- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de
542 millions $, en hausse de 9,5 %; bénéfice net
ajusté de 610 millions $, en hausse de 13 % et BPA
ajusté de 0,72 $, en hausse de 2,9 %
- Augmentation du BAIIA ajusté des Services sans fil de
Bell de 10,6 %, soutenue par la
croissance accélérée de 9,6 % des produits des activités
ordinaires générée par la hausse de 5,5 % du PMU
combiné
- Total des activations nettes d'abonnés des services
postpayés dans le sans-fil de BCE de 118 120 au T4
- Croissance positive du BAIIA ajusté des Services sur fil de
Bell pour un deuxième trimestre consécutif, en hausse de
2,0 %
- 76 074 nouvelles activations nettes d'abonnés du
service de télé IP de BCE et 52 010 nouveaux abonnés nets
des services Internet de BCE, l'expansion de la zone de couverture
du réseau de fibre pour la télé IP permettant de rejoindre plus de
6 millions d'emplacements de clients
- Augmentation des flux de trésorerie disponibles de
23,6 %, à 833 millions $, et de 6,7 % sur
l'ensemble de l'exercice 2014
- Maintien de la part de l'auditoire télé et des cotes
d'écoute de premier plan de Bell Média, TSN et RDS confirmant leur
position de meilleures chaînes de télé spécialisée au
Canada
- Perspectives pour 2015 s'appuyant sur l'élan positif des
activités d'exploitation et la réalisation des impératifs
stratégiques, en appui à la hausse du dividende et à l'important
programme d'investissement
Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
le communiqué.
MONTRÉAL, le 5 févr. 2015 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX,
NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du
Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour
le quatrième trimestre (T4) ainsi que les résultats annuels de
2014, et a annoncé son orientation
financière pour 2015 et une
majoration de 0,13 $ par action du dividende annuel par action
ordinaire de BCE, qui est porté à 2,60 $.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS |
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions $, sauf les montants par action)
(non audité) |
T4 2014 |
T4 2013 |
% de variation |
|
2014 |
2013 |
% de variation |
|
Bell(i) |
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits d'exploitation |
4 940 |
4 813 |
2,6 |
% |
18 734 |
18 109 |
3,5 |
% |
BAIIA ajusté(1) |
1 730 |
1 693 |
2,2 |
% |
7 066 |
6 817 |
3,7 |
% |
BCE |
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits d'exploitation |
5 528 |
5 382 |
2,7 |
% |
21 042 |
20 400 |
3,1 |
% |
BAIIA ajusté |
2 022 |
1 998 |
1,2 |
% |
8 303 |
8 089 |
2,6 |
% |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires |
542 |
495 |
9,5 |
% |
2 363 |
1 975 |
19,6 |
% |
BPA |
0,64 |
0,64 |
- |
|
2,98 |
2,55 |
16,9 |
% |
BPA ajusté(2) |
0,72 |
0,70 |
2,9 |
% |
3,18 |
2,99 |
6,4 |
% |
Flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation |
1 527 |
1 838 |
(16,9) |
% |
6 241 |
6 476 |
(3,6) |
% |
Flux de trésorerie disponibles(3) |
833 |
674 |
23,6 |
% |
2 744 |
2 571 |
6,7 |
% |
Flux de trésorerie disponibles par
action(3) |
1,01 |
0,86 |
17,4 |
% |
3,46 |
3,31 |
4,5 |
% |
(i) Bell comprend les secteurs
Services sans fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell
Média.
« Le travail remarquable de l'équipe de Bell à l'égard de
la mise en œuvre de notre stratégie d'investissement dans les
réseaux et les services large bande, l'efficience des activités
d'exploitation et l'amélioration du service à la clientèle
rapportent à chacune de nos parties prenantes. En effet, les
clients de Bell profitent de l'innovation sans précédent des
produits et des réseaux, les actionnaires de BCE obtiennent une
valeur élevée, comme en témoigne l'annonce de notre plus récente
hausse du dividende, et la communauté a reçu un investissement
inégalé grâce au nouveau record atteint lors de la Journée Bell
Cause pour la cause. Les résultats solides du T4 et pour 2014
démontrent que Bell est un concurrent de taille et déterminé à
occuper la position de chef de file des services de croissance dans
les communications au Canada, soit les services sans-fil, télé,
Internet et médias », a déclaré George
Cope, président et chef de la direction de BCE Inc. et de
Bell Canada. « Le nombre
d'abonnés aux Services sans fil de Bell a augmenté de façon
exceptionnelle et ce secteur a généré une forte croissance des
produits des activités ordinaires, dont une hausse trimestrielle
marquée du produit moyen par client, l'utilisation des téléphones
intelligents et des services de données montant en flèche. Grâce à
la popularité rapidement grandissante de Télé Fibe et d'Internet
Fibe, nos Services sur fil ont connu leur premier trimestre de
croissance pour ce qui est des produits, du BAIIA et des ajouts
nets d'abonnés des services résidentiels sur fil depuis le
lancement de la téléphonie par câble il y a dix ans. De plus, Bell
Média a continué de donner le ton, dans le domaine des multimédias
au Canada, en conservant sa position de leader dans le marché des
services de télé traditionnelle et spécialisée, de radiodiffusion
et, grâce à CraveTV, dans celui en plein essor de la vidéo sur
demande. »
Bell centre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de 6 impératifs stratégiques : investir dans les
réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer
meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les
médias, améliorer le service à la clientèle et établir une
structure de coûts concurrentielle.
« Sur le plan financier, l'exercice 2014 a été fructueux.
Nous avons atteint sans difficulté tous les objectifs de notre
orientation financière pour l'exercice. Année après année, nous
réussissons à assurer la constance de notre rendement, ce qui
confirme l'efficacité du modèle économique de Bell fondé sur
6 impératifs stratégiques. Malgré la concurrence féroce qui
sévit dans le secteur des communications et les changements dans la
dynamique de ce secteur, nous avons tiré parti de notre modèle
économique et enregistré des résultats conformes ou supérieurs aux
attentes de façon constante », a affirmé Siim Vanaselja, chef des affaires financières de
BCE et de Bell Canada. « BCE
entame 2015 avec un élan opérationnel et des bases financières
solides. Les objectifs de notre orientation financière pour
l'exercice reflètent nos prévisions quant au maintien du niveau
élevé de la rentabilité du secteur des Services sans fil, à la
croissance positive du rendement du secteur des Services sur fil et
à la saine augmentation du bénéfice et des flux de trésorerie
disponibles grâce aux activités d'exploitation qui appuieront nos
dépenses d'investissement majeures dans l'infrastructure réseau
stratégique et la hausse du dividende sur les actions ordinaires de
BCE en 2015. »
AUGMENTATION DU DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
L'annonce d'aujourd'hui sur le dividende représente la onzième
augmentation du dividende annuel par action ordinaire de BCE, soit
une augmentation de 78 %, au cours des 6 dernières
années. Le dividende annualisé par action ordinaire de BCE
augmentera de 5,3 %, ou 13 cents par action, passant de 2,47 $
à 2,60 $; cette augmentation s'appliquera au dividende du
T1 2015 de BCE, payable le 15 avril 2015 aux actionnaires
inscrits à la fermeture des bureaux le 16 mars 2015. Compte tenu de
cette augmentation, BCE maintiendra le ratio de
distribution(4) à l'intérieur de la fourchette de
65 % à 75 % des flux de trésorerie disponibles établie
dans la politique. Cette décision de majorer le dividende pour 2015
s'appuie entièrement sur l'augmentation prévue des flux de
trésorerie disponibles générés et sur des perspectives commerciales
solides pour 2015.
