un résultat stable par
rapport à l'exercice précédent.
La marge du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a
augmenté, passant à 41,7 %, contre 41,4 % à l'exercice
précédent, l'incidence de la forte croissance des produits tirés
des services dans le sans-fil, l'accroissement de la portée des
services Internet à large bande, les synergies découlant de
l'intégration de Bell MTS et les économies de coûts plus
importantes liées à la fibre ayant largement compensé les dépenses
accrues d'un exercice à l'autre relatives à la fidélisation de la
clientèle et à l'acquisition d'abonnés des services postpayés dans
le sans-fil, les coûts plus élevés relatifs à l'acquisition
d'abonnés et à la fidélisation de la clientèle des services sur fil
résidentiels pour égaler les offres promotionnelles de forfaits de
services accrocheuses de nos concurrents, les coûts accrus pour le
contenu dans les médias ainsi que l'incidence sur la marge de la
baisse continue au chapitre des services voix traditionnels. La
performance consolidée au chapitre du BAIIA ajusté et de la marge
du BAIIA ajusté au T3 a également été atténuée par l'incidence
négative des décisions du CRTC sur les tarifs Internet de gros et
par les remboursements aux clients pour les services annulés,
l'ensemble de ces facteurs totalisant environ
26 millions $ ce trimestre.
BCE a poursuivi ses investissements, les plus élevés de
l'industrie, dans l'infrastructure de réseaux sur fil et sans fil à
large bande évoluée, le total des dépenses d'investissement
consolidées s'établissant à 1 040 millions $, en
hausse de 6,6 % par rapport au T3 2016, résultat qui
représente une augmentation du ratio d'intensité du
capital(4) (les dépenses d'investissement en pourcentage
du total des produits des activités ordinaires), qui s'est établi à
18,3 % comparativement à 18,1 % à l'exercice précédent.
L'augmentation des dépenses reflète principalement le déploiement
continu de notre réseau de fibre à large bande en vue de brancher
un plus grand nombre de foyers et d'entreprises, ce qui
comprend : la construction de l'infrastructure Fibe Gigabit à
Toronto et dans d'autres centres
urbains; l'accroissement des vitesses du réseau LTE-A sans fil
tenant à l'agrégation de porteuses; le déploiement de la
technologie des petites cellules afin d'optimiser la couverture
mobile, la qualité du signal et les liaisons de raccordement pour
les services de données; l'accroissement de la capacité des réseaux
sans fil et Internet pour soutenir la croissance de la clientèle
ainsi que l'augmentation rapide de l'utilisation des services vidéo
et des autres services de données; l'incidence des acquisitions
réalisées par Astral Affichage et des nouveaux contrats obtenus;
ainsi que la modernisation des studios de diffusion et du matériel
de production télévisuelle de Bell Média. L'augmentation des
dépenses ce trimestre reflète également l'investissement effectué
au Manitoba afin d'améliorer la
couverture, la capacité et les vitesses du réseau ainsi que
l'intégration continue dans les systèmes de Bell des systèmes de
facturation et autres de MTS.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
ont augmenté de 14,9 %, s'établissant à
2 233 millions $ au T3. Cette augmentation résulte
de la croissance du BAIIA ajusté, de l'évolution positive du fonds
de roulement et de la diminution de l'impôt sur le résultat payé,
partiellement contrebalancés par l'augmentation des paiements
d'intérêts, tous ces facteurs reflétant la contribution financière
supplémentaire provenant de Bell MTS ce trimestre. BCE a
généré des flux de trésorerie disponibles de
1 183 millions $ ce trimestre, soit 24,4 % de
plus qu'au T3 de l'exercice précédent, ce qui découle de
l'augmentation des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation, contrebalancée en partie par l'augmentation des
dépenses d'investissement.
