Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
ce communiqué.
- Fournisseur de services à large bande affichant la
croissance la plus rapide du Canada avec un total de 204 000 ajouts
de nouveaux abonnés nets au T4 -91 000 abonnés des services
sans fil postpayés, 74 000 abonnés du service Télé Fibe et 39 000
abonnés d'Internet haute vitesse
- Réalisation de tous les objectifs de l'orientation
financière pour 2015
- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 496
millions $, soit 0,58 $ par action ordinaire; bénéfice net ajusté
par action (BPA) de 0,72 $ conforme au plan
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de 1
510 millions $; apports positifs de tous les secteurs opérationnels
de Bell entraînant une croissance des flux de trésorerie
disponibles de 10,0 %
- Hausse du BAIIA ajusté de 2,5 % découlant d'une augmentation
de 1,4 % du total des produits des activités ordinaires et du
contrôle exercé sur les coûts
- Solides résultats financiers pour les Services sans fil avec
une augmentation des produits des activités ordinaires de 5,9 % et
une croissance du BAIIA ajusté de 6,8 %
- BAIIA ajusté des Services sur fil en hausse de 1,5 % et
coûts d'exploitation en baisse de 3,4 %, entraînant une progression
de 1,2 point de pourcentage de la marge, à 39,5 %
- Chef de file du marché des services Internet et de télé au
Canada avec plus de 3,4 millions et 2,7 millions d'abonnés, en
hausse de 3,5 % et de 3,6 %, respectivement, par rapport à
2014
- Bell Média obtient les droits à long terme exclusifs de
distribution de tout le contenu de HBO au Canada, après avoir
conclu une entente exclusive similaire avec SHOWTIME plus tôt en
2015
MONTRÉAL, le 4 févr. 2016 /CNW Telbec/ - BCE Inc.
(TSX: BCE) (NYSE: BCE), la plus grande entreprise de
communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats du
quatrième trimestre (T4) et de l'ensemble de l'exercice de 2015
ainsi que les objectifs de son orientation financière pour
2016 et elle a annoncé une majoration
de 0,13 $ par action du dividende annuel par action ordinaire
de BCE, qui est porté à 2,73 $.
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
|
|
|
|
|
|
(en millions $,
sauf les montants par action) (non audité)
|
T4 2015
|
T4 2014
|
%
de variation
|
|
2015
|
2014
|
%
de variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 603
|
5 528
|
1,4
|
%
|
21 514
|
21 042
|
2,2
|
%
|
BAIIA
ajusté(1)
|
2 073
|
2 022
|
2,5
|
%
|
8 551
|
8 303
|
3,0
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
496
|
542
|
(8,5)
|
%
|
2 526
|
2 363
|
6,9
|
%
|
BPA
|
0,58
|
0,64
|
(9,4)
|
%
|
2,98
|
2,98
|
-
|
|
BPA
ajusté(2)
|
0,72
|
0,72
|
-
|
|
3,36
|
3,18
|
5,7
|
%
|
Flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation
|
1 510
|
1 527
|
(1,1)
|
%
|
6 274
|
6 241
|
0,5
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
916
|
833
|
10,0
|
%
|
2 999
|
2 744
|
9,3
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles par action(3)
|
1,07
|
1,01
|
5,9
|
%
|
3,54
|
3,46
|
2,3
|
%
|
« La performance exceptionnelle de l'équipe de Bell au T4
et tout au long de 2015 illustre la ténacité de notre stratégie qui
vise à assurer notre prépondérance dans la révolution des services
à large bande au Canada en proposant des innovations uniques en
leur genre dans les services de communication de croissance :
sans-fil, télé, Internet et médias. Avec plus de
204 000 nouveaux abonnés des services à large bande de
télé et Internet et des services sans fil postpayés au T4, Bell a
réalisé une solide performance financière lui permettant de
continuer à investir dans l'avenir des services à large bande au
Canada tout en offrant un rendement croissant aux actionnaires de
BCE, avec l'annonce aujourd'hui de notre plus récente hausse du
dividende », a déclaré George Cope, président et chef de
la direction de BCE et de Bell
Canada. « Nous avons réalisé une forte performance dans
nos secteurs d'activité, dans un contexte hautement concurrentiel,
au quatrième trimestre. Avec un réseau mobile LTE reconnu comme le
meilleur du Canada, les Services sans fil de Bell ont maintenu une
bonne croissance au chapitre des ajouts d'abonnés optant pour un
téléphone intelligent, de l'utilisation des services de données
mobiles, des produits des activités ordinaires et du BAIIA ajusté.
Dans nos activités dans le sur-fil, nous avons fait progresser le
BAIIA ajusté, réduisant les coûts tout en continuant de surclasser
le marché avec l'acquisition de nombreux abonnés des services Télé
Fibe et Internet tout au long de 2015. Malgré la hausse des coûts
du contenu, Bell Média a enregistré une augmentation de ses
produits des activités ordinaires, ce qui a contribué aux flux de
trésorerie disponibles de BCE; elle a par ailleurs obtenu les
droits canadiens exclusifs de l'ensemble du contenu de choix de
HBO. S'appuyant sur les réseaux les plus rapides et les produits de
communication les plus novateurs, et forte de la position
avantageuse de l'entreprise en matière de contenu pour tous les
écrans, l'équipe de Bell tient les promesses faites à ses clients
et à ses actionnaires. »
Bell centre ses efforts sur un objectif clair : être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, ce qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de six impératifs stratégiques : investir
dans les réseaux et les services large bande, accélérer le
sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre
leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et
établir une structure de coûts concurrentielle. Cette stratégie de
leadership dans les services à large bande a porté ses
fruits : solide performance continue dans les services de
croissance que sont les services sans fil, de télé, Internet et de
médias, 41 trimestres consécutifs de croissance ininterrompue
d'un exercice à l'autre du BAIIA ajusté et 12 augmentations du
dividende sur les actions ordinaires de BCE pour les
sept dernières années, soit une majoration totale de
87 %.
« Tous les objectifs de notre orientation financière pour
2015 ayant été atteints, avec une croissance substantielle du
bénéfice net ajusté et des flux de trésorerie disponibles découlant
des fortes augmentations d'un exercice à l'autre des produits des
activités ordinaires et du BAIIA ajusté, Bell entame 2016 avec
un élan opérationnel et des bases financières très solides »,
a affirmé Glen LeBlanc, chef des
affaires financières de BCE et de Bell
Canada. « Les objectifs de notre orientation financière
pour 2016 tiennent compte du maintien du niveau de rentabilité
prévu des Services sans fil, de la croissance positive du BAIIA
ajusté dans les Services sur fil pour un deuxième exercice
consécutif, d'une amélioration des perspectives financières pour
Bell Média ainsi que d'un solide bilan appuyé par une bonne
liquidité et des cotes de crédit élevées. »
« Nous nous attendons à réaliser une croissance du bénéfice
net ajusté sous-jacent et une augmentation marquée des flux de
trésorerie disponibles, d'un exercice à l'autre, compte tenu de la
lancée des services de croissance sur le marché et d'une structure
de coûts d'exploitation beaucoup plus rigide en 2015, ce qui
incluait les décisions difficiles requises pour effectuer les
réductions de personnel. BCE consacre tous les efforts nécessaires
pour s'assurer que nous avons la capacité financière requise pour
soutenir les investissements en cours dans l'infrastructure des
réseaux sur fil et sans fil à large bande au Canada et pour
procurer des rendements constants et durables à nos actionnaires
qui ont investi dans la stratégie de croissance de BCE », a
indiqué M. LeBlanc.