COTISATION VOLONTAIRE AU RÉGIME DE RETRAITE
En décembre 2014, BCE a versé une cotisation volontaire au régime
de retraite de 350 millions $ afin d'harmoniser la
situation de capitalisation du régime de retraite à prestations
définies de Bell Aliant avec celle des régimes de Bell Canada qui présentent une excellente
solvabilité, ce qui a réduit le montant des obligations futures au
titre des régimes de retraite de BCE. La cotisation volontaire a
été financée par des fonds en caisse à la fin de 2014. Comme les
intervenants du marché s'attendent, de façon générale, à une
faiblesse persistante des taux d'intérêt, il est judicieux
d'utiliser la trésorerie pour accélérer la capitalisation des
obligations futures de BCE.
ACQUISITION DE GLENTEL
Le 28 novembre 2014, BCE a annoncé la conclusion d'une entente
définitive en vue d'acquérir toutes les actions émises et en
circulation de GLENTEL Inc., un distributeur qui offre plusieurs
marques d'appareils mobiles utilisant la technologie à deux canaux
au Canada, pour une contrepartie totale de
594 millions $. GLENTEL a obtenu l'approbation de ses
actionnaires lors d'une assemblée extraordinaire des actionnaires
tenue le 12 janvier 2015 et
celle du tribunal, le 14 janvier 2015. La clôture de la
transaction devrait avoir lieu au printemps 2015, sous réserve de
l'obtention de l'approbation du Bureau de la concurrence. BCE a
conclu une entente en vue de vendre 50 % de sa participation
dans GLENTEL à Rogers Communications Inc., à la suite de la
conclusion de l'acquisition. Rogers versera à BCE un montant en
trésorerie d'environ 392 millions $, ce qui réduira le
coût net de BCE pour l'acquisition de sa participation restante de
50 % dans GLENTEL à 202 millions $. La transaction
avec Rogers devrait se conclure peu de temps après l'acquisition de
GLENTEL par BCE, sous réserve des conditions de clôture
habituelles, y compris les approbations réglementaires.
SUCCÈS INÉGALÉ POUR LA JOURNÉE BELL CAUSE POUR LA
CAUSE
L'événement annuel vedette de l'initiative en santé mentale
d'envergure nationale de Bell, la Journée Bell Cause pour la cause,
tenu le 28 janvier, a stimulé la conversation sur la santé mentale
et a nourri l'espoir d'un Canada sans préjugé comme jamais
auparavant. Encouragés par Clara
Hughes, la porte-parole nationale de la Journée Bell Cause
pour la cause, les Canadiens et des gens dans le monde entier ont
manifesté leur appui à cette cause lors de la Journée Bell Cause
pour la cause en générant un nombre record de
122 150 772 tweets, messages textes, appels passés
et partages sur Facebook. Grâce au don de Bell de 5 cents
par interaction, un montant de 6 107 538,60 $ a été
amassé pour le financement de programmes en santé mentale. Le sujet
Bell Cause pour la cause a été la tendance Twitter numéro 1 au
Canada et dans le monde, les tweets ayant augmenté de 58 % par
rapport à 2014. Fondée sur 4 piliers d'action : la lutte
contre la stigmatisation, l'accès aux soins, la recherche et les
pratiques exemplaires en milieu de travail, l'initiative Bell Cause
pour la cause fournit du financement aux hôpitaux, aux instituts de
recherche et aux groupes communautaires reconnus pour leur
leadership en santé mentale dans toutes les régions et a jusqu'à
maintenant dédié un montant de 73 623 413,80 $ à la
santé mentale au Canada. Pour en savoir plus, visitez le site
Bell.ca/cause.
REJOUER : UNE NOUVELLE FONCTION NOVATRICE DE TÉLÉ
FIBE
La plus récente amélioration de Bell Télé Fibe, la nouvelle
fonction exclusive « Rejouer », permet aux clients de
revenir en arrière et de regarder des émissions de télé déjà en
cours à partir du début. Autre première canadienne de Télé Fibe,
lancée le 2 février, Rejouer est compatible avec des milliers
d'émissions diffusées sur des réseaux comme CBC, CTV,
Global TV, HBO Canada, Super Channel, TSN et plusieurs autres.
Rejouer, à l'image des services de télé IP de prochaine génération
comme Télé Fibe, est une fonction novatrice offrant un vaste choix
qui résulte de l'orientation stratégique de Bell visant un
investissement inégalé dans les réseaux et les services à large
bande évolués au Canada. À l'instar de la croissance robuste du
nombre d'abonnés des services sans fil et des services de données
propulsée par le déploiement rapide du réseau mobile 4G LTE de
Bell, l'expansion continue de la fibre fait augmenter
considérablement les ajouts des services de croissance de télé IP
et Internet de Bell. La zone de couverture du service Télé Fibe
s'étend maintenant à plus de 5 millions de foyers, en hausse par
rapport à la fin de 2013 où elle en couvrait 4,3 millions. En
incluant la zone de service de Bell Aliant, la zone de couverture
totale du service de télé IP de BCE s'étend maintenant à plus de 6
millions d'emplacements de clients.
RÉSULTATS DE BCE
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 2,7 %, à
5 528 millions $ au T4, reflétant l'augmentation des
produits des activités ordinaires de Bell et de Bell Aliant. Le
BAIIA ajusté a augmenté de 1,2 %, à
2 022 millions $, soutenu par la forte croissance
réalisée par Bell, contrebalancée partiellement par la diminution
d'un exercice à l'autre subie par Bell Aliant. Pour l'ensemble de
l'exercice 2014, les produits d'exploitation et le BAIIA ajusté de
BCE ont augmenté de 3,1 % et de 2,6 %,
respectivement.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE
pour le T4 2014 s'est élevé à 542 millions $, soit
0,64 $ par action, en hausse de 9,5 % par rapport au T4
2013, où il s'est établi à 495 millions $, soit
0,64 $ par action. Le bénéfice net ajusté a augmenté de
13,0 %, à 610 millions $, et le bénéfice par action
(BPA) ajusté a crû de 2,9 %, à 0,72 $, comparativement à
0,70 $ à l'exercice précédent, grâce à la hausse du BAIIA
ajusté attribuable au maintien du niveau élevé de la rentabilité du
sans-fil et à la croissance positive globale du sur-fil. La
diminution de la participation ne donnant pas le contrôle, liée à
la privatisation de Bell Aliant réalisée le
1er novembre 2014, a également contribué à la
hausse du bénéfice net ajusté au cours du trimestre.
Au T4 2014, nous avons comptabilisé une perte de valeur nette de
95 millions $, qui découle principalement des propriétés
de télé traditionnelle de Bell Média. La perte de valeur s'explique
par la faiblesse de l'ensemble du marché canadien de la publicité
télé et l'augmentation des coûts du contenu. L'incidence de cette
perte a été largement compensée par des profits nets évalués à la
valeur du marché, enregistrés au cours du trimestre, sur les
dérivés sur actions conclus pour couvrir nos passifs au titre de la
rémunération fondée sur des actions et des achats libellés en
dollars américains.
