- Bénéfice net ajusté en hausse de 11,0 %, à 648
millions $ grâce à la forte croissance du BAIIA ajusté de
Bell de 3,4 %; bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires de 600 millions $, en
hausse de 74,9 %.
- Solides résultats financiers dans le sans-fil avec une
croissance des produits tirés des services de 7,0 % et un
BAIIA ajusté en hausse de 10,9 %.
- Total des activations nettes d'abonnés des services
postpayés dans le sans-fil de BCE de 91 779 au T3.
- Croissance positive du BAIIA ajusté dans le sur-fil réalisée
un trimestre plus tôt que prévu.
- Meilleur trimestre pour la part de marché de la large bande
en plus d'une décennie, avec un niveau élevé d'activations nettes
d'abonnés des services de télé IP et Internet de BCE, de
74 450 et de 64 254, respectivement.
- Lancement prochain par Bell Média d'un service de vidéo en
continu sur demande par abonnement qui offrira un contenu télé de
qualité supérieure, notamment le catalogue exclusif de
HBO.
Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
le communiqué.
MONTRÉAL, le 6 nov. 2014 /CNW
Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande
entreprise de communications du Canada, a présenté aujourd'hui les
résultats de BCE et de Bell pour le troisième trimestre (T3) de
2014.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS
|
|
|
|
|
(en millions $, sauf les
montants par action) (non audité) |
T3
2014 |
T3
2013 |
% de
variation |
|
Bell(i) |
|
|
|
|
Produits d'exploitation |
4 607 |
4 524 |
1,8 |
% |
BAIIA ajusté(1) |
1 798 |
1 739 |
3,4 |
% |
BCE |
|
|
|
|
Produits d'exploitation |
5 195 |
5 099 |
1,9 |
% |
BAIIA ajusté |
2 115 |
2 063 |
2,5 |
% |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires |
600 |
343 |
74,9 |
% |
BPA |
0,77 |
0,44 |
75,0 |
% |
BPA ajusté(2) |
0,83 |
0,75 |
10,7 |
% |
Flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation |
1 882 |
1 730 |
8,8 |
% |
Flux de trésorerie disponibles(3) |
834 |
747 |
11,6 |
% |
Flux de trésorerie disponibles par
action(3) |
1,06 |
0,97 |
9,3 |
% |
(i) |
Bell comprend les secteurs Services sans fil de Bell, Services
sur fil de Bell et Bell Média. |
« Bell concentre ses efforts sur les résultats, mettant en
œuvre une stratégie misant sur l'innovation dans les services de
télé, Internet, sans fil et de médias et qui est manifestement
gagnante auprès des consommateurs. Cette performance, la meilleure
du secteur au T3, prouve que les services de prochaine
génération de Bell, comme Télé Fibe, Internet Fibe et les services
mobiles LTE, ont changé la donne dans le milieu des communications
canadiennes », a déclaré George Cope, président et chef
de la direction de BCE Inc. et de Bell
Canada.
« Nous sommes fiers d'accueillir Bell Aliant au sein de
l'équipe nationale de BCE cette semaine. Nos partenaires du Canada
atlantique ont implanté la stratégie de croissance de la large
bande de Bell et ils ont également réussi à distancer la
concurrence dans la câblodistribution. Tout le monde chez Bell
comprend que le succès dans un marché des communications
concurrentiel passe impérativement par des produits novateurs qui
répondent véritablement aux besoins des consommateurs canadiens.
L'attention que nous avons portée aux services et au contenu à
large bande évolués, combinée à la démarche rigoureuse suivie par
l'équipe de Bell, se sont traduites par des résultats exceptionnels
ce trimestre, ce qui profite à nos clients et à
l'entreprise. »
L'équipe de Bell concentre ses efforts sur un objectif clair,
celui d'être reconnue par les clients comme la plus grande
entreprise de communications du Canada, qu'elle compte atteindre
grâce à l'exécution de 6 impératifs stratégiques :
investir dans les réseaux et les services large bande, accélérer le
sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre
leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et
établir une structure de coûts concurrentielle.
Grâce à l'expansion de la zone de couverture de notre service,
les services de télé IP et Internet à large bande de Bell
poursuivent sur leur lancée. Alors que les câblodistributeurs
traditionnels enregistrent des baisses constantes, le service de
télé IP a accueilli 74 450 nouveaux abonnés nets et le
service Internet à large bande a inscrit un nombre exceptionnel de
64 254 ajouts nets, ce qui souligne la prépondérance de
BCE dans les services en ligne. Les Services sans fil, avec
91 779 ajouts nets des abonnés des services postpayés et
des clients qui utilisent de plus en plus les services de données
mobiles sur des téléphones intelligents, ont enregistré les
meilleurs résultats financiers du secteur. Guidés par notre
impératif lié aux coûts, les Services sur fil de Bell ont réduit
davantage les coûts d'exploitation, soit de 1,7 %, d'un
exercice à l'autre, pour soutenir la croissance positive du BAIIA
ajusté des Services sur fil. Dans le secteur, Bell Média accapare
la plus grande part de marché, étant le chef de file de la
programmation canadienne et internationale dans les actualités, les
sports et le divertissement.
« Nous affichons d'excellents résultats financiers
consolidés au troisième trimestre, notamment une performance
financière exceptionnelle dans le sans-fil et une croissance
positive du BAIIA ajusté dans le sur-fil, ce qui a entraîné la
forte croissance du bénéfice ajusté et des flux de trésorerie
disponibles. Plus particulièrement, depuis que nous avons amorcé la
transformation stratégique de Bell en 2008, nous avons connu une
croissance trimestrielle ininterrompue du BAIIA ajusté d'un
exercice à l'autre », affirme Siim
Vanaselja, chef des affaires financières de Bell et de BCE.
« Avec un bon positionnement concurrentiel grâce à nos réseaux
sur fil et sans fil à large bande de premier plan, notre élan
opérationnel prend de l'ampleur en ce début de quatrième trimestre.
Comme le sans-fil devrait continuer de générer un niveau élevé de
rentabilité, que les perspectives financières dans le sur-fil
s'améliorent et que l'efficience par rapport aux coûts demeure une
priorité, nous sommes sur la bonne voie pour réaliser tous les
objectifs de l'orientation financière de Bell et de BCE pour
2014. »
La stratégie d'investissement de Bell dans la large bande
permet d'offrir les vitesses les plus élevées pour les services
sans fil et Internet
Selon les tests effectués sur les services mobiles LTE dans les
plus grandes villes canadiennes, publiés le
28 octobre 2014 par la prestigieuse société de recherche
américaine RootMetrics (rootmetrics.com/ca), le service sans fil au
Canada est plus rapide, plus fiable et « de loin supérieur en
moyenne » au service mobile offert dans des villes comparables
des États-Unis et du Royaume-Uni. RootMetrics a également constaté
que les prix pour les services mobiles au Canada étaient inférieurs
à ceux de villes comparables des États-Unis. Le service LTE de Bell
est arrivé au premier rang, ou ex æquo, dans les 6 catégories
de performance du service mobile de RootMetrics dans les plus
grands centres urbains au Canada, Toronto et Montréal. Bell offre également à
ses clients la zone de couverture du réseau LTE la plus étendue au
Canada, laquelle couvrait 84 % de la population à la fin
du T3.
