- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 532
millions $; bénéfice net ajusté de 705 millions $, en hausse de
12,5 %; bénéfice net ajusté par action de 0,84 $, en hausse de 3,7
%
- Augmentation du BAIIA ajusté de 3,6 % soutenue par la
croissance de 2,8 % du total des produits des activités ordinaires,
tous les secteurs opérationnels de Bell ayant généré une croissance
positive des produits des activités ordinaires
- Solides résultats financiers dans le sans-fil avec une
croissance des produits des activités ordinaires de 9,7 % et une
augmentation du BAIIA ajusté de 10,7 %; ajouts nets d'abonnés des
services postpayés en hausse de 3,7 %, à 35 373
- BAIIA ajusté des Services sur fil en hausse de 1,0 %, une
croissance positive pour le troisième trimestre consécutif
- Ajout de 60 863 nouveaux abonnés nets des services de télé
IP; clientèle totale dépassant maintenant le cap du million
d'abonnés
- Activations nettes d'abonnés des services Internet haute
vitesse en hausse de 49,2 %, à 39 650; chef de file du marché de la
large bande avec 3,3 millions d'abonnés, en hausse de 4,3
%
- Amélioration du service à la clientèle entraînant une
diminution du taux de désabonnement dans les services résidentiels
et sans fil ainsi qu'une baisse des coûts d'exploitation dans le
sur-fil
Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
le communiqué.
MONTRÉAL, le 30 avril 2015 /CNW Telbec/ - BCE Inc.
(TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications
du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats financiers et
d'exploitation pour le premier trimestre (T1) de 2015.
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
(en millions $, sauf les montants par
action) (non audité)
|
|
T1
2015
|
T1
2014
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
|
5 240
|
5 099
|
2,8
|
%
|
BAIIA
ajusté(1)
|
|
2 094
|
2 022
|
3,6
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
|
532
|
615
|
(13,5)
|
%
|
BPA
|
|
0,63
|
0,79
|
(20,3)
|
%
|
BPA
ajusté(2)
|
|
0,84
|
0,81
|
3,7
|
%
|
Flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation
|
|
1 045
|
982
|
6,4
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
|
231
|
262
|
(11,8)
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles par action(3)
|
|
0,27
|
0,34
|
(20,6)
|
%
|
« Grâce à l'exécution déterminée de notre stratégie par
l'équipe de Bell, qui consiste à investir dans les réseaux de
premier plan du Canada ainsi que dans le meilleur contenu et le
meilleur service, tous nos secteurs d'activité ont enregistré
d'excellents résultats d'exploitation et financiers au T1 2015. Le
maintien de l'élan positif des services Fibe, la croissance
exceptionnelle de Bell Mobilité ainsi que la position de leader de
Bell Média en matière de programmation et de cotes d'écoute ont
permis de réaliser des augmentations importantes au chapitre des
produits des activités ordinaires, du BAIIA, des marges et de la
satisfaction de la clientèle de BCE », a déclaré
George Cope, président et chef de la direction de BCE et de
Bell Canada. « Notre engagement
consiste à fournir partout à nos clients la meilleure technologie,
la meilleure programmation ainsi que des services novateurs, et
Bell demeure le chef de file dans les communications canadiennes,
après 135 années d'existence. »
Bell centre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de 6 impératifs stratégiques : investir dans
les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil,
tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans
les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une
structure de coûts concurrentielle.
« Nous avons commencé l'année en force, grâce au vigoureux
élan opérationnel dans nos services de croissance, qui a généré une
robuste croissance interne des produits des activités ordinaires et
du BAIIA ajusté, conformément aux objectifs de notre orientation
financière pour l'exercice », a affirmé Siim Vanaselja, chef des affaires financières de
BCE et de Bell. « Les Services sans fil de Bell ont connu un
autre excellent trimestre, avec des résultats financiers de premier
plan, et les Services sur fil de Bell ont enregistré un troisième
trimestre consécutif de croissance positive du BAIIA d'un exercice
à l'autre. Nous avons également enregistré une amélioration
séquentielle du BAIIA de Bell Média ce trimestre avec une
croissance positive des produits des activités ordinaires découlant
de notre riche programmation et de nos solides cotes d'écoute de la
télé. Le bon niveau des flux de trésorerie, s'appuyant sur un bilan
solide, vient soutenir nos programmes de dépenses d'investissement
stratégiques en cours ainsi que la majoration du dividende sur
actions ordinaires de BCE pour 2015, annoncée le 5
février. »
Bell célèbre sa position de chef de file des communications
au Canada depuis 135 années
Bell a été
« constituée par une loi spéciale du Parlement le 29 avril
1880 en vue de construire l'intégralité du système de téléphonie du
Canada », en misant sur l'invention du « télégraphe
parlant » conçue par Alexander Graham
Bell en 1874, à Brantford,
en Ontario. Aujourd'hui, forte
d'une équipe de plus de 57 000 membres travaillant dans
l'ensemble des provinces et des territoires, Bell est en 2015 le
chef de file canadien pour ce qui est des services large bande
ainsi qu'un concurrent énergique dans tous les domaines des
services de communications. De plus, Bell demeure la meilleure
marque de communications au Canada 135 ans après sa
constitution, selon le classement annuel sur les meilleures marques
au pays. Classée au troisième rang des marques les mieux évaluées
au Canada en février 2015 par l'entreprise mondiale d'évaluation
des marques, Brand Finance, en collaboration avec le Globe and Mail
par le truchement de son Report on Business
Magazine, la marque Bell était la seule du peloton de tête
de cinq entreprises à ne pas faire partie du secteur canadien des
services financiers.
Des dépenses d'investissement de 20 milliards $ d'ici
2020
Bell a annoncé aujourd'hui qu'elle continuera d'aller
de l'avant avec ses plans qui consistent à investir
20 milliards $ de 2015 à la fin de 2020. « Les
consommateurs et entreprises du Canada continuent d'avoir accès à
la technologie à large bande la plus évoluée au monde, et Bell
occupe toujours une place prépondérante avec les réseaux de fibre
et mobile de pointe qui stimulent la croissance des services sans
fil, Internet, de télé et des médias », a déclaré
George Cope. « BCE prévoit investir
20 milliards $ dans les moyens de communications du pays
d'ici la fin de 2020, pour s'assurer que le Canada demeure en
position d'affronter la concurrence mondiale dans les
communications à large bande de prochaine génération. »
Les services de télé IP de Bell comptent maintenant une
clientèle de plus d'un million de Canadiens
Le
17 avril 2015, Bell a annoncé qu'elle avait franchi le
cap du million d'abonnés aux services de télé IP, plaçant les
services Télé Fibe et Télé FibreOP parmi les gammes de produits
affichant la croissance la plus rapide de son histoire. Grâce aux
services de télé IP de prochaine génération et au service national
Télé Satellite, Bell est devenue le deuxième plus important
fournisseur de services de télévision au Canada, le total de ses
abonnés se chiffrant à 2 658 106 à la fin du T1 15.