Pour 2014, le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires s'est chiffré à 2 363 millions $, ou
2,98 $ par action, en hausse de 19,6 % par rapport à
2013, où il s'est établi à 1 975 millions $, ou
2,55 $ par action. Cette augmentation est attribuable à la
croissance robuste du BAIIA ajusté, à la diminution de la
participation ne donnant pas le contrôle et à une charge en 2013
relative à une obligation au titre des avantages tangibles imposée
par le CRTC que Bell a payée dans le cadre de son acquisition
d'Astral Media, partiellement contrebalancée par une perte de
valeur nette comptabilisée au T4 2014. Le bénéfice net ajusté de
2 524 millions $ et le BPA ajusté de 3,18 $ ont
augmenté de 8,9 % et de 6,4 %, respectivement, par
rapport à 2013. Cette hausse reflète l'augmentation du BAIIA ajusté
stimulée par l'apport accru des services de croissance de Bell, la
baisse de la charge financière nette au titre des régimes de
retraite et les profits liés à la valeur de marché sur des dérivés
sur actions utilisés comme couvertures économiques de la
rémunération fondée sur des actions et des achats libellés en
dollars américains.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont élevés à 1 527 millions $, comparativement à
1 838 millions $ au T4 2013, ce qui s'explique par
la cotisation volontaire aux régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi de 350 millions $ versée à la fin de 2014. Les
flux de trésorerie disponibles générés au T4 2014 se sont établis à
833 millions $, soit 23,6 % de plus qu'à l'exercice
précédent, en raison de l'augmentation du BAIIA ajusté et de la
baisse des dépenses d'investissement. Compte tenu de la
privatisation de Bell Aliant réalisée le
1er novembre 2014, les flux de trésorerie
disponibles de BCE du T4 incluent un apport de Bell Aliant pour
deux mois. Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation ont diminué de
3,6 % pour s'établir à 6 241 millions $, en
raison d'une cotisation volontaire au régime de retraite de 350
millions $, tandis que les flux de trésorerie disponibles ont
augmenté de 6,7 % pour se chiffrer à
2 744 millions $. Les flux de trésorerie disponibles
par action se sont élevés à 1,01 $ par action au T4 et à
3,46 $ par action en 2014, ce qui représente des hausses d'un
exercice à l'autre de 17,4 % et de 4,5 %,
respectivement.
Au T4 2014, BCE (Bell Canada et
Bell Aliant) a ajouté 177 698 nouveaux abonnés nets des services de
croissance dans les communications (sans fil, télé et
Internet) : 118 120 abonnés des services sans fil
postpayés, nombre en partie contrebalancé par la perte de
34 622 abonnés des services prépayés; 42 190 abonnés des
services de télé, reflétant l'ajout de 76 074 nouveaux
abonnés nets du service de télé IP; et 52 010 abonnés
d'Internet haute vitesse. Les pertes nettes totales au chapitre des
SAR ont diminué de 31,0 % pour s'établir à
93 005 abonnés. À la fin de 2014, BCE comptait au
total : 8 118 628 abonnés du sans-fil, soit une hausse de
2,4 % par rapport au T4 2013; 2 642 608 abonnés des services
de télé, soit une augmentation de 6,2 % (incluant les 933 547
abonnés du service de télé IP, soit une augmentation de 42 %);
3 297 026 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une augmentation
de 5,1 %; et 7 130 852 abonnés des SAR au total, soit une
diminution de 6,1 %.
RÉSULTATS DE BELL
Au T4, les produits d'exploitation de Bell ont augmenté de
2,6 %, à 4 940 millions $, alimentés par la
hausse de 2,2 % des produits tirés des services, ce qui
reflète une forte augmentation d'un exercice à l'autre dans le
secteur des Services sans fil de Bell ainsi qu'une croissance
positive globale du sur-fil. Les produits d'exploitation tirés des
produits ont augmenté de 6,8 % par rapport au T4 2013, ce qui
reflète le nombre accru de mises à niveau des appareils sans fil et
de ventes d'équipements de transmission de données aux clients
d'affaires, et contribue à l'augmentation d'un exercice à l'autre
du total des produits d'exploitation de Bell. Les produits tirés de
Bell Média ont diminué de 3,9 % par rapport à ceux de
l'exercice précédent.
Au T4, le BAIIA ajusté de Bell a augmenté de 2,2 % pour
s'établir à 1 730 millions $, soutenu par les
augmentations de 10,6 % pour les Services sans fil de Bell et
de 2,0 % pour les Services sur fil de Bell. Au cours du
trimestre, la croissance globale a été ralentie par une baisse de
16,5 % dans le secteur Bell Média, en raison de l'augmentation
des coûts pour les droits de diffusion dans les sports et des
investissements liés au contenu destiné au service de vidéo sur
demande CraveTV. Au T4 2014, la marge du BAIIA consolidée de Bell
est demeurée essentiellement inchangée à 35,0 %,
comparativement à 35,2 % au T4 2013.
Pour 2014, conformément aux objectifs de l'orientation pour
l'exercice, les produits d'exploitation et le BAIIA de Bell ont
augmenté de 3,5 % et de 3,7 %, respectivement, pour
s'établir à 18 734 millions $ et à
7 066 millions $, alimentés par l'augmentation de
l'apport des services de croissance de Bell (sans-fil, télé,
Internet et médias). Le total des produits générés par ces services
de croissance a augmenté de 814 millions $ en 2014, soit
une hausse de 5,5 % par rapport à l'exercice précédent.
Bell a investi 932 millions $ en nouveau capital au T4
2014, ce qui porte les dépenses d'investissement totales pour
l'exercice à 3 142 millions $, une hausse de
4,7 % par rapport à 2013. Ces investissements appuient la
poursuite du déploiement de la fibre à large bande dans des
domiciles et des entreprises en vue d'élargir la zone de couverture
de notre service Télé Fibe et d'offrir des services Internet plus
rapides, la poursuite du lancement du service mobile 4G LTE dans
des marchés partout au Canada, les dépenses accrues visant la
capacité du réseau afin de soutenir l'utilisation croissante de la
bande passante pour les services Internet et la demande
grandissante pour les services de données mobiles, et
l'amélioration de nos systèmes de service à la clientèle.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BELL PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Au cours du trimestre, la croissance des produits d'exploitation
des Services sans fil a continué de s'accélérer, ayant augmenté de
9,6 % pour se chiffrer à 1 649 millions $,
grâce à la hausse de 8,1 % des produits tirés des services
totalisant 1 469 millions $. Cette croissance, qui
résulte d'une proportion accrue d'abonnés des services postpayés
dans notre clientèle et de la hausse du PMU combiné(4),
est alimentée par une utilisation plus intensive des services de
données mobiles sur des téléphones intelligents et des tarifs
mensuels moyens plus élevés. Les produits tirés des services de
données sans fil ont augmenté de 26 % au cours du trimestre et
représentent maintenant environ la moitié du total des produits des
Services sans fil de Bell. Les produits d'exploitation tirés des
produits ont augmenté de 24,6 % pour s'établir à
167 millions $, en raison du nombre accru d'activations
et de mises à niveau pour des téléphones intelligents haut de gamme
par rapport à l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil de Bell a augmenté de
10,6 % pour se chiffrer à 585 millions $ au T4 2014,
ce qui s'est traduit par une augmentation de 0,9 point de
pourcentage de la marge liée aux services, qui s'élève à
39,8 %. Ce résultat a été réalisé malgré l'augmentation
combinée d'environ 40 millions $ d'un exercice à l'autre
des coûts d'acquisition d'abonnés et des dépenses à l'égard de la
fidélisation de la clientèle, ce qui a contribué à la croissance
des coûts d'exploitation de 9,0 % ce trimestre.
Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les produits d'exploitation
des Services sans fil de Bell ont augmenté de 6,7 % pour
s'établir à 6 241 millions $, les produits tirés des
services progressant de 6,4 % pour s'établir à
5 705 millions $ et les produits d'exploitation
tirés des produits progressant de 11,8 % pour s'établir à
483 millions $. Le BAIIA ajusté a crû de 9,6 % pour
se chiffrer à 2 564 millions $, la marge liée aux
services ayant augmenté de 1,3 point de pourcentage pour s'élever à
44,9 %, ce qui reflète l'effet marqué des produits tirés des
services lié à l'augmentation du nombre d'abonnés des services
postpayés et à l'approche rigoureuse en matière d'établissement des
prix.
- Les ajouts bruts d'abonnés des services postpayés ont totalisé
377 735 au T4, en hausse de 2,6 % par rapport à
l'exercice précédent. Cette croissance reflète les ventes
importantes réalisées au cours de la période des fêtes, la hausse
du nombre d'activations dans l'Ouest canadien et l'augmentation des
ventes de tablettes.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés se sont élevés
à 117 378, comparativement à 119 520 au T4 2013, ce qui
porte le nombre total d'abonnés des services postpayés à la fin de
2014 à 6 986 196, une hausse de 4,6 %. Au T4, le
total des activations nettes d'abonnés des services postpayés dans
le sans-fil de BCE s'est chiffré à 118 120, ce qui comprend
les activités dans le sans-fil de Bell Aliant.
