Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
ce communiqué.
- Bénéfice net en hausse de 2,0 %, à 830 millions $; bénéfice
net attribuable aux actionnaires ordinaires en hausse de 2,5 %, à
778 millions $, ou 0,89 $ par action ordinaire; bénéfice net ajusté
en hausse de 12,1 %, à 824 millions $, entraînant une augmentation
de 8,0 % du BPA ajusté, à 0,94 $
- Accent mis sur la croissance rentable donnant lieu à une
augmentation des produits tirés des services de 1,3 %, à une
croissance du BAIIA ajusté de 3,2 % et à une augmentation de 1,2
point de pourcentage de la marge, à 42,5 %
- Ajouts de 113 000 nouveaux abonnés nets des services sans
fil postpayés et des services de télé IP et Internet haute
vitesse
- BAIIA ajusté dans le sans-fil en hausse de 7,7 % sur une
croissance de 4,6 % des produits tirés des services et une
diminution de 1,7 % des coûts d'exploitation entraînant une
progression de 1,4 point de pourcentage de la marge liée aux
services, à 48,0 %
- Baisse de 4,0 % des coûts d'exploitation dans le
sur-fil entraînant une augmentation du BAIIA ajusté de 0,6 % pour
un huitième trimestre consécutif de croissance positive;
progression de 1,1 point de pourcentage de la marge, à 42,7
%
- Nouveaux produits Fibe faisant ressortir les avancées de
Bell en matière d'innovation dans les services à large bande
de télé et Internet
- Bell Média augmente ses produits de 5,3 % et accroît le
BAIIA ajusté de 3,7 %
MONTRÉAL, le 4 août 2016 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX:
BCE)(NYSE: BCE), la plus grande entreprise de communications du
Canada, a présenté aujourd'hui les résultats du deuxième trimestre
(T2) de 2016.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS
|
|
|
|
(en millions $, sauf les montants
par action) (non audité)
|
T2 2016
|
T2 2015
|
% de
variation
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 340
|
5 326
|
0,3
|
%
|
BAIIA
ajusté(1)
|
2 268
|
2 197
|
3,2
|
%
|
Bénéfice net
|
830
|
814
|
2,0
|
%
|
Bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires
|
778
|
759
|
2,5
|
%
|
Bénéfice net
ajusté(2)
|
824
|
735
|
12,1
|
%
|
BPA
|
0,89
|
0,90
|
(1,1)
|
%
|
BPA
ajusté(2)
|
0,94
|
0,87
|
8,0
|
%
|
Flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation
|
1 890
|
1 841
|
2,7
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
934
|
931
|
0,3
|
%
|
« Dans le cadre de la mise en œuvre de notre stratégie
visant à être le numéro un en matière d'innovation dans les réseaux
à large bande et les produits, Bell a réalisé une forte croissance
au chapitre des nouveaux abonnés et a enregistré des résultats
financiers de premier plan au T2, y compris une croissance du BAIIA
ajusté dans l'ensemble de nos secteurs d'exploitation. Nous
profitons d'un élan positif dans les services à large bande de télé
et Internet, de médias, et en particulier dans le sans-fil, et nous
avons enregistré une croissance solide des produits des activités
ordinaires, du BAIIA ajusté et de la clientèle d'abonnés des
services postpayés qui, une fois encore, surpasse celle de notre
plus important concurrent dans le sans-fil, a déclaré
George Cope, président et chef de la direction de BCE et de
Bell Canada. Se distinguant également par l'amélioration des
résultats en matière de service et les réductions substantielles de
nos coûts d'exploitation, cette performance exceptionnelle réalisée
par l'équipe de Bell, pour un trimestre habituellement moins
dynamique, ouvre la voie au maintien du leadership de Bell en
matière d'investissement, d'innovation et de croissance dans les
services à large bande. »
Bell centre ses efforts sur un objectif clair : être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, ce qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de six impératifs stratégiques : investir
dans les réseaux et les services large bande, accélérer le
sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre
leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et
établir une structure de coûts concurrentielle. Cette stratégie de
leadership dans les services à large bande a porté ses
fruits : investissement inégalé dans l'infrastructure réseau
de fibre et sans fil la plus évoluée du Canada, solide performance
continue sur le marché dans les services de croissance que sont les
services sans fil, de télé, Internet et de médias et
12 augmentations du dividende sur les actions ordinaires de
BCE depuis le quatrième trimestre de 2008, soit une majoration
totale de 87 %.
« Nos résultats financiers très solides ce trimestre
démontrent clairement l'importance que nous accordons à la
rentabilité au chapitre des abonnés et à la gestion rigoureuse des
prix. La croissance régulière de nos produits tirés des services et
du BAIIA ajusté, l'expansion de la marge et l'augmentation du
bénéfice et des flux de trésorerie disponibles sont conformes aux
objectifs de l'orientation que nous avons présentée au début de
l'exercice, a affirmé Glen LeBlanc, chef des affaires
financières de BCE et de Bell Canada. Nous prévoyons une
croissance positive du BAIIA ajusté dans le sans-fil, le sur-fil et
les médias pour l'ensemble de l'exercice 2016 et une accélération de la croissance des
flux de trésorerie disponibles à l'appui de l'augmentation prévue
des dépenses d'investissement dans l'infrastructure réseau à large
bande, ce qui nous procurera de solides assises pour poursuivre la
réalisation de notre objectif de croissance du
dividende. »
RÉSULTATS DE BCE
Les produits d'exploitation de BCE
ont augmenté de 0,3 %, pour s'établir à
5 340 millions $ au T2, ce qui reflète la croissance
d'un exercice à l'autre de 1,3 % du total des produits tirés
des services dans la foulée du solide chiffre d'affaires des
services sans fil et de médias ainsi que de l'augmentation des
produits tirés des services Internet et de télé résidentiels. Les
produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
12,3 %, soit de 49 millions $, par suite du nombre
moins élevé de mises à niveau dans le sans-fil et des rabais
accordés sur les appareils mobiles, ainsi que de la diminution des
dépenses des clients d'affaires pour des produits de données
filaires.