L'immense succès des services Fibe tient à des caractéristiques
novatrices comme le récepteur enregistreur Partout chez vous, la
télé sans fil, CraveTV et la nouvelle fonction exceptionnelle
Rejouer, que Bell a lancée en février. Maintenant offerte à tous
les clients de Télé Fibe, la fonction Rejouer permet aux clients de
revenir en arrière et de regarder des émissions de télé déjà en
cours à partir du début, sur plus de 170 chaînes, notamment
CBC, CTV, Global, HBO Canada, Super Channel et TSN. Pour en savoir
plus, visitez le site Bell.ca/Fibe.
Le point sur la gouvernance chez Bell Média
Le 25 mars
2015, le président de Bell Média, Kevin
Crull, a présenté des excuses publiques au sujet de son
intervention auprès de CTV News sur la couverture de faits nouveaux
relatifs au CRTC. Le 9 avril, BCE annonçait que M. Crull
quittait Bell Média. « L'indépendance des services de
nouvelles de Bell Média est de la plus haute importance pour
notre entreprise et pour tous les Canadiens. Il ne doit y avoir
aucun doute que Bell respectera toujours les normes journalistiques
qui ont fait de CTV la marque qui inspire le plus confiance dans le
secteur de l'information au Canada », a déclaré M. George
Cope, le chef de la direction, dans un communiqué de presse de BCE
daté du 9 avril.
À la demande de M. Cope, un comité du conseil d'administration
de BCE a été mis sur pied pour examiner la question de
l'indépendance journalistique de CTV News. Ce comité est formé des
membres suivants : Paul Weiss,
au poste de président (également président du comité d'audit de
BCE), Ian Greenberg, Robert Simmonds, Carole
Taylor et Thomas O'Neill, le
président du conseil de BCE. Les membres de ce comité, qui sont
indépendants de la direction de Bell, ont remis leur rapport au
conseil cette semaine. Le comité recommande d'intégrer dans le Code
de conduite de Bell une politique favorisant l'indépendance du
président de CTV News ainsi que la protection de l'indépendance
journalistique, et s'appliquant à tous les employés de BCE. Le
conseil a approuvé cette recommandation.
Nominations de dirigeants de Bell
BCE a également
annoncé les promotions suivantes de dirigeants, avec prise d'effet
le 9 avril : Mary Ann
Turcke a été nommée présidente de Bell Média. Auparavant
présidente de groupe, ventes Bell Média, Mme Turcke
a déjà occupé le poste de vice-présidente exécutive, exploitation
des services extérieurs de Bell et a été désignée Femme de l'année
la semaine dernière par l'organisme Les femmes en communications et
en technologie. Blaik Kirby a été
promu au poste de président de Bell Mobilité alors qu'il était
auparavant chef du marketing de Bell Mobilité, tandis que
Rizwan Jamal a été promu au poste de
président, services résidentiels de Bell alors qu'il était
auparavant chef du marketing, services résidentiels de Bell. Les
présidents de Bell Média, de Bell Mobilité et des services
résidentiels de Bell relèveront de Wade
Oosterman, qui a été promu au nouveau poste de président de
groupe, BCE et Bell Canada.
M. Oosterman demeure chef de la gestion de la marque chez
Bell.
Siim Vanaselja prend sa
retraite comme chef des affaires financières à la fin du
T2 2015, et Glen LeBlanc lui
succédera
Comme il a été annoncé le 14 octobre 2014,
Siim Vanaselja, le chef des affaires
financières, quittera BCE pour prendre sa retraite le 30 juin
2015. Glen LeBlanc, auparavant chef
des affaires financières de Bell Aliant et actuellement premier
vice-président, finances de BCE, occupera le poste de chef des
affaires financières de BCE et de Bell
Canada à partir de cette date. « Siim Vanaselja a joué
un rôle clé dans l'ensemble du processus de transformation de Bell;
à l'occasion de son départ, nous lui exprimons notre sincère
reconnaissance pour son immense contribution envers nos
actionnaires, nos clients et les membres de notre équipe »,
souligne M. Cope. « En tant que dirigeant financier
chevronné et leader de notre filiale Bell Aliant, Glen LeBlanc est le successeur idéal de
M. Vanaselja, assurant une transition harmonieuse et
démontrant l'existence d'un talent exceptionnel au sein même de la
haute direction du groupe BCE. »
Nouvelle émission de titres d'emprunt de
500 millions $ contribuant à la situation de trésorerie
solide
BCE a terminé le premier trimestre de 2015 avec plus
de 1,1 milliard $ en trésorerie et équivalents de
trésorerie. Ce montant comprend le produit de la nouvelle émission
de titres d'emprunt de 500 millions $ de débentures à
30 ans, réalisée par Bell
Canada le 30 mars 2015, à un taux d'intérêt annuel
de 4,35 %. Compte tenu de cette émission de titres d'emprunt,
les cotes de crédit élevées de Bell
Canada ont été confirmées par les agences d'évaluation du
crédit, toutes avec des perspectives stables.
Succès sans précédent pour la Journée Bell Cause pour la
cause
La Journée Bell Cause pour la cause 2015, tenue
le 28 janvier, a fracassé des records pour l'engagement et
l'action, stimulant la conversation sur la santé mentale non
seulement au Canada, mais partout dans le monde, le sujet Bell
Cause pour la cause ayant été la tendance Twitter numéro 1
dans le monde. Comme Bell fait un don de 5 cents pour chacun
des 122 150 772 tweets, textos, appels passés et
partages sur Facebook le 28 janvier, un nombre record, le
total de l'engagement de la Société pour la cause de la santé
mentale au Canada a augmenté de 6 107 538,60 $ pour
s'établir à 73 623 413,80 $. Pour en savoir plus à
ce sujet et sur les 5 moyens simples pour aider à mettre fin à
la stigmatisation entourant la maladie mentale, visitez le site
Bell.ca/Cause pour la cause.