- La clientèle totale des Services sans fil de Bell a augmenté de
2,5 %, pour s'établir à 7 970 702 abonnés. Les
abonnés des services postpayés représentaient 88 % de ce total
à la fin de 2014, comparativement à 86 % à l'exercice
précédent. En incluant les abonnés de Bell Aliant, BCE compte
maintenant 8 118 628 abonnés du sans-fil au total, une
hausse de 2,4 % par rapport au T4 2013.
- Le pourcentage des abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent a augmenté à 76 % à la fin de 2014,
comparativement à 73 % à la fin de 2013.
- Au T4 2014, le taux de désabonnement(4) des services
postpayés est demeuré essentiellement inchangé à 1,30 %,
comparativement à 1,29 % à l'exercice précédent, malgré
l'activité promotionnelle saisonnière habituellement intense
pendant le T4 2014.
- Le PMU combiné(4) a augmenté de 5,5 % pour
s'établir à 61,12 $ au T4, ce qui représente un vingtième
trimestre consécutif d'amélioration d'un exercice à l'autre. Cette
progression découle de l'utilisation accrue des services de données
sur le réseau 4G LTE de Bell en expansion, la proportion des
utilisateurs de téléphones intelligents continuant d'augmenter, et
de l'incidence favorable des prix des contrats de deux ans lancés
en 2013 dans la foulée de la mise en œuvre du code de conduite
fédéral sur les services sans fil. Pour l'ensemble de l'exercice
2014, le PMU combiné a augmenté de 4,9 % pour s'établir à
60,07 $.
- Au cours du trimestre, le coût d'acquisition(4) a
augmenté de 6,2 %, à 497 $ par ajout brut, en raison de
la proportion accrue d'abonnés des services postpayés et de la
vente d'un plus grand nombre de téléphones intelligents haut de
gamme par rapport à l'exercice précédent. Pour l'ensemble de
l'exercice 2014, le coût d'acquisition a augmenté de 5,2 %, à
443 $ par ajout brut.
- Les dépenses de fidélisation de la clientèle ont augmenté pour
s'établir à 13,5 % des produits tirés des services sans fil au
T4 2014, comparativement à 12,4 % à l'exercice précédent, ce
qui reflète un nombre accru de mises à niveau hâtives de combinés
pour des appareils haut de gamme. Conformément au plan, les
dépenses de fidélisation de la clientèle pour l'ensemble de
l'exercice 2014 se sont élevées à 11,0 % des produits tirés
des services sans fil.
- La zone de couverture du réseau 4G LTE a été étendue à
86 % de la population canadienne à la fin du T4 et devrait
être élargie à plus de 98 % d'ici la fin de 2015, car Bell a
l'intention de déployer son réseau LTE dans un plus grand nombre de
petites villes et de collectivités rurales et dans le nord du
Canada. Le réseau 4G LTE est complété par la couverture du réseau
4G HSPA+ rejoignant actuellement plus de 98 % de la
population.
- En janvier 2015, Bell a lancé les Passeports données Voyage qui
offrent jusqu'à deux fois plus de données aux abonnés qui voyagent
dans plus de 200 pays. Les passeports offrent 100 Mo d'utilisation
de données pour aussi peu que 30 $, ce qui permet aux abonnés
de Bell de profiter pleinement de
leurs téléphones intelligents et de leurs services de données
lorsqu'ils visitent le Mexique, le Royaume-Uni et la Chine, entre
autres.
Services sur fil de Bell
Au T4 2014, les produits d'exploitation des Services sur fil de
Bell ont augmenté de 1,0 %, à 2 628 millions $,
leur première croissance trimestrielle positive depuis le T2 2010.
Cette progression est attribuable au maintien de la forte
croissance des services résidentiels, notamment aux ajouts nets
d'abonnés totaux positifs découlant de l'acquisition d'un nombre
considérable d'abonnés des services Internet à large bande et Télé
Fibe au cours du trimestre, au ralentissement du rythme de
diminution des produits tirés des services voix et à une meilleure
performance d'un exercice à l'autre des produits tirés de l'unité
Marchés Affaires grâce à l'augmentation des ventes de solutions
d'affaires et d'équipements de transmission de données.
En raison de l'orientation accrue sur les services de
croissance, de l'amélioration des résultats de l'unité Marchés
Affaires et du contrôle rigoureux exercé sur les coûts
d'exploitation, le BAIIA ajusté des Services sur fil de Bell a
augmenté de 2,0 %, à 953 millions $ au T4, ce qui a
permis une amélioration de 40 points de base de la marge qui
s'est élevée à 36,3 %.
En particulier, le T4 2014 représente le premier trimestre,
depuis le lancement de la téléphonie par câble en 2005, au cours
duquel les Services sur fil de Bell génèrent une croissance globale
positive des produits et du BAIIA ajusté ainsi que des ajouts nets
d'abonnés résidentiels totaux positifs.
Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les produits d'exploitation
des Services sur fil de Bell ont diminué de 0,6 %,
s'établissant à 10 040 millions $, tandis que les
coûts d'exploitation ont diminué de 0,5 %, s'élevant à
6 272 millions $, ce qui s'est traduit par une
diminution de 0,7 % du BAIIA ajusté des Services sur fil, qui
s'est établi à 3 768 millions $. La marge du BAIIA
ajusté liée aux Services sur fil est demeurée stable à 37,5 %,
comparativement à 37,6 % en 2013, malgré le recul continu des
produits tirés des services voix, générant des marges élevées, au
profit des services de croissance qui génèrent une marge
moindre.
- Le total des activations nettes d'abonnés résidentiels de Bell
a augmenté et est passé de 11 451 à 23 917 au T4 2014,
comparativement à une perte nette de 12 466 enregistrée à
l'exercice précédent, ce qui reflète la forte croissance de la
clientèle d'abonnés des services Internet et l'adoption accrue du
service Télé Fibe qui a elle aussi fait augmenter les activations
des SAR résidentiels et a renforcé la fidélisation. En incluant les
services résidentiels sur fil de Bell Aliant, le total des
activations nettes d'abonnés résidentiels de BCE au T4 s'est élevé
à 22 741, soit une hausse comparativement à une perte nette de
20 043 à l'exercice précédent.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse de Bell se
sont élevés à 34 126 au T4 2014, soit plus du double des
15 690 abonnés ajoutés au T4 2013. L'augmentation d'un
exercice à l'autre reflète la hausse continue des ventes
complémentaires de services Internet sur les forfaits incluant le
service Télé Fibe et l'augmentation des vitesses de transmission et
la fiabilité accrue du réseau de fibre à large bande de Bell. En
incluant Bell Aliant, le total des activations nettes d'abonnés des
services Internet de BCE au T4 s'est établi à 52 010, en
hausse de 29 141 par rapport à l'exercice précédent.
- Le service Bell Télé Fibe a ajouté 58 371 nouveaux abonnés nets
au cours du trimestre, comparativement à 60 301 à l'exercice
précédent. Le total des ajouts nets du service de télé IP de
BCE au T4 2014 a été de 76 074, en hausse par rapport à
75 120 au T4 2013. À la fin de 2014, BCE comptait
933 547 abonnés du service de télé IP, soit une hausse de
42,0 % par rapport à la fin de 2013.
- La zone de couverture du service Bell Télé Fibe rejoignait plus
de 5 millions de foyers à la fin de 2014, comparativement à
environ 4,3 millions à la fin de 2013. En incluant la zone du
service FibreOP de Bell Aliant, la zone de couverture totale du
service de télé IP de BCE s'étend maintenant à 6 millions de
foyers, en hausse par rapport à 5,1 millions à la fin de 2013.