Netflix a toujours classé le service Bell Fibe comme le service
Internet le plus rapide au Canada dans son indice des vitesses des
FSI, qui a été introduit en avril 2014. Le service FibreOP de
Bell Aliant a également été classé au premier rang dans son
territoire et au deuxième rang à l'échelle nationale dans les
comparaisons mensuelles faites par Netflix des vitesses de
18 fournisseurs canadiens de service Internet
(ispspeedindex.netflix.com/canada). Compte tenu de l'expansion
rapide du service Fibe, la clientèle d'Internet haute vitesse de
Bell a augmenté de 39,1 % d'un exercice à l'autre au T3, la
plus importante progression trimestrielle en 8 ans.
Bell Média annonce un nouveau service de vidéo en
continu
Le 30 octobre 2014, Bell Média a annoncé le lancement
prochain d'un nouveau service de vidéo en continu dédié
exclusivement à un contenu télé exceptionnel. Sous le nom de code
« Projet Latte », le service offrira la meilleure
programmation télé, actuelle et passée, provenant de partout dans
le monde, notamment le catalogue d'émissions emblématiques de HBO,
sur les boîtiers décodeurs ainsi que par l'intermédiaire
d'applications mobiles, du Web et d'autres plateformes. Le service
est offert à tous les fournisseurs canadiens de services de télé et
Bell Média a déjà conclu des ententes de distribution avec TELUS,
Bell Canada et Bell Aliant afin de
fournir ce service novateur par l'intermédiaire de boîtiers
décodeurs aux clients de leurs services de télé dans tout le
pays.
Réalisation de la privatisation de Bell Aliant
Annoncée le 3 novembre 2014, la privatisation de Bell
Aliant simplifie la structure de l'entreprise de BCE, accroît la
portée de la large bande avec environ 1,4 million d'abonnés
aux services Internet, de télé et sans fil, améliore l'efficacité
globale de l'exploitation et des dépenses d'investissement et
soutient l'objectif de BCE en matière de croissance des dividendes
avec une forte augmentation des flux de trésorerie disponibles
annualisés. Une fois intégrée dans les activités nationales de BCE,
l'équipe de Bell Aliant continuera de servir les clients dans les
4 provinces de l'Atlantique, à partir de son siège social de
Halifax. BCE s'est engagée à faire
des dépenses d'investissement de 2,1 milliards $ dans la
région au cours des 5 prochaines années afin de tirer parti de
la lancée de Bell Aliant, chef de file du marché dans les produits
et services de télé et Internet sur fibre à large bande.
Le 14 octobre 2014, BCE a annoncé que le chef des
affaires financières, Siim
Vanaselja, prendra sa retraite au deuxième trimestre de
2015. Glen LeBlanc, auparavant chef
des affaires financières de Bell Aliant, occupera le poste de
premier vice-président, finances de BCE jusqu'au départ à la
retraite de M. Vanaselja, date à laquelle il occupera le poste
de chef des affaires financières de BCE et de Bell Canada. En vue d'assurer une transition en
douceur, le plan de relève de BCE pour le poste de chef des
affaires financières mise sur le talent exceptionnel au sein même
de la haute direction du groupe BCE. M. Vanaselja prendra sa
retraite après l'assemblée générale annuelle des
actionnaires 2015 de BCE, prévue pour le
30 avril 2015, et avant la
fin du T2 2015. Comme il a été annoncé le
24 septembre 2014, Karen Sheriff, présidente et chef
de la direction de Bell Aliant, prendra sa retraite du groupe BCE
le 31 décembre 2014; Dan
McKeen, auparavant premier vice-président, solutions à la
clientèle de Bell Aliant, a été nommé au poste de vice-président du
conseil de Bell Aliant lorsque la réalisation de la privatisation a
été annoncée, le 3 novembre 2014.
Robert Dexter et Gordon
Nixon, nouveaux administrateurs au sein du conseil de
BCE
Comme il a été annoncé précédemment, Robert Dexter et
Gordon Nixon sont devenus
administrateurs au sein du conseil de BCE et de Bell Canada. M. Nixon a occupé le poste de
président et chef de la direction de la Banque Royale du Canada,
d'août 2001 à août 2014, et
il est président de MaRS et de la campagne de fonds de capitaux de
l'université Queen's. M. Nixon siège au comité des ressources
en cadres et de rémunération et au comité de gouvernance de BCE.
M. Dexter, auparavant un administrateur de Bell Aliant, est
président du conseil et chef de la direction de Maritime Travel
Inc. et président du conseil de Sobeys Inc. et d'Empire Company
Limited. Il a également occupé un poste d'administrateur au sein de
Maritime Tel & Tel Limited, de 1997 à 1999. M. Dexter est
membre du comité d'audit et du comité de la caisse de retraite de
BCE.
RÉSULTATS DE BCE
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 1,9 %, à
5 195 millions $ au T3, reflétant l'augmentation des
produits des activités ordinaires de Bell et de Bell Aliant. Le
BAIIA ajusté(1) a augmenté de 2,5 %, à
2 115 millions $, et la marge du BAIIA
ajusté(1)s'est accrue légèrement, à 40,7 %,
soutenue par la forte croissance réalisée par Bell, contrebalancée
partiellement par la diminution d'un exercice à l'autre subie par
Bell Aliant.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE
s'est élevé à 600 millions $, soit 0,77 $ par
action, en hausse de 74,9 % et de 75 % respectivement,
comparativement à 343 millions $ et à 0,44 $ par
action au T3 2013. Cette augmentation s'explique par la charge
comptabilisée au T3 2013 relativement à l'obligation au titre des
avantages tangibles imposée à Bell par le CRTC dans le cadre de
l'acquisition d'Astral Media. Le bénéfice net ajusté(2)
de 648 millions $ et le bénéfice par action (BPA) ajusté
de 0,83 $ ont augmenté de 11,0 % et de 10,7 %,
respectivement, ce qui reflète la portée concrète de l'augmentation
du BAIIA ajusté engendrée par la forte croissance dans les Services
sans fil de Bell ainsi que la contribution positive et croissante
des Services sur fil de Bell.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
ont augmenté de 8,8 %, à 1 882 millions $, en
raison principalement de la hausse du BAIIA ajusté et de
l'augmentation du fonds de roulement, en partie contrebalancées par
la hausse de l'impôt sur le résultat payé. Les flux de trésorerie
disponibles générés ce trimestre se sont établis à
834 millions $, soit 11,6 % de plus qu'à l'exercice
précédent, ce qui reflète l'augmentation des flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation, contrebalancée en partie par la
hausse des dépenses d'investissement. Les flux de trésorerie
disponibles par action au T3 se sont établis à 1,06 $, en
hausse de 9,3 % comparativement à 0,97 $ par action à
l'exercice précédent.