RÉSULTATS DE BCE
La croissance importante des Services
sans fil de Bell et l'amélioration d'un exercice à l'autre de la
performance des Services sur fil de Bell et de Bell Média ont
entraîné une solide croissance des produits des activités
ordinaires et du BAIIA ajusté(1) de 2,8 % et
de 3,6 % pour BCE, respectivement, au T1 2015 avec une marge
du BAIIA ajusté(1) de 40,0 %, en hausse
de 0,3 %.
BCE a déclaré un bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires au T1 2015 de 532 millions $, en baisse
comparativement à 615 millions $ au T1 2014, en
raison de l'augmentation des coûts liés aux indemnités de départ,
aux acquisitions et autres liée en grande partie à la provision non
récurrente de 137 millions $ au titre d'un litige au
sujet du piratage du signal de télé par satellite. Le bénéfice net
ajusté(2) s'est établi à
705 millions $, en hausse comparativement à
626 millions $ à l'exercice précédent, ce qui reflète
l'augmentation de 3,6 % du BAIIA ajusté, qui est passé à
2 094 millions $, la diminution des participations
ne donnant pas le contrôle par suite de la privatisation de Bell
Aliant et la diminution de l'impôt sur le résultat. Le bénéfice net
par action (BPA) s'est établi à 0,63 $ comparativement à
0,79 $. Le BPA ajusté s'est établi à 0,84 $
comparativement à 0,81 $, en hausse de 3,7 %.
La marge du BAIIA ajusté de BCE a progressé de 0,3 % pour
s'établir à 40,0 % par rapport à l'exercice précédent en
raison de la forte progression du PMU des services sans
fil(4), de la solide croissance des produits dans
nos services Internet et de télé, de la diminution de l'érosion des
services voix sur fil et des synergies générées par la
privatisation de Bell Aliant.
BCE a continué de faire des investissements stratégiques dans
les réseaux et les services, qui occupent une place prépondérante
dans le secteur, avec des dépenses d'investissement de
827 millions $ au T1, en hausse de 13,4 %, soit
98 millions $, par rapport à l'exercice précédent. Ces
dépenses reflètent le déploiement continu de la fibre à large
bande, y compris l'expansion de la zone de couverture de notre
réseau de fibre jusqu'au domicile (FTTH), la poursuite du
déploiement du service mobile 4G LTE auprès d'un plus grand
nombre de Canadiens, en particulier dans les petites villes et les
emplacements éloignés, et les augmentations de la capacité du
réseau afin de soutenir la consommation accrue des services de
données et de permettre l'accélération des vitesses.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont élevés à 1 045 millions $ au T1 2015,
en hausse de 6,4 % comparativement à 982 millions $
au T1 2014, ce qui s'explique principalement par
l'augmentation du BAIIA ajusté et du fonds de roulement. Les flux
de trésorerie disponibles(3) du premier
trimestre, qui accusent une faiblesse saisonnière, se sont établis
à 231 millions $, en baisse contre
262 millions $ à l'exercice précédent, ce qui reflète
l'augmentation des dépenses d'investissement. Les flux de
trésorerie disponibles par action(3) au T1 2015
se sont élevés à 0,27 $ par action ordinaire, comparativement
à 0,34 $ par action ordinaire à l'exercice précédent.
Au 31 mars 2015, BCE comptait au total
8 102 714 abonnés du sans-fil, soit une hausse de
2,5 % par rapport au T1 2014 et
2 658 106 abonnés des services de télé au total,
soit une augmentation de 5,1 % (incluant les
990 325 abonnés des services de télé IP, soit une
augmentation de 36,8 % par rapport au T1 2014; BCE a
annoncé le 17 avril que la clientèle totale des services de
télé IP avait franchi le cap du million d'abonnés);
3 297 745 abonnés d'Internet au total, soit une
augmentation de 4,3 %, et 7 017 161 abonnés des
SAR au total, soit une diminution de 6,0 %.
La mise en œuvre de la décision du Conseil de la radiodiffusion et des
télécommunications canadiennes (CRTC) d'éliminer le préavis de
30 jours requis pour annuler les services par les clients a
entraîné des désactivations non récurrentes d'abonnés pour un mois
additionnel ce trimestre; ces désactivations ont été considérées
comme des ajustements effectués en début de trimestre à notre
clientèle d'abonnés des services de télé, Internet et SAR afin de
mieux refléter les activations nettes d'abonnés présentées. Par
conséquent, au total, 19 616 abonnés
(2 236 abonnés des services de télé IP,
5 466 abonnés de Télé Satellite, 7 505 abonnés
d'Internet et 4 409 abonnés des SAR) ont été retranchés
de la clientèle d'abonnés de ces services de BCE en début de T1
2015 relativement aux désactivations découlant de la mise en œuvre
des modifications de politiques du CRTC.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les Services sans fil de
Bell ont connu un bon début d'exercice avec des produits
d'exploitation en hausse de 9,7 % au T1, pour se chiffrer à
1 637 millions $ comparativement à
1 492 millions $ à l'exercice précédent. Les
produits tirés des services ont augmenté de 8,1 % pour
s'établir à 1 500 millions $, du fait de la
proportion accrue de notre clientèle d'abonnés des services
postpayés et de la hausse du PMU combiné attribuable au nombre plus
élevé d'abonnés ayant des forfaits de deux ans et à une utilisation
plus intensive des services de données. Les produits tirés des
services de données sans fil ont augmenté de 24,4 % au cours
du trimestre et représentent maintenant plus de la moitié du total
des produits des Services sans fil de Bell. Les produits
d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 35,1 % pour
s'établir à 127 millions $, ce qui reflète le volume de
ventes accru de téléphones intelligents haut de gamme et le nombre
plus élevé de mises à niveau de combinés par rapport à l'exercice
précédent.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil de Bell a augmenté de
10,7 % pour se chiffrer à 712 millions $, reflétant
l'effet des produits tirés des services sur le BAIIA ajusté de
62 % et entraînant une progression de 1,2 point de
pourcentage de la marge liée aux services, à 47,5 %. Ce
résultat a été réalisé même si des coûts additionnels de
31 millions $ au titre de la fidélisation de la clientèle
ont dû être engagés, ce qui a contribué à l'augmentation des coûts
d'exploitation de 9,0 % au T1 2015.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont totalisé
35 373, en hausse de 3,7 % comparativement à 34 104 à l'exercice
précédent, la hausse des investissements sous la forme de dépenses
relatives à la fidélisation de la clientèle et à l'amélioration du
service ayant entraîné la diminution du nombre de désactivations
d'abonnés. Les activations brutes d'abonnés des services postpayés
sont essentiellement inchangées par rapport à celles du T1
2014.