Le bénéfice net et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires ont totalisé 830 millions $ et 778 millions $,
en hausse de 2,0 % et de 2,5 %, respectivement,
comparativement à 814 millions $ et à 759 millions $ à
l'exercice précédent, en raison de l'augmentation des produits des
activités ordinaires et de la baisse des coûts d'exploitation qui
ont généré une hausse du BAIIA ajusté. Également en reflet de la
diminution des charges financières, l'augmentation du bénéfice net
et du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires a été
partiellement contrebalancée par la hausse des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres découlant des
initiatives de restructuration de la main-d'œuvre s'inscrivant dans
le cours normal des affaires et des coûts de transaction engagés
relativement à l'acquisition proposée de Manitoba Telecom Services
(MTS), la hausse de l'impôt sur le résultat découlant de
l'augmentation du bénéfice imposable et l'augmentation du montant
net au titre de la dotation aux amortissements.
Malgré une augmentation du bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires, le bénéfice net par action (BPA) s'est
établi à 0,89 $, comparativement à 0,90 $ au
T2 2015, en raison du nombre moyen plus élevé d'actions
ordinaires de BCE en circulation qui s'explique principalement par
un placement public par voie de prise ferme de
863 millions $ réalisé en décembre 2015. À l'exclusion de
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des profits nets ou des pertes nettes sur
placements et des coûts relatifs au remboursement anticipé de la
dette, le bénéfice net ajusté a augmenté de 12,1 %, pour
s'établir à 824 millions $, soit 0,94 $ par action
ordinaire, comparativement à 735 millions $, soit
0,87 $ par action ordinaire, au T2 2015.
Le BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 3,2 %, pour s'établir
à 2 268 millions $, entraîné par les hausses de
7,7 % pour les Services sans fil de Bell, de 0,6 % pour
les Services sur fil de Bell et de 3,7 % pour Bell Média. Ces
résultats ont entraîné une amélioration de 1,2 point de
pourcentage de la marge du BAIIA ajusté(1) consolidée de
BCE, qui est passée à 42,5 %, contre 41,3 % au
T2 2015, reflétant l'incidence de la hausse marquée du produit
moyen par utilisateur(4) (PMU) dans le sans-fil,
l'augmentation des produits par foyer et la réduction de 1,8 %
du total des coûts d'exploitation.
Conformément à sa position de chef de file de la large bande au
Canada et à son plan pour 2016, BCE a investi
950 millions $ en nouveau capital au T2, une augmentation
de 3,9 % par rapport à l'exercice précédent, soit un ratio
d'intensité du capital(4) (les dépenses d'investissement
en pourcentage du total des produits des activités ordinaires) de
17,8 %, comparativement à 17,2 % au T2 2015. Les
dépenses d'investissement concernaient principalement l'expansion
de notre réseau de fibre à large bande en vue de brancher un plus
grand nombre de foyers et d'entreprises directement, ce qui
comprend : la construction de l'infrastructure Fibe Gigabit à
Toronto et dans d'autres centres
urbains; l'investissement continu dans les services primés
4G LTE et LTE Advanced (LTE-A) de Bell; l'augmentation de
la capacité globale des réseaux sans fil et Internet pour soutenir
la croissance au chapitre des ajouts d'abonnés et de l'utilisation
des services de données.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
ont augmenté de 2,7 % au T2, pour s'établir à
1 890 millions $, comparativement à
1 841 millions $ à l'exercice précédent, ce qui
résulte de la croissance du BAIIA ajusté et de la diminution des
impôts en espèces payés, partiellement contrebalancés par une
diminution du fonds de roulement. Les flux de trésorerie
disponibles générés ce trimestre ont totalisé
934 millions $, comparativement à
931 millions $ au T2 2015, ce qui reflète
l'augmentation des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation, partiellement contrebalancée par l'accroissement
prévu des dépenses d'investissement.
BCE a ajouté 69 848 nouveaux abonnés nets des services sans
fil postpayés et a subi une perte nette de 25 118 abonnés des
services prépayés, a ajouté 35 255 nouveaux abonnés nets
du service Télé Fibe et subi une perte nette de
33 154 abonnés du service de télé par satellite et a
ajouté 7 539 nouveaux abonnés d'Internet haute vitesse. Les
pertes nettes totales au chapitre des SAR se sont établies à
88 825 abonnés. Au 30 juin 2016, BCE comptait au
total 8 280 693 abonnés du sans-fil, soit une hausse de
1,9 % d'un exercice à l'autre (y compris les
7 471 069 abonnés des services postpayés, soit une
augmentation de 3,7 %), 2 750 596 abonnés des
services de télé au total, soit une augmentation de 2,8 % (y
compris les 1 265 786 abonnés du service Télé Fibe,
soit une augmentation de 21,6 %),
3 418 785 abonnés d'Internet haute vitesse au total,
soit une augmentation de 3,1 %, et, enfin,
6 476 683 abonnés des SAR au total, soit une
diminution de 6,2 %.
FAITS NOUVEAUX DE L'ENTREPRISE
Acquisition de Manitoba Telecom Services (MTS)
Annoncé
le 2 mai 2016, le processus visant l'acquisition proposée de
MTS par BCE suit son cours, avec l'approbation des actionnaires de
MTS à 99,66 % des voix exprimées lors d'une assemblée
extraordinaire des actionnaires tenue le 23 juin et
l'approbation de la Cour du Banc de la Reine du Manitoba obtenue le 29 juin. Évaluée à
environ 3,9 milliards $, la transaction devrait être
conclue à la fin de 2016 ou au début de 2017
et nécessite l'approbation du Bureau de la concurrence, du
CRTC et d'ISDE Canada. BCE prévoit investir 1 milliard $
sur cinq ans dans l'infrastructure de communications à large
bande au Manitoba, à la suite de
la conclusion de la transaction et de la création de Bell MTS, et
elle a déjà annoncé des plans visant à assurer une couverture sans
fil continue sur réseau à large bande le long de
l'autoroute 75, le principal corridor de transport dans le sud
du Manitoba, et l'expansion des
réseaux de communications à large bande mobiles et sur fil dans le
nord du Manitoba, notamment à
Thompson et à Flin Flon et dans cinq communautés
autochtones.