Au T3 2014, BCE (Bell Canada et
Bell Aliant) a ajouté 185 468 nouveaux abonnés nets des
services de croissance dans les communications (sans fil, télé,
Internet) : 91 779 abonnés des services sans fil
postpayés, nombre en partie contrebalancé par la perte de 8
143 abonnés des services prépayés; 37 578 abonnés des
services de télé, reflétant l'ajout de 74 450 nouveaux
abonnés nets du service de télé IP par fibre optique; et
64 254 abonnés d'Internet haute vitesse. Les pertes
nettes totales au chapitre des SAR ont diminué de 10,8 % pour
s'établir à 108 051 abonnés. Au
30 septembre 2014, BCE comptait au total :
8 035 130 abonnés du sans-fil, soit une hausse de
1,1 % par rapport au T3 2013; 2 600 418 abonnés des
services de télé, soit une augmentation de 6,7 %
(incluant les 857 473 abonnés du service de télé IP, soit
une augmentation de 47,2 %); 3 245 016 abonnés
d'Internet, soit une augmentation de 4,2 %; et
7 223 858 abonnés des SAR au total, soit une
diminution de 6,6 %.
RÉSULTATS DE BELL
Les produits d'exploitation de Bell ont augmenté de 1,8 % pour
s'établir à 4 607 millions $, ce qui reflète la hausse de
2,2 % des produits tirés des services qui a été partiellement
contrebalancée par la baisse de 2,7 % des produits
d'exploitation tirés des produits dans le sur-fil, générant de
faibles marges. Cette performance est principalement attribuable à
la forte augmentation enregistrée par les Services sans fil de Bell
et à la croissance positive des produits tirés des services
résidentiels pour les Services sur fil de Bell. Les produits tirés
de Bell Média sont essentiellement inchangés par rapport à ceux de
l'exercice précédent. Le total des produits générés par les
services de croissance de Bell (sans fil, télé, Internet, autres
services à large bande sur fil et de médias) a augmenté de
134 millions $, soit une hausse de 3,7 % par rapport
à l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté de Bell a augmenté de 3,4 % pour s'établir
à 1 798 millions $, soutenu par les augmentations de
10,9 % pour les Services sans fil de Bell et de 1,0 %
pour les Services sur fil de Bell. Ce résultat a été atténué par la
diminution de 8,5 % enregistrée par Bell Média, ce qui reflète
l'incidence des coûts croissants des droits relatifs au contenu
télé et des droits multiplateformes. La marge du BAIIA ajusté
consolidée de Bell a augmenté pour passer à 39,0 % au T3 2014,
comparativement à 38,4 % au T3 2013, en raison de la hausse du
produit moyen par unité (PMU)(4) dans les Services sans
fil, de la croissance continue de Télé Fibe et de la progression
des trois produits par foyer, de l'approche rigoureuse en matière
d'établissement des prix, de la diminution de l'érosion des
services voix sur fil ainsi que de la diminution des coûts
d'exploitation dans le sur-fil.
Conformément à notre plan, le rythme des dépenses
d'investissement s'est accru ce trimestre, car nous avons continué
de déployer le réseau de fibre optique dans un plus grand nombre de
foyers et d'entreprises, nous avons étendu la couverture de notre
service Télé Fibe, nous avons augmenté les vitesses du
réseau 4G LTE jusqu'à 45 %, nous avons déployé les
services mobiles à large bande dans un plus grand nombre de
collectivités rurales et de petites villes au Canada et nous avons
accru la capacité de radiodiffusion. Bell a investi 825
millions $ dans des programmes de dépenses d'investissement au
T3 2014, ce qui représente une augmentation de 11,2 % par
rapport à l'exercice précédent.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BELL PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les produits d'exploitation des Services sans fil de Bell ont
augmenté ce trimestre, soit de 7,0 %, pour s'établir à
1 598 millions $, comparativement à
1 493 millions $ au T3 2013, ce qui résulte d'une
proportion accrue d'abonnés des services postpayés dans notre
clientèle, de la forte croissance des produits tirés des services
de données et de l'approche rigoureuse en matière d'établissement
des prix. Les produits tirés des services de données ont augmenté
de 23,9 % ce trimestre en raison de l'adoption et de
l'utilisation croissantes des téléphones intelligents, ainsi que
des tarifs mensuels moyens plus élevés, ce qui a entraîné le plus
haut taux de croissance du PMU combiné depuis plus de 7 ans.
Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de
10,4 % par suite du nombre accru de mises à niveau de combinés
et de la proportion plus importante de téléphones intelligents haut
de gamme dans notre chiffre d'affaires.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil de Bell a augmenté de
10,9 % pour s'établir à 684 millions $ en raison de
la forte croissance du PMU combiné. Avec l'effet marqué des
produits sur le BAIIA ajusté au T3 2014, la marge des produits
tirés des Services sans fil de Bell a augmenté de 1,6 point de
pourcentage, pour s'établir à 46,6 %, ce qui souligne le fait
que nous avons rigoureusement misé sur la croissance rentable des
abonnés des services postpayés et sur les dépenses relatives à la
fidélisation de la clientèle.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont totalisé
90 976, comparativement à 102 714 à l'exercice précédent.
Cette donnée reflète la diminution de 1,9 % des activations
brutes, une amélioration séquentielle par rapport aux trimestres
précédents. Cette amélioration découle de l'effet modérateur sur
les activations de nouveaux abonnés de l'élimination en 2013 des
contrats de 3 ans, dont les prix étaient inférieurs, dans la
foulée de la mise en œuvre du nouveau code de conduite fédéral sur
les services sans fil.
- Le pourcentage des abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent a augmenté à 75 %, comparativement à
69 % à la fin du T3 2013.
- Le taux de désabonnement des services postpayés(4)
est demeuré stable, à 1,20 %, ce qui reflète la qualité, la
portée et l'étendue du réseau de Bell ainsi que l'incidence
positive des investissements dans le service à la clientèle et la
fidélisation de la clientèle.
- Les pertes nettes d'abonnés des services prépayés ont diminué
de 40,6 %, s'établissant à 7 870, en raison de la
diminution du nombre de désactivations d'abonnés.
- La clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans
fil de Bell totalisait 6 868 818 à la fin du T3, une
augmentation de 2,8 % par rapport à l'exercice précédent. La
clientèle totale des Services sans fil de Bell a augmenté de
1,1 %, pour s'établir à 7 887 193 abonnés.
- Le PMU combiné a augmenté de 5,9 % pour s'établir à
61,73 $, augmentation découlant de l'utilisation plus
intensive des services de données sur le réseau 4G LTE de Bell
en expansion, de l'incidence favorable sur le PMU des prix des
nouveaux contrats de 2 ans et du pourcentage plus élevé
d'abonnés des services postpayés au sein de notre clientèle.