RÉSULTATS DE BCE
Les produits d'exploitation de BCE
ont augmenté de 1,4 % au T4, pour s'établir à
5 603 millions $, dans la foulée du solide chiffre
d'affaires des Services sans fil de Bell et de Bell Média qui a
généré une croissance de 1,6 % des produits tirés des
services. Cette augmentation a été partiellement contrebalancée par
la diminution de 1,5 % d'un exercice à l'autre dans les
Services sur fil de Bell découlant de la persistance d'une faible
croissance de l'économie et des pressions concurrentielles sur les
prix, qui ont touché les produits d'exploitation tirés des services
et des produits de l'unité Bell Marchés Affaires. Pour l'ensemble
de l'exercice 2015, les produits d'exploitation de BCE ont
augmenté conformément aux objectifs de l'orientation pour
l'exercice, s'établissant à 21 514 millions $, dans
la foulée de la croissance des produits tirés des services et des
produits d'exploitation tirés des produits de 2,2 % et de
2,9 %, respectivement.
Le BAIIA ajusté(1) de BCE au T4 a augmenté de
2,5 %, pour s'établir à 2 073 millions $,
entraîné par des hausses de 6,8 % pour les Services sans fil
de Bell et de 1,5 % pour les Services sur fil de Bell. Le
BAIIA ajusté de Bell Média a diminué de 4,2 % en raison de la
hausse des coûts du contenu. L'augmentation du BAIIA ajusté des
Services sans fil, résultat de la croissance rentable des services
postpayés et de l'effet marqué des produits tirés des services, et
la baisse des coûts d'exploitation dans les Services sur fil ont
contribué à l'augmentation de 0,4 point de pourcentage de la
marge du BAIIA ajusté(1) consolidée de BCE, qui est
passée à 37,0 %, en hausse contre 36,6 % au T4 2014.
Conformément à la fourchette des objectifs de notre orientation
financière pour 2015, soit une croissance de 2 % à 4 %
pour l'exercice, le BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 3,0 %,
pour s'établir à 8 551 millions $,
comparativement à 8 303 millions $ en 2014.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE
s'est établi à 496 millions $, soit 0,58 $ par
action ce trimestre, en baisse de 8,5 % et de 9,4 %,
respectivement, comparativement à 542 millions $, soit
0,64 $ par action, au T4 2014. La diminution d'un
exercice à l'autre est imputable à l'augmentation des coûts liés
aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, qui ont
totalisé 152 millions $ au T4 2015, dont une
part de 120 millions $ est principalement liée aux
initiatives en matière de restructuration de la main-d'œuvre.
L'augmentation des autres charges, reflétant les pertes liées à la
valeur de marché sur les contrats dérivés sur capitaux propres
conclus pour assurer la couverture économique des paiements futurs
au titre de nos régimes de rémunération fondée sur des actions, a
également contribué à la diminution d'un exercice à l'autre. Cette
diminution a été contrebalancée en partie par l'augmentation du
BAIIA ajusté, les pertes de valeur moindres découlant des
propriétés de Bell Média, qui ont totalisé 38 millions $
au cours du trimestre, et la diminution de l'impôt sur le résultat.
Exclusion faite de l'incidence des coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes sur
placements et des coûts relatifs au remboursement anticipé de la
dette, le bénéfice par action net ajusté(2) a augmenté
de 0,8 %, pour s'établir à 615 millions $,
tandis que le bénéfice par action (BPA) ajusté est demeuré stable à
0,72 $.
Pour l'ensemble de l'exercice 2015, le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires s'est établi à
2 526 millions $, soit 2,98 $ par action,
comparativement à 2 363 millions $,
soit 2,98 $ par action, en 2014. Cette augmentation est
attribuable à la forte croissance du BAIIA ajusté, à la diminution
des participations ne donnant pas le contrôle liée à la
privatisation de Bell Aliant, à la diminution de la dotation aux
amortissements résultant d'une augmentation de la durée d'utilité
de logiciels d'application, ainsi qu'à la réduction de la charge
d'intérêts sur divers instruments d'emprunt de Bell Canada. Cette augmentation a été en partie
contrebalancée par l'augmentation des coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres et par celle des autres charges.
Le bénéfice net ajusté de 2 845 millions $ et
le BPA ajusté de 3,36 $ en 2015 ont augmenté de
12,7 % et de 5,7 %, respectivement, par rapport à 2014,
ce qui reflète l'augmentation du BAIIA ajusté stimulée par l'apport
accru des services de croissance de Bell.
BCE a investi 958 millions $ en nouveau capital au T4,
ce qui porte les dépenses d'investissement totales pour 2015
à 3 626 millions $, soit un ratio d'intensité
du capital (les dépenses d'investissement en pourcentage du total
des produits des activités ordinaires) pour 2015 de 16,9 %,
conformément à l'objectif de notre orientation d'environ 17 %.
Les dépenses d'investissement concernaient principalement le
branchement d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
directement à notre réseau de fibre à large bande, ce qui comprend
la construction de l'infrastructure Fibe Gigabit à Toronto et dans d'autres centres urbains;
l'expansion continue de notre réseau sans fil LTE; et
l'augmentation de la capacité des réseaux sans fil et Internet pour
soutenir l'accroissement des vitesses et l'utilisation croissante
des services de données.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont élevés à 1 510 millions $,
comparativement à 1 527 millions $ au T4 2014.
Les flux de trésorerie disponibles(3) générés ont été
de 916 millions $, soit une augmentation de
10,0 %, comparativement à 833 millions $ à
l'exercice précédent, découlant de la croissance du BAIIA ajusté,
de la baisse des dépenses d'investissement et de l'incidence
favorable de la privatisation de Bell Aliant, en partie
contrebalancées par la diminution des flux de trésorerie découlant
d'une évolution du fonds de roulement. Pour l'ensemble de
l'exercice 2015, les flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation de BCE ont augmenté, pour s'établir
à 6 274 millions $, comparativement
à 6 241 millions $ en 2014, tandis que les flux
de trésorerie disponibles ont augmenté de 9,3 %, pour
s'établir à 2 999 millions $. Les flux de
trésorerie disponibles par action(3) se sont élevés à
1,07 $ au T4 et à 3,54 $ pour l'ensemble de
l'exercice 2015, ce qui représente des hausses de 5,9 % et de
2,3 %, respectivement, comparativement à 1,01 $ et
à 3,46 $ en 2014.
Au T4 2015, BCE a ajouté 91 308 nouveaux abonnés
nets des services sans fil postpayés et a subi une perte nette de
28 844 abonnés des services prépayés, a ajouté
74 092 nouveaux abonnés nets du service Télé Fibe et subi
une perte nette de 36 306 abonnés du service Télé
Satellite et a ajouté 38 908 nouveaux abonnés d'Internet
haute vitesse. Les pertes nettes totales au chapitre des SAR se
sont établies à 106 910 abonnés. À la fin de 2015, BCE
comptait au total 8 245 831 abonnés du sans-fil,
soit une hausse de 1,6 % par rapport au T4 2014
(y compris les 7 375 416 abonnés des services
postpayés, soit une augmentation de 3,7 %),
2 738 496 abonnés des services de télé au total,
soit une augmentation de 3,6 % (y compris les
1 182 791 abonnés du service Télé Fibe, soit une
augmentation de 26,7 %), 3 413 147 abonnés
d'Internet haute vitesse au total, soit une augmentation de
3,5 %, et, enfin, 6 688 666 abonnés des SAR au
total, soit une diminution de 6,2 %.
FAITS NOUVEAUX DE L'ENTREPRISE
Thomas O'Neill quittera ses
fonctions de président du conseil de BCE; le conseil nommera
Gordon Nixon pour lui
succéder
Thomas C. O'Neill
quittera ses fonctions de président du conseil lors de l'assemblée
générale annuelle des actionnaires de BCE prévue le 28 avril
2016, à Montréal. Le conseil prévoit nommer Gordon M. Nixon, administrateur de BCE, en tant
que président, sous réserve de sa réélection en tant
qu'administrateur par les actionnaires de BCE à l'assemblée
annuelle du 28 avril.
À titre d'administrateur de BCE depuis 2003 et de président du conseil depuis février
2009, M. O'Neill a fourni des conseils essentiels à la
transformation de Bell vers sa position de chef de file canadien
des services de communication à large bande, tout en lui permettant
de procurer des rendements exceptionnels aux actionnaires de BCE.