Innovation dans les services Fibe : enregistreur 4K sans
fil, nouvelle Borne universelle puissante
La prépondérance
croissante de Bell dans le marché résidentiel repose principalement
sur les fonctions proposées dans ses services de télé et Internet,
qu'il est impossible d'obtenir d'un autre fournisseur. Ce mois-ci,
Bell lancera deux nouveaux produits qui contribueront à accentuer
son avance en matière d'innovation dans la large bande. Bell sera
le premier fournisseur de services de télé du monde à offrir une
installation pour la télé IP entièrement sans fil avec
l'enregistreur 4K Télé Fibe. En plus de la flexibilité procurée par
le fait de pouvoir installer Télé Fibe n'importe où dans la maison
en un rien de temps, l'enregistreur 4K Télé Fibe sera le premier au
Canada à intégrer l'application Netflix 4K. Sera également
lancé ce mois-ci le modem Borne universelle 3000, d'une capacité de
un gigabit par seconde, qui est trois fois plus puissant que le
modèle actuel de la Borne universelle et qui fournit la couverture
résidentielle Wi-Fi la plus étendue et les vitesses les plus
rapides.
Virgin Mobile lance le service Internet résidentiel en
Ontario
Le 5 juillet
2016, Virgin Mobile Canada a lancé le service Internet résidentiel
en Ontario pour les clients de
Virgin Mobile admissibles, qui offre des vitesses allant
jusqu'à 25 Mbps pour le téléchargement et jusqu'à 10 Mbps
pour le téléversement, ainsi que deux forfaits simples. Ce
mois-ci, Virgin Mobile offrira le service filaire aux Ontariens qui
ne sont pas déjà clients de Virgin Mobile. Pour en savoir
plus, visitez le site VirginMobile.ca/Internet résidentiel.
Premiers essais canadiens de la technologie mobile 5G
En collaboration avec Nokia, Bell est devenue le premier
fournisseur de services sans fil à faire la démonstration probante
de la technologie mobile de cinquième génération (5G) au Canada.
Menés au centre d'innovation de la technologie sans fil de Bell à
Mississauga, en Ontario, les essais ont permis d'atteindre de
manière continue des vitesses de transmission presque
sept fois plus rapides que les vitesses actuelles sur le
réseau mobile 4G offert au Canada. Bell est membre du
consortium Next Generation Mobile Networks (ngmn.org), l'organisme
mondial composé d'exploitants qui définit les exigences de
l'écosystème international 5G.
Performance supérieure de Bell Télé Fibe et du réseau LTE
révélée par le sondage de Nielsen
Selon de récents sondages, les Canadiens
réagissent favorablement à l'ardeur déployée par Bell en matière
d'innovation, et ils désignent le réseau mobile LTE et Télé Fibe de
Bell au rang de meilleurs services de ce type du pays. Nielsen
Consumer Insights a demandé à 1 017 Canadiens adultes de
nommer le meilleur service mobile, et la plupart des répondants
(33 %) ont mentionné Bell. Nielsen a également demandé aux
répondants de nommer le meilleur service de télé, et la plupart
(30 %) ont mentionné Bell. Près de la moitié (47 %) a
répondu que Bell Télé Fibe était le service de télévision le plus
évolué du Canada.
Astral Affichage obtient l'exclusivité à Toronto
Pearson
Le 27 juillet 2016, la division de Bell Média,
Astral Affichage, a obtenu les droits publicitaires exclusifs pour
les concessions à l'intérieur et à l'extérieur de l'aéroport
international Pearson de Toronto,
devenant le chef de file au Canada en matière d'affichage
aéroportuaire, avec une présence dans six aéroports
internationaux canadiens, dont Stanfield à Halifax, Pierre‑Elliott‑Trudeau à Montréal,
Jean-Lesage à Québec, Macdonald-Cartier à Ottawa et l'aéroport international de
Vancouver. Avec plus de
41 millions de passagers accueillis chaque année à Toronto
Pearson, ce partenariat avec le plus grand aéroport du Canada
portera à 87 millions le nombre annuel total de voyageurs en
contact avec les plateformes publicitaires d'Astral Affichage. Par
ailleurs, Astral Affichage lancera sa nouvelle plateforme AeroTV à
Toronto Pearson, mettant en vedette une programmation de
divertissement provenant des principales propriétés de Bell Média,
notamment CTV, CTV News et TSN.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Dans les Services sans fil
de Bell, les produits tirés des services ont augmenté de
4,6 %, pour se chiffrer à 1 610 millions $,
comparativement à 1 539 millions $ au T2 2015,
reflétant une forte croissance de la clientèle d'abonnés des
services postpayés et un PMU combiné plus élevé, en raison de
l'utilisation accrue des services de données sur les réseaux
mobiles 4G LTE et LTE-A de Bell.
Les produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
23,5 %, pour s'établir à 114 millions $, en raison
du nombre moins élevé de mises à niveau pour l'exercice en cours,
ce qui s'explique par la convergence de l'échéance des contrats
composant la double cohorte au début de juin, et des prix
concurrentiels des offres promotionnelles sur les combinés. Les
produits d'exploitation totaux tirés des Services sans fil de Bell
ont augmenté de 2,2 %, pour s'établir à
1 735 millions $, comparativement à
1 697 millions $ à l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil a enregistré une forte
augmentation, soit 7,7 %, pour se chiffrer à
772 millions $, entraînant une augmentation de
1,4 point de pourcentage de la marge liée aux services, qui
s'élève à 48,0 %, en raison de l'effet marqué de
l'augmentation des produits tirés des services reflétant une
proportion accrue d'abonnés des services postpayés et une réduction
de 1,7 % des coûts d'exploitation.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont augmenté
de 14,4 %, à 69 848, comparativement à 61 033 à l'exercice
précédent, en raison de la baisse du taux de désabonnement, les
ajouts bruts étant demeurés relativement stables.
- Le taux de désabonnement des services postpayés(4)
s'est amélioré de 0,08 point de pourcentage, pour s'établir à 1,15
%, ce qui reflète le nombre moindre de contrats venus à échéance
avec le chevauchement de la double cohorte et le niveau élevé de
satisfaction de la clientèle pour ce qui est de la qualité du
réseau et du service après-vente.