- Le coût d'acquisition(4) a augmenté pour s'établir à
421 $ par abonné, alors qu'il était de 403 $ au T3 2013,
du fait de la proportion accrue d'abonnés des services postpayés et
de la vente d'un plus grand nombre de téléphones intelligents de
premier choix par rapport à l'exercice précédent.
- Compte tenu du fait que plus de clients choisissent des mises à
niveau pour des appareils haut de gamme, les dépenses de
fidélisation de la clientèle ont augmenté pour s'établir à
10,2 % des produits tirés des services sans fil,
comparativement à 9,3 % à l'exercice précédent.
- Bell a augmenté les vitesses du réseau mobile 4G LTE
jusqu'à 45 % dans l'ensemble de notre zone de couverture, en
août, au moyen du regroupement de spectre, offrant ainsi aux
abonnés un accès mobile encore plus rapide à Internet et aux
services de données. Tous les appareils actuellement compatibles
LTE de Bell Mobilité et de Virgin Mobile peuvent fonctionner à ces
vitesses accrues.
- La zone de couverture du réseau 4G LTE a été étendue à
84 % de la population à la fin du T3 et devrait être
élargie à plus de 98 % d'ici la fin de 2015, grâce au
déploiement du service dans un plus grand nombre de petites villes
et de collectivités rurales et dans le nord du Canada. Ce service
est complété par la couverture du réseau 4G HSPA+ rejoignant
actuellement plus de 98 % de la population canadienne.
- Bell Mobilité a lancé le service sans fil 4G en
partenariat avec le gouvernement du Yukon dans de petites collectivités de ce
territoire, dans le cadre du plan de modernisation de
233 millions $ de Northwestel, une filiale de Bell. Ce
plan permet d'offrir des services Internet et sans fil évolués aux
consommateurs dans les 3 territoires du Canada.
- Le Mouvement Desjardins a annoncé le lancement de son nouveau
service de paiement mobile avec quelques entreprises de services
sans fil, notamment Bell Mobilité et Virgin Mobile. Ce service est
offert à partir de nombreux téléphones intelligents, dont les
appareils Samsung Galaxy, HTC One et Blackberry 9900, et
d'autres appareils s'ajouteront à cette liste au cours des
prochains mois.
Services sur fil de Bell
Avec des services de croissance dont la composition est en
constante amélioration dans les Services sur fil (télé, Internet,
autres services à large bande sur fil) et une diminution de
1,7 % d'un exercice à l'autre des coûts d'exploitation, le
BAIIA ajusté des Services sur fil de Bell a augmenté de 1,0 %
au T3, ce qui a entraîné une amélioration de 60 points de base
de la marge, qui s'est élevée à 37,8 %.
Les Services sur fil de Bell ont également réalisé une
croissance positive des produits tirés des services de 0,2 %
au T3, contrebalancée par la diminution de 7,7 % des produits
d'exploitation tirés des produits, générant des marges moindres, ce
qui a entraîné une diminution de 0,7 % d'un exercice à l'autre
du total des produits d'exploitation des Services sur fil de Bell,
qui se sont établis à 2 465 millions $. La
croissance des produits tirés des services résidentiels sur fil a
progressé de 3,4 % au T3, ce qui reflète les ajouts nets
d'abonnés totaux positifs et l'augmentation du PMU dans tous nos
services résidentiels. Le déclin des produits tirés des services
voix a continué de ralentir, les pertes d'abonnés résidentiels des
SAR ayant diminué par rapport à l'exercice précédent.
Dans notre unité Bell Marchés Affaires, le rythme de diminution
des produits des activités ordinaires d'un exercice à l'autre au T3
est demeuré relativement stable par rapport au trimestre précédent.
Toutefois, les résultats globaux continuent de subir les
répercussions des pressions concurrentielles sur les prix et de la
faible croissance de l'économie, ce qui a touché la demande des
clients pour les principaux services de connectivité et de
solutions d'affaires, ainsi que les ventes d'équipements de
transmission de données.
- Le total des ajouts nets d'abonnés résidentiels de Bell a
augmenté de 40,5 % pour s'établir à 31 280 au T3, contre
22 265 à l'exercice précédent, ce qui reflète la forte
croissance de la clientèle d'abonnés des services Internet et Télé
Fibe qui, à son tour, a fait augmenter les activations des SAR
résidentiels et a renforcé la fidélisation.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont totalisé
49 555, en hausse de 39,1 % par rapport à 35 634 à
l'exercice précédent. Cette augmentation reflète l'effet des
activations d'abonnés de Bell Télé Fibe, ainsi que le nombre accru
d'activations auprès de la clientèle étudiante au cours de la
période du retour en classe. La clientèle d'abonnés des services
Internet haute vitesse de Bell a augmenté de 3,9 % par rapport
à l'exercice précédent, s'établissant à 2 253 363.
- Le service Bell Télé Fibe a ajouté 61 519 nouveaux
abonnés nets au T3, par rapport à 72 813 à l'exercice
précédent. La diminution reflète les offres et les promotions de
forfaits de services accrocheuses de nos concurrents dans la
câblodistribution, l'expansion plus modérée de la zone de
couverture comparativement au T3 2013
et l'incidence favorable en 2013 de l'adoption rapide par
les clients du populaire récepteur sans fil du service Télé Fibe.
Les abonnés de Bell Télé Fibe totalisaient 642 162 à la fin du
T3, en hausse de 53,2 % par rapport à l'exercice
précédent.
- La zone de couverture du service Bell Télé Fibe rejoignait
4,8 millions de foyers à la fin du T3, en hausse contre
4,1 millions à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont
augmenté pour s'établir à 37 025 au T3, contre 26 128 à
l'exercice précédent, en raison du nombre moindre d'activations du
service de détail imputable aux offres accrocheuses lancées par nos
concurrents dans la câblodistribution dans les zones desservies par
Bell mais où le service Télé Fibe n'est pas offert. De surcroît,
les activations du service de gros de Bell Télé Satellite ont été
moindres à cause du déploiement du service de télé IP par des
fournisseurs de services de gros concurrents dans l'Ouest canadien
et dans le Canada atlantique.
- Le nombre d'abonnés de Bell Télé (Bell Télé Satellite et Bell
Télé Fibe) totalisait 2 352 448 à la fin du T3, une
augmentation de 4,9 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté
de 3,1 % pour s'établir à 1 470 millions $, ce
qui résulte de la croissance combinée de 7,5 % des produits
tirés des services Internet et de télé et de l'augmentation de
3,3 % des produits tirés des services de connectivité à large
bande IP.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels ont diminué
de 26,8 % pour s'établir à 43 173 comparativement à
58 957 à l'exercice précédent, ce qui reflète des taux plus
faibles de mouvement des abonnés résidentiels des SAR dans les
zones où est offert le service Bell Télé Fibe, ainsi que la
fidélisation de la clientèle dans les zones où ce service n'est pas
offert.