- Le taux de désabonnement des services
postpayés(4) a diminué de 0,06 %, à 1,18 %, ce
qui reflète la qualité et la couverture du réseau de Bell ainsi que
la priorité accordée au service à la clientèle et à la fidélisation
de la clientèle.
- La clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans
fil de Bell totalisait 7 145 420 au 31 mars 2015, une augmentation
de 4,6 % par rapport à l'exercice précédent. La clientèle totale
des Services sans fil de Bell a augmenté de 2,5 %, pour s'établir à
8 102 714 abonnés.
- Le pourcentage des abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent a augmenté à 77 % au 31 mars 2015, en hausse
comparativement à 74 % à la fin du T1 2014.
- Le PMU combiné a augmenté de 5,3 % pour s'établir à 60,83 $, en
raison du pourcentage plus élevé d'abonnés ayant signé des contrats
de deux ans, de l'utilisation plus intensive des services de
données sur le réseau 4G LTE de premier plan de Bell, car la
proportion des utilisateurs de téléphones intelligents continue
d'augmenter, ainsi que de la proportion accrue d'abonnés des
services postpayés dans notre clientèle totale.
- Le coût d'acquisition(4) a augmenté pour
s'établir à 452 $ par abonné, comparativement à 439 $ à l'exercice
précédent, ce qui reflète l'incidence de la proportion accrue
d'abonnés des services postpayés et la vente de téléphones
intelligents plus coûteux.
- Les dépenses de fidélisation de la clientèle en pourcentage des
produits tirés des services sans fil ont augmenté pour s'établir à
11,5 % au T1 2015, ou 173 millions $, en hausse contre 10,2 %, ou
141 millions $, au trimestre correspondant de l'exercice précédent,
en raison du nombre plus élevé de mises à niveau hâtives de
combinés vers des téléphones intelligents plus coûteux.
- Bell offre aux abonnés un accès au plus vaste réseau mobile 4G
LTE du Canada, qui couvre 91 % de la population canadienne au 31
mars 2015 et qui est complété par la
couverture du réseau 4G HSPA+ rejoignant plus de 98 % de la
population. À la fin du T1 2015, 52 % de la clientèle d'abonnés des
services postpayés de Bell utilisait des appareils compatibles
LTE.
- Le 21 avril 2015, Bell Mobilité a acquis 13 licences pour 169
millions de mégahertz par population (MHz par population) de
spectre des SSFE-3 dans les principaux marchés urbains et ruraux, à
un coût de 500 millions $. Le spectre de cette bande a une grande
valeur stratégique, car il permettra à Bell
de procéder à l'avenir à des augmentations de la capacité
large bande afin de répondre à la demande croissante des clients
résidentiels et d'affaires pour des services de données mobiles
ainsi que de supporter l'agrégation des porteuses.
Services sur fil de Bell
Les Services sur fil de Bell
ont enregistré des produits des activités ordinaires positifs et
ont réalisé une croissance du BAIIA ajusté pour un deuxième
trimestre consécutif, avec une augmentation de 0,3 % des
produits d'exploitation, qui se sont établis à
3 027 millions $ au T1 2015, dans la foulée de
la forte croissance de la clientèle d'abonnés et du PMU des
services Internet et de télé. En raison de la diversification
accrue des services de croissance, du ralentissement du rythme
d'érosion des produits tirés des services voix, de l'amélioration
des résultats de Marchés Affaires et de la diminution des coûts
d'exploitation reflétant les économies réalisées à la suite de
l'intégration de Bell Aliant et l'amélioration continue du service,
le BAIIA ajusté des Services sur fil de Bell a augmenté de
1,0 %, à 1 241 millions $, ce qui a permis une
amélioration de 30 points de base de la marge, qui s'est
élevée à 41 %.
- Le total des ajouts nets d'abonnés résidentiels dans la zone de
couverture des services sur fil de BCE en tant que ESLT a augmenté
de 28 000 pour s'établir à 7 000 au T1, comparativement à une perte
nette de 21 000 à l'exercice précédent, ce qui reflète la forte
croissance de la clientèle d'abonnés des services Internet et
l'adoption soutenue du service Télé Fibe, et ce qui a aussi permis
d'absorber les pertes des SAR résidentiels par rapport à l'exercice
précédent.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont augmenté
de 49,2 %, pour s'établir à 39 650 au T1 2015, l'accélération des
vitesses des services Fibe et FibreOP et l'effet marqué des
activations d'abonnés des services de télé IP ayant stimulé la
croissance de la clientèle d'abonnés et ralenti le taux de
désabonnement des clients résidentiels.
- La clientèle d'abonnés d'Internet haute vitesse de BCE
s'élevait à 3 297 745 à la fin du T1 2015, en hausse de 4,3 %
comparativement à la fin du T1 2014. Ce chiffre inclut un
ajustement effectué en début de trimestre pour retrancher 7 505
abonnés relativement aux désactivations découlant de la décision du
CRTC d'éliminer le préavis de 30 jours requis pour annuler les
services.
- Le service de télé IP a ajouté 60 863 nouveaux abonnés ce
trimestre, comparativement à 66 378 à l'exercice précédent. La
diminution est principalement imputable à une expansion moindre de
la zone de couverture de la télé IP par rapport à l'exercice
précédent.
- Au 31 mars 2015, BCE comptait 990 325 abonnés des services de
télé IP, en hausse de 36,8 %. Ce chiffre inclut un ajustement
effectué en début de trimestre pour retrancher 2 236 abonnés
relativement aux désactivations découlant de la décision du CRTC
d'éliminer le préavis de 30 jours requis pour annuler les
services.
- La clientèle des services de télé IP de BCE a franchi le cap du
million d'abonnés le 17 avril.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont
augmenté pour s'établir à 33 873 au T1 2015, contre 26 155 à
l'exercice précédent. Cette situation s'explique en grande partie
par le nombre moindre d'activations du service de détail et de
gros, imputable au déploiement continu des services de télé IP par
des fournisseurs de services de télé partout au Canada.
- La clientèle totale d'abonnés des services de télé pour tous
les services de télé de BCE a augmenté de 5,1 %, pour s'établir à 2
658 106 à la fin du T1 2015. Ce chiffre inclut un ajustement
effectué en début de trimestre pour retrancher 7 702 abonnés (2 236
abonnés pour les services de télé IP et 5 466 abonnés pour Télé
Satellite) relativement aux désactivations découlant de la décision
du CRTC d'éliminer le préavis de 30 jours requis pour annuler les
services.