Au T3, BCE a enregistré 117 182 nouveaux abonnés nets
des services sans fil postpayés et une perte nette de
10 200 abonnés des services sans fil prépayés,
44 424 nouveaux abonnés nets d'Internet haute vitesse,
36 399 nouveaux abonnés nets du service de télé IP et une
perte nette de 34 661 abonnés du service de télé par
satellite. Les pertes nettes totales au chapitre des SAR
résidentiels et d'affaires se sont établies à 84 762. À la fin
du T3, les connexions clients de BCE dans tous les services
totalisaient 21 991 681, soit une hausse de 5,0 %
par rapport à l'exercice précédent. Ce total inclut
9 008 273 abonnés du sans-fil, soit une hausse de
7,5 % par rapport à l'exercice précédent (y compris les
8 243 446 abonnés des services postpayés, soit une
augmentation de 8,8 %), 3 763 101 abonnés d'Internet
haute vitesse au total, soit une augmentation de 8,8 %,
2 825 754 abonnés des services de télé au total, soit une
augmentation de 2,9 % (y compris les
1 517 833 abonnés du service de télé IP, soit
une augmentation de 16,6 %), et enfin,
6 394 553 abonnés des SAR au total, soit une
augmentation de 0,6 %.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Dans la foulée de la solide
exécution opérationnelle qui se poursuit et de l'accent mis sur la
rentabilité au chapitre des abonnés, les Services sans fil de Bell
ont de nouveau enregistré une performance financière solide ce
trimestre. Les produits tirés des services ont augmenté de
11,2 % pour s'établir à 1 913 millions $, ce
qui reflète la croissance continue de la clientèle d'abonnés des
services postpayés, l'augmentation du produit moyen par utilisateur
(PMU) combiné(4) du fait que les abonnés adoptent des
forfaits à prix plus élevés favorisant l'utilisation accrue des
services de données, ainsi que la contribution financière de
Bell MTS. Les produits d'exploitation tirés des produits sont
demeurés inchangés par rapport au T3 2016, à
127 millions $, malgré le nombre plus élevé de
transactions, en raison des prix concurrentiels découlant des
offres promotionnelles sur les téléphones intelligents. Les
produits d'exploitation totaux ont augmenté de 10,4 % pour
s'établir à 2 040 millions $.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil a augmenté de 9,4 %
pour se chiffrer à 871 millions $ au T3, en raison de la
forte progression des produits tirés des services découlant de la
proportion accrue d'abonnés des services postpayés, qui génèrent
une valeur plus élevée, parmi notre clientèle totale et de la
gestion rigoureuse des prix. Les Services sans fil de Bell ont
également fortement contribué aux flux de trésorerie disponibles
consolidés au T3, le BAIIA ajusté moins les dépenses
d'investissement ayant crû de 14,0 % pour s'élever à 685 millions
$. Toutefois, la marge des produits tirés des services a diminué
pour s'établir à 45,5 %, par rapport à 46,3 % au
T3 2016, en raison d'une augmentation de
74 millions $ d'un exercice à l'autre des dépenses
totales combinées à l'égard de la fidélisation de la clientèle et
des coûts d'acquisition d'abonnés reflétant un nombre plus élevé de
mises à niveau de combinés, ce qui est attribuable au nombre plus
important d'abonnés dont les contrats sont venus à échéance, et une
proportion plus importante de téléphones intelligents haut de gamme
en service. Ces facteurs, conjugués aux charges accrues découlant
de Bell MTS, ont entraîné une croissance des coûts
d'exploitation de 11,1 % ce trimestre.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés au T3 ont
augmenté de 9,2 %, pour s'établir à 117 182. Cette solide
performance découle de la diminution du taux de
désabonnement(4) et des ajouts bruts records de 390 985
au T3 aux services postpayés, en hausse de 2,5 % par rapport à
l'exercice précédent, en raison du leadership de Bell en matière de
vitesse et de technologie dans les réseaux mobiles, de la
réalisation efficace des ventes grâce aux promotions ciblées dans
tous nos canaux de vente au détail, ainsi que de la contribution de
Bell MTS.
- Le taux de désabonnement des services postpayés a diminué de
0,10 point de pourcentage, pour s'établir à 1,16 %, ce qui reflète
les retombées positives sur le plan opérationnel découlant de nos
investissements dans la vitesse des réseaux, la fidélisation de la
clientèle et la qualité du service.
- La clientèle des services postpayés des Services sans fil de
Bell totalisait 8 243 446 abonnés au 30 septembre 2017, en hausse
de 8,8 % par rapport au T3 2016, ce qui a entraîné une augmentation
de 7,5 % de la clientèle totale des services sans fil, à 9 008 273
abonnés.
- Le PMU combiné a augmenté de 3,0 %, pour s'établir à 69,78 $,
ce qui découle de la proportion accrue d'abonnés des services
postpayés d'un exercice à l'autre, de l'utilisation plus intensive
des services de données LTE ainsi que de l'accroissement du nombre
d'abonnés qui adoptent des forfaits à prix plus élevés offrant plus
de données dans la composition globale des produits. En moyenne, la
consommation de données des abonnés de Bell utilisant un appareil
sans fil LTE a augmenté de 26 % par mois au T3 par rapport à
l'exercice précédent.