- Les pertes d'abonnés d'affaires des SAR ont augmenté pour
s'établir à 31 854 au T3 comparativement à 28 526 à
l'exercice précédent, surtout par suite des pressions
concurrentielles et de l'abandon graduel par les abonnés d'affaires
des lignes téléphoniques au profit des services IP et sans
fil.
- La clientèle totale des lignes d'accès aux SAR de Bell à la fin
du trimestre était de 4 959 941, une baisse de 7,1 %
comparativement à l'exercice précédent. Par conséquent, les
produits tirés des services locaux et d'accès de Bell ont diminué
de 4,1 % pour s'établir à 588 millions $, tandis que
les produits tirés des services interurbains ont baissé de
11,4 % pour s'établir à 163 millions $.
Bell Média
Les produits d'exploitation de Bell Média sont essentiellement
inchangés ce trimestre, en hausse de 0,2 % à
665 millions $, contre 664 millions $ à
l'exercice précédent. La croissance des produits tirés des frais
d'abonnement imposés aux distributeurs de radiodiffusion découlant
de l'effet de la hausse des tarifs établis en fonction du marché
pour les services de télé spécialisée de Bell Média et de
l'augmentation des produits découlant des produits GO du service la
Télé Partout a été contrebalancée par la diminution des produits
tirés de la publicité imputable à la faiblesse générale du marché
et au glissement des budgets de publicité vers la radiodiffusion de
la Coupe du Monde de soccer de la FIFA 2014.
Dans l'ensemble, Bell Média continue de détenir la plus grande
part de marché dans le secteur canadien des médias ce trimestre, à
la faveur de sa riche programmation de télé traditionnelle et de
télé spécialisée et de la croissance de l'auditoire quotidien.
En raison des coûts considérablement plus élevés du contenu télé
pour les droits de diffusion dans les sports, lesquels continuent
de grimper dans l'ensemble du secteur, le BAIIA ajusté de Bell
Média a diminué de 8,5 % au T3 pour s'établir à
182 millions $, contre 199 millions $ à
l'exercice précédent.
- Bell Média a fait augmenter sa part de l'auditoire combiné
anglophone et francophone chez les téléspectateurs dans la tranche
des 25 à 54 ans, la faisant passer à 33 % pour l'année de
radiodiffusion terminée le 31 août 2014.
- CTV demeure le premier réseau de télévision du Canada,
diffusant 9 des 20 émissions les plus écoutées par l'ensemble
des téléspectateurs à l'échelle nationale, dans la saison d'été
(incluant les 2 émissions les plus écoutées : The Amazing
Race Canada et MasterChef Canada) et ayant remporté un succès sans
précédent au début de la saison de radiodiffusion 2014-2015
avec les 5 émissions les plus écoutées dans toutes les
principales catégories démographiques chez les adultes. Dans les
heures de grande écoute de 19 h à 23 h, la cote d'écoute
moyenne de CTV était de 44 % supérieure à celle de son plus
proche concurrent en télé traditionnelle.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante,
Bell Média a rejoint 85 % de l'ensemble des téléspectateurs
canadiens de la télé spécialisée et de la télé payante anglophone
d'une semaine moyenne au cours du T3 2014, avec en tête TSN,
Discovery et TMN.
- Bell Média conserve sa position de chef de file au Québec, avec
un auditoire pour la télé spécialisée englobant 83 % de
l'ensemble des téléspectateurs francophones d'une semaine moyenne
au T3 2014, avec en tête 4 des 5 chaînes de télé
spécialisée les plus populaires au Québec : RDS, Canal D,
Canal Vie et Super Écran.
- Bell Média demeure au premier rang des médias numériques parmi
les diffuseurs et producteurs de vidéos canadiens concurrents et au
7e rang parmi toutes les propriétés en ligne au
Canada, avec des moyennes mensuelles au T3 de 15,7 millions de
visiteurs uniques, de 2,8 millions de vidéospectateurs, de 441
millions de pages consultées, de 123 millions de visites et de
69 millions de vidéos regardées.
- Bell Média Radio, qui exploite le plus grand nombre de stations
de radio au Canada, a enregistré une croissance de l'auditoire
global avec 17,8 millions d'auditeurs, qui ont écouté, au
total chaque semaine, 83,7 millions d'heures au T3.
- Astral Affichage est demeurée la 3e entreprise
de ce type au Canada avec plus de 9 500 panneaux
d'affichage, et elle est arrivée en tête des exploitants dans les
marchés principaux de Toronto et
de Montréal.
- Bell Média a acquis les droits exclusifs multiplateformes
canadiens, notamment le service de vidéo sur demande par
abonnement, relatifs au catalogue d'émissions de télé d'antenne de
HBO. Cette entente vient compléter une autre opération
pluriannuelle et multiplateformes aux termes de laquelle HBO Canada
présentera en exclusivité l'ensemble de la bibliothèque de la
saison précédente de toutes les séries scénarisées de HBO
actuellement diffusées.
- Bell Média a terminé le dessaisissement exigé de certains
actifs d'Astral Media le 16 septembre, avec la vente de deux
services de télé (MusiquePlus et MusiMax) à Groupe V Médias,
ce qui porte le produit total du dessaisissement exigé de tous les
actifs d'Astral (y compris les dividendes de la période
intermédiaire) à 766 millions $. La vente de ces chaînes était
exigée par le Bureau de la concurrence et le Conseil de la radiodiffusion et des
télécommunications canadiennes (CRTC) dans le cadre de
l'acquisition d'Astral Media par Bell.
RÉSULTATS DE BELL ALIANT
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant ont augmenté
de 0,4 % au T3 2014 pour s'établir à 699 millions $,
comparativement à 696 millions $ à l'exercice précédent,
la croissance des produits tirés des services Internet, de télé et
autres services de données et sans fil ayant surpassé la baisse des
produits tirés des services locaux, des services interurbains et
d'autres produits. Malgré la hausse d'un exercice à l'autre des
produits d'exploitation, le BAIIA ajusté de Bell Aliant a diminué
de 2,2 % ce trimestre, pour s'établir à
317 millions $, comparativement à
324 millions $ au T3 2013, en raison de l'augmentation
des coûts d'exploitation relatifs à la croissance de ses services
FibreOP et de la clientèle.
Bell Aliant a continué d'étendre son réseau fibre jusqu'au
domicile (réseau FTTH) au T3, ajoutant 82 000 foyers
et entreprises à la zone desservie par les services FibreOP, ce qui
porte à environ 961 000 le nombre d'emplacements dans la zone
de couverture totale du réseau FTTH, dans plus de
89 collectivités du Canada atlantique, du Québec et de
l'Ontario.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,6175 $ par action ordinaire, payable le
15 janvier 2015 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 décembre 2014.