- Les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté
de 3,5 % pour s'établir à 1 757 millions $, ce qui résulte de la
croissance combinée d'environ 6 % des produits tirés des services
Internet et de télé, de la croissance des services de connectivité
à large bande IP et des solutions d'affaires d'un exercice à
l'autre.
- Au T1 2015, les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels
ont diminué de 26,5 % pour s'établir à 65 870, comparativement à 89
655 à l'exercice précédent, l'effet marqué de nos offres de
forfaits pour les services de télé IP et l'adoption accrue des 3
produits par foyer ayant favorisé la fidélisation de la
clientèle.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR sont demeurées
relativement stables, à 44 069 au T1 2015 comparativement à 43 085
à l'exercice précédent. La légère augmentation est principalement
imputable au nombre accru de désactivations dans le marché des
grandes entreprises.
- La clientèle totale des lignes d'accès aux SAR de BCE à la fin
du T1 2015 était de 7 017 161, soit une baisse de 6,0 % par rapport
à l'exercice précédent. Ce chiffre inclut un ajustement effectué en
début de trimestre pour retrancher 4 409 abonnés relativement aux
désactivations découlant de la décision du CRTC d'éliminer le
préavis de 30 jours requis pour annuler les services.
- Les produits tirés des services locaux et d'accès ont diminué
de 5,0 % pour s'établir à 824 millions $ ce trimestre, une
amélioration par rapport à l'érosion de 6,2 % au T1 2014, ce qui
reflète la diminution d'un exercice à l'autre du nombre net de
pertes d'abonnés des SAR.
- Les produits tirés des services interurbains ont diminué de 5,8
%, à 213 millions $ au T1 2015, une amélioration importante
comparativement à la diminution de 12,1 % d'un exercice à l'autre
enregistrée au T1 2014, ce qui reflète l'augmentation des ventes de
minutes de conversations interurbaines internationales.
Bell Média
Bell Média a enregistré une croissance
positive des produits des activités ordinaires, soit de 0,6 %
au T1, à 726 millions $, en hausse comparativement à
722 millions $ à l'exercice précédent. Cette croissance
reflète l'augmentation des produits tirés de la publicité à la télé
traditionnelle découlant de la retransmission en direct cette année
du Super Bowl et de la présentation des Oscars, ainsi que de la
récupération des budgets de publicité à la suite du glissement de
ces budgets au T1 de l'exercice précédent vers le principal
diffuseur des Jeux olympiques d'hiver 2014 de Sotchi. Les
produits tirés de la publicité à la télé spécialisée ont été
relativement stables ce trimestre par rapport au T1 2014,
grâce à TSN, le point fort de la programmation de Bell Média et la
meilleure chaîne de services spécialisés dans les sports du
secteur, et à l'accroissement de l'auditoire de Space et de
Discovery, ce qui a compensé la performance moindre des services de
télévision spécialisée francophone de Bell Média.
Les produits tirés des frais d'abonnement ont diminué par
rapport au T1 2014, en raison de la perte des produits subie à
la suite de la cessation de certains services des chaînes de hockey
régionales de TSN pour les Jets de Winnipeg et les Canadiens de Montréal, ainsi
que de celle de Viewers Choice. Cette diminution a été atténuée par
l'augmentation des produits tirés de CraveTV, le nouveau service de
vidéo en continu sur demande de Bell Média lancé en
décembre 2014, ainsi que par l'étoffement de la gamme des
produits Télé Partout GO.
Le BAIIA ajusté de Bell Média a diminué de 6,0 % au
T1 2015, passant à 141 millions $ comparativement à
150 millions $ à l'exercice précédent, en raison des
coûts croissants pour obtenir les droits de diffusion dans les
sports et de l'investissement considérable dans le contenu pour
CraveTV.
- CTV est demeuré le premier réseau du Canada pour la saison
d'hiver dans toutes les principales catégories démographiques,
comptant 14 des 20 émissions les plus écoutées à l'échelle
nationale par les téléspectateurs dans les tranches déterminantes.
La saison d'hiver a enregistré une augmentation de 16 % des cotes
d'écoute de journées complètes et de 19 % des cotes d'écoute aux
heures de grande écoute.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante,
Bell Média a rejoint 84 % de l'ensemble des téléspectateurs
canadiens anglophones de la télé spécialisée et de la télé payante
d'une semaine moyenne au cours du T1 2015. Bell Média arrive aussi
en tête aux heures de grande écoute avec TSN, la chaîne spécialisée
dans les sports la plus populaire, et The Movie Network, la chaîne
de télé payante la plus populaire.
- Bell Média a conservé sa position de leader dans les marchés de
la télé spécialisée et de la télé payante francophone au Québec,
rejoignant 83 % de la population hebdomadairement en moyenne.
Quatre des cinq chaînes de télé spécialisée les plus populaires
étaient des propriétés de Bell Média -- RDS, Canal D, Canal Vie et
Z.
- Bell Média est demeurée le premier radiodiffuseur au Canada, le
nombre d'auditeurs ayant atteint 17,2 millions, lesquels ont
écouté, au total chaque semaine, 83 millions d'heures.
- Bell Média est demeurée au premier rang des médias numériques
parmi tous les diffuseurs et producteurs de vidéos canadiens
concurrents et au septième rang parmi toutes les propriétés en
ligne au Canada, avec des moyennes mensuelles de 16,3 millions de
visiteurs, de 357 millions de pages consultées et de 79 millions de
vidéos regardées.
- CraveTV a continué de croître, Bell Média ayant conclu des
ententes de distribution avec un plus grand nombre de fournisseurs
canadiens de services de télé. Déjà diffusé par Eastlink, TELUS
Optik TV, Télé Fibe, Bell Télé Satellite et Télé FibreOP de Bell
Aliant, le service de vidéo en continu sur demande de premier plan
du Canada est maintenant également diffusé par Access
Communications, Cable Cable, Hay Communications, Mitchell Seaforth
Cable TV, Nexicom, Norouestel, Tuckersmith Communications et
Wightman Telecom. Bell Média et Twentieth Century Fox Television
Distribution ont annoncé une entente pluriannuelle sur le contenu
aux termes de laquelle CraveTV présentera quelques-unes des séries
dramatiques et des comédies des saisons précédentes saluées
unanimement par le public. L'entente porte aussi sur l'une des
séries dramatiques les plus populaires, Homeland, qui sera
présentée sur CraveTV dans le cadre de sa programmation
Showtime.