- Le pourcentage d'abonnés des services postpayés utilisant un
appareil LTE s'est élevé à 86 % au T3, en hausse comparativement à
78 % au T3 2016.
Services sur fil de Bell
La croissance des produits
d'exploitation tirés des Services sur fil a augmenté de 2,9 %
au T3, pour s'établir à 3 092 millions $, ce qui
découle de l'augmentation de 4,1 % des produits tirés des
services, à 2 860 millions $, en raison des gains
nets plus importants réalisés au chapitre des abonnés des services
Internet et de télé IP, de l'augmentation de 4,5 % du PMU par
foyer, de l'amélioration d'un exercice à l'autre de la performance
dans les services d'affaires reflétant les contributions
financières de l'exploitant de centres de données Les Réseaux Q9
(Q9), acquis en octobre 2016, et de
Bell MTS. Ces hausses ont été partiellement atténuées par des
incidences financières défavorables liées à la réglementation par
rapport à l'exercice précédent, qui se chiffrent à environ
21 millions $ et qui découlent des révisions à la baisse
des tarifs pour les services Internet de gros et des remboursements
au titre de services annulés ordonnés par le CRTC, ainsi que par
une diminution de 25 millions $, soit 9,7 %, des
produits d'exploitation tirés des produits générant de faibles
marges, qui se sont chiffrés à 232 millions $.
La croissance du BAIIA ajusté des Services sur fil s'est
accélérée ce trimestre, augmentant de 4,4 % par rapport au
T3 2016, pour s'établir à 1 308 millions $, ce
qui a permis une amélioration de 0,6 point de la marge, à
42,3 %. Ce résultat est attribuable à l'augmentation des
produits tirés des services d'un exercice à l'autre, aux mesures
d'efficience opérationnelle dans le service à la clientèle, aux
économies liées à la fibre et aux synergies découlant de
l'intégration de Bell MTS, malgré l'incidence financière
négative des décisions du CRTC liées à la réglementation et
l'augmentation des coûts d'exploitation par rapport à l'exercice
précédent. Les coûts d'exploitation ont augmenté de 1,8 %, à
1 784 millions $, en raison essentiellement des
acquisitions de MTS et de Q9. En excluant l'incidence des décisions
réglementaires, le BAIIA ajusté dans le sur-fil a augmenté de
6,1 % ce trimestre.
- Les ajouts nets d'abonnés des services Internet haute vitesse
ont totalisé 44 424, en hausse de 12,8 %, comparativement à 39 375
à l'exercice précédent. Cette augmentation reflète l'efficacité des
campagnes de commercialisation auprès des étudiants au cours de la
période du retour en classe, l'effet marqué des activations
d'abonnés des services de télé IP, y compris du service Alt Télé,
le nouveau service de télé en continu et en direct de Bell qui
repose sur une application, ainsi que la diminution du taux de
désabonnement découlant de l'expansion continue de la zone de
couverture du réseau FTTP de Bell et les vitesses plus rapides des
concurrents dans les zones où le service direct de fibre optique de
Bell n'est pas disponible. La zone de couverture du réseau de fibre
de Bell rejoignait directement environ 3,6 millions de foyers et
d'emplacements commerciaux ce trimestre, en hausse par rapport à
2,8 millions à la fin du T3 2016.
- Au 30 septembre 2017, BCE comptait un nombre total de 3 763 101
abonnés des services Internet haute vitesse, soit une hausse de 8,8
% par rapport au T3 de l'exercice précédent.
- Bell Télé a ajouté 36 399 nouveaux abonnés nets du service de
télé IP au T3, une légère augmentation comparativement aux 36 253
abonnés recrutés à l'exercice précédent, malgré les offres
soutenues de forfaits de services de câblodistribution
accrocheuses, le taux de saturation accru des marchés actuels pour
le service Télé Fibe ainsi que la substitution en faveur des
services de télé par contournement. L'amélioration de la
performance d'un exercice à l'autre reflète les retombées positives
sur le plan opérationnel découlant d'un premier trimestre complet
de commercialisation d'Alt Télé, l'expansion de la zone de
couverture de notre réseau FTTP et le nombre moindre de clients de
détail de Bell dont les offres promotionnelles ont pris fin ce
trimestre. À la fin du T3, BCE comptait 1 517 833 abonnés du
service de télé IP, soit une hausse de 16,6 % par rapport au T3
2016.
- Les pertes nettes d'abonnés du service de télé par satellite
ont diminué de 15,4 % par rapport à l'exercice précédent, pour
s'établir à 34 661, en raison de la diminution des désactivations
d'abonnés.