PERSPECTIVES
BCE a confirmé les objectifs de son orientation financière pour
2014, tels qu'ils ont été présentés le
6 février 2014 :
|
|
|
|
Orientation
du
6 février |
Orientation du
6 novembre |
Bell(i) |
|
|
Croissance des produits des activités
ordinaires |
2 % à 4 % |
Sur la bonne voie |
Croissance du BAIIA ajusté |
3 % à 5 % |
Sur la bonne voie |
Intensité du capital(4) |
16 % à 17 % |
Sur la bonne voie |
BCE |
|
|
BPA ajusté |
3,10 $ à 3,20 $ |
Sur la bonne voie |
Croissance des flux de trésorerie disponibles |
3 % à 7 % |
Sur la bonne voie |
Dividende annuel par action ordinaire |
2,47 $ |
2,47 $ |
Politique de distribution du
dividende(4) |
65 % à 75 % des flux
de trésorerie disponibles |
Aucun changement |
(i) |
L'orientation financière de Bell pour 2014 concernant les
produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté et l'intensité
du capital exclut Bell Aliant. |
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes
financiers afin de traiter de ses résultats du T3 2014, le jeudi
6 novembre, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont
invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour
participer, composez le numéro sans frais 1-800-766-6630 ou le
416-340-2220. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au
1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez le code
d'identification 1024287#).
La conférence téléphonique sera archivée sur le site Web de BCE
sous :
http://www.bce.ca/investisseurs/evenements-et-presentations/tous/show/BCE-Q3-2014-Results-conference-call.
Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur
cette page, peu de temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non
auditée.
(1) |
À partir du T2 2014, nous désignons le BAIIA ajusté et la marge
du BAIIA ajusté comme des mesures financières non définies par les
PCGR. Ces termes remplacent les mesures financières non définies
par les PCGR auparavant désignées par les termes BAIIA et
marge du BAIIA. Notre définition de BAIIA ajusté et de marge
du BAIIA ajusté est inchangée par rapport à notre définition
antérieure du BAIIA et de la marge du BAIIA, respectivement. Par
conséquent, cette modification terminologique n'a aucune incidence
sur la présentation de nos résultats financiers des périodes
antérieures. Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes
consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 3 des
états financiers consolidés du T2 2014 de BCE. Nous définissons la
marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA ajusté divisé par les produits
d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer le rendement de nos activités puisqu'ils
reflètent leur rentabilité continue. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer
la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de
satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue
une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans
l'industrie des télécommunications. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent également le BAIIA ajusté et
la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement de nos
activités. Le BAIIA ajusté est également un facteur dans la
détermination de la rémunération incitative à court terme pour
l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière
selon les IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge
du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau
suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA
ajusté. |
(en millions de dollars) |
|
|
|
|
|
T3 2014 |
|
T3 2013 |
|
Bénéfice net |
703 |
|
452 |
|
Coûts liés aux indemnités de départ
aux acquisitions et autres |
66 |
|
297 |
|
Amortissement des immobilisations
corporelles |
739 |
|
683 |
|
Amortissement des immobilisations
incorporelles |
116 |
|
162 |
|
Charges financières |
|
|
|
|
|
Charge d'intérêts |
227 |
|
242 |
|
|
Intérêts liés aux obligations au titre des
avantages postérieurs à l'emploi |
25 |
|
38 |
|
Autres charges |
(2) |
|
24 |
|
Impôt sur le résultat |
241 |
|
165 |
|
BAIIA ajusté |
2 115 |
|
2 063 |
|
|
|
|
|
|
Produits d'exploitation de BCE |
5 195 |
|
5 099 |
|
Marge du BAIIA ajusté |
40,7 |
% |
40,5 |
% |
(2) |
Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté
n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc
peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le
bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes
nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la
dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté
par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté
et le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer le
rendement de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits
nets) pertes nettes sur placements et des primes au remboursement
anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous
excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la
comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement
donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en
matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces
éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice
net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA sont les
mesures financières selon les IFRS les plus comparables. Le tableau
ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté,
préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA
ajusté), respectivement. |
(en millions de
dollars, sauf les montants par action) |
|
T3
2014 |
T3 2013 |
|
TOTAL |
PAR ACTION |
TOTAL |
PAR ACTION |
Bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires |
600 |
0,77 |
343 |
0,44 |
Coûts liés aux indemnités de
départ aux acquisitions et autres |
45 |
0,06 |
222 |
0,29 |
Profits nets sur placements |
- |
- |
(2) |
(0,01) |
Primes au remboursement anticipé
de la dette |
3 |
- |
21 |
0,03 |
Bénéfice net ajusté |
648 |
0,83 |
584 |
0,75 |
(3) |
Les termes flux de trésorerie disponibles et flux de
trésorerie disponibles par action n'ont pas de définition
normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils
puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par
d'autres émetteurs. Nous définissons les flux de trésorerie
disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux acquisitions
payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de
retraite, plus les dividendes reçus de Bell Aliant, moins les
dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées,
les dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC et
les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous définissons
les flux de trésorerie disponibles par action comme les flux de
trésorerie disponibles divisés par le nombre moyen d'actions
ordinaires en circulation. |
|
|
|
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles et les flux
de trésorerie disponibles par action comme d'importants indicateurs
de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils
révèlent le montant des fonds disponibles pour payer des
dividendes, rembourser la dette et réinvestir dans notre société.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les
flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses
actifs sous-jacents. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également les flux de trésorerie disponibles et
les flux de trésorerie disponibles par action pour évaluer la
solidité financière et le rendement de nos activités. Les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après
présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base
consolidée. |
(en millions de dollars, sauf les montants par
action) |
|
|
|
T3 2014 |
T3 2013 |
Flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation |
1 882 |
1 730 |
Dividendes de Bell Aliant à BCE |
47 |
48 |
Dépenses d'investissement |
(975) |
(880) |
Dividendes en espèces payés sur
actions privilégiées |
(31) |
(38) |
Dividendes en espèces payés par des
filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le
contrôle |
(69) |
(68) |
Coûts liés aux acquisitions payés |
33 |
32 |
Flux de trésorerie disponibles de Bell
Aliant |
(53) |
(77) |
Flux de trésorerie disponibles |
834 |
747 |
|
|
|
|
Nombre moyen d'actions ordinaires en
circulation |
782,1 |
775,9 |
Flux de trésorerie disponibles par
action |
1,06 |
0,97 |
(4) |
Nous utilisons le PMU, le taux de désabonnement, le coût
d'acquisition, l'intensité du capital et le ratio de distribution
pour évaluer les progrès accomplis à l'égard de nos impératifs
stratégiques. Ces indicateurs de performance clés ne sont pas des
mesures comptables et pourraient ne pas être comparables à des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Se reporter à
la section 8.2, Mesures financières non définies par les
PCGR et indicateurs de performance clés du rapport de gestion
du T2 2014 de BCE pour obtenir une définition de ces
indicateurs de performance clés. |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière pour 2014 (ce qui comprend les produits des
activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le
BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives
commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités
stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de dividendes sur actions ordinaires de BCE pour 2014,
nos plans de déploiement pour les réseaux, certains avantages
stratégiques et financiers qui devraient résulter de la
privatisation de Bell Aliant, l'intégration de Bell Aliant dans les
activités de BCE à l'échelle nationale, la nature et la valeur des
investissements qui devraient être effectués dans le Canada
atlantique au cours des 5 prochaines années, ainsi que d'autres
déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement,
les termes comme hypothèse, but, orientation,
objectif, perspective, plan, stratégie,
cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les
temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains
verbes tels que viser, s'attendre à, croire,
prévoir, avoir l'intention de, planifier,
chercher à et aspirer à, permettent de repérer les
déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives
sont faites conformément aux dispositions refuges prévues dans les
lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et
dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform
Act de 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu
à la possibilité que les résultats ou les événements réels
diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou
sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos
perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités
stratégiques ne soient pas atteints. Par conséquent, nous ne
pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et
nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le
fait de s'appuyer sur ces déclarations prospectives. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
décrivent nos attentes en date du 6 novembre 2014 et, par conséquent, pourraient changer après
cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière
de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement
à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant
dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de
nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni
pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de
BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de
l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments
exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions,
d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres
transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 6
novembre 2014. L'incidence financière de ces transactions, de ces
éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut
s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux.
Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence
prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus
touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont
présentées dans le présent communiqué dans le but de fournir de
l'information sur l'incidence prévue de la privatisation de Bell
Aliant et d'aider les investisseurs et les autres parties à
comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers
prévus pour 2014, ainsi que nos objectifs, nos priorités
stratégiques et nos perspectives commerciales pour 2014, et à mieux comprendre le contexte dans
lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc
mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas
convenir à d'autres fins. La valeur des investissements qui
devraient être effectués au Canada atlantique au cours des
5 prochaines années suppose que les investissements se
poursuivront aux niveaux actuels. Cependant, rien ne garantit que
les niveaux d'investissement se maintiendront. Ainsi, les niveaux
d'investissement réels effectués au Canada atlantique pourraient
différer de façon importante des prévisions actuelles.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et
aux activités d'exploitation et d'hypothèses financières ont été
formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives pour 2014 contenues dans le présent communiqué, y
compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Une croissance du PIB du Canada de 2,3 % en 2014, selon la
plus récente estimation de la Banque du Canada, soit une
augmentation de dix points de base comparativement à l'estimation
antérieure de 2,2 %;
- Une croissance des niveaux d'emploi plus rapide qu'en
2013;
- Le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- Une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du marché du sans-fil, en raison de l'adoption plus
généralisée des téléphones intelligents, des tablettes et d'autres
appareils 4G, de l'expansion du service LTE dans les marchés
non urbains, de l'offre de nouvelles applications et de nouveaux
services de données, ainsi que de l'augmentation de la
population;
- Un marché publicitaire moins dynamique pour Bell Média.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins
rapide, du marché du sans-fil au Canada;
- Le maintien de la part de marché de Bell des activations nettes
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- L'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services
de données;
- Notre capacité de monétiser l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- La poursuite de l'expansion de notre réseau sans
fil 4G LTE dans des régions rurales et dans de plus
nombreux marchés urbains partout au Canada;
- Les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- L'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle et concurrentielle découlant de modifications
défavorables de la réglementation sur nos activités dans le
sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- L'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- Des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
régions où nous fournissons des services sur fil;
- La stabilisation du taux d'érosion au chapitre des SAR
résidentiels, à mesure que nous tirons parti de nos investissements
dans les réseaux à large bande pour Télé Fibe, afin d'accroître la
pénétration des trois produits par foyer, d'étendre notre part de
marché des immeubles à logements multiples et de générer des tarifs
plus élevés pour les ventes complémentaires de nos services
Internet et de téléphonie résidentiels;
- La croissance du produit par foyer et l'effet de l'augmentation
des tarifs, établis en fonction du marché, des produits
résidentiels liés au taux de pénétration accru des trois produits
par foyer;
- Une croissance des niveaux d'emploi et de l'économie plus
rapide qu'en 2013;
- La migration continue des clients d'affaires vers les systèmes
IP;
- Les pressions continues de la concurrence sur les prix dans nos
marchés résidentiel, d'affaires et de gros;
- La capacité de réaliser des économies de coûts grâce à la
réduction des postes de cadre à la suite de départs naturels et de
départs à la retraite, à l'efficience des centres d'appels, à
l'amélioration de la productivité dans les services extérieurs, à
la réduction des taux contractuels des fournisseurs, à la
diminution des coûts d'impression et de mise à la poste, à la
gestion des coûts relatifs au contenu et à la réduction du trafic
non acheminé par notre propre réseau;
- La consommation croissante par les abonnés des services de télé
par contournement et de vidéo en continu, la croissance prévue de
la Télé Partout ainsi que la multiplication des appareils, comme
les tablettes, qui exigent une bande passante très élevée, ce qui
exigera un niveau soutenu et constant de dépenses
d'investissement.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Un marché de la publicité moins dynamique;
- Des coûts croissants pour obtenir de la programmation télé et
du contenu de sports;
- La capacité de procéder à des acquisitions fructueuses
d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu
différencié;
- La hausse générale des tarifs du marché pour le contenu de la
télé spécialisée;
- L'établissement et le maintien d'ententes stratégiques quant à
l'approvisionnement en contenu sur les quatre écrans;
- La réalisation complète des synergies de coûts découlant de
l'intégration d'Astral au sein de Bell Média;
- L'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications
défavorables de la réglementation dans les médias.
Hypothèses concernant notre secteur Bell
Aliant
- Une croissance des niveaux d'emploi et de l'économie plus
rapide qu'en 2013;
- L'intensité soutenue de l'activité concurrentielle sur les
marchés d'affaires et résidentiel;
- L'accentuation de la substitution des services sur fil par le
sans-fil dans les marchés de Bell Aliant, mais en accusant un
retard par rapport à d'autres régions du Canada;
- La stabilisation des pertes nettes au chapitre des SAR;
- Une demande constante pour le service FibreOP, alimentant les
acquisitions de clients des services Internet et de télé IP à des
niveaux similaires à ceux de 2013;
- La poursuite des réductions de coûts réalisées grâce à nos
initiatives de productivité, permettant de compenser largement les
hausses de coûts associées à la croissance de la clientèle des
services de télé IP et des coûts liés au contenu télévisuel
connexes, de même que les pressions inflationnistes normales.