- TSN et RDS ont conclu une entente à long terme sur les droits
de diffusion pour Les Internationaux de France jusqu'en 2024. Avec la prolongation, TSN et RDS continuent
d'assurer la couverture exclusive des quatre événements du Grand
Slam Tennis.
- Bell Média et ses partenaires de production se sont vu décerner
53 prix par l'Académie canadienne du cinéma et de la télévision
lors du récent gala Les prix Écrans canadiens - notamment
Lisa LaFlamme, en tant que Meilleure
présentatrice d'un journal télévisé national, pour la deuxième
année consécutive - tandis que des films soutenus par les services
de télé payante de Bell Média et par le Fonds Harold Greenberg ont
récolté 15 prix. Bell Média a obtenu au total 140 nominations en
télévision et 47 nominations pour des films, plus que tout autre
diffuseur, ce qui démontre son leadership en matière de
développement de contenu télévisuel original canadien.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,6500 $ par action ordinaire, payable le
15 juillet 2015 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 juin 2015.
PERSPECTIVES
BCE a confirmé les objectifs de son
orientation financière pour 2015, tels qu'ils ont été présentés le
5 février 2015 :
|
Orientation du
5 février
|
Orientation du
30 avril
|
BCE
|
|
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
1 % à
3 %
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2 % à
4 %
|
Sur la bonne
voie
|
Intensité du
capital(4)
|
approx.
17 %
|
Sur la bonne
voie
|
BPA ajusté
|
3,28 $ à
3,38 $
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles(i)
|
approx. 8 % à
15 %
|
Sur la bonne
voie
|
Dividende annualisé
par action ordinaire
|
2,60 $
|
2,60 $
|
Politique de
distribution du dividende
|
65 % à
75 %
des flux de trésorerie
disponibles
|
Sur la bonne
voie
|
(i)
|
Au
1er novembre 2014, les flux de trésorerie
disponibles de BCE comprennent 100 % des flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant plutôt que les dividendes en espèces
reçus de Bell Aliant.
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T1 2015,
le jeudi 30 avril, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont
invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour
participer, composez le 416-340-2218 ou le numéro sans frais
1-800-355-4959 peu de temps avant le début de la conférence. Une
reprise sera disponible pendant une semaine, au 905-694-9451 ou au
1-800-408-3053 (composez le code d'identification 6089546#).
La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE sous :
http://www.bce.ca/evenements-et-presentations/tous/show/BCE-Q1-2015-Results-conference-call?Local=fr.
Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur
cette page, peu de temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1)
|
Les termes BAIIA
ajusté et marge du BAIIA ajusté n'ont pas de définition
normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils
puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par
d'autres émetteurs. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les
produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il
est présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Le
BAIIA ajusté des secteurs de BCE correspond au bénéfice sectoriel
présenté à la note 3 des états financiers consolidés du T1 2015 de
BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA
ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous utilisons le
BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement
de nos activités puisqu'ils reflètent leur rentabilité continue.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le
BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le
service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de
paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer
les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Nous
croyons que certains investisseurs et analystes utilisent également
le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le
rendement de nos activités. Le BAIIA ajusté est également un
facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court
terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure
financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et
à la marge du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le
tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du
BAIIA ajusté.
|
(en millions de
dollars)
|
|
T1 2015
|
|
T1 2014
|
|
Bénéfice
net
|
583
|
|
714
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
224
|
|
38
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
712
|
|
699
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
127
|
|
167
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
|
Charge
d'intérêts
|
226
|
|
235
|
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
27
|
|
25
|
|
Autres charges
(produits)
|
20
|
|
(87)
|
|
Impôt sur le
résultat
|
175
|
|
231
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 094
|
|
2 022
|
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 240
|
|
5 099
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
40,0
|
%
|
39,7
|
%
|
(2)
|
Les termes
bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de
définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable
qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le bénéfice net
ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur
placements et les coûts liés au remboursement anticipé de la dette.
Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par
action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et
le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer le
rendement de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits
nets) pertes nettes sur placements et des coûts liés au
remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et
des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une
influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le
fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires
et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus
comparables. Le tableau ci‑après présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
|
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T1 2015
|
T1 2014
|
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
532
|
0,63
|
615
|
0,79
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
164
|
0,20
|
23
|
0,03
|
Pertes nettes
(profits nets) sur placements
|
2
|
-
|
(12)
|
(0,01)
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
7
|
0,01
|
-
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
705
|
0,84
|
626
|
0,81
|
(3)
|
Les termes flux de
trésorerie disponibles et flux de trésorerie disponibles par
action n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Au
1er novembre 2014, les flux de trésorerie
disponibles de BCE incluaient la totalité des flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant, plutôt que les dividendes en espèces
reçus de Bell Aliant. Nous définissons les flux de trésorerie
disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux acquisitions
payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de
retraite, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur
actions privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC. Avant le 1er novembre 2014,
nous définissions les flux de trésorerie disponibles comme les flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite
des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la
cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes
reçus de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les
dividendes sur actions privilégiées, les dividendes payés par des
filiales aux détenteurs de PNDPC et les flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant. Nous définissons les flux de trésorerie
disponibles par action comme les flux de trésorerie disponibles
divisés par le nombre moyen d'actions ordinaires en circulation.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles et les flux de
trésorerie disponibles par action comme d'importants indicateurs de
la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils
révèlent le montant des fonds disponibles pour payer des
dividendes, rembourser la dette et réinvestir dans notre société.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les
flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses
actifs sous-jacents. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également les flux de trésorerie disponibles et
les flux de trésorerie disponibles par action pour évaluer la
solidité financière et le rendement de nos activités. Les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après
présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base
consolidée.
|
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T1 2015
|
T1 2014
|
Flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation
|
1 045
|
982
|
Dépenses
d'investissement
|
(827)
|
(729)
|
Dividendes en espèces
payés sur actions privilégiées
|
(39)
|
(32)
|
Dividendes en espèces
payés par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant
pas le contrôle
|
-
|
(7)
|
Coûts liés aux
acquisitions payés
|
52
|
14
|
Flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant
|
-
|
34
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
231
|
262
|
|
|
|
|
|
Nombre moyen
d'actions ordinaires en circulation
|
841,0
|
776,5
|
Flux de trésorerie
disponibles par action
|
0,27
|
0,34
|
(4)
|
Nous utilisons le
PMU, le taux de désabonnement, le coût d'acquisition, l'intensité
du capital et le ratio de distribution pour évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Se reporter à la
section 8.2, Mesures financières non définies par les PCGR
et indicateurs de performance clés, du rapport de gestion du
T1 2015 de BCE pour obtenir une définition de ces indicateurs
de performance clés.
|
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière pour 2015 (ce qui comprend les produits des
activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le
BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives
commerciales, nos objectifs, plans et priorités stratégiques, le
dividende par action ordinaire annualisé et la politique de
dividendes sur actions ordinaires de BCE pour 2015, la valeur des
dépenses d'investissement que devrait effectuer Bell Canada de 2015 à la fin de 2020, nos plans
de déploiement pour les réseaux ainsi que d'autres déclarations qui
ne sont pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, plan,
stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les
temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains
verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir
l'intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de
repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations
prospectives sont faites conformément aux dispositions refuges
prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs
mobilières et dans la loi américaine intitulée Private
Securities Litigation Reform Act de 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans
ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints.
Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des
déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur
contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces
déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 30 avril 2015 et, par conséquent,
pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les
lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous
ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les
déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même
à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de
l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf
indication contraire de la part de BCE, les déclarations
prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments
exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions,
d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres
transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le
30 avril 2015. L'incidence financière de ces transactions et
de ces éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des
faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de
manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même
façon que les risques connus touchant nos activités. Les
déclarations prospectives sont présentées dans le présent
communiqué dans le but d'aider les investisseurs et les autres
parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats
financiers prévus pour 2015, ainsi que nos objectifs, nos priorités
stratégiques et nos perspectives commerciales pour 2015, et à mieux comprendre le contexte dans
lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc
mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas
convenir à d'autres fins. La valeur des dépenses d'investissement
que devrait effectuer Bell Canada de
2015 à la fin de 2020 suppose que les dépenses d'investissement se
poursuivront aux niveaux actuels. Toutefois, rien ne garantit que
les niveaux d'investissement actuels se maintiendront, ce qui
signifie que la valeur des dépenses d'investissement réelles
effectuées par Bell Canada au cours
de cette période pourrait différer de façon importante des
prévisions actuelles.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives pour 2015 contenues
dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- une faible croissance économique, basée sur l'estimation la
plus récente de la Banque du Canada de la croissance du produit
intérieur brut du Canada de 1,9 % pour 2015, ce qui représente une
diminution de vingt points de base comparativement à l'estimation
antérieure de 2,1 %;
- une croissance des niveaux d'emploi plus faible que celle de
2014, car le niveau d'investissements des entreprises devrait
demeurer peu élevé globalement;
- des taux d'intérêt demeurant essentiellement inchangés en 2015
ou légèrement plus bas d'un exercice à l'autre;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du marché du sans-fil et l'adoption plus généralisée des
téléphones intelligents;
- un marché publicitaire relativement stable dans le secteur des
médias et des coûts croissants pour obtenir de la programmation
télé;
- des prévisions quant à un nombre plus élevé de renouvellements
d'abonnés en raison de l'expiration des contrats de service de deux
ans ou de trois ans dans la foulée de la mise en œuvre, en 2013, du
Code sur les services sans fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du secteur du sans-fil au Canada et l'adoption plus
généralisée des téléphones intelligents;
- le maintien du niveau de concurrence tant dans le marché
résidentiel que dans le marché d'affaires;
- le maintien du rythme en ce qui a trait à notre part du marché
des activations d'abonnés des services postpayés dans le sans-fil
pour les entreprises titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- notre capacité de monétiser l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison d'un nombre plus
élevé d'ajouts bruts et de mises à niveau des appareils d'un
exercice à l'autre;
- une croissance du PMU combiné et du BAIIA ajusté supérieure à
la moyenne au sein du secteur, stimulée par une proportion accrue
de la clientèle des services postpayés utilisant des téléphones
intelligents, une consommation croissante des services de données
sur le réseau 4G LTE et la hausse des tarifs d'accès pour les
nouveaux contrats de deux ans;
- l'achèvement du réseau LTE qui devrait couvrir 98 % de la
population canadienne;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- des prévisions quant à un nombre plus élevé de renouvellements
d'abonnés en raison de l'expiration des contrats de service de deux
ans ou de trois ans dans la foulée de la mise en œuvre, en 2013, du
Code sur les services sans fil;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- une croissance positive des produits tirés des activités
ordinaires et du BAIIA ajusté pour l'ensemble de l'exercice;
- l'apport des services de télé IP à l'augmentation de la part de
marché des services de télé et du service Internet à large bande,
et à une baisse des pertes au chapitre des SAR résidentiels,
permettant la diminution du total des pertes nettes d'abonnés des
services résidentiels sur fil d'un exercice à l'autre et une
pénétration accrue des trois produits par foyer;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels générée par
l'adoption croissante des trois produits par foyer, l'expiration
des promotions et l'augmentation des tarifs;
- des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
régions où nous fournissons des services sur fil;
- l'amélioration du rythme de la diminution des produits tirés
des services et du BAIIA ajusté de l'unité Bell Marchés Affaires
d'un exercice à l'autre;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- la poursuite de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler le
segment d'affaires;
- l'utilisation des technologies FTTH et FTTP dans le cadre de la
majorité des nouveaux déploiements de la fibre à large bande;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande, la croissance
prévue de Télé Partout ainsi que la multiplication des appareils,
comme les tablettes, qui exigent une bande passante très élevée, ce
qui exigera un niveau soutenu d'investissements constants;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- une diminution du BAIIA ajusté et de la marge d'un exercice à
l'autre en raison des coûts croissants pour obtenir de la
programmation télé, ce qui comprend l'augmentation des coûts pour
les droits de diffusion dans les sports et les tarifs du marché
pour le contenu de la télé spécialisée, l'investissement lié à
CraveTV, la hausse des dépenses relatives à la réglementation liée
au contenu canadien, l'échéance de certains avantages imposés par
le CRTC et la clôture du Fonds pour l'amélioration de la
programmation locale;
- la capacité de procéder à des acquisitions fructueuses
d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu
différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques quant à
l'approvisionnement en contenu sur les quatre écrans;
- le soutien, de façon efficiente, d'une adoption généralisée de
CraveTV;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé du secteur Bell Média entraînée par le
dégroupement des chaînes de télé et la popularité grandissante du
visionnement de contenu par contournement;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2015 :
- un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait s'établir à environ 370 millions $, selon un taux
d'actualisation comptable estimatif de 4 %, qui se compose d'un
coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA ajusté d'environ 260
millions $ et d'une charge financière nette estimative au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi inférieure au BAIIA
ajusté d'environ 110 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 3 425 millions
$;
- une charge d'intérêts nette d'environ 940 millions $, au lieu
de 970 millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,03 $, au lieu
de 0,02 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- une participation ne donnant pas le contrôle d'environ 50
millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite
totalisant environ 400 millions $;
- des impôts en espèces d'environ 750 millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ 925 millions $;
- une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres d'environ 125 millions $ à 225
millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 845 millions;
- un dividende annualisé sur les actions ordinaires de 2,60 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 30 avril 2015, pourraient
se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels
pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles
qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés
ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris
notre orientation financière pour 2015, sont énumérés ci-dessous.