- À la fin du T3, BCE comptait un nombre total de 2 825 754
abonnés des services de télé, soit une hausse de 2,9 % par rapport
à 2 745 873 à la fin du T3 2016.
- Les produits tirés des services de données filaires ont
augmenté de 6,0 %, pour s'établir à 1 806 millions $, en raison de
l'incidence favorable de Bell MTS, de la croissance de la clientèle
d'abonnés des services Internet et de télé, de la hausse du PMU
découlant des mises à niveau à des vitesses Internet plus élevées,
des forfaits Internet favorisant une utilisation plus intensive des
services de données et de l'effet de la modification des prix
effectuée en 2017, ainsi que de l'augmentation des produits tirés
des solutions d'affaires résultant de la contribution financière
supplémentaire provenant de Q9.
- Les produits d'exploitation tirés des produits filaires ont
diminué de 9,7 %, pour s'établir à 232 millions $, ce qui reflète
la plus faible demande des grandes entreprises clientes et des
clients de gros pour les équipements de télécommunications, par
suite de la concurrence sur les prix et de la substitution
technologique, ainsi que par les ventes qui avaient été plus
élevées au T3 2016 en raison d'un important contrat obtenu dans le
secteur des soins de santé.
- Les pertes nettes d'abonnés résidentiels des SAR ont diminué de
28,8 %, pour s'établir à 57 387, comparativement à 80 587 au T3
2016, en raison de l'effet marqué des activations de forfaits de
services de Télé Fibe ce trimestre, malgré les offres
promotionnelles accrocheuses dans la câblodistribution et la
substitution technologique constante en faveur des services sans
fil et Internet.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont diminué de
27,5 %, pour s'établir à 27 375, comparativement à 37 734 au T3 de
l'exercice précédent, ce qui reflète le nombre moins élevé de
désactivations de grandes entreprises et de clients de gros et
l'amélioration de la performance au chapitre des petites
entreprises.
- La clientèle totale d'abonnés des SAR à la fin du T3 était de 6
394 553, une hausse de 0,6 % par rapport à 6 358 362 à l'exercice
précédent. Les produits tirés des services locaux et d'accès ont
augmenté de 3,9 %, pour s'établir à 796 millions $, en raison de la
contribution financière supplémentaire provenant de Bell MTS et des
hausses de tarifs de nos services résidentiels. Les produits tirés
des services interurbains ont diminué de 17,5 %, pour s'établir à
156 millions $, par suite de l'érosion continue au chapitre des
abonnés des SAR, de la substitution technologique en faveur des
technologies sans fil et Internet et de la diminution des ventes de
minutes de conversations interurbaines internationales à des
clients de gros.
Bell Média
Dans un trimestre pour lequel le secteur
des médias affiche habituellement une faiblesse saisonnière, les
produits d'exploitation tirés de Bell Média ont augmenté de
1,0 % au T3, s'établissant à 723 millions $, par
suite de l'augmentation des produits tirés de la publicité et des
frais d'abonnement.
Les produits tirés de la publicité ont augmenté par rapport au
T3 2016 en raison de la croissance continue au chapitre de
l'affichage extérieur enregistrée par Astral Affichage. Bien que
les résultats ce trimestre reflètent la récupération des budgets de
publicité à la suite du glissement de ces budgets au T3 de
l'exercice précédent vers le principal diffuseur des Jeux
olympiques d'été de Rio, les produits tirés de la télé
traditionnelle et de l'ensemble des propriétés de télé spécialisée
ont diminué, en raison de la faiblesse continue du marché et de la
constante diminution des cotes d'écoute. Les produits tirés des
frais d'abonnement ont également augmenté par rapport à l'exercice
précédent en raison de l'accroissement des produits tirés de Crave
TV et de la gamme de produits GO de Télé Partout.
Le BAIIA ajusté du secteur Média, de 187 millions $ au
T3, est inchangé comparativement à l'exercice précédent,
l'augmentation des produits ayant été annulée par la hausse de
1,3 % des coûts d'exploitation découlant des coûts plus élevés
relatifs à la programmation et au contenu en raison de
l'enrichissement continu du contenu de nos services de télé payante
et CraveTV, du renouvellement des ententes liées à la programmation
des services de télé spécialisée, ainsi que des coûts accrus
d'Astral Affichage imputables aux acquisitions et aux nouveaux
contrats pour l'affichage extérieur obtenus au cours du dernier
exercice.