- Bell comptait 2 287 489 abonnés d'Internet haute
vitesse à la fin de 2014, soit une hausse de 4,7 % par rapport
à 2013. En incluant Bell Aliant, BCE comptait
3 297 026 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une
hausse de 5,1 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont
augmenté pour s'établir à 33 934 au T4 2014, contre 24 112 à
l'exercice précédent. Ces pertes s'expliquent par le nombre moindre
d'activations du service de détail résultant des offres
accrocheuses de services de câblodistribution dans les zones
desservies par Bell où le service Télé Fibe n'est pas offert, ainsi
que par le nombre moindre d'activations du service de gros
imputable au déploiement plus étendu du service de télé IP par des
fournisseurs concurrents dans l'Ouest canadien et dans le Canada
atlantique.
- Le nombre d'abonnés de Bell Télé (Bell Télé Satellite et Bell
Télé Fibe) totalisait 2 376 885 à la fin de 2014, une
augmentation de 4,3 % par rapport à 2013. En incluant Bell
Aliant, BCE compte maintenant 2 642 608 abonnés des
services de télé, soit une hausse de 6,2 %.
- Au T4 2014, les produits tirés des services de données sur fil
ont augmenté de 4,0 % pour s'établir à
1 573 millions $, ce qui résulte de la croissance
combinée de 5,1 % des produits tirés des services Internet et
de télé, de la croissance des services de connectivité à large
bande IP et des solutions d'affaires d'environ 3 % et
10 %, respectivement, et de l'augmentation des ventes
d'équipements de transmission de données à des clients
d'affaires.
- Au T4 2014, les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels
ont diminué de 36,5 % pour s'établir à 40 178,
comparativement à 63 281 au T4 2013, ce qui reflète l'effet
marqué des forfaits de services Télé Fibe ainsi que la fidélisation
accrue de la clientèle dans les zones où le service de télé IP est
offert. En incluant Bell Aliant, le total des pertes nettes au
chapitre des SAR résidentiels de BCE s'est chiffré à 58 870 au T4,
en baisse de 35,7 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont diminué de
18,3 % au T4 2014, ou de 26 527, comparativement à des
pertes de 32 478 au T4 2013, en raison du nombre moindre de
désactivations d'abonnés. En incluant Bell Aliant, le total des
pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR de BCE s'est élevé à
34 135 au T4, en baisse de 8 988 par rapport au T4
2013.
- La clientèle totale des lignes d'accès aux SAR à la fin de 2014
était de 4 893 236, soit une baisse de 6,7 % par
rapport à l'exercice précédent. En incluant Bell Aliant, le nombre
total d'abonnés des SAR de BCE est maintenant de
7 130 852, soit une baisse de 6,1 %.
- Concordant avec la diminution d'un exercice à l'autre des
pertes nettes au chapitre des SAR au T4 2014, le rythme de
diminution des produits tirés des services locaux et d'accès a
ralenti de 4,6 % pour se chiffrer à
578 millions $.
- Au T4 2014, les produits tirés des services interurbains ont
augmenté de 1,2 %, à 173 millions $, grâce à
l'augmentation d'un exercice à l'autre des ventes de minutes de
conversations interurbaines internationales.
Bell Média
Les produits d'exploitation de Bell Média ont diminué de 3,9 %
au cours du trimestre pour s'établir à 789 millions $. La
baisse est imputable à des frais d'abonnement et à des produits
tirés des droits pour la retransmission rétroactifs de
20 millions $ qui ne se sont pas répétés au T4 2014,
ainsi qu'à la perte des produits tirés des services qui ont cessé
leurs activités en 2014 (signaux régionaux liés au hockey et
Viewers Choice). Au T4 2014, les produits tirés de la publicité ont
légèrement augmenté par rapport à l'exercice précédent grâce à TSN
et à RDS, les points forts de la programmation de Bell Média et les
meilleures chaînes de services spécialisés dans les sports du
secteur, et à la croissance de l'auditoire des chaînes spécialisées
dans l'information, ce qui a compensé la baisse des ventes de
publicité liée à la télé traditionnelle.
Au T4, le BAIIA ajusté de Bell Média a diminué de 16,5 %
pour se chiffrer à 192 millions $, comparativement à
230 millions $ à l'exercice précédent, ce qui résulte de
l'augmentation des coûts du contenu télé pour les droits de
diffusion dans les sports, du lancement de CraveTV et de l'effet
marqué des produits de 20 millions $ enregistrés au T4
2013 qui ne se sont pas répétés au T4 2014.
Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les produits d'exploitation
ont augmenté de 14,9 % pour s'établir à
2 937 millions $ et le BAIIA ajusté a crû de
7,5 % pour s'élever à 734 millions $, ce qui reflète
l'apport plus élevé de l'acquisition d'Astral Media aux produits
tirés de la publicité et des frais d'abonnement au cours de la
première moitié de l'exercice.
- Pour la saison d'automne, CTV est demeuré le premier réseau de
télé traditionnelle du Canada dans toutes les principales
catégories démographiques, comptant 14 des 20 émissions les
plus écoutées par les téléspectateurs à l'échelle nationale ainsi
que les 4 émissions les plus écoutées chez les téléspectateurs
dans la tranche des 25 à 54 ans (The Big Bang Theory, The Flash,
Gotham et Marvel's Agents of S.H.I.E.L.D.). À l'automne,
l'auditoire de CTV a augmenté de 9 %, ce qui accentue sa
longueur d'avance sur les concurrents dans les services de télé
traditionnelle et représente ses meilleures cotes d'écoute
quotidiennes moyennes en plus de 10 ans.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante,
Bell Média a rejoint 83 % de l'ensemble des téléspectateurs
canadiens de la télé spécialisée et de la télé payante anglophone
d'une semaine moyenne au cours du T4 2014. Aux heures de grande
écoute, chez les téléspectateurs de la principale catégorie
démographique de l'auditoire composée des 25 à 54 ans, TSN et
Discovery étaient en tête, pour la télé spécialisée dans les sports
et le divertissement, et The Movie Network (TMN), pour la télé
payante.
- TSN, le chef de file des sports au Canada et le réseau de télé
spécialisée numéro un au pays, a procédé à l'expansion à 5 signaux
nationaux et offre une vaste et prestigieuse programmation de
sports, diffusant notamment la Coupe Grey 2014 de la LCF, les
matchs de football de la NFL, dont les cotes d'écoute ont augmenté
grâce à un horaire de radiodiffusion plus étendu, et les
programmations de télé spécialisée et de hockey qui se sont
classées au premier rang au T4, soit le championnat mondial de
hockey junior.
- La finale du Championnat mondial junior de l'IIHF a battu le
record d'audience de l'histoire de la télé spécialisée canadienne,
le nombre de téléspectateurs ayant atteint 7,1 millions.
- Bell Média a conservé sa position de leader au Québec, ses
propriétés ayant rejoint hebdomadairement une moyenne de 83 %
de la population francophone. Les cinq chaînes de télé spécialisée
les plus populaires au Québec chez les téléspectateurs dans la
tranche des 25 à 54 ans, ont été RDS, Canal D, Canal Vie, Z et
Super Écran, toutes des propriétés de Bell Média.
- Bell Média a devancé ses concurrents canadiens pour ce qui est
des visiteurs uniques, des vidéospectateurs, des pages consultées
totales, des visites et des vidéos regardées; la moyenne mensuelle
s'établissant à 16,6 millions de visiteurs, 3,5 millions
de vidéospectateurs, 519 millions de pages consultées,
127 millions de visites et 87 millions de vidéos,
respectivement.
- Bell Média est demeurée le premier radiodiffuseur au Canada, le
nombre d'auditeurs ayant atteint 17,4 millions, lesquels ont
écouté, au total chaque semaine, 84 millions d'heures au cours
du T4 2014.