La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre
capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans
notre orientation financière pour 2015, dépend essentiellement du
rendement de notre entreprise qui, à son tour, est assujetti à de
nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde
contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles
d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations
prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives et les procédures réglementaires, les
consultations gouvernementales et les positions gouvernementales
qui nous touchent et qui touchent nos activités;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que
l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients
actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies
d'établissement des prix, sur nos résultats financiers et sur nos
données opérationnelles;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation
des services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la
fragmentation accrue au sein du marché de la distribution des
services de télé de Bell Télé et des marchés de Bell Média;
- l'augmentation des coûts au titre de la programmation et
l'incapacité de Bell Média à obtenir du contenu de premier
plan;
- la variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de
fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions
d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones
intelligents et des rabais sur les combinés;
- la conjoncture économique et les conditions du marché des
capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs,
la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de
ceux-ci;
- la dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une
demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur
celle-ci des conditions économiques, ainsi que de la part
d'audience et des cotes d'écoute;
- notre capacité à protéger nos réseaux, nos systèmes, nos
applications, nos centres de données, nos dossiers électroniques et
physiques, ainsi que les renseignements qu'ils contiennent, contre
les cyberattaques, l'accès ou l'entrée non autorisé et les dommages
causés par les incendies, les catastrophes naturelles et d'autres
événements;
- la complexité de notre gamme de produits, de nos plans
tarifaires, de nos promotions, de nos plateformes technologiques et
de nos systèmes de facturation;
- notre incapacité à répondre aux attentes des clients et à
élaborer un modèle de prestation de services simple et rapide;
- notre incapacité à mener les activités liées à l'évolution de
notre réseau ou à respecter les échéanciers pour la mise à niveau
et le déploiement du réseau conformément à nos objectifs en matière
d'intensité du capital;
- notre incapacité à supprimer certains services dans la mesure
nécessaire pour améliorer la productivité du capital et
l'efficience opérationnelle;
- notre incapacité à prévoir les changements technologiques et à
nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir
rapidement de nouveaux produits et services;
- notre incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir, en temps
opportun, des systèmes de TI efficaces, ainsi que la complexité de
notre environnement de TI et les coûts qui s'y rapportent;
- notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle
optimale de notre réseau, étant donné une augmentation importante
de la demande pour les services à large bande et du volume du
trafic des services de données sans fil;
- le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement, et
les interruptions de travail;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de
notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre
capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir et à les
remplacer;
- les risques en orbite liés aux satellites utilisés par Bell
Télé;
- les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers
fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels
et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- la qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des
clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des
défauts de fabrication;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier, des
recours collectifs;
- des modifications défavorables aux lois applicables;
- les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les
exigences liées au financement et à la dette et notre incapacité à
accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour
répondre à nos besoins de liquidités et mettre en œuvre notre plan
d'affaires, de même que notre incapacité à gérer les différents
risques de crédit, de liquidité et de marché;
- une gestion inefficace du changement découlant de
réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que
notre incapacité à intégrer avec succès les entreprises acquises et
les unités d'affaires existantes;
- notre incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer
un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- la violation des droits d'auteur et l'utilisation non autorisée
de notre contenu;
- le vol de nos services de télé par SRD;
- notre incapacité à réaliser nos impératifs stratégiques ainsi
que nos plans de développement des affaires afin de produire les
avantages attendus, y compris la poursuite de la mise en œuvre de
nos initiatives de réduction des coûts visées, et à élaborer une
stratégie d'affaires fructueuse;
- des impôts plus élevés découlant de nouveaux impôts, de la
majoration des taux d'imposition ou de modifications apportées aux
lois fiscales, et notre incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans
fil;
- notre incapacité à maintenir le service à la clientèle et à
assurer le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des
pandémies et d'autres éventualités menaçantes pour la santé
survenaient;
- notre incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement;
- la dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, de
ses partenariats et des autres entités dans lesquelles elle détient
une participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute
autre distribution;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- la volatilité des marchés boursiers;
- l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée
de Glentel Inc. et de la cession subséquente d'une participation de
50 % à Rogers Communications Inc., qui sont assujettis à des
conditions de clôture ainsi qu'à d'autres risques et incertitudes
et pour lesquels rien ne garantit que les avantages anticipés
seront réalisés.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2014 de BCE, daté du 5 mars 2015 (inclus dans
le rapport annuel 2014 de BCE) ainsi que le rapport de gestion du
premier trimestre 2015 de BCE, daté du 29 avril 2015, pour
obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque
et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et
hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des
autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières
(disponibles au Sedar.com) et de la Securities and Exchange
Commission des États-Unis (disponibles au SEC.gov). Ces documents
sont également disponibles au BCE.ca.
À PROPOS DE BCE
À titre de plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE fournit un ensemble complet et
novateur de services de communications à large bande à des clients
résidentiels et d'affaires par l'intermédiaire de Bell Canada et de Bell Aliant. Bell Média est la
première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des
actifs dans les secteurs de la télévision, de la radio, de
l'affichage extérieur et des médias numériques, y compris CTV,
premier réseau de télévision du Canada, et les chaînes spécialisées
les plus regardées au pays. Pour en savoir plus, visitez le site
BCE.ca.
L'initiative de Bell « Bell Cause pour la cause » est dédiée à
la promotion de la santé mentale au Canada, à la sensibilisation à
l'échelle nationale par l'intermédiaire de campagnes de lutte
contre la stigmatisation, comme le Grand Tour de Clara pour Bell
Cause pour la cause et la Journée Bell Cause pour la cause, et au
financement important fourni par Bell pour l'accès aux soins
communautaires, la recherche et les initiatives au travail. Pour en
savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
Communications, Bell
514-870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
Relations avec les investisseurs, BCE
514-870-4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE BCE inc.