- CTV a été le premier réseau de télévision avec 10 des 20
émissions les plus regardées et 7 des 10 émissions les plus
regardées au cours de la semaine de premières diffusions de la
saison d'automne chez les téléspectateurs âgés de 25 à 54 ans, y
compris les 2 nouvelles séries les plus regardées de l'automne :
Young Sheldon et The Good
Doctor.
- Bell Média a rejoint 82 % des téléspectateurs canadiens
anglophones de la télé spécialisée et de la télé payante d'une
semaine moyenne au T3, avec 5 des 10 chaînes canadiennes de télé
spécialisée dans le divertissement et de télé payante anglophones
les plus populaires auprès des téléspectateurs dans la tranche des
25 à 54 ans : Space, Discovery, TMN, Comedy et CP24.
- Game of Thrones (saison 7) a été la série la plus regardée de
tous les temps à la télé spécialisée et à la télé payante
canadiennes, se hissant en tête du palmarès de la programmation,
tandis que Handmaid's Tale a été la nouvelle émission la plus
regardée à la télé canadienne spécialisée dans le divertissement au
cours de l'année de télédiffusion 2016-2017. Star Trek : Discovery,
diffusé sur Space et également offert par le service en continu
CraveTV, a fracassé les records, comptant les trois épisodes d'une
série les plus regardés de l'histoire de la télé spécialisée
canadienne.
- L'auditoire global des matchs de la NFL est en hausse de 10 %
par rapport à l'exercice précédent sur TSN et CTV, avec des cotes
d'écoute moyennes en hausse de 53 % pour les matchs du dimanche
soir, de 18 % pour ceux du lundi et de 12 % pour ceux du
jeudi.
- Bell Média a conservé sa position dans le marché du Québec, les
services de télé spécialisée et de télé payante francophones de
Bell Média rejoignant 70 % de l'ensemble des téléspectateurs
francophones d'une semaine moyenne au T3.
- Au cours de l'été 2017, Bell Média a conservé le titre de
premier radiodiffuseur du Canada, rejoignant en moyenne 17,8
millions d'auditeurs. Le 9 août, Bell Média a convenu d'acquérir 4
stations de radio FM de l'Ontario
auprès de Larche Communications Inc. Sous réserve de l'approbation
du CRTC, l'ajout de ces stations aux 105 propriétés iHeartRadio
Canada que Bell Média détient permettra d'accroître le rayonnement
du réseau, déjà prépondérant dans l'industrie au pays.
- Bell Média demeure le chef de file du secteur des médias
numériques parmi tous les diffuseurs et producteurs de vidéos
canadiens concurrents, atteignant 67 % de l'auditoire des médias
numériques au T3, avec 21 millions de visiteurs uniques
mensuellement, une moyenne mensuelle de 1,1 milliard de minutes de
temps d'utilisation sur les sites et 358 millions de vidéos
regardées.
- L'exploitant exclusif pour l'affichage extérieur à l'aéroport
international Pearson de Toronto,
Astral Affichage, a dévoilé 2 nouveaux super panneaux numériques
grand format à proximité du plus important aéroport du pays en
août. Ces nouvelles structures fournissent des renseignements sur
l'aéroport et permettent de présenter de la publicité à près de 800
000 navetteurs et passagers chaque jour. Astral Affichage compte
maintenant plus de 40 faces numériques grand format dans le marché
de Toronto.
DIVIDENDE PAR ACTION ORDINAIRE
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,7175 $ par action ordinaire, payable le
15 janvier 2018 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 décembre 2017.
PERSPECTIVES POUR 2017
BCE a confirmé les objectifs de
son orientation financière pour 2017, tels qu'ils ont été présentés
le 26 avril 2017 afin de refléter l'acquisition de MTS, comme
suit :
|
Orientation
au 26 avril
|
Orientation
au 2 novembre
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
4 % à
6 %
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
4 % à
6 %
|
Sur la bonne
voie
|
Intensité du
capital
|
approx.
17 %
|
Sur la bonne
voie
|
BPA ajusté
|
3,30 $ à
3,40 $
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles
|
approx. 5 % à
10 %
|
Sur la bonne
voie
|
Dividende par action
ordinaire annualisé
|
2,87 $
|
2,87 $
|
Politique de
distribution de dividendes(3)
|
65 % à 75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
Sur la bonne
voie
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T3 2017, le jeudi 2 novembre, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1-866-223-7781 ou le 416-340-2216. Une reprise sera disponible
pendant une semaine au 1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez
le code d'identification 1946321#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une
webdiffusion en direct sur le site Web de BCE, à Appel conférence
BCE T3 2017. Le fichier MP3 sera également disponible pour
téléchargement sur cette page, peu de temps après la
téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
Au T1 2017, nous avons mis à jour notre définition du
bénéfice net ajusté et du BPA ajusté de manière à exclure également
les pertes de valeur, car elles pourraient avoir une influence sur
la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) sur placements, les charges pour perte de valeur et
les coûts liés au remboursement anticipé de la dette. Nous
définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action
ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA
ajusté et nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer la performance de
nos activités avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets)
sur placements, des charges pour perte de valeur et des coûts liés
au remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt
et des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une
influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise.
Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires
et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus
comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
|
T3 2017
|
T3 2016
|
|
TOTAL
|
PAR
ACTION
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
770
|
0,86
|
752
|
0,87
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
17
|
0,01
|
20
|
0,03
|
Pertes nettes sur
placements
|
-
|
-
|
12
|
0,01
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
12
|
0,01
|
-
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
799
|
0,88
|
784
|
0,91
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes
consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4,
Information sectorielle, des états financiers du
T3 2017 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté
comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous
utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer
la performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur
rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une
société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à
d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure
courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des
télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA
ajusté est également un facteur dans la détermination de la
rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des
dirigeants.
Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement
comparable au BAIIA ajusté et à la marge du BAIIA ajusté. Pour
remédier à cette situation, le tableau suivant présente un
rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
|
|
T3 2017
|
|
T3 2016
|
|
Bénéfice
net
|
817
|
|
800
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
23
|
|
25
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
765
|
|
706
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
208
|
|
161
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
|
Charge
d'intérêts
|
242
|
|
227
|
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
18
|
|
20
|
|
Autres charges
(produits)
|
56
|
|
13
|
|
Impôt sur le
résultat
|
237
|
|
284
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 366
|
|
2 236
|
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5
678
|
|
5
407
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
41,7
|
%
|
41,4
|
%
|
(3) Les termes flux de trésorerie disponibles et
ratio de distribution n'ont pas de définition normalisée en
vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être
comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles
comme les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation,
déduction faite des coûts liés aux acquisitions et autres payés,
qui comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes par action
privilégiée et les dividendes payés par des filiales aux détenteurs
de PNDPC. Nous excluons les coûts liés aux acquisitions et autres
payés et le financement des cotisations volontaires aux régimes de
retraite parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Nous considérons les flux de trésorerie
disponibles comme un important indicateur de la solidité financière
et de la performance de nos activités, car ils révèlent le montant
des fonds disponibles pour payer des dividendes, rembourser la
dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie
disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents
et pour évaluer la solidité financière et la performance de nos
activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Nous
définissons le ratio de distribution comme les dividendes payés sur
les actions ordinaires divisés par les flux de trésorerie
disponibles. Nous considérons le ratio de distribution comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités, car il met en évidence la pérennité des paiements
de dividendes de la société. Le tableau ci-après présente un
rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base
consolidée.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
T3 2017
|
T3 2016
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 233
|
1 943
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 040)
|
(976)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(21)
|
(34)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de participations
ne donnant pas le contrôle
|
(13)
|
(13)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
24
|
31
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 183
|
951
|
(4) Nous utilisons le PMU, le taux de désabonnement et
l'intensité du capital pour évaluer les progrès accomplis à l'égard
de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés
ne sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas être
comparables à des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Se reporter à la section 8.2, Mesures financières non
définies par les PCGR et indicateurs de performance clés, du
rapport de gestion du T3 2017 de BCE pour obtenir une
définition de ces indicateurs de performance clés.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent
communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces
déclarations prospectives comprennent, sans s'y limiter, des
déclarations concernant l'orientation financière pour 2017 (ce qui
comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté,
l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie
disponibles), le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de distribution de dividendes sur actions ordinaires de
BCE, nos plans de déploiement pour les réseaux et les dépenses
d'investissement connexes, l'échéancier et la réalisation prévus de
l'acquisition proposée des chaînes francophones spécialisées
Séries+ et Historia auprès de Corus Entertainment Inc. (Corus) et
certains avantages attendus de cette transaction proposée, nos
perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités
stratégiques, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des
faits historiques. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif,
perspective, projet, stratégie, cible
et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les
modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que
viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de,
planifier, chercher à et aspirer à, permettent de
repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations
prospectives sont faites conformément aux « dispositions
refuges » prévues dans les lois canadiennes applicables en
matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine intitulée
Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la
réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 2 novembre 2017 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour
toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE,