- La clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans
fil de Bell totalisait 7 471 069 abonnés au 30 juin 2016, une
augmentation de 3,7 % par rapport à l'exercice précédent. La
clientèle totale des Services sans fil de Bell a augmenté de 1,9 %,
pour s'établir à 8 280 693 abonnés. Le pourcentage des abonnés des
services postpayés utilisant un téléphone intelligent a augmenté à
82 %, comparativement à 77 % au T2 de l'exercice précédent, tandis
que la proportion d'abonnés des services postpayés sur le réseau
LTE a atteint 76 %, en hausse comparativement à 57 %.
- Le PMU combiné a augmenté de 2,9 %, pour s'établir à 64,32 $,
en raison de la proportion plus élevée de contrats de deux ans, de
la proportion accrue d'abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent et de l'utilisation plus intensive des
services de données.
- Le coût d'acquisition(4) a augmenté de 10,1 %, pour
s'établir à 478 $ par abonné, en raison de la plus grande
proportion d'abonnés des services postpayés, de la proportion plus
importante de téléphones intelligents haut de gamme en service et
des offres promotionnelles pour les combinés plus nombreuses qu'à
l'exercice précédent.
- Les dépenses relatives à la fidélisation de la clientèle ont
diminué, pour s'établir à 11,9 % des produits tirés des services
sans fil, contre 12,9 % à l'exercice précédent, en raison du nombre
moins élevé de mises à niveau de combinés.
- Le réseau sans fil LTE-A de Bell fournit maintenant le service
à 50 % de la population canadienne à des vitesses de transmission
de données pouvant atteindre 260 mégabits par seconde (Mbps)
(vitesses de téléchargement moyennes attendues de 18 Mbps à 74
Mbps), et cette proportion devrait atteindre plus de 70 % d'ici la
fin de 2016. De plus, un service sans fil LTE-A tribande offre des
vitesses de transmission de données pouvant atteindre 335 Mbps
(vitesses moyennes attendues de 25 Mbps à 100 Mbps) dans 15 villes.
Le réseau mobile national 4G LTE est également offert à titre de
complément, rejoignant maintenant 97 % des Canadiens, à des
vitesses de transmission de données allant de 75 Mbps à 150 Mbps
(vitesses moyennes attendues de 12 Mbps à 40 Mbps).
- La gamme d'appareils sans fil à la fine pointe de la
technologie de Bell a été élargie au T2 avec l'introduction des
téléphones intelligents Sony Xperia XA et X Performance ainsi que
de la tablette Samsung Galaxy Tab E.
Services sur fil de Bell
Les produits d'exploitation
tirés des Services sur fil ont diminué de 2,1 %, à
2 979 millions $, touchés par la vente d'un centre
d'appels qui était une filiale, en septembre 2015, la diminution
d'un exercice à l'autre des dépenses dans les produits de données
par la clientèle des grandes entreprises et la diminution des
produits tirés des services de gros en raison des pressions de la
concurrence sur les prix et de la baisse continue dans les services
voix et données traditionnels. À l'exclusion des pertes de produits
découlant de la vente du centre d'appels, l'unité Services
résidentiels a enregistré une croissance positive des produits au
T2 en raison d'une forte augmentation de 5,2 % des produits
totaux des services de télé et Internet.
Le BAIIA ajusté des Services sur fil a augmenté de 0,6 %, à
1 273 millions $, avec une amélioration de la marge
de 1,1 point de pourcentage, la plus élevée de l'industrie, à
42,7 %. Ces résultats s'appuient sur la réduction de
4,0 % des coûts d'exploitation reflétant les efforts constants
déployés pour gérer les coûts et l'efficience découlant de
l'amélioration du service, y compris les initiatives de
restructuration organisationnelle entreprises au T4 2015 et
les synergies continues découlant de l'intégration de Bell
Aliant.
- Bell Télé a ajouté 35 255 nouveaux abonnés nets du service Télé
Fibe, comparativement à 50 466 au T2 2015, ce qui reflète le
ralentissement de l'expansion de la zone de couverture, le niveau
croissant de maturité des marchés établis pour le service Télé
Fibe, le nombre moindre de clients délaissant la télé par
satellite, ainsi que des offres en vue du recrutement d'abonnés et
de forfaits de services moins accrocheuses au Québec et à
Toronto. À la fin du T2 2016, BCE
comptait 1 265 786 abonnés du service Télé Fibe, soit une hausse de
21,6 % par rapport au T2 de l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont
diminué de 1,8 %, à 33 154, par rapport à l'exercice précédent, en
raison de la diminution du nombre de désactivations d'abonnés. La
clientèle totale d'abonnés des services de télé pour tous les
services de télé de BCE a augmenté de 2,8 %, pour s'établir à 2 750
596 abonnés à la fin du T2.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont totalisé
7 539, en baisse comparativement à 18 606 à l'exercice précédent,
par suite du nombre moindre d'ajouts nets de clients de gros et du
nombre plus élevé de désactivations reflétant les offres
accrocheuses de forfaits de services dans la câblodistribution à
Toronto, que nous avons décidé de
ne pas suivre entièrement, et un nombre plus élevé de clients de
détail dont les offres promotionnelles ont pris fin. La clientèle
d'abonnés d'Internet haute vitesse de BCE totalisait 3 418 785
abonnés à la fin du T2, en hausse de 3,1 % par rapport au T2
2015.
- Les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté
de 1,9 %, pour s'établir à 1 807 millions $, ce qui reflète la
croissance continue des produits tirés des services Internet et de
télé. Cette augmentation a été contrebalancée en partie par la
diminution des ventes de produits de données et de solutions
d'affaires à la clientèle des grandes entreprises en raison de la
faiblesse de l'économie et des pressions concurrentielles sur les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros.