Hypothèses financières concernant Bell (excluant Bell
Aliant)
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de Bell pour 2014 :
- Le maintien d'une marge consolidée du BAIIA ajusté relativement
stable;
- L'augmentation de l'apport au BAIIA ajusté des services sans
fil et l'expansion de la marge;
- L'amélioration du rythme de la diminution des produits et du
BAIIA ajusté des services sur fil, d'un exercice à l'autre;
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de
Bell qui devrait s'établir à environ 310 millions $,
selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,9 %,
qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 220 millions $ et d'une charge
financière nette estimative au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieure au BAIIA ajusté d'environ
90 millions $;
- Des besoins de capitalisation des régimes de retraite
totalisant environ 350 millions $;
- Des impôts en espèces d'environ 600 millions $;
- Une charge d'intérêts nette d'environ 775 millions $,
au lieu de 750 millions $;
- Des versements d'intérêts nets d'environ
775 millions $;
- Une évolution du fonds de roulement et des coûts liés aux
indemnités de départ et autres d'environ
175 millions $.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2014 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de
BCE qui devrait s'établir à environ 390 millions $
comprenant un montant d'environ 80 millions $ lié à Bell
Aliant, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au
titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au
BAIIA ajusté d'environ 280 millions $ et d'une charge
financière nette estimative au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieure au BAIIA ajusté d'environ
110 millions $;
- Une dotation aux amortissements supérieure d'environ
115 millions $ à celle de 2013;
- Une charge d'intérêts nette d'environ 925 millions $,
au lieu de 900 millions $;
- Des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,05 $, au
lieu de 0,04 $;
- Un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- Une participation ne donnant pas le contrôle d'environ
220 millions $, au lieu de 280 millions $;
- Un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation d'environ
794 millions, au lieu de 778 millions;
- Un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,47 $
par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 6 novembre 2014,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation financière
pour 2014, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos
déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les
résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation
financière pour 2014, dépend essentiellement du rendement de notre
entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques.
Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous
les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter :
- L'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que
l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients
actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies
d'établissement des prix, sur nos résultats financiers et sur nos
données opérationnelles, comme le PMU;
- Le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation
des services voix sur fil traditionnels;
- L'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la
fragmentation accrue au sein du marché de la distribution des
services de télé de Bell Télé et des marchés de la télé et de la
radio de Bell Média;
- La variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de
fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions
d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones
intelligents et des rabais sur les combinés;
- Les initiatives et les procédures réglementaires, les
consultations gouvernementales et les positions gouvernementales
qui nous touchent et qui touchent nos activités;
- La conjoncture économique et les conditions du marché des
capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs,
la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de
ceux-ci;
- La dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une
demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur
celle-ci des conditions économiques, des variations cycliques et
saisonnières, ainsi que de la part d'audience et des cotes
d'écoute;
- La complexité de notre gamme de produits, de nos plans
tarifaires, de nos promotions, de nos plateformes technologiques et
de nos systèmes de facturation;
- Notre incapacité à répondre aux attentes des clients et à
élaborer un modèle de prestation de services à faible coût;
- Notre incapacité à mener les activités liées à l'évolution de
notre réseau filaire et à respecter les échéanciers pour la mise à
niveau et le déploiement du réseau conformément à nos objectifs en
matière d'intensité du capital;
- Notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle de
notre réseau, étant donné une augmentation importante de la demande
pour les services à large bande et du volume du trafic des services
de données sans fil;
- Notre incapacité à prévoir les changements technologiques et à
nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir
rapidement de nouveaux produits et services;
- Notre incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir, en temps
opportun, des systèmes de TI efficaces, ainsi que la
complexité de notre environnement de TI et les coûts qui s'y
rapportent;
- Notre incapacité à protéger nos centres de données, nos
dossiers électroniques et physiques, ainsi que les renseignements
qu'ils contiennent;
- Le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement, et
les interruptions de travail;
- Notre incapacité à réaliser nos impératifs stratégiques ainsi
que nos plans de développement des affaires afin de produire les
avantages attendus, y compris la poursuite de la mise en œuvre de
nos initiatives de réduction des coûts visées;
- Une gestion inefficace du changement découlant de
réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que
notre incapacité à intégrer avec succès les entreprises acquises et
les unités d'affaires existantes;
- La volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- Les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers
fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels
et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- La qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des
clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des
défauts de fabrication;
- Les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de
notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre
capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir et à les
remplacer;
- Les risques en orbite liés aux satellites utilisés par Bell
Télé;
- Un règlement défavorable des litiges, en particulier, des
recours collectifs;
- Des modifications défavorables aux lois applicables;
- Les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les
exigences liées au financement et à la dette et notre incapacité à
accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour
répondre à nos besoins de liquidités et mettre en œuvre notre plan
d'affaires, de même que notre incapacité à gérer les différents
risques de crédit, de liquidité et de marché, et à faire en sorte
que notre ratio de levier financier net revienne au niveau de la
fourchette cible révisée pour ce ratio;
- Notre incapacité à supprimer certains services dans la mesure
nécessaire pour améliorer la productivité du capital et
l'efficience opérationnelle;
- Notre incapacité à faire évoluer nos pratiques et à effectuer
un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- Le vol de nos services de télé par SRD;
- La violation des droits d'auteur et l'utilisation non autorisée
de notre contenu;
- Des impôts plus élevés découlant de nouveaux impôts, de la
majoration des taux d'imposition ou de modifications apportées aux
lois fiscales, et notre incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux;
- Les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils et de l'équipement sans
fil;
- Notre incapacité à maintenir le service à la clientèle et à
assurer le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des
pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
- La dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, de
ses partenariats et des autres entités dans lesquelles elle détient
une participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute
autre distribution;
- L'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- La volatilité des marchés boursiers;
- Notre incapacité à intégrer avec succès Bell Aliant dans
Bell;
- L'échéancier et la réalisation prévus des opérations dans le
cadre de la proposition d'échange des billets de Bell Aliant qui
sont assujettis à des risques et incertitudes et pour lesquels rien
ne garantit que les avantages anticipés seront réalisés.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2013 de BCE, daté du 6 mars 2014 (inclus dans
le rapport annuel 2013 de BCE) ainsi que les rapports de gestion du
premier, du deuxième et du troisième trimestres 2014 de BCE, datés
du 5 mai 2014, du 6 août 2014 et du 5
novembre 2014, respectivement, pour obtenir plus de détails au
sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés
et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant
déposés par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en
valeurs mobilières (disponibles au Sedar.com) et de la Securities
and Exchange Commission des États-Unis (disponibles au SEC.gov).
Ces documents sont également disponibles au BCE.ca.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et
fournit un ensemble complet et novateur de services de
communications à large bande à ses clients résidentiels et
d'affaires, sous les marques Bell
Canada et Bell Aliant. Bell Média est la première entreprise
canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans les
secteurs de la télévision, de la radio, de l'affichage extérieur et
des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision
du Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays.
Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative de Bell « Bell Cause pour la cause » est
dédiée à la promotion de la santé mentale au Canada, à la
sensibilisation à l'échelle nationale par l'intermédiaire de
campagnes de lutte contre la stigmatisation, comme le Grand Tour de
Clara pour Bell Cause pour la cause et la Journée Bell Cause pour
la cause, et au financement important fourni par Bell pour l'accès
aux soins communautaires, la recherche et les initiatives au
travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
SOURCE BCE inc.