Sous la direction de M. O'Neill, BCE a reçu de nombreux éloges pour
son excellente gouvernance d'entreprise. En plus d'être Fellow de
l'Institut des administrateurs de sociétés, M. O'Neill est
président du conseil de la Banque de Nouvelle-Écosse et
administrateur d'Adecco S.A. et des Compagnies Loblaw Limitée. Il
est également président du conseil d'administration de l'hôpital
St. Michael's de Toronto.
Administrateur de BCE depuis novembre 2014, Gordon Nixon a été président et chef de la
direction de la Banque Royale du Canada de 2001 à 2014 et chef de la direction de RBC Dominion
valeurs mobilières de 1999 à 2001. En plus d'être membre de l'Ordre
du Canada, M. Nixon est administrateur de George Weston Limited et
de BlackRock Inc. En outre, il a été président, Recherche
scientifique et collaboration, du centre MaRS ainsi que président
de la campagne de financement de l'Université Queen's.
Augmentation du dividende sur les actions ordinaires de
BCE
Le dividende annualisé par action ordinaire de BCE
augmentera de 5,0 %, ou 13 cents par action, pour passer
de 2,60 $ à 2,73 $. Cette augmentation s'appliquera au
dividende du T1 2016 de BCE, payable le
15 avril 2016 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 mars 2016. BCE maintient le ratio de
distribution(4) à l'intérieur de la fourchette de
65 % à 75 % des flux de trésorerie disponibles établie
dans la politique. Cette décision de majorer le dividende pour 2016
s'appuie entièrement sur l'augmentation prévue des flux de
trésorerie disponibles générés par la poursuite de la réalisation
des six impératifs stratégiques de Bell et par les apports
financiers croissants de tous les secteurs d'activité de Bell.
Compte tenu de l'annonce d'aujourd'hui sur l'augmentation du
dividende, BCE a augmenté 12 fois son dividende annuel par
action ordinaire au cours des sept dernières années, soit une
hausse de 87 %.
Nouveau record atteint lors de la Journée Bell Cause pour la
cause
L'événement annuel vedette de l'initiative en santé
mentale d'envergure nationale de Bell, la Journée Bell Cause pour
la cause, tenue le 27 janvier, a stimulé la conversation sur
la santé mentale au Canada comme jamais auparavant. Encouragés par
Clara Hughes, porte-parole nationale
de la Journée Bell Cause pour la cause, les Canadiens et des gens
dans le monde entier ont manifesté leur appui à cette cause lors de
la Journée Bell Cause pour la cause en générant un nombre record de
125 915 295 tweets, messages textes, appels passés
et partages sur Facebook. Grâce au don de Bell de 5 cents par interaction, un montant
de 6 295 764,75 $ a été amassé, ce qui porte
à 79 919 178,55 $ l'engagement de Bell envers
la santé mentale au Canada. Le mot-clic #BellCause a été la
tendance Twitter numéro un du Canada et le plus utilisé dans le
monde le 27 janvier avec un total de 6 826 114
tweets et messages rediffusés - 43 % de plus que l'année
dernière. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Le réseau LTE mobile de Bell désigné encore une fois réseau
sans fil le plus rapide du Canada
En janvier, le
réseau 4G LTE de Bell a été classé au premier rang à
l'échelle nationale dans un nouveau rapport publié par OpenSignal,
une firme d'analyse indépendante du Royaume-Uni, après un
classement similaire au sommet du palmarès par PCMag en
septembre 2015. D'après OpenSignal, Bell a offert les vitesses
de téléchargement sur réseau 4G sans fil les plus rapides du
Canada, atteignant en moyenne 19,9 mégabits par seconde
(Mbps), un niveau bien supérieur à la moyenne mondiale de
12,6 Mbps. Pour en savoir plus, consultez le document
d'OpenSignal (en anglais seulement) State of Mobile Networks:
Canada (Jan 2016).
Le leadership de Bell dans la télé repousse les limites avec
le 4K
En tant que plus important fournisseur de services de
télé du Canada et première entreprise de multimédias, Bell continue
de donner le ton en télévision canadienne. Avec le match de la NBA
du 20 janvier opposant les Raptors de Toronto aux Celtics de Boston, TSN est devenu le premier diffuseur à
présenter la télévision en ultrahaute définition 4K en
Amérique du Nord. Bell Télé a également annoncé en janvier que les
clients du service Télé Fibe à Toronto, à Montréal, à Ottawa et à Québec peuvent maintenant se
procurer le récepteur enregistreur Partout chez vous 4K Télé Fibe.
De loin supérieur aux boîtiers décodeurs 4K câblés dépourvus
des fonctions d'enregistrement, entre autres fonctions des
enregistreurs, le récepteur enregistreur Partout chez vous 4K Télé
Fibe est également prêt pour la prochaine étape en
radiodiffusion : la diffusion en plage dynamique étendue (HDR,
pour high dynamic range). En février, Bell offrira le
récepteur enregistreur Partout chez vous 4K Télé Fibe à tous les
clients des services Télé Fibe de Bell en Ontario et au Québec et des services Télé
FibreOP de Bell Aliant dans le Canada atlantique. Pour en savoir
plus, visitez le site Bell.ca/4K.
Bell Média signe une entente d'exclusivité avec HBO et lance
CraveTV pour tous les utilisateurs d'Internet
En novembre
2015, Bell Média a signé une entente à long terme avec HBO pour
offrir en exclusivité au Canada toute la programmation actuelle et
passée, et celle de la bibliothèque de HBO, sur ses plateformes
linéaire, sur demande et par contournement, ainsi qu'un nouveau
partenariat de coproduction de contenu original. En
janvier 2015, Bell Média a conclu une entente similaire avec
CBS Corporation pour offrir en exclusivité la programmation de
SHOWTIME au Canada. En tant qu'exploitant exclusif de HBO Canada,
Bell Média a annoncé que le service The Movie Network deviendra un
service national de télé payante en 2016, tandis que Corus
Entertainment arrêtera progressivement les activités de ses
services de télé payante Movie Central et Encore Avenue dans
l'Ouest et le Nord canadiens. En janvier, CraveTV a été offerte à
tous les Canadiens abonnés au service Internet,
pour 7,99 $ par mois, ce qui donne accès au meilleur
service de vidéo en continu du Canada et à ses milliers d'heures de
divertissement télévisuel de qualité supérieure de HBO, SHOWTIME et
d'autres fournisseurs de contenu de choix.
Placement par voie de prise ferme de
863 millions $
BCE a lancé un placement d'actions
ordinaires par voie de prise ferme le 23 novembre 2015, le
premier de l'entreprise depuis 2002. Le placement initial
de 750 millions $, et l'exercice de l'option de
surallocation de 15 % qui a donné lieu à la vente de
15 111 000 actions ordinaires au prix d'offre
de 57,10 $ par action, a dégagé un produit brut total
de 862 838 100 $. Cette somme sert à réduire la
dette et à maintenir un bilan sain.
Cotisations volontaires aux régimes de
retraite
Bell Canada a versé
des cotisations volontaires aux régimes de retraite de
250 millions $ en décembre 2015 en vue de renforcer
l'excellente solvabilité de ses régimes de retraite à prestations
définies et de réduire le montant des obligations futures au titre
des régimes de retraite de BCE, ce qui, de fait, rend inutile la
possibilité d'utiliser des lettres de crédit afin de financer le
déficit des cotisations de Bell
Canada. Les cotisations volontaires ont été financées par
les fonds en caisse à la fin de 2015. Comme les intervenants du
marché s'attendent, de façon générale, à une faiblesse persistante
des taux d'intérêt, il est judicieux d'utiliser la trésorerie pour
accélérer la capitalisation des obligations futures de Bell Canada.