- Les pertes nettes d'abonnés résidentiels des SAR ont diminué de
9,5 %, à 68 593, comparativement à 75 819 à l'exercice précédent,
ce qui a été favorisé par l'effet marqué continu des activations de
forfaits de services de Télé Fibe. Les pertes nettes d'abonnés
d'affaires des SAR ont diminué de 46,3 %, à 20 232, comparativement
à 37 690 à l'exercice précédent, ce qui découle de la diminution du
nombre de désactivations de grandes entreprises et du
ralentissement de la conversion des lignes téléphoniques d'affaires
au profit des services IP. La clientèle totale des abonnés des SAR
à la fin du T2 2016 était de 6 476 683, ce qui représente une
baisse de 6,2 % d'un exercice à l'autre. Les produits de BCE tirés
des services locaux et d'accès ont diminué de 5,6 %, à 781 millions
$, tandis que les produits tirés des services interurbains ont
diminué de 11,6 %, à 183 millions $, surtout par suite des
diminutions continues de la clientèle des lignes d'accès aux
SAR.
Bell Média
Les produits tirés du secteur Média ont
totalisé 779 millions $, en hausse de 5,3 %,
comparativement à 740 millions $ à l'exercice précédent,
en raison des produits plus élevés tirés des frais d'abonnement et
de la publicité.
L'augmentation des produits tirés des frais d'abonnement reflète
l'expansion à l'échelle nationale du service The Movie Network
(TMN) en mars, la croissance continue de CraveTV et de la gamme de
produits GO de Télé Partout ainsi que les majorations des tarifs
dans certaines chaînes de télé spécialisée. Les produits tirés de
la publicité ont légèrement augmenté dans la foulée de la
croissance de la télé spécialisée dans les sports, en raison des
séries éliminatoires de la NBA et du succès des Raptors de
Toronto dans les matchs
d'après-saison ainsi que du championnat européen 2016 de l'UEFA
diffusés sur TSN et RDS. La croissance enregistrée par Astral
Affichage découlant d'acquisitions et des nouveaux contrats obtenus
au dernier exercice a également contribué à l'augmentation des
produits tirés de la publicité.
Le BAIIA ajusté du secteur Média a augmenté de 3,7 %, pour
se chiffrer à 223 millions $, comparativement à
215 millions $ à l'exercice précédent, ce qui résulte de
l'augmentation des produits des activités ordinaires et des
économies liées à la restructuration de la main-d'œuvre, ce qui a
atténué la croissance des coûts d'exploitation, de 5,9 %,
imputable aux augmentations des coûts des droits de diffusion dans
les sports et du contenu de CraveTV.
- CTV est arrivé en tête pour la saison de printemps de télé avec
plus de la moitié des 20 émissions les plus regardées, soit plus
que tous les autres réseaux canadiens réunis. Selon les données de
Numeris pour la saison de télévision 2015-2016, CTV revendique la
totalité des cinq meilleures nouvelles émissions pour l'ensemble
des téléspectateurs et toutes les principales catégories
démographiques, et 7 des 10 émissions les plus regardées. CTV a
terminé la saison en s'illustrant comme le réseau de télévision le
plus regardé aux heures de grande écoute, soit un record inégalé de
15 années consécutives. Avec 18,2 millions de téléspectateurs en
moyenne chaque semaine aux heures de grande écoute, CTV a attiré
près de quatre millions de téléspectateurs de plus que son plus
proche concurrent.
- Bell Média a présenté aux annonceurs la nouvelle grille horaire
du réseau pour la saison de télédiffusion 2016-2017 en juin, qui
compte 11 nouvelles séries dans la grille horaire des heures de
grande écoute et 12 séries régulièrement prévues dans la grille
horaire parmi les 20 les plus regardées. CTV diffusera en simultané
l'intégralité de sa grille horaire d'automne des heures de grande
écoute, 19,5 heures au total, soit plus que la dernière saison et
plus que tout autre réseau canadien. CTV offre également la plus
abondante programmation d'émissions de télévision en direct,
notamment la 89e présentation des Oscars, le Super Bowl
LI et les présentations des prix suivants : Golden Globe Awards
(74e), Primetime Emmy Awards (68e), American
Music Awards 2016, JUNO (2017) et le
Billboard Music Awards (2017).
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante,
Bell Média a rejoint 83 % des téléspectateurs canadiens anglophones
de la télé spécialisée et de la télé payante d'une semaine moyenne
au T2. Discovery a été la meilleure chaîne spécialisée dans le
divertissement aux heures de grande écoute chez les téléspectateurs
dans la tranche des 25 à 54 ans, tandis que Space, Comedy et Bravo
se classent toutes parmi les 10 meilleures chaînes.
- Bell Média a conservé sa position de leader du marché
francophone au Québec, sa télé spécialisée atteignant 76 % de la
population francophone d'une semaine moyenne. Cinq des 10 chaînes
de télé spécialisée les plus populaires au Québec sont des
propriétés de Bell Média.
- Une nouvelle franchise Star Trek sera présentée à la
télévision canadienne pour la première fois depuis 2005, grâce à
l'entente sur les licences exclusive que Bell Média a conclue avec
CBS Studios International annoncée le 19 juillet. La production de
Star Trek: Discovery commencera en septembre à Toronto et sera présentée la première fois en
janvier 2017 sur CTV. Elle sera ensuite en ondes sur Space, en
français sur Z, et sur CraveTV. Les adeptes de la franchise peuvent
regarder la bibliothèque complète des émissions de télé de Star
Trek dès maintenant sur CraveTV, y compris les 727 épisodes des
séries précédentes, qui seront également bientôt offerts sur Space
et en français sur Cinépop.
- Forte de sa position de chef de file en matière de contenu sur
de multiples plateformes au T2, Bell Média a conclu des ententes
avec de nombreux studios pour les droits exclusifs relatifs aux
plus importantes séries dramatiques d'Hollywood pour CraveTV, dont des ententes avec
Warner Bros. International Television, Entertainment One (eOne) et
Sony Pictures Television, elle a enrichi son entente sur les
licences avec Viacom International Media Networks visant à offrir
la programmation de Comedy Central sur de multiples plateformes,
notamment CraveTV, et elle a prolongé son entente avec la
Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) relativement
aux droits multimédias exclusifs du Championnat mondial de hockey
sur glace de l'IIHF pour la diffusion en direct sur TSN et RDS et
sur les plateformes TSN GO et RDS GO de Télé Partout. Bell Média a
également annoncé au T2 le lancement, plus tard cette année, de sa
première chaîne de télé spécialisée dans la cuisine et les styles
de vie, sous la marque établie Gusto, avec en vedette ses émissions
sur la cuisine, la décoration intérieure, les voyages et les styles
de vie.