les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 2 novembre 2017. L'incidence financière
de ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2017, ainsi que nos
objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales pour
2017, et à mieux comprendre le
contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le
lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information
pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché
et aux activités d'exploitation et d'hypothèses financières ont été
formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives contenues dans le présent communiqué, y compris, sans
s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Une amélioration graduelle de la croissance économique, basée
sur la plus récente estimation de la Banque du Canada de la
croissance du produit intérieur brut du Canada de 3,1 % en 2017, ce
qui représente une augmentation de 30 points de base par rapport à
l'estimation antérieure de 2,8 %;
- une modeste croissance des niveaux d'emploi, car le niveau
d'investissement des entreprises devrait demeurer peu élevé
globalement;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises;
- l'intensification de la concurrence dans le marché résidentiel,
le marché d'affaires et le marché de gros des services sur fil et
sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- la faiblesse attendue du marché publicitaire en raison de la
demande variable, et les coûts croissants pour obtenir de la
programmation télé.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien de notre part du marché des ajouts nets d'abonnés
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison de la hausse des
coûts des combinés et d'un nombre plus élevé de mises à niveau des
appareils, ce qui reflète un nombre plus important d'abonnés qui
n'ont plus de contrat, en raison de la durée plus courte des
contrats de deux ans;
- une croissance du PMU combiné, stimulée par une proportion
accrue d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones
intelligents, une consommation croissante de données sur les
réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs d'accès découlant
de la modification des prix effectuée en 2016;
- l'achèvement de la construction du réseau LTE, qui couvre 99 %
de la population canadienne, et l'expansion de la couverture du
réseau LTE-A à environ 87 % de la population canadienne, incluant
le Manitoba;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission, qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- une croissance continue du nombre d'abonnés résidentiels des
services de télé IP et Internet;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels par foyer,
générée par l'adoption croissante des forfaits multiproduits par
foyer et l'augmentation des tarifs;
- des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
zones où nous fournissons des services sur fil;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu
d'investissements constants;
- le dégroupement des chaînes de télé qui n'accélérera pas de
façon significative la réduction des forfaits télé par les
clients;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction des
postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la
retraite, de la réduction des taux contractuels des fournisseurs,
de la diminution du trafic non acheminé par nos propres réseaux et
des synergies opérationnelles découlant de l'intégration de
MTS;
- une plus faible performance financière des services de gros en
raison d'une décision du CRTC, publiée en octobre 2016, qui diminue
considérablement les tarifs facturés en fonction de la capacité
pour les services Internet haute vitesse de gros groupés;
- aucune autre modification de la réglementation sur nos
activités dans le sur-fil ayant une incidence significative de
nature financière, opérationnelle ou concurrentielle.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Une augmentation des produits des activités ordinaires d'un
exercice à l'autre reflétant la croissance de la clientèle
d'abonnés de CraveTV, l'expansion à l'échelle nationale de The
Movie Network, qui a commencé en mars 2016,
et la croissance de la publicité sur les panneaux
publicitaires extérieurs soutenue par les acquisitions et les
nouveaux contrats obtenus;
- l'augmentation des coûts d'exploitation entraînée par la hausse
des coûts de la programmation télé et des droits de diffusion dans
les sports, ainsi que l'investissement continu dans le contenu de
CraveTV;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption de CraveTV;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'augmentation des produits des activités ordinaires générés
grâce à la monétisation des droits sur le contenu et des propriétés
de Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- une baisse du nombre d'abonnés pour de nombreuses propriétés de
télé de Bell Média entraînée par le dégroupement des chaînes de
télé et la popularité grandissante du visionnement de contenu par
contournement;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant
BCE
La section qui suit présente les principales
hypothèses financières de BCE pour 2017 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 320 millions $ à 340 millions $, selon
un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,0 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 250 millions $ à 260 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 70
millions $ à 80 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 3 850 millions $ à 3
900 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 950 millions $ à 975
millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,08 $, au lieu
de 0,01 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %, au lieu de 27
%;
- des participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC) d'environ
50 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite d'environ
400 millions $ à 450 millions $, au total;
- des impôts en trésorerie d'environ 650 millions $ à 700
millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ 950 millions $ à 975
millions $;
- d'autres éléments des flux de trésorerie disponibles, ce qui
inclut une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres payés, des dividendes par action
privilégiée et des dividendes aux détenteurs de PNDPC payés
d'environ (25) millions $ à (150) millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 895 millions;
- un dividende par action ordinaire annuel de 2,87 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 2 novembre 2017,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon significative de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon significative de ceux qui sont
exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives,
y compris notre orientation financière pour 2017, sont
énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations
prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats
financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour
2017, dépend essentiellement de la performance de notre entreprise
qui, à son tour, est assujettie à de nombreux risques. Par
conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous les
risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable significative sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, le principe de neutralité du Net, les ventes aux
enchères de spectre, l'approbation d'acquisitions et les exigences
relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion et à la
propriété étrangère;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, ainsi que l'incidence connexe
sur le coût lié à la conservation de nos clients actuels et à
l'obtention de nouveaux clients, de même que sur nos parts de
marché, nos volumes de service et nos stratégies d'établissement
des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation
de nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité, ce qui modifie
l'environnement de nos activités liées à la télé et aux médias et
pourrait accélérer le débranchement des services de télé et la
réduction des dépenses pour ces services, ainsi que la
fragmentation du marché de la publicité et les changements qui s'y
rapportent;
- la concurrence avec des concurrents mondiaux, en plus des
concurrents canadiens traditionnels, pour le contenu de
programmation, qui pourrait entraîner d'importantes hausses des
coûts d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir
du contenu de premier plan;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence négative connexe sur la demande
de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et le
volume des créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs, notamment les réseaux, les
systèmes de TI, les locaux et l'information de nature sensible,
contre des événements et des attaques comme les cybermenaces, et
les dommages causés par les incendies et les catastrophes
naturelles;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et
la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer
correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
ainsi qu'à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir de manière rigoureuse et
stratégique dans des fonctions de prochaine génération, notamment
des stratégies de service à la clientèle reposant sur l'information
en temps réel;
- l'incapacité à susciter une expérience client positive
découlant, en particulier, du défaut d'adopter de nouvelles
approches et de repousser les limites opérationnelles;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation et bases de
données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits,
d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel
efficace;
- le risque que nous puissions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
jour de systèmes, des refontes de processus, et de l'intégration
des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour
fournir nos services de télé par satellite;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr et sécuritaire;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
distribution de dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles
lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales
existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à prévoir
l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses, y compris
l'utilisation non autorisée de notre contenu et le vol de nos
services de télé;
- les événements ayant une incidence sur la capacité de nos tiers
fournisseurs et impartiteurs à continuer de nous fournir les
produits et les services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités;
- l'incapacité d'adopter des pratiques de gestion de
l'approvisionnement et des fournisseurs permettant de gérer
adéquatement les risques associés aux modèles de nos fournisseurs,
existants ou nouveaux;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- les risques liés à la sécurité et les risques de fuite de
données advenant le contournement des protocoles de contrôle de la
sécurité applicables à nos solutions infonuagiques;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
actions collectives;
- des modifications défavorables aux lois applicables et
l'incapacité d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos
obligations juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et
d'autres éventualités menaçantes pour la santé survenaient;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement;
- l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée
des chaînes francophones spécialisées Séries+ et Historia auprès de
Corus, qui sont assujettis à des conditions de clôture, à des
droits de résiliation ainsi qu'à d'autres risques et incertitudes,
dont l'approbation du CRTC et du Bureau de la concurrence, et pour
lesquels rien ne garantit que les avantages attendus seront
réalisés.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2016 de BCE (inclus dans le rapport annuel 2016 de
BCE), daté du 2 mars 2017, ainsi que les rapports de gestion
du premier, du deuxième et du troisième trimestre 2017 de BCE,
datés du 25 avril 2017, du 2 août 2017 et du 1er novembre 2017,
respectivement, pour obtenir plus de détails au sujet de certains
des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres
facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant déposés par
BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs
mobilières (disponibles à Sedar.com) et de la Securities and
Exchange Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces
documents sont également disponibles à BCE.ca.
À propos de BCE
À titre de plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE fournit la gamme la plus étendue de
services sans fil à large bande, de télé, Internet et de
communications d'affaires à des clients résidentiels et d'affaires
dans l'ensemble du pays. Première entreprise canadienne de services
multimédias, Bell Média possède des actifs de premier plan dans les
secteurs de la télévision, de la radio, de l'affichage et des
médias numériques. Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la
santé mentale au Canada par des campagnes nationales de
sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation, comme la
Journée Bell Cause pour la cause, et par un important financement
par Bell des soins communautaires, de la recherche et des
initiatives en milieu de travail. Pour en savoir plus, visitez le
site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
514-870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514-870-4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE Bell Canada