Bell est nommée parmi les 100 meilleurs employeurs du
Canada
Bell a été nommée en novembre parmi les
100 meilleurs employeurs du Canada en 2016, en reconnaissance
de son leadership en matière de santé mentale au travail, de ses
programmes de développement des talents de la prochaine génération
et de son engagement envers une ambiance de travail saine, et a été
reconnue aujourd'hui même comme un des meilleurs employeurs à
Montréal, où se situe notre siège social. En novembre, des femmes
membres de l'équipe de Bell ont été nommées parmi les
100 femmes les plus influentes du Canada en 2015 par le Réseau
des femmes exécutives. Il s'agit de Nathalie Cook,
vice-présidente, Association de marques, de Bell Média, et de
Joanne MacDonald, vice-présidente, CTV News.
Sophie Brochu, présidente et chef de la direction de Gaz Métro
et administratrice de BCE, a également été nommée dans ce
classement. Bell compte d'autres gagnantes de prix du Réseau des
femmes exécutives, y compris des membres du panthéon de l'organisme
comme Mary Ann Turcke, présidente de
Bell Média, Martine Turcotte, vice-présidente, Québec, et
Karen Sheriff, auparavant chef de la direction de Bell Aliant
et maintenant chef de la direction de Q9 Networks, un
partenaire de Bell.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les Services sans fil de
Bell ont continué de produire des résultats financiers et
d'exploitation robustes au T4. Les produits tirés des services ont
augmenté de 6,3 %, pour se chiffrer à
1 588 millions $, reflétant une proportion plus
favorable d'abonnés des services postpayés et une augmentation de
23 % des produits tirés des services de données, ce qui a
alimenté la forte croissance du PMU(4) combiné d'un
exercice à l'autre. La croissance des produits tirés des services
de données a été soutenue par la proportion accrue d'abonnés des
services postpayés utilisant des téléphones intelligents et par
l'utilisation plus intensive de notre réseau
mobile 4G LTE de premier plan. Les produits
d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 2,4 %, pour
s'établir à 171 millions $, en raison du nombre plus
élevé de mises à niveau et d'ajouts bruts d'abonnés de services
postpayés par rapport à l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil a augmenté de 6,8 %,
pour se chiffrer à 641 millions $, ce qui s'est traduit
par une augmentation de 0,2 point de pourcentage de la marge
liée aux services, qui s'élève à 40,4 %. Ce résultat a été
atteint malgré l'augmentation de 48 millions $ d'un
exercice à l'autre des dépenses totales combinées à l'égard de la
fidélisation de la clientèle et des coûts d'acquisition d'abonnés
ce trimestre. Les Services sans fil de Bell ont fortement contribué
aux flux de trésorerie consolidés au T4 avec une croissance du
BAIIA ajusté, moins les dépenses d'investissement, de 17,3 %,
à 448 millions $.
Pour l'ensemble de l'exercice 2015, les produits
d'exploitation des Services sans fil de Bell ont augmenté de
8,7 %, pour s'établir à 6 876 millions $,
tandis que les produits tirés des services ont progressé de
7,6 %, à 6 246 millions $, et les produits
d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 22,2 %,
à 590 millions $. Le BAIIA ajusté a crû de
7,8 %, pour se chiffrer
à 2 828 millions $, ce qui reflète l'effet
marqué des produits tirés des services lié à l'augmentation du
nombre d'abonnés des services postpayés. Le PMU supérieur a
largement compensé les coûts plus élevés relatifs à la fidélisation
de la clientèle et à l'acquisition d'abonnés, ce qui a entraîné une
modeste augmentation de la marge liée aux services, qui s'est
établie à 45,3 %.
- Les ajouts bruts d'abonnés des services postpayés ont totalisé
387 696 au T4, en hausse de 1,4 % par rapport à l'exercice
précédent, reflétant le niveau d'activité plus élevé dans le marché
en raison des offres avantageuses lancées pendant la période des
fêtes et de l'augmentation du nombre d'abonnés qui n'ont plus de
contrat. Pour l'ensemble de l'exercice 2015, les ajouts bruts
d'abonnés des services postpayés ont totalisé 1 338 141, en hausse
de 3,6 % comparativement à 1 291 207 en 2014.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés se sont
établis à 91 308 au T4, en baisse comparativement à 118 120 à
l'exercice précédent, en raison du taux de
désabonnement(4) plus élevé reflétant l'activité
promotionnelle saisonnière habituellement intense, combinée à un
nombre plus élevé d'abonnés des services postpayés qui n'ont plus
de contrat. De même, pour l'ensemble de l'exercice 2015, les ajouts
nets d'abonnés des services postpayés se sont élevés à 265 369,
comparativement à 311 954 en 2014. Le taux de désabonnement des
services postpayés au T4 et pour l'ensemble de l'exercice 2015 a
augmenté de 0,09 et de 0,06 point de pourcentage, respectivement,
par rapport à 2014, pour s'établir à 1,38 % et à 1,28 %,
respectivement.
- La clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans
fil de Bell totalisait 7 375 416 à la fin de 2015, une augmentation
de 3,7 % par rapport à 2014. La clientèle totale des Services sans
fil de Bell a augmenté de 1,6 %, pour s'établir à 8 245 831
abonnés.
- Le pourcentage des abonnés des services postpayés utilisant un
téléphone intelligent a augmenté à 78 %, comparativement à 76 % à
la fin de 2014. La proportion d'abonnés des services postpayés sur
le réseau LTE a atteint 68 % à la fin de 2015, en hausse
comparativement à 47 % à l'exercice précédent.
- Le PMU combiné a augmenté de 4,4 %, pour s'établir à 63,67 $ au
T4, en raison du pourcentage plus élevé d'abonnés ayant signé des
contrats de deux ans, de l'utilisation plus intensive des services
de données sur le réseau LTE et de la proportion accrue d'abonnés
des services postpayés dans la clientèle totale. Pour l'ensemble de
l'exercice 2015, le PMU combiné a augmenté de 5,3 %, pour s'établir
à 63,09 $.
- Le coût d'acquisition(4) a augmenté de 6,1 %, pour
s'établir à 525 $ par abonné au T4, en raison principalement d'une
plus grande proportion d'abonnés des services postpayés et des
offres plus généreuses à l'égard des combinés. Pour l'ensemble de
l'exercice 2015, le coût d'acquisition a augmenté de 5,9 %, pour
s'établir à 467 $.
- Les dépenses de fidélisation de la clientèle ont augmenté, pour
s'établir à 14,3 % des produits tirés des services sans fil,
comparativement à 13,5 % en 2014, ce qui reflète le nombre plus
élevé de mises à niveau découlant de l'augmentation du nombre de
contrats venant à expiration attribuable à l'émergence de la double
cohorte et la proportion accrue de téléphones intelligents haut de
gamme. Pour l'ensemble de l'exercice 2015, les dépenses de
fidélisation de la clientèle se sont établies à 12,6 % des produits
tirés des services sans fil.
- Bell a étendu la couverture au sein de la population avec son
réseau mobile national 4G LTE, rejoignant 96 % des Canadiens à la
fin de 2015 et offrant des vitesses
de transmission de données allant de 75 Mbps à 150 Mbps (vitesses
moyennes de 12 Mbps à 40 Mbps). Bell a également poursuivi le
lancement de son réseau sans fil LTE Advanced (LTE-A) bibande, qui
fournit maintenant le service à 48 % de la population canadienne
dans le Canada atlantique, en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique à des
vitesses de transmission de données pouvant atteindre 260 Mbps
(vitesses moyennes de 18 Mbps à 74 Mbps), et cette proportion
devrait atteindre 75 % d'ici la fin de 2016. Le service sans fil
LTE-A tribande sera également offert à titre de complément, à des
vitesses de transmission de données mobiles pouvant atteindre 335
Mbps (les vitesses de téléchargement moyennes attendues étant de 25
Mbps à 100 Mbps) à Halifax, à
Fredericton, à Moncton, à Toronto, à Hamilton et à Oakville.