- Bell Média a annoncé au T2 que toutes les nouvelles séries
télévisuelles scénarisées commandées pour ses réseaux seront
produites en ultrahaute définition 4K. Au cours du trimestre, les
cinq signaux nationaux TSN ont diffusé en 4K plusieurs matchs des
Raptors de Toronto, des Maple
Leafs de Toronto et des Sénateurs
d'Ottawa, ainsi que le Tournoi des
Maîtres et le match final de la saison de l'UEFA Champions League.
La diffusion par CTV du gala des prix JUNO 2016 était la première
transmission en direct d'un gala de remise de prix en 4K en
Amérique du Nord, et le gala des prix iHeartRadio MuchMusic Video
Awards a également été diffusé en 4K.
- Bell Média demeure le chef de file sur la scène numérique
canadienne au chapitre des visiteurs uniques (18,1 millions de
visiteurs uniques), du temps d'utilisation (898 millions de
minutes) et des vidéos regardées (51,7 millions).
- Bell Média a maintenu sa position de premier radiodiffuseur du
Canada au T2, rejoignant 16,9 millions d'auditeurs, lesquels ont
écouté, chaque semaine, plus de 79 millions d'heures.
- Astral Affichage a également lancé une gamme de produits
novateurs au T2, notamment le premier réseau d'abribus numériques
dans la ville de Québec et un mur d'images LED à l'aéroport
international de Vancouver.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,6825 $ par action ordinaire, payable le
15 octobre 2016 aux actionnaires inscrits à la fermeture des
bureaux le 15 septembre 2016.
PERSPECTIVES POUR 2016
BCE a confirmé les objectifs de
son orientation financière pour 2016, tels qu'ils ont été présentés
le 4 février 2016 :
|
|
|
|
Orientation au
4 février
|
Orientation au
4 août
|
Croissance des produits des
activités ordinaires
|
1 % à 3 %
|
Sur la bonne voie
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2 % à 4 %
|
Sur la bonne voie
|
Intensité du capital
|
Environ 17 %
|
Sur la bonne voie
|
BPA ajusté
|
3,45 $ à
3,55 $
|
Sur la bonne voie
|
Croissance des flux de trésorerie
disponibles
|
Environ 4 % à
12 %
|
Sur la bonne voie
|
Dividende annualisé par action
ordinaire
|
2,73 $
|
2,73 $
|
Politique de distribution du
dividende(4)
|
65 % à 75 % des flux de trésorerie
disponibles
|
Sur la bonne voie
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T2 2016, le jeudi 4 août, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1‑866‑223‑7781 ou le 416-340-2216. Une reprise sera disponible
pendant une semaine au 1‑800‑408‑3053 ou au 905-694-9451 (composez
le code d'identification 4098409#).
La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE
sous :
Téléconférence sur les résultats de BCE pour le T2 2016. Le
fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette
page, peu de temps après la téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1) Les termes BAIIA ajusté et marge
du BAIIA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des
IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes
consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4 des
états financiers consolidés du T2 2016 de BCE. Nous
définissons la marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA ajusté divisé
par les produits d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA ajusté et
la marge du BAIIA ajusté pour évaluer la performance de nos
activités, puisqu'ils reflètent leur rentabilité continue. Nous
croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA
ajusté pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service
de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et
qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les
entreprises dans l'industrie des télécommunications. Nous croyons
que certains investisseurs et analystes utilisent également le
BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer la
performance de nos activités. Le BAIIA ajusté est également un
facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court
terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure
financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et
à la marge du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le
tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du
BAIIA ajusté.
(en millions de dollars)
|
|
|
|
|
|
|
|
T2 2016
|
|
T2 2015
|
|
Bénéfice net
|
830
|
|
814
|
|
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions
et autres
|
57
|
|
24
|
|
Amortissement des immobilisations
corporelles
|
713
|
|
720
|
|
Amortissement des immobilisations
incorporelles
|
156
|
|
134
|
|
Charges financières
|
|
|
|
|
|
Charge d'intérêts
|
217
|
|
230
|
|
|
Intérêts liés aux obligations au titre des avantages
postérieurs à l'emploi
|
21
|
|
28
|
|
Autres produits
|
(41)
|
|
(43)
|
|
Impôt sur le résultat
|
315
|
|
290
|
|
BAIIA ajusté
|
2 268
|
|
2 197
|
|
|
Produits d'exploitation de
BCE
|
5 340
|
|
5 326
|
|
Marge du BAIIA ajusté
|
42,5
|
%
|
41,3
|
%
|
(2) Les termes bénéfice net ajusté et
BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS.
Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits
nets) pertes nettes sur placements et les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté
comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous
utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous croyons
que certains investisseurs et analystes utilisent ces mesures,
entre autres, pour évaluer la performance de nos activités avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur
placements et des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières
selon les IFRS les plus comparables. Le tableau ci-après présente
un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une
base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté),
respectivement.