- Le 11 décembre 2014, Bell Média a lancé CraveTV, son nouveau
service de télé sur demande. Proposant la plus vaste collection de
contenu de choix au même endroit, dont des milliers d'heures de
programmation et environ 350 titres uniques de séries et de
films populaires, CraveTV est maintenant distribué par Bell Télé,
Bell Aliant, Eastlink, Northwestel et TELUS.
- Le 29 janvier 2015, Bell Média et CBS Corp. ont annoncé la
conclusion d'une entente à long terme pour les licences de contenu
et les marques de commerce de la chaîne SHOWTIME au Canada. Cette
entente exclusive permettra d'offrir la marque SHOWTIME au Canada
pour la première fois, et de proposer des centaines d'heures de
programmation de SHOWTIME, passée, actuelle et future, sur toutes
les plateformes anglophones et francophones, y compris le service
CraveTV de Bell Média et son service de télé payante de premier
plan, TMN. CraveTV et TMN proposeront en exclusivité au Canada la
programmation originale de SHOWTIME ainsi que la totalité de son
catalogue de séries scénarisées ou non, de documentaires,
d'émissions spéciales et de films.
BELL ALIANT
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant ont augmenté
de 1,7 % au T4 2014 pour s'établir à 700 millions $,
comparativement à 688 millions $ à l'exercice précédent,
la croissance des produits tirés des services Internet, de télé et
autres services de données et sans fil ayant surpassé la baisse des
produits tirés des services locaux, des services interurbains et
d'autres produits. Malgré la hausse d'un exercice à l'autre des
produits d'exploitation, le BAIIA ajusté de Bell Aliant a diminué
de 4,3 % ce trimestre, pour s'établir à
292 millions $, comparativement à
305 millions $ au T4 2013, ce qui reflète l'augmentation
des coûts d'exploitation découlant de la croissance de ses services
FibreOP et de sa clientèle.
Bell Aliant a continué d'étendre son réseau fibre jusqu'au
domicile (réseau FTTH) au T4, ajoutant 56 000 foyers et
entreprises à la zone desservie par les services FibreOP, ce qui
porte à environ 1 017 000 le nombre d'emplacements dans
la zone de couverture totale du réseau FTTH, dans plus de
89 collectivités du Canada atlantique, du Québec et de
l'Ontario.
En raison de la privatisation de Bell Aliant réalisée le
1er novembre 2014, Bell Aliant ne sera plus un
secteur d'exploitation à présenter, à compter du T1 2015 de
BCE. Ses résultats d'exploitation seront intégrés dans les secteurs
des Services sur fil de Bell ou des Services sans fil de Bell,
selon le cas.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,65 $ par action ordinaire, payable le
15 avril 2015 aux actionnaires inscrits à la fermeture des
bureaux le 16 mars 2015.
PERSPECTIVES POUR 2015
Les perspectives de BCE pour 2015 reposent sur l'élan du sans-fil
et du sur-fil que nous avons soutenu en 2014
et reflètent les progrès continus dans la réalisation de nos
6 impératifs stratégiques.
Les objectifs de notre orientation financière pour 2015 tiennent
tous compte du maintien du haut niveau de rentabilité prévu des
Services sans fil, de la croissance accrue des Services sur fil et
de la privatisation de Bell Aliant, et prévoient que le BPA ajusté
et les flux de trésorerie disponibles constitueront une base solide
et stable pour la hausse de 5,3 % du dividende sur actions
ordinaires de BCE en 2015.
Notre orientation pour 2014, nos résultats de
2014 ainsi que nos objectifs de l'orientation financière pour 2015
sont les suivants :
|
Orientation
pour 2014 |
Résultats
de 2014 |
Orientation
pour 2015 |
BCE |
|
|
|
Croissance des produits des activités
ordinaires(i) |
2 % à 4 % |
3,5 % |
1 % à 3 % |
Croissance du BAIIA ajusté(i) |
3 % à 5 % |
3,7 % |
2 % à 4 % |
Intensité du capital(i), (4) |
16 % à 17 % |
16,8 % |
environ 17 % |
BPA ajusté |
3,10 $ à 3,20 $ |
3,18 $ |
3,28 $ à 3,38 $ |
Croissance des flux de trésorerie
disponibles(ii) |
3 % à 7 % |
6,7 % |
environ 8 % à
15 % |
Dividende annuel par action ordinaire |
2,47 $ |
2,47 $ |
2,60 $ |
Politique de distribution du dividende |
65 % à 75 %
des flux de trésorerie
disponibles |
69 %
des flux de trésorerie
disponibles |
65 % à 75 %
des flux de trésorerie
disponibles |
(i) Les résultats et l'orientation
financière pour 2014 concernant la croissance des produits des
activités ordinaires, la croissance du BAIIA ajusté et l'intensité
du capital excluent Bell Aliant.
(ii) Au 1er novembre
2014, les flux de trésorerie disponibles de BCE incluaient la
totalité des flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant, plutôt
que les dividendes en espèces reçus de Bell Aliant.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des analystes
financiers afin de traiter de ses résultats du T4 2014, le jeudi
5 février, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont
invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Veuillez
composer le numéro sans frais 1-800-355-4959 ou le 416-340-2218.
Une reprise sera disponible pendant une semaine, au 1-800-408-3053
ou au 905-694-9451 (composez le code d'identification
5323218#).
La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE
sous : Téléconférence du T4 2014 de BCE. Le fichier MP3 sera
également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de
temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non
auditée.
(1) |
À partir du T2 2014, nous désignons
le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté comme des mesures
financières non définies par les PCGR. Ces termes remplacent les
mesures financières non définies par les PCGR auparavant désignées
par les termes BAIIA et marge du BAIIA. Notre
définition de BAIIA ajusté et de marge du BAIIA ajusté est
inchangée par rapport à notre définition antérieure du BAIIA et de
la marge du BAIIA, respectivement. Par conséquent, cette
modification terminologique n'a aucune incidence sur la
présentation de nos résultats financiers des périodes antérieures.
Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA ajusté
n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc
peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le
BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins les coûts
d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes consolidés
de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE correspond
au bénéfice sectoriel présenté dans les états financiers consolidés
de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA
ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous utilisons le
BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement
de nos activités puisqu'ils reflètent leur rentabilité continue.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le
BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le
service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de
paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer
les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Nous
croyons que certains investisseurs et analystes utilisent également
le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le
rendement de nos activités. Le BAIIA ajusté est également un
facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court
terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure
financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et
à la marge du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le
tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du
BAIIA ajusté. |
(en millions de dollars) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
T4 2014 |
|
T4 2013 |
|
2014 |
|
2013 |
Bénéfice net |
|
594 |
|
593 |
|
2 718 |
|
2 388 |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres |
|
58 |
|
48 |
|
216 |
|
406 |
Amortissement des immobilisations corporelles |
|
734 |
|
695 |
|
2 880 |
|
2 734 |
Amortissement des immobilisations
incorporelles |
|
118 |
|
160 |
|
572 |
|
646 |
Charges financières |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Charge d'intérêts |
|
238 |
|
240 |
|
929 |
|
931 |
|
Intérêts liés aux obligations au titre des
avantages postérieurs à l'emploi |
|
25 |
|
37 |
|
101 |
|
150 |
Autres charges (produits) |
|
34 |
|
(1) |
|
(42) |
|
6 |
Impôt sur le résultat |
|
221 |
|
226 |
|
929 |
|
828 |
BAIIA ajusté |
|
2 022 |
|
1 998 |
|
8 303 |
|
8 089 |
|
Produits d'exploitation de BCE |
|
5 528 |
|
5 382 |
|
21 042 |
|
20 400 |
Marge du BAIIA ajusté |
|
36,6% |
|
37,1% |
|
39,5% |
|
39,7% |
(2) |
Les termes bénéfice net ajusté
et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu
des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés
avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits
nets) pertes nettes sur placements et les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté
comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous
utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous croyons
que certains investisseurs et analystes utilisent ces mesures,
entre autres, pour évaluer le rendement de nos activités, avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur
placements et des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières
selon les IFRS les plus comparables. Le tableau ci-après présente
un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une
base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté),
respectivement. |
(en millions de dollars, sauf les
montants par action) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
T4 2014 |
T4 2013 |
2014 |
2013 |
|
Total |
Par
action |
Total |
Par
action |
Total |
Par
action |
Total |
Par
action |
Bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires |
542 |
0,64 |
495 |
0,64 |
2 363 |
2,98 |
1 975 |
2,55 |
Coûts liés aux indemnités de départ,
aux acquisitions et autres |
42 |
0,04 |
33 |
0,04 |
148 |
0,18 |
299 |
0,38 |
Pertes nettes (profits nets) sur
placements |
8 |
0,01 |
12 |
0,02 |
(8) |
(0,01) |
7 |
0,01 |
Primes au remboursement anticipé de
la dette |
18 |
0,03 |
- |
- |
21 |
0,03 |
36 |
0,05 |
Bénéfice net ajusté |
610 |
0,72 |
540 |
0,70 |
2 524 |
3,18 |
2 317 |
2,99 |
(3)
|
Les termes flux de trésorerie
disponibles et flux de trésorerie disponibles
par action n'ont pas de définition normalisée en vertu des
IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Au
1er novembre 2014, les flux de trésorerie
disponibles de BCE incluaient la totalité des flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant, plutôt que les dividendes en espèces
reçus de Bell Aliant. Nous définissons les flux de trésorerie
disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux acquisitions
payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de
retraite, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur
actions privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC.