- Le 12 novembre 2015, Bell Mobilité a lancé l'option
d'itinérance « Voyagez mieux », offrant aux abonnés des tarifs
d'itinérance spéciaux lorsqu'ils sont en voyage. Les États-Unis
sont le premier pays où cette option est offerte; les abonnés qui
la choisissent profitent d'appels et de messages texte illimités
partout aux États-Unis et de retour au Canada également, ainsi que
d'un volume de 100 Mo de données pour 5 $ par jour. D'autres pays
seront ajoutés en 2016.
Services sur fil de Bell
Les produits d'exploitation
des Services sur fil de Bell ont diminué de 1,5 %,
à 3 161 millions $ au T4, marqués par
l'incidence de l'augmentation des tarifs de 2014 sur les services
résidentiels de Bell, de l'augmentation des ventes de minutes de
conversations interurbaines internationales au T4 2014 et de
la diminution des dépenses des clients d'affaires pour les
solutions d'affaires ainsi que pour les équipements de transmission
de données, par suite de la persistance d'une faible croissance de
l'économie. Cette situation a été compensée par la performance de
l'unité des services résidentiels de Bell, qui a enregistré une
croissance positive des produits d'un exercice à l'autre pour un
neuvième trimestre consécutif, ce qui découle de la croissance
combinée de 5,3 % des produits tirés des services Internet et
de télé.
Le BAIIA ajusté des Services sur fil a augmenté de 1,5 % au
T4, à 1 248 millions $, ce qui a permis une
amélioration de 1,2 point de pourcentage de la marge, la plus
élevée du secteur, à 39,5 %, grâce à une réduction de
3,4 % des coûts d'exploitation reflétant les synergies
réalisées à la suite de l'intégration de Bell Aliant et d'autres
mesures d'efficience opérationnelle en lien avec des améliorations
supplémentaires dans le service à la clientèle et le déploiement de
la fibre.
Pour l'ensemble de l'exercice 2015, les produits
d'exploitation des Services sur fil ont diminué de 0,5 %,
s'établissant à 12 258 millions $, tandis que
les coûts d'exploitation ont diminué de 1,6 %, s'établissant
à 7 258 millions $. Ces résultats ont entraîné
une augmentation de 1,1 % du BAIIA ajusté des Services sur
fil, qui s'est établi à 5 000 millions $, avec une
amélioration de 0,7 point de pourcentage de la marge, qui
s'est élevée à 40,8 %. Les Services sur fil de Bell ont
fortement contribué aux flux de trésorerie disponibles consolidés
avec une croissance du BAIIA ajusté, moins les dépenses
d'investissement, de 6,8 %, à 2 191 millions $.
Fait à noter, 2015 représente le premier exercice complet au cours
duquel les Services sur fil de Bell ont généré une croissance
positive du BAIIA ajusté et des flux de trésorerie depuis le
lancement de la téléphonie par câble sur les principaux marchés
canadiens en 2005.
- Bell Télé a ajouté 74 092 nouveaux abonnés nets du service Télé
Fibe au T4, comparativement à 76 074 en 2014, ce qui reflète une
expansion moindre de la zone de couverture en 2015. De même, pour
l'ensemble de l'exercice 2015, les ajouts nets du service Télé Fibe
ont été de 253 329, comparativement à 276 034 en 2014. À la fin de
2015, BCE comptait 1 182 791 abonnés du service Télé Fibe, soit une
hausse de 26,7 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont
augmenté, pour s'établir à 36 306 au T4, contre 33 884 à l'exercice
précédent, ce qui est attribuable principalement à la perte nette
d'abonnés de gros imputable au déploiement du service de télé IP
par un fournisseur de services de télé concurrent dans l'Ouest
canadien. Pour l'ensemble de l'exercice 2015, les pertes nettes
d'abonnés du service Télé Satellite ont été de 145 949,
comparativement à 122 674 en 2014.
- BCE a été le fournisseur de services à large bande de télé
affichant la croissance la plus rapide du Canada en 2015 avec une
clientèle totale combinée de 2 738 496 abonnés, en hausse de 3,6 %,
comparativement à 2 642 608 à la fin de 2014.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont totalisé
38 908 ce trimestre, comparativement à 52 010 au T4 2014. Malgré
l'augmentation de 12 % des ajouts d'abonnés des services
résidentiels de détail au T4, reflétant une plus forte croissance
au Québec et en Ontario, le total
des ajouts nets d'abonnés d'Internet a diminué par rapport à
l'exercice précédent, par suite du nombre moindre d'ajouts nets de
clients de gros. Avec, pour l'ensemble de l'exercice 2015, des
ajouts nets d'abonnés d'Internet de 155 052, comparativement à 160
390 à l'exercice précédent, BCE a continué de fortifier sa position
de premier fournisseur de service Internet du Canada grâce à une
clientèle d'abonnés d'Internet haute vitesse de 3 413 147 à la fin
de 2015, en hausse de 3,5 % par rapport à 2014.
- Les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté
de 1,6 %, pour s'établir à 1 862 millions $, ce qui résulte de la
croissance combinée des produits tirés des services Internet et de
télé, de 5,3 %, et de la croissance des services de connectivité à
large bande IP, de 1,8 %. Cette augmentation a été atténuée par la
diminution des dépenses dans les solutions d'affaires et les
produits de données par notre clientèle des grandes entreprises. De
même, pour l'ensemble de l'exercice 2015, les produits tirés des
services de données sur fil ont augmenté de 2,7 %, pour s'établir à
7 163 millions $.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels au T4 sont
essentiellement inchangées, à 58 081, comparativement à 57 232 au
T4 2014, malgré les offres accrocheuses que continuent de lancer
nos concurrents, les rabais sur les forfaits de services offerts et
l'augmentation constante de la substitution technologique des
services locaux en faveur des services sans fil et Internet. Pour
l'ensemble de l'exercice 2015, les pertes nettes au chapitre des
SAR résidentiels ont diminué de 9,0 %, pour s'établir à 278 124,
comparativement à 305 729 en 2014, grâce à l'effet marqué de nos
offres de forfaits pour le service Télé Fibe et à l'adoption accrue
des trois produits par foyer.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR au T4 se sont
établies à 48 829, comparativement à 35 773 à l'exercice précédent.
Cette augmentation est imputable au nombre accru de désactivations
découlant des initiatives d'efficience par rapport aux coûts
entreprises par notre clientèle des grandes entreprises ainsi que
des débranchements effectués après l'élection fédérale. Pour
l'ensemble de l'exercice 2015, les pertes nettes d'abonnés
d'affaires des SAR ont été relativement stables, soit de 160 310,
comparativement à 158 988 en 2014.
- La clientèle totale des lignes d'accès aux SAR à la fin de 2015
était de 6 688 666, soit une baisse de 6,2 % par rapport à
l'exercice précédent, entraînant une diminution de 4,3 % des
produits tirés des services locaux et d'accès, à 802 millions $.
Les produits tirés des services interurbains ont diminué de 12,8 %,
à 204 millions $, par suite de l'effet marqué de la diminution au
chapitre des SAR et des ventes de minutes de conversations
interurbaines internationales par rapport au T4 2014.
Bell Média
Bell Média a enregistré des produits des
activités ordinaires de 816 millions $ au T4, en
hausse de 3,4 % par rapport à l'exercice précédent. Les
produits tirés de la publicité ont augmenté par rapport au
T4 2014, soutenus par la croissance de la télé traditionnelle
découlant de l'élection fédérale et par la solide performance des
nouvelles émissions à l'heure de grande écoute de la saison
d'automne de Bell Média. La croissance enregistrée par Astral
Affichage, découlant des nouveaux contrats décrochés et des
acquisitions réalisées depuis un an, a également contribué à
l'augmentation du total des produits tirés de la publicité.
Les produits tirés des frais d'abonnement ce trimestre ont
augmenté par rapport à l'exercice précédent, reflétant la
croissance régulière de CraveTV et de la gamme des produits
Télé Partout GO ainsi que des ajustements favorables des
tarifs avec un certain nombre de distributeurs de
télédiffusion.
Le BAIIA ajusté du secteur Média a reculé de 4,2 % au T4,
pour se chiffrer à 184 millions $, comparativement
à 192 millions $ à l'exercice précédent, ce qui
résulte de la hausse de 5,9 % des coûts d'exploitation
reflétant l'augmentation des coûts des droits de diffusion dans les
sports, les investissements dans le contenu de CraveTV ainsi que le
retour à la normale pour ce qui est des exigences de dépenses en
matière de programmation canadienne, un avantage non récurrent
ayant été obtenu au T4 2014.
Pour l'ensemble de l'exercice 2015, les produits des
activités ordinaires de Bell Média ont augmenté de 1,3 %, pour
s'établir à 2 974 millions $, tandis que le
BAIIA ajusté a diminué de 1,5 %, pour s'établir
à 723 millions $, compte tenu de coûts
d'exploitation en hausse de 2,2 %. Bell Média a contribué à la
croissance des flux de trésorerie disponibles consolidés de BCE en
2015 avec un BAIIA ajusté, moins les dépenses d'investissement, de
622 millions $, en hausse de 4,2 % par rapport à
2014.
- CTV est arrivé en tête pour la saison d'automne de télé avec 12
des 20 émissions les plus regardées, soit plus que tous les autres
réseaux canadiens réunis. CTV s'est classé au rang de premier
réseau pour la 12e année consécutive relativement à la
programmation de la journée et des heures de grande écoute pour
l'ensemble des téléspectateurs et toutes les principales catégories
démographiques. Chez les téléspectateurs dans la tranche des 25 à
54 ans, les émissions à l'heure de grande écoute de CTV ont devancé
celles de tous les concurrents.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante,
Bell Média a rejoint 82 % de l'ensemble des téléspectateurs
canadiens anglophones de la télé spécialisée et de la télé payante
d'une semaine moyenne au cours du T4 2015. Bell Média arrive en
tête aux heures de grande écoute avec la meilleure chaîne
spécialisée dans le divertissement (Discovery) chez les
téléspectateurs dans la tranche des 25 à 54 ans, tandis que Space,
Comedy et Bravo se classent toutes parmi les 10 meilleures
chaînes.
- Bell Média a conservé sa position de leader du marché
francophone au Québec, l'auditoire de la télé spécialisée
atteignant 83 % de l'ensemble des téléspectateurs d'une semaine
moyenne. Quatre des cinq chaînes de télé spécialisée les plus
populaires chez les téléspectateurs dans la tranche cible des 25 à
54 ans sont des propriétés de Bell Média : RDS, Canal D, Super
Écran et Canal Vie.
- Dans ses propriétés numériques, Bell Média a surpassé tous les
diffuseurs canadiens concurrents au chapitre des moyennes
mensuelles de visiteurs uniques (17,4 millions), des pages
consultées totales (551 millions), des visites (128 millions), des
vidéospectateurs (2,8 millions) et des vidéos regardées (33
millions).
- Bell Média a maintenu sa position de premier radiodiffuseur du
Canada au T4, rejoignant 16,9 millions d'auditeurs, lesquels ont
écouté, chaque semaine, plus de 81 millions d'heures.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,6825 $ par action ordinaire, payable le
15 avril 2016 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 mars 2016.
PERSPECTIVES POUR 2016
Les objectifs de l'orientation
de BCE pour 2016 s'appuient sur des perspectives financières
favorables pour les trois secteurs opérationnels de Bell, avec un
BPA ajusté et des flux de trésorerie disponibles qui devraient
constituer une base solide et stable pour la hausse de 5,0 %
du dividende sur actions ordinaires de BCE en 2016 ainsi que pour
des réinvestissements importants visant à soutenir la croissance
future. Ces objectifs reflètent également le fait que nous avons
confiance de pouvoir poursuivre avec succès nos activités dans les
Services sans fil, les Services sur fil et le secteur Média dans le
contexte d'un marché extrêmement concurrentiel et dynamique.
Nos perspectives pour 2016 s'appuient sur les robustes résultats
financiers réalisés en 2015 et
tiennent compte du maintien du haut niveau de rentabilité prévu des
Services sans fil, de la croissance positive du BAIIA ajusté des
Services sur fil pour un deuxième exercice consécutif et de
l'amélioration de la performance financière du secteur Média d'un
exercice à l'autre.
Notre orientation pour 2015, nos résultats de 2015 ainsi que nos
objectifs de l'orientation financière pour 2016 sont les
suivants :
|
Orientation
pour 2015
|
Résultats
de 2015
|
Orientation
pour 2016
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
1 % à
3 %
|
2,2 %
|
1 % à
3 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2 % à
4 %
|
3,0 %
|
2 % à
4 %
|
Intensité du
capital(4)
|
environ
17 %
|
16,9 %
|
environ
17 %
|
BPA ajusté
|
3,28 $
à 3,38 $
|
3,36 $
|
3,45 $
à 3,55 $
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles(i)
|
environ 8 % à
15 %
|
9,3 %
|
environ 4 % à
12 %
|
Dividende annualisé
par action ordinaire
|
2,60 $
|
2,60 $
|
2,73 $
|
Politique de
distribution du dividende(4)
|
65 % à
75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
72,3 %
des flux de trésorerie disponibles
|
65 % à
75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
(i)
|
Au 1er
novembre 2014, les flux de trésorerie disponibles de BCE incluaient
la totalité des flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant,
plutôt que les dividendes en espèces reçus de Bell
Aliant.
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T4 2015, le jeudi 4 février, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1‑866‑225-0198 ou le 416-340-2218. Une reprise sera disponible
pendant une semaine, au 1‑800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez
le code d'identification 8400379#).
La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE
sous : Téléconférence du T4 2015 de BCE. Le fichier MP3
sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu
de temps après la téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1)
|
Les termes BAIIA
ajusté et marge du BAIIA ajusté n'ont pas de définition normalisée
en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être
comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les produits
d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il est
présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA
ajusté des secteurs de BCE correspond au bénéfice sectoriel
présenté dans les états financiers consolidés de BCE. Nous
définissons la marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA ajusté divisé
par les produits d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA ajusté et
la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement de nos
activités, puisqu'ils reflètent leur rentabilité continue. Nous
croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA
ajusté pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service
de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et
qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les
entreprises dans l'industrie des télécommunications. Nous croyons
que certains investisseurs et analystes utilisent également le
BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement
de nos activités. Le BAIIA ajusté est également un facteur dans la
détermination de la rémunération incitative à court terme pour
l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière
selon les IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge
du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau
suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA
ajusté.
|
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
T4 2015
|
|
T4 2014
|
|
2015
|
|
2014
|
|
Bénéfice
net
|
542
|
|
594
|
|
2 730
|
|
2 718
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ,
aux acquisitions et autres
|
152
|
|
58
|
|
446
|
|
216
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
731
|
|
734
|
|
2 890
|
|
2 880
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
136
|
|
118
|
|
530
|
|
572
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Charge
d'intérêts
|
226
|
|
238
|
|
909
|
|
929
|
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
28
|
|
25
|
|
110
|
|
101
|
|
Autres charges
(produits)
|
70
|
|
34
|
|
12
|
|
(42)
|
|
Impôt sur le
résultat
|
188
|
|
221
|
|
924
|
|
929
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 073
|
|
2 022
|
|
8 551
|
|
8 303
|
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 603
|
|
5 528
|
|
21 514
|
|
21 042
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
37,0
|
%
|
36,6
|
%
|
39,7
|
%
|
39,5
|
%
|
(2)
|
Les termes bénéfice
net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition
normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable
qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le bénéfice net
ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur
placements et les coûts liés au remboursement anticipé de la dette.
Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par
action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et
le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer le
rendement de nos activités avant l'incidence des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits
nets) pertes nettes sur placements et des coûts liés au
remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et
des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une
influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le
fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires
et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus
comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté),
respectivement.
|
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
|
T4 2015
|
T4 2014
|
2015
|
2014
|
|
Total
|
Par action
|
Total
|
Par action
|
Total
|
Par action
|
Total
|
Par action
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
496
|
0,58
|
542
|
0,64
|
2 526
|
2,98
|
2 363
|
2,98
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
112
|
0,12
|
42
|
0,04
|
327
|
0,38
|
148
|
0,18
|
Pertes nettes (profits
nets) sur placements
|
1
|
0,01
|
8
|
0,01
|
(21)
|
(0,02)
|
(8)
|
(0,01)
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
6
|
0,01
|
18
|
0,03
|
13
|
0,02
|
21
|
0,03
|
Bénéfice net
ajusté
|
615
|
0,72
|
610
|
0,72
|
2 845
|
3,36
|
2 524
|
3,18
|
(3)
|
Les termes flux de
trésorerie disponibles et flux de trésorerie disponibles par action
n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc
peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Au
1er novembre 2014, les flux de trésorerie
disponibles de BCE incluaient la totalité des flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant, plutôt que les dividendes en espèces
reçus de Bell Aliant. Nous définissons les flux de trésorerie
disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux acquisitions et
autres payés, qui comprennent les coûts importants liés aux
litiges, et du financement des cotisations volontaires aux régimes
de retraite, moins les dépenses d'investissement, les dividendes
sur actions privilégiées et les dividendes payés par des filiales
aux détenteurs de PNDPC. Avant le 1er novembre
2014, nous définissions les flux de trésorerie disponibles comme
les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction
faite des coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui
comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
plus les dividendes reçus de Bell Aliant, moins les dépenses
d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les
dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC et les
flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous définissons les
flux de trésorerie disponibles par action comme les flux de
trésorerie disponibles divisés par le nombre moyen d'actions
ordinaires en circulation. Nous considérons les flux de trésorerie
disponibles et les flux de trésorerie disponibles par action comme
d'importants indicateurs de la solidité financière et du rendement
de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles
pour payer des dividendes, rembourser la dette et réinvestir dans
notre société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une
entreprise et ses actifs sous-jacents. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent également les flux de
trésorerie disponibles et les flux de trésorerie disponibles par
action pour évaluer la solidité financière et le rendement de nos
activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le
tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation et des flux de trésorerie
disponibles, sur une base consolidée.
|
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
|
|
|
T4 2015
|
T4 2014
|
2015
|
2014
|
Flux de trésorerie liés
aux activités d'exploitation
|
1 510
|
1 527
|
6 274
|
6 241
|
Dividendes de Bell
Aliant payés à BCE
|
-
|
-
|
-
|
95
|
Dépenses
d'investissement
|
(958)
|
(1 076)
|
(3 626)
|
(3 717)
|
Dividendes en espèces
payés sur actions privilégiées
|
(37)
|
(40)
|
(150)
|
(134)
|
Dividendes en espèces
payés par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant
pas le contrôle
|
(8)
|
(1)
|
(41)
|
(145)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
159
|
68
|
292
|
131
|
Cotisations volontaires
aux régimes de retraite à prestations définies
|
250
|
350
|
250
|
350
|
Flux de trésorerie
disponibles de Bell Aliant
|
-
|
5
|
-
|
(77)
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
916
|
833
|
2 999
|
2 744
|
Nombre moyen d'actions
ordinaires en circulation
|
853,5
|
837,7
|
847,1
|
793,7
|
Flux de trésorerie
disponibles par action
|
1,07
|
1,01
|
3,54
|
3,46
|
(4)
|
Nous utilisons le
PMU, le taux de désabonnement, le coût d'acquisition, l'intensité
du capital et la distribution du dividende pour évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces
indicateurs de performance clés ne sont pas des mesures comptables
et pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs. Se reporter à la section
8.2, Mesures financières non définies par les PCGR et
indicateurs de performance clés, du rapport de gestion du
T3 2015 de BCE pour obtenir une définition de ces indicateurs
de performance clés.
|
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière pour 2016 (ce qui comprend les produits des
activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le
BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le dividende par
action ordinaire annualisé et la politique de dividendes sur
actions ordinaires de BCE pour 2016, nos plans de déploiement du
réseau, nos perspectives commerciales, nos objectifs, plans et
priorités stratégiques, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont
pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme
hypothèse, but, orientation, objectif,
perspective, plan, stratégie, cible et
d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes
comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que
viser, s'attendre à, croire, prévoir,
avoir l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux dispositions refuges prévues dans les lois
canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la
loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform
Act de 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans
ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints.
Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des
déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur
contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces
déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 4 février 2016 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ni pour toute
autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 4 février 2016. L'incidence financière de
ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2016, ainsi que nos
objectifs, nos priorités stratégiques et nos perspectives
commerciales pour 2016, et à mieux
comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que
cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Un raffermissement graduel de l'économie stimulé par l'activité
dans les secteurs autres que celui des ressources, basé sur
l'estimation la plus récente de la Banque du Canada de la
croissance du produit intérieur brut du Canada de 1,4 % en 2016,
comparativement à 1,2 % en 2015;
- une faiblesse persistante des niveaux d'emploi, car le niveau
d'investissements des entreprises devrait demeurer peu élevé
globalement;
- des taux d'intérêt relativement stables pour le reste de
2016;
- le maintien du dollar canadien près de son niveau actuel, toute
nouvelle fluctuation étant tributaire de l'incidence de la vigueur
du dollar américain et des variations des prix des
marchandises;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel
et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- le maintien d'une approche rigoureuse en matière
d'établissement des prix dans le secteur, compte tenu des
prévisions relativement à un nombre plus élevé d'abonnés des
services sans fil dont le contrat est expiré, en raison de
l'expiration des contrats de service de deux ans ou de trois ans
dans la foulée de la mise en œuvre, en 2013, du code de conduite
devant être suivi par les fournisseurs de services vocaux et de
données sans fil mobiles de détail au Canada (le Code sur les
services sans fil);
- un marché publicitaire relativement stable dans le secteur des
médias, et des coûts croissants pour obtenir de la programmation
télévision (télé).
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien du rythme en ce qui a trait à notre part du marché
des activations d'abonnés des services postpayés dans le sans-fil
pour les entreprises titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils de quatrième génération (4G) évolution à
long terme (LTE) et de nouveaux services de données;
- la durée plus courte des contrats de deux ans, par rapport aux
contrats de trois ans, entraînant une augmentation du nombre
d'abonnés pouvant procéder à une mise à niveau;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison de la hausse des
coûts des combinés et d'un nombre plus élevé de mises à niveau des
appareils, ce qui reflète un nombre plus important d'abonnés qui
n'ont plus de contrat, en raison de la durée plus courte des
contrats de deux ans;
- une croissance du produit moyen par utilisateur (PMU) combiné,
stimulée par une proportion accrue de la clientèle des services
postpayés qui utilise des téléphones intelligents, une consommation
croissante des services de données sur les réseaux 4G LTE et LTE
Advanced et la hausse des tarifs d'accès découlant de
l'augmentation des tarifs;
- l'achèvement du réseau LTE, qui couvre 98 % de la population
canadienne, et l'expansion de la couverture du réseau LTE Advanced
à environ 75 % de la population canadienne;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission, qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- des ajouts nets d'abonnés résidentiels positifs pour l'ensemble
de l'exercice dans la zone de couverture des services sur fil,
générés par la croissance continue du service de télévision sur
protocole Internet (télé IP) et l'expansion du réseau utilisant la
fibre jusqu'aux locaux de l'abonné (FTTP) qui soutiennent l'effet
marqué du service Internet sur fibre optique et des services
d'accès au réseau (SAR) résidentiels, permettant une pénétration
accrue des trois produits par foyer;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels, par foyer,
générée par l'adoption croissante des trois produits par foyer,
l'expiration des offres et l'augmentation des tarifs;
- des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
zones où nous fournissons des services sur fil;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur protocole Internet (IP);
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos unités
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande, la croissance
prévue de Télé Partout ainsi que la multiplication des appareils,
comme les tablettes, qui exigent une bande passante très élevée, ce
qui nécessitera un niveau soutenu d'investissements constants;
- la réduction modérée des forfaits télé actuels par les clients
entraînée par la mise en œuvre du dégroupement des chaînes de
télé;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Une croissance positive du BAIIA ajusté et l'amélioration de la
marge pour l'ensemble de l'exercice, en raison de la croissance de
CraveTV, de l'expansion à l'échelle nationale du service de télé
payante The Movie Network et des économies liées à la main-d'œuvre
découlant des réductions de personnel effectuées en 2015, ayant
plus que compensé l'augmentation des coûts de la programmation télé
et des droits de diffusion dans les sports, l'investissement
continu lié à CraveTV et l'incidence financière du dégroupement des
chaînes de télé;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption de CraveTV, y
compris le lancement réussi du service offert directement au
consommateur;
- la capacité de procéder à des acquisitions fructueuses
d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu
différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur les quatre
écrans;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé de Bell Média entraînée par le dégroupement des
chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de
contenu par contournement;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses
financières de BCE pour 2016.
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 300 millions $ à
350 millions $, selon un taux d'actualisation comptable
estimatif de 4,2 %, qui se compose d'un coût estimatif des
services rendus au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi supérieur au BAIIA ajusté d'environ
230 millions $ à 270 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ
70 millions $ à 80 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 3 525 millions $ à 3
575 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 875 millions $ à 925
millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,05 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle d'environ (PNDPC)
40 millions $ à 60 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite d'environ
400 millions $ à 450 millions $, au total;
- des impôts en espèces d'environ 675 millions $ à 725 millions
$;
- des versements d'intérêts nets d'environ 875 millions $ à 925
millions $;
- d'autres éléments des flux de trésorerie disponibles, ce qui
inclut une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres payés, des dividendes sur actions
privilégiées et des dividendes aux détenteurs de PNDPC payés
d'environ (50) millions $ à 25 millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 870 millions;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,73 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 4 février 2016,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés
ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris
notre orientation financière pour 2016, sont énumérés ci-dessous.
La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre
capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans
notre orientation financière pour 2016, dépend essentiellement du
rendement de notre entreprise qui, à son tour, est assujetti à de
nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde
contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles
d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations
prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, la neutralité du Net, les ventes aux enchères de
spectre, l'approbation d'acquisitions et les exigences liées à
l'octroi de licences de radiodiffusion et à la propriété
étrangère;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris les
nouveaux concurrents et les concurrents en émergence, ainsi que
l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients
actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos parts de
marché, nos volumes de service et nos stratégies d'établissement
des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à réduire l'utilisation de
nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité qui est en train de se
produire, ce qui modifie l'environnement de nos activités liées à
la télé et aux médias et pourrait accélérer le débranchement des
services de télé ou la réduction des dépenses pour ces services,
ainsi que la fragmentation du marché de la publicité;
- la concurrence avec des concurrents mondiaux, en plus des
concurrents canadiens traditionnels, pour le contenu de la
programmation pourrait entraîner d'importantes hausses des coûts
d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir du
contenu de premier plan;
- une conjoncture économique défavorable et des conditions du
marché des capitaux difficiles, un niveau d'activité au détail et
commerciale en baisse et l'incidence négative connexe sur la
demande de nos produits et services et leurs prix et le nombre de
créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs, y compris nos réseaux, nos
systèmes de technologies de l'information (TI), nos locaux et
l'information de nature sensible contre les événements et les
attaques, comme les cybermenaces et les dommages causés par les
incendies et les catastrophes naturelles;
- le risque lié à la sécurité et à la fuite de données si les
protocoles de contrôle de la sécurité qui concernent nos solutions
infonuagiques sont contournés;
- l'incapacité à créer une expérience client positive,
particulièrement en raison de l'incapacité à adopter de nouvelles
approches et à repousser les limites sur le plan de
l'exploitation;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation et bases de
données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits,
d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à optimiser le déploiement du réseau et des TI et
les échéanciers pour les mises à niveau, à évaluer de façon
appropriée les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
et à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à poursuivre l'investissement de façon rigoureuse
et stratégique dans les fonctions de prochaine génération, comme
les stratégies de service à la clientèle fondées sur l'information
en temps réel;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de notre réseau, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- le risque de devoir engager des dépenses d'investissement
importantes qui dépasseraient nos objectifs en matière d'intensité
du capital, afin de fournir une capacité supplémentaire et de
réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à mettre en œuvre et à maintenir des systèmes de
TI performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel
efficace;
- l'incapacité à générer les avantages attendus découlant de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
jour de systèmes, des refontes de processus, et de l'intégration
des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés par
Bell Télé;
- les incidents concernant la continuité de l'approvisionnement
des produits et des services dont nous avons besoin pour exercer
nos activités auprès de tiers fournisseurs et d'impartiteurs;
- l'incapacité d'adopter des pratiques de gestion de
l'approvisionnement et des fournisseurs permettant de gérer
adéquatement les risques associés aux modèles des fournisseurs
existants et des nouveaux fournisseurs;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent être touchés par des défauts de fabrication ou
ne pas être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- l'incapacité à attirer et à retenir des employés possédant les
compétences appropriées et à leur permettre de travailler dans un
environnement sécuritaire;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités et pour
assurer la croissance prévue;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts plus élevés découlant de nouvelles lois fiscales ou
des modifications qui y sont apportées ou qui sont apportées à leur
interprétation et l'incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts et les augmentations de coûts
imprévues;
- l'incapacité à rehausser les pratiques pour effectuer un suivi
et un contrôle efficaces des activités frauduleuses, comme
l'utilisation non autorisée de notre contenu et le vol de nos
services de télé;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
recours collectifs;
- les modifications défavorables aux lois applicables et
l'incapacité à s'occuper de manière proactive de nos obligations
juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans
fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et
d'autres éventualités menaçantes pour la santé survenaient;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également l'Avis
concernant les déclarations prospectives de BCE daté du
4 février 2016 pour obtenir plus de détails au sujet de
certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, ce document étant déposé
par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs
mobilières (disponible à Sedar.com) et de la Securities and
Exchange Commission des États-Unis (disponible à SEC.gov). Ce
document est également disponible à BCE.ca.
L'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE
daté du 4 février 2016 est intégré par renvoi dans le présent
communiqué de presse.
Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter la
présentation intitulée Téléconférence sur les résultats du
T4 2015 et l'orientation financière 2016, datée du
4 février 2016, disponible sur le site Web de BCE.
À PROPOS DE BCE
À titre de plus grande entreprise de communication du Canada, BCE
fournit un ensemble complet et novateur de services de
communication à large bande à des clients résidentiels et
d'affaires par l'intermédiaire de Bell
Canada et de Bell Aliant. Bell Média est la première
entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans
les secteurs de la télévision, de la radio, de l'affichage
extérieur et des médias numériques, y compris CTV, premier réseau
de télévision du Canada, et les chaînes spécialisées les plus
regardées du pays. Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative de Bell « Bell Cause pour la cause » est
dédiée à la promotion de la santé mentale au Canada, à la
sensibilisation à l'échelle nationale par l'intermédiaire de
campagnes de lutte contre la stigmatisation, comme le Grand Tour de
Clara pour Bell Cause pour la cause et la Journée Bell Cause pour
la cause, et au financement important fourni par Bell pour l'accès
aux soins communautaires, la recherche et les initiatives au
travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
514-870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane
Fotopoulos
514-870-4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE BCE inc.