(en millions de dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
|
T2 2016
|
T2 2015
|
|
TOTAL
|
|
PAR ACTION
|
|
TOTAL
|
|
PAR ACTION
|
|
Bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires
|
778
|
|
0,89
|
|
759
|
|
0,90
|
|
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions
et autres
|
44
|
|
0,05
|
|
16
|
|
0,01
|
|
(Profits nets) pertes nettes sur
placements
|
2
|
|
-
|
|
(40)
|
|
(0,04)
|
|
Coûts liés au remboursement anticipé de la
dette
|
-
|
|
-
|
|
-
|
|
-
|
|
Bénéfice net ajusté
|
824
|
|
0,94
|
|
735
|
|
0,87
|
|
(3) Le terme flux de trésorerie disponibles
n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc
peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons les flux de
trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux
acquisitions et autres payés, qui comprennent les coûts importants
liés aux litiges, et du financement des cotisations volontaires aux
régimes de retraite, moins les dépenses d'investissement, les
dividendes sur actions privilégiées et les dividendes payés par des
filiales aux détenteurs de PNDPC. Nous considérons les flux de
trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité
financière et de la performance de nos activités, car ils révèlent
le montant des fonds disponibles pour payer des dividendes,
rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons
que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de
trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs
sous-jacents et pour évaluer la solidité financière et la
performance de nos activités. Les flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation sont la mesure financière selon les IFRS
la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement
des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et des
flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions de dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
|
|
|
T2 2016
|
|
T2 2015
|
|
Flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation
|
1 890
|
|
1 841
|
|
Dépenses
d'investissement
|
(950)
|
|
(914)
|
|
Dividendes en espèces payés sur actions
privilégiées
|
(35)
|
|
(37)
|
|
Dividendes en espèces payés par des filiales aux
détenteurs de participations ne donnant pas le
contrôle
|
(10)
|
|
(7)
|
|
Coûts liés aux acquisitions et autres
payés
|
39
|
|
48
|
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
934
|
|
931
|
|
(4) Nous utilisons le PMU, le taux de
désabonnement, le coût d'acquisition, l'intensité du capital et le
ratio de distribution du dividende pour évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Se reporter à la section
8.2, Mesures financières non définies par les PCGR et
indicateurs de performance clés, du rapport de gestion du
T2 2016 de BCE pour obtenir une définition de ces indicateurs
de performance clés.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent
communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces
déclarations prospectives comprennent, sans s'y limiter, des
déclarations concernant l'orientation financière pour 2016 (ce qui
comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté,
l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie
disponibles), le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de dividendes sur actions ordinaires de BCE pour 2016,
l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée par
BCE de la totalité des actions émises et en circulation de MTS, nos
plans de déploiement pour les réseaux et les dépenses
d'investissement connexes, nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques, ainsi que d'autres
déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement,
les termes comme hypothèse, but, orientation,
objectif, perspective, projet,
stratégie, cible et d'autres expressions semblables,
ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel
de certains verbes tels que viser, s'attendre à,
croire, prévoir, avoir l'intention de,
planifier, chercher à et aspirer à, permettent
de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations
prospectives sont faites conformément aux « dispositions
refuges » prévues dans les lois canadiennes applicables en
matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine intitulée
Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans
ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints.
Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des
déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur
contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces
déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 4 août 2016 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ni pour toute
autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 4 août 2016. L'incidence financière de
ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2016, ainsi que nos
objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales pour
2016, et à mieux comprendre le
contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le
lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information
pourrait ne pas convenir à d'autres fins. La nature et le volume
des dépenses d'investissement que BCE prévoit effectuer au
Manitoba sur cinq ans supposent
que la transaction liée à MTS sera réalisée et que nous pourrons
accéder aux sources de capital nécessaires ou que nous pourrons les
générer. Toutefois, rien ne garantit que cette transaction sera
réalisée ni que les sources de capital nécessaires seront
disponibles, ce qui signifie que les dépenses d'investissement
réelles effectuées par BCE au Manitoba au cours de cette période pourraient
différer de façon importante des prévisions actuelles.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Une faible croissance économique, basée sur l'estimation la
plus récente de la Banque du Canada de la croissance du produit
intérieur brut du Canada de 1,3 % en 2016, une diminution de 40
points de base par rapport à l'estimation antérieure de 1,7 %;
- une faiblesse persistante des niveaux d'emploi, car le niveau
d'investissement des entreprises devrait demeurer peu élevé
globalement;
- des taux d'intérêt relativement stables pour le reste de 2016
après une baisse au premier semestre de l'exercice;
- un dollar canadien qui s'apprécie depuis le début de
l'exercice, pour se maintenir près de son niveau actuel. Toute
nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de l'incidence de la
vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt et des variations
des prix des marchandises;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- le maintien d'une approche rigoureuse en matière
d'établissement des prix dans le secteur du sans-fil;
- la faiblesse attendue du marché publicitaire en raison de la
demande variable, et les coûts croissants pour obtenir de la
programmation télé.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien de notre part du marché des activations d'abonnés
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- la durée plus courte des contrats de deux ans par rapport aux
contrats de trois ans, entraînant une augmentation du nombre
d'abonnés pouvant procéder à une mise à niveau;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison de la hausse des
coûts des combinés et d'un nombre plus élevé de mises à niveau des
appareils, ce qui reflète un nombre plus important d'abonnés qui
n'ont plus de contrat, en raison de la durée plus courte des
contrats de deux ans;
- une croissance du PMU combiné, stimulée par une proportion
accrue d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones
intelligents, une consommation croissante des services de données
sur les réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs d'accès
découlant de l'augmentation des tarifs;
- l'achèvement de la construction du réseau LTE, qui couvre 98 %
de la population canadienne, et l'expansion de la couverture du
réseau LTE-A à plus de 70 % de la population canadienne;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission, qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- dans le rapport de gestion annuel 2015 de BCE, nous avons
présenté notre hypothèse relativement à des ajouts nets d'abonnés
résidentiels positifs pour l'ensemble de l'exercice 2016 dans la
zone de couverture des services sur fil. Par suite des pressions
concurrentielles, en particulier dans nos activités de gros, nous
ne prévoyons plus d'ajouts nets d'abonnés résidentiels positifs
pour l'ensemble de l'exercice 2016 dans la zone de couverture des
services sur fil, mais plutôt des ajouts nets d'abonnés
résidentiels positifs pour l'ensemble de l'exercice 2016 pour les
services de télé et Internet;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels par foyer,
générée par l'adoption croissante des forfaits multiproduits par
foyer, l'expiration des offres promotionnelles et l'augmentation
des tarifs;
- des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
zones où nous fournissons des services sur fil;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos unités
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande, la croissance
prévue de la gamme des produits Télé Partout ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu
d'investissements constants;
- la réduction modérée des forfaits télé actuels par les clients
entraînée par la mise en œuvre du dégroupement des chaînes de
télé;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction des
postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la
retraite, de la réduction des taux contractuels des fournisseurs et
de la diminution du trafic non acheminé par notre propre
réseau;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice, en raison de l'expansion à l'échelle nationale du
service de télé payante TMN, des économies liées à la main-d'œuvre
découlant des réductions de personnel effectuées en 2015 et de la croissance de la clientèle
d'abonnés de CraveTV, ayant plus que compensé l'augmentation des
coûts de la programmation télé et des droits de diffusion dans les
sports, l'investissement continu lié à CraveTV et l'incidence
financière du dégroupement des chaînes de télé;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption de CraveTV, y
compris le lancement réussi du service offert directement au
consommateur;
- la capacité de procéder à des acquisitions fructueuses
d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu
différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur les quatre
écrans;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé de Bell Média entraînée par le dégroupement des
chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de
contenu par contournement;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2016.