Avant le 1er novembre 2014, nous définissions les
flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés
aux activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux
acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au
régime de retraite, plus les dividendes reçus de Bell Aliant, moins
les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées, les dividendes payés par des filiales aux détenteurs
de PNDPC et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant.
Nous définissons les flux de trésorerie disponibles par action
comme les flux de trésorerie disponibles divisés par le nombre
moyen d'actions ordinaires en circulation.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles et les flux de
trésorerie disponibles par action comme d'importants indicateurs de
la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils
révèlent le montant des fonds disponibles pour payer des
dividendes, rembourser la dette et réinvestir dans notre société.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les
flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses
actifs sous-jacents. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également les flux de trésorerie disponibles et
les flux de trésorerie disponibles par action pour évaluer la
solidité financière et le rendement de nos activités. Les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après
présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base
consolidée. |
(en millions de dollars, sauf les montants par
action) |
|
|
|
|
|
T4 2014 |
T4 2013 |
2014 |
2013 |
Flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation |
1 527 |
1 838 |
6 241 |
6 476 |
Dividendes de Bell Aliant payés à BCE |
- |
48 |
95 |
191 |
Dépenses d'investissement |
(1 076) |
(1 139) |
(3 717) |
(3 571) |
Dividendes en espèces payés sur actions
privilégiées |
(40) |
(31) |
(134) |
(127) |
Dividendes en espèces payés par des filiales aux
détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle |
(1) |
(68) |
(145) |
(283) |
Coûts liés aux acquisitions payés |
68 |
30 |
131 |
80 |
Cotisation volontaire au régime de retraite à
prestations définies |
350 |
- |
350 |
- |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant |
5 |
(4) |
(77) |
(195) |
Flux de trésorerie disponibles |
833 |
674 |
2 744 |
2 571 |
|
Nombre moyen d'actions ordinaires en
circulation |
837,7 |
775,9 |
793,7 |
775,8 |
Flux de trésorerie disponibles par action |
1,01 |
0,86 |
3,46 |
3,31 |
(4) |
Nous utilisons le PMU, le taux de
désabonnement, le coût d'acquisition, l'intensité du capital et le
ratio de distribution pour évaluer les progrès accomplis à l'égard
de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés
ne sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas être
comparables à des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Se reporter à la section 8.2, Mesures
financières non définies par les PCGR et indicateurs de
performance clés du rapport de gestion du T3 2014 de BCE
pour obtenir une définition de ces indicateurs de performance
clés. |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière pour 2015 (ce qui comprend les produits des
activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le
BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives
commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités
stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de dividendes sur actions ordinaires de BCE pour 2015,
nos plans de déploiement pour les réseaux, l'échéancier et la
réalisation prévus de l'acquisition proposée de GLENTEL par BCE et
la cession subséquente d'une participation de 50 % dans
GLENTEL à Rogers, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas
des faits historiques. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif,
perspective, plan, stratégie, cible et
d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes
comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que
viser, s'attendre à, croire, prévoir,
avoir l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux dispositions refuges prévues dans les lois
canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la
loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de
1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu
à la possibilité que les résultats ou les événements réels
diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou
sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos
perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités
stratégiques ne soient pas atteints. Par conséquent, nous ne
pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et
nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le
fait de s'appuyer sur ces déclarations prospectives. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
décrivent nos attentes en date du 5 février 2015 et, par conséquent, pourraient changer après
cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière
de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement
à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant
dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de
nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni
pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de
BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de
l'effet potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 5 février 2015. L'incidence financière de
ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le
présent communiqué dans le but d'aider les investisseurs et les
autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats
financiers prévus pour 2015, ainsi que nos objectifs, nos priorités
stratégiques et nos perspectives commerciales pour 2015, et à mieux comprendre le contexte dans
lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc
mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas
convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et
aux activités d'exploitation et d'hypothèses financières ont été
formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives pour 2015 contenues dans le présent communiqué, y
compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- un ralentissement de la croissance économique, basé sur
l'estimation de la Banque du Canada de la croissance du PIB du
Canada d'environ 2,1 % pour 2015, comparativement à une
croissance estimative de 2,3 % en 2014;
- une croissance des niveaux d'emploi plus faible que celle de
2014, car le niveau d'investissements des entreprises devrait
demeurer peu élevé globalement;
- des taux d'intérêt demeurant essentiellement inchangés en 2015
ou une légère baisse d'un exercice à l'autre;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du marché du sans-fil et l'adoption plus généralisée des
téléphones intelligents;
- une approche rigoureuse en matière d'établissement des prix
dans le secteur, malgré le niveau d'activité inhabituel sur le
marché que pourrait entraîner la possible expiration des contrats
de service de trois ans conclus avant l'entrée en vigueur du code
de conduite sur les services sans fil et des nouveaux contrats de
deux ans, ce qui aurait pour effet de faire augmenter le nombre de
contrats expirés et les volumes de transactions, si la date
d'application du Code sur les services sans fil du CRTC, fixée au
3 juin 2015, est jugée comme
étant valide;
- un marché publicitaire relativement stable dans le secteur des
médias et des coûts croissants pour obtenir de la programmation
télé.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison d'un nombre plus
élevé d'ajouts bruts et de mises à niveau des appareils d'un
exercice à l'autre;
- une croissance du PMU combiné et du BAIIA ajusté supérieure à
la moyenne au sein de l'industrie, stimulée par une proportion
accrue de la clientèle des services postpayés utilisant des
téléphones intelligents, une consommation croissante des services
de données sur le réseau 4G LTE et la hausse des tarifs
d'accès pour les nouveaux contrats de deux ans;
- l'achèvement du réseau LTE qui devrait couvrir 98 % de la
population canadienne;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- une croissance positive des produits tirés des activités
ordinaires et du BAIIA ajusté pour l'ensemble de l'exercice;
- l'apport du service de télé IP à l'augmentation de la part de
marché des services de télé et du service Internet à large bande,
et à une baisse des pertes au chapitre des SAR résidentiels malgré
l'accentuation de la substitution par le sans-fil, permettant la
diminution du total des pertes nettes d'abonnés des services
résidentiels sur fil d'un exercice à l'autre et une pénétration
accrue des trois produits par foyer;
- la croissance du PMU des services résidentiels générée par
l'adoption croissante des trois produits par foyer, l'expiration
des promotions et l'augmentation des tarifs;
- la poursuite de la migration de grandes entreprises clientes
vers les systèmes IP et les pressions de la concurrence visant à
modifier les prix dans les marchés d'affaires et de gros;
- l'amélioration du rythme de la diminution des produits et du
BAIIA ajusté de l'unité Marchés Affaires d'un exercice à
l'autre;
- l'utilisation des technologies FTTH et FTTP dans le cadre de la
majorité des nouveaux déploiements de la fibre à large bande;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- une diminution du BAIIA ajusté et de la marge d'un exercice à
l'autre découlant de l'augmentation des coûts pour les droits de
diffusion dans les sports et le contenu de la télé spécialisée, de
l'investissement lié à CraveTV, de la hausse des dépenses relatives
à la réglementation liée au contenu canadien, de l'échéance de
certains avantages imposés par le CRTC et de la clôture du Fonds
pour l'amélioration de la programmation locale;
- la capacité de procéder à des acquisitions fructueuses
d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu
différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques quant à
l'approvisionnement en contenu sur les quatre écrans;
- le soutien, de façon efficiente, d'une adoption généralisée de
CraveTV;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé du secteur Bell Média entraînée par le
dégroupement des chaînes de télé et la popularité grandissante du
visionnement de contenu par contournement;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2015 :
- un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de
Bell qui devrait s'établir à environ 370 millions $,
selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 4 %, qui
se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 260 millions $ et d'une charge
financière nette estimative au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieure au BAIIA ajusté d'environ
110 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ
3 425 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ
970 millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ
0,02 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- une participation ne donnant pas le contrôle d'environ
50 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite
totalisant environ 400 millions $;
- des impôts en espèces d'environ 750 millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ
925 millions $;
- une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres d'environ 125 millions $ à
225 millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 845 millions;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,60 $
par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 5 février 2015,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation financière
pour 2015, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos
déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les
résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation
financière pour 2015, dépend essentiellement du rendement de notre
entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques.
Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous
les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter :
- Les initiatives et les procédures réglementaires, les
consultations gouvernementales et les positions gouvernementales
qui nous touchent et qui touchent nos activités;
- L'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que
l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients
actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies
d'établissement des prix, sur nos résultats financiers et sur nos
données opérationnelles;
- Le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation
des services sur fil traditionnels;
- L'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la
fragmentation accrue au sein du marché de la distribution des
services de télé de Bell Télé et des marchés de Bell Média;
- L'augmentation des coûts de la programmation et l'incapacité de
Bell Média à obtenir du contenu de premier plan;
- La variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de
fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions
d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones
intelligents et des rabais sur les combinés;
- La conjoncture économique et les conditions du marché des
capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs,
la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de
ceux-ci;
- La dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une
demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur
celle-ci des conditions économiques, ainsi que de la part
d'audience et des cotes d'écoute;
- Notre capacité à protéger nos réseaux, nos systèmes, nos
applications, nos centres de données, nos dossiers électroniques et
physiques, ainsi que les renseignements qu'ils contiennent, contre
les cyberattaques, l'accès ou l'entrée non autorisé, les dommages
causés par les incendies, les catastrophes naturelles et d'autres
événements;
- La complexité de notre gamme de produits, de nos plans
tarifaires, de nos promotions, de nos plateformes technologiques et
de nos systèmes de facturation;
- Notre incapacité à répondre aux attentes des clients et à
élaborer un modèle de prestation de services simple et rapide;
- Notre incapacité à mener les activités liées à l'évolution de
notre réseau et à respecter les échéanciers pour la mise à niveau
et le déploiement du réseau conformément à nos objectifs en matière
d'intensité du capital;
- Notre incapacité à supprimer certains services dans la mesure
nécessaire pour améliorer la productivité du capital et
l'efficience opérationnelle;
- Notre incapacité à prévoir les changements technologiques et à
nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir
rapidement de nouveaux produits et services;
- Notre incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir, en temps
opportun, des systèmes de TI efficaces, ainsi que la complexité de
notre environnement TI et les coûts qui s'y rapportent;
- Notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle
optimale de notre réseau, étant donné une augmentation importante
de la demande pour les services à large bande et du volume du
trafic des services de données sans fil;
- Le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement, et
les interruptions de travail;
- La volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- Les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de
notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre
capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir et à les
remplacer;
- Les risques en orbite liés aux satellites utilisés par Bell
Télé;
- Les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers
fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels
et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- La qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des
clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des
défauts de fabrication;
- Un règlement défavorable des litiges, en particulier, des
recours collectifs;
- Des modifications défavorables aux lois applicables;
- Les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les
exigences liées au financement et à la dette et notre incapacité à
accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour
répondre à nos besoins de liquidités et mettre en œuvre notre plan
d'affaires, de même que notre incapacité à gérer les différents
risques de crédit, de liquidité et de marché;
- Une gestion inefficace du changement découlant de
réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que
notre incapacité à intégrer avec succès les entreprises acquises et
les unités d'affaires existantes;
- Notre incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer
un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- La violation des droits d'auteur et l'utilisation non autorisée
de notre contenu;
- Le vol de nos services de télé par SRD;
- Notre incapacité à réaliser nos impératifs stratégiques ainsi
que nos plans de développement des affaires afin de produire les
avantages attendus, y compris la poursuite de la mise en œuvre de
nos initiatives de réduction des coûts visées, et à élaborer une
stratégie d'affaires rentable;
- Des impôts plus élevés découlant de nouveaux impôts, de la
majoration des taux d'imposition ou de modifications apportées aux
lois fiscales, et notre incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux;
- Les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans
fil;
- Notre incapacité à maintenir le service à la clientèle et à
assurer le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des
pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
- Notre incapacité à comprendre les changements climatiques et
les attentes du public pour ce qui est des questions
environnementales, et à y répondre adéquatement;
- La dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, de
ses partenariats et des autres entités dans lesquelles elle détient
une participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute
autre distribution;
- L'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- La volatilité des marchés boursiers;
- L'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée
de GLENTEL et de la cession subséquente d'une participation de
50 % à Rogers, qui sont assujettis à des conditions de clôture
ainsi qu'à d'autres risques et incertitudes et pour lesquels rien
ne garantit que les avantages anticipés seront réalisés.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également l'Avis concernant
les déclarations prospectives de BCE, daté du 5 février 2015,
pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de
risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et
hypothèses, ce document étant déposé par BCE auprès des autorités
des provinces canadiennes en valeurs mobilières (disponible au
Sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des
États-Unis (disponible au SEC.gov. Ce document est également
disponible au BCE.ca.
L'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE, daté du
5 février 2015, est intégré par
renvoi dans le présent communiqué de presse.
Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter la
présentation intitulée Téléconférence sur les résultats du T4
2014 et l'orientation financière
2015, datée du 5 février 2015, disponible sur le site Web de
BCE.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et
fournit un ensemble complet et novateur de services de
communications à large bande à ses clients résidentiels et
d'affaires, sous les marques Bell
Canada et Bell Aliant. Bell Média est la première entreprise
canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans les
secteurs de la télévision, de la radio, de l'affichage extérieur et
des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision
du Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays.
Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative de Bell « Bell Cause pour la cause » est
dédiée à la promotion de la santé mentale au Canada, à la
sensibilisation à l'échelle nationale par l'intermédiaire de
campagnes de lutte contre la stigmatisation, comme le Grand Tour de
Clara pour Bell Cause pour la cause et la Journée Bell Cause pour
la cause, et au financement important fourni par Bell pour l'accès
aux soins communautaires, la recherche et les initiatives au
travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
SOURCE BCE INC.