Augmentation de 5 % du dividende sur actions
ordinaires, à 3,33 $ par année
Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la
section Mise en garde concernant les déclarations
prospectives plus loin dans ce communiqué.
- Augmentation du BAIIA ajusté de BCE de 4,8 % au T4 découlant
de la croissance d'un exercice à l'autre dans tous les secteurs
opérationnels de Bell, entraînée par des produits des activités
ordinaires en hausse de 1,6 %, le contrôle des coûts et l'incidence
d'IFRS 16
- Ajouts nets des services sans fil totalisant 123 582 abonnés
au T4, entraînant une croissance de 3,6 % des produits des
activités ordinaires et une augmentation de 7,4 % du BAIIA ajusté
au cours d'un trimestre où la concurrence est très vive
- 57 678 ajouts nets d'abonnés des services Internet et de
télé IP de détail au total; augmentation de 60 points de base de la
marge de Bell dans le sur-fil, la plus élevée enregistrée, à 43,3
%
- Expansion de la couverture combinée du réseau de fibre
jusqu'aux locaux de l'abonné et du service Internet résidentiel
sans fil à environ 760 000 foyers et entreprises en 2019; programme
lié au réseau de fibre permettant la connexion directe maintenant
terminé à 53 %
- Solides résultats au T4 pour Bell Média avec une croissance
de 3,4 % des produits des activités ordinaires; BAIIA ajusté en
hausse de 16,5 %
- Lancement du service bilingue Crave et de Super Écran
directement aux consommateurs le 28 janvier
- Croissance du bénéfice net de 12,6 %, à 723 millions $;
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires en hausse de
10,9 %, à 672 millions $, ou 0,74 $ par action ordinaire, en hausse
de 8,8 %; bénéfice net ajusté de 794 millions $ générant un BPA
ajusté de 0,88 $, en baisse de 1,1 %
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation au T4
en hausse de 16,9 %, à 2 091 millions $; flux de trésorerie
disponibles au T4 de 894 millions $ contribuant à une croissance de
7,0 % pour l'ensemble de l'exercice 2019
MONTRÉAL, le 6 févr. 2020 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX:
BCE) (NYSE: BCE) a présenté aujourd'hui les résultats du quatrième
trimestre (T4) et de l'ensemble de l'exercice 2019 ainsi que les
objectifs de son orientation financière pour 2020, et a annoncé une augmentation de 5 %, soit
0,16 $ par action, du dividende sur actions ordinaires annuel de
BCE, qui est porté à 3,33 $.
« La performance inégalée des réseaux de Bell, les innovations
dans les services ainsi que les efforts ciblés déployés par notre
équipe ont permis d'enregistrer des résultats très positifs dans le
contexte hautement concurrentiel du quatrième trimestre. Tous nos
secteurs opérationnels, soit le sans-fil, le sur-fil et les médias,
ont contribué à notre solide performance financière, car nous avons
accueilli chez Bell plus de 181 000 nouveaux abonnés nets des
services sans fil, Internet et de télé IP ce trimestre, et environ
743 000 pour l'exercice, une augmentation de 5 % par rapport à 2018
», a déclaré Mirko Bibic, président
et chef de la direction de Bell. « Je suis également heureux
d'annoncer aujourd'hui la plus récente hausse du dividende de BCE,
qui est porté à 3,33 $ par action ordinaire : il s'agit du
12e exercice consécutif de hausse de 5 % ou plus du
dividende sur actions ordinaires. »
« Ces résultats font ressortir l'excellent positionnement de
Bell pour préparer le terrain en vue d'engager les communications
canadiennes sur la voie de la prochaine génération avec des réseaux
à large bande entièrement optiques et des services mobiles 5G.