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 300 millions $ à 350 millions $, selon
un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,2 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 230 millions $ à 270 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 70
millions $ à 80 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 3 525 millions $ à 3
575 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 875 millions $ à 925
millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,05 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC) d'environ
40 millions $ à 60 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite d'environ
400 millions $ à 450 millions $, au total;
- des impôts en espèces d'environ 675 millions $ à 725 millions
$;
- des versements d'intérêts nets d'environ 875 millions $ à 925
millions $;
- d'autres éléments des flux de trésorerie disponibles, ce qui
inclut une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres payés, des dividendes sur actions
privilégiées et des dividendes aux détenteurs de PNDPC payés
d'environ (50) millions $ à 25 millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 870 millions;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,73 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 4 août 2016,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés
ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris
notre orientation financière pour 2016, sont énumérés ci-dessous.
La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre
capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans
notre orientation financière pour 2016, dépend essentiellement de
la performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie
à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde
contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles
d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations
prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, le principe de neutralité du Net, les ventes aux
enchères de spectre, l'approbation d'acquisitions et les exigences
relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion et à la
propriété étrangère;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, ainsi que l'incidence connexe
sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer
de nouveaux, de même que sur nos parts de marché, nos volumes de
service et nos stratégies d'établissement des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à réduire l'utilisation de
nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité qui est en train de se
produire, ce qui modifie l'environnement de nos activités liées à
la télé et aux médias et pourrait accélérer le débranchement des
services de télé et la réduction des dépenses pour ces services,
ainsi que la fragmentation du marché de la publicité;
- la concurrence avec des concurrents mondiaux, en plus des
concurrents canadiens traditionnels, pour le contenu de
programmation pourrait entraîner d'importantes hausses des coûts
d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir du
contenu de premier plan;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence négative connexe sur la demande
de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et le
volume des créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs, notamment les réseaux, les
systèmes de TI, les locaux et l'information de nature sensible,
contre des événements et des attaques comme les cybermenaces, et
les dommages causés par les incendies et les catastrophes
naturelles;
- les risques liés à la sécurité et les risques de fuite de
données advenant le contournement des protocoles de contrôle de la
sécurité applicables à nos solutions infonuagiques;
- l'incapacité à susciter une expérience client positive
découlant, en particulier, du défaut d'adopter de nouvelles
approches et de repousser les limites opérationnelles;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation et bases de
données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits,
d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et
la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer
correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
ainsi qu'à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir de manière rigoureuse et
stratégique dans des fonctions de prochaine génération, notamment
des stratégies de service à la clientèle reposant sur l'information
en temps réel;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- le risque que nous pourrions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel
efficace;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
jour de systèmes, des refontes de processus, et de l'intégration
des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés par
notre unité d'affaires Bell Télé;
- les événements ayant une incidence sur la capacité de nos tiers
fournisseurs et impartiteurs à continuer de nous fournir les
produits et les services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités;
- l'incapacité d'adopter des pratiques de gestion de
l'approvisionnement et des fournisseurs permettant de gérer
adéquatement les risques associés aux modèles de nos fournisseurs,
existants ou nouveaux;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr et sécuritaire;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles
lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales
existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à prévoir
l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses, y
compris l'utilisation non autorisée de notre contenu et le vol de
nos services de télé;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
actions collectives;
- des modifications défavorables aux lois applicables et
l'incapacité d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos
obligations juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans
fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et
d'autres éventualités menaçantes pour la santé survenaient;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement;
- l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée
de MTS et de la cession subséquente proposée, de MTS à TELUS
Corporation, d'un certain nombre d'abonnés des services sans fil
postpayés et d'emplacements exploités par des concessionnaires, qui
sont assujettis à des conditions de clôture ainsi qu'à d'autres
risques et incertitudes et pour lesquels rien ne garantit que les
avantages anticipés seront réalisés.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2015 de BCE (inclus dans le rapport annuel 2015
de BCE), daté du 3 mars 2016, ainsi que les rapports de
gestion des premier et deuxième trimestres 2016 de BCE, datés du
27 avril 2016 et du 3 août
2016, respectivement, pour obtenir plus de détails au sujet de
certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant
déposés par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en
valeurs mobilières (disponibles à Sedar.com) et de la Securities
and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces
documents sont également disponibles à BCE.ca.
À PROPOS DE BCE
À titre de plus grande entreprise de
communication du Canada, BCE fournit des services sans fil à large
bande, de télé et Internet ainsi que des services de communication
d'affaires par l'intermédiaire de Bell
Canada et de Bell Aliant. Bell Média est la première
entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des actifs de
premier plan dans les secteurs de la télévision, de la radio, de
l'affichage extérieur et des médias numériques. Pour en savoir
plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative de Bell « Bell Cause pour la cause » est
dédiée à la promotion de la santé mentale au Canada, à la
sensibilisation à l'échelle nationale par l'intermédiaire de
campagnes de lutte contre la stigmatisation, comme la Journée Bell
Cause pour la cause, et au financement important fourni par Bell
pour l'accès aux soins communautaires, la recherche et les
initiatives au travail. Pour en savoir plus, visitez le site
Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
514-870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514-870-4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE Bell Canada