L'objectif de Bell est de faire progresser les moyens dont
disposent les Canadiens pour communiquer entre eux et avec le reste
du monde, et notre équipe compte y parvenir en misant sur
l'expérience client dans cette nouvelle ère des communications »,
affirme M. Bibic. « Bell est prête à lancer le premier service 5G
et nous désirons vivement aller de l'avant, forts de notre succès
et de celui de l'ensemble du secteur canadien, pour fournir un
accès mobile 4G de grande qualité à plus de 99 % de la population
du pays. La couverture, les vitesses et la fiabilité de
l'infrastructure sans fil du Canada sont enviés dans le monde
entier, et les consommateurs profitent pleinement de ces réseaux
hautement performants, des services de données évolués ainsi que
des prix en baisse, obtenant plus de valeur que jamais des services
sans fil. En fait, Bell a recruté un plus grand nombre de nouveaux
abonnés nets des services sans fil en 2019 que pour tout autre
exercice depuis 2005. À l'aube de cette nouvelle étape palpitante
en connectivité mobile, il vaut la peine d'insister sur le fait que
nous avons besoin d'un cadre réglementaire favorisant l'engagement
de dépenses d'investissement substantielles et constantes ainsi que
le déploiement rapide du spectre pour les services sans fil dont le
Canada a besoin pour assurer sa prépondérance dans la technologie
5G également. »
PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
Bell annonce un partenariat 5G avec Nokia
Dans le
cadre de notre stratégie de réseau mobile 5G, Bell a annoncé
aujourd'hui la première entente d'approvisionnement en équipement
pour réseau 5G avec Nokia, un partenaire de longue date.
L'entreprise finnoise s'est rapidement imposée comme leader mondial
dans la prestation de solutions de réseau 5G en concluant plus de
60 contrats commerciaux 5G avec des entreprises de
télécommunications sans fil partout dans le monde. Bell est prête à
commencer à déployer le service 5G dans des centres urbains partout
au Canada parallèlement à l'arrivée sur le marché des téléphones
intelligents de prochaine génération en 2020, et elle continuera d'améliorer les vitesses
d'accès, la capacité et la couverture 5G, suivant l'élargissement
plus tard cette année du spectre de fréquences pour les services
sans fil nécessaire pour le réseau 5G, ce qui comprend la bande de
3,5 GHz, dans le cadre de la vente aux enchères de spectre du
gouvernement fédéral. Pour en savoir plus au sujet de la
technologie 5G de Bell, visitez le site Bell.ca/Reseau.
Expansion du réseau à large bande dans les petits et grands
centres
Dans le cadre de l'expansion de son réseau de fibre
jusqu'aux locaux de l'abonné (FTTP) dans la populeuse région de
l'indicatif 905 qui entoure Toronto, Bell connectera plus de 200 000
foyers et entreprises au moyen de liens directs par fibre optique
dans la ville de Hamilton. Nous
continuons également d'étendre la portée de notre réseau de fibre
dans de petites villes, notamment dans le nord du Manitoba, pour rejoindre environ 2 800
emplacements dans la ville de Flin
Flon. De plus en plus de Canadiens habitant les zones
rurales continuent d'avoir accès au réseau à large bande de Bell
grâce à l'expansion continue de notre service Internet résidentiel
sans fil, avec les déploiements récents dans des douzaines de
petites localités de l'est de l'Ontario, des Cantons-de-l'Est et de la
Montérégie, au Québec.
Bell Média : Crave bilingue, succès pour le Super
Bowl
Crave de Bell Média est maintenant un service de
diffusion en continu et de télé bilingue, offrant plus de 6 000
heures de contenu francophone exclusif sur Crave et Super Écran,
ainsi que les versions françaises de la programmation de Showtime
et de HBO. Lancé le 28 janvier, le service bilingue Crave est
offert par l'intermédiaire des distributeurs de télévision
participants et sur Crave.ca. Alors que la substitution simultanée
a été rétablie pour la diffusion du 2 février du Super Bowl LIV,
l'auditoire de CTV, de TSN et de RDS a atteint un nombre
record pendant le Super Bowl, s'établissant à 9,5 millions de
téléspectateurs. TSN et RDS ont prolongé la durée de leurs
partenariats de diffusion à long terme exclusifs avec la Ligue
canadienne de football, ce qui comprend la Coupe Grey, et avec
Hockey Canada, ce qui comprend le Championnat mondial de hockey
junior IIHF.
Bell innove en s'attaquant aux appels frauduleux
Bell
a mis au point une technologie de réseau reposant sur
l'intelligence artificielle et l'apprentissage automatique qui
pourrait bloquer approximativement 120 millions d'appels
téléphoniques frauduleux de plus par mois qu'avec les méthodes de
blocage actuellement imposées par le CRTC. Bell attend impatiemment
l'approbation du CRTC pour tester ce nouveau système, qui utilise
des algorithmes exclusifs et établit des correspondances entre les
données du système et celles du Centre antifraude du Canada (CAFC)
pour identifier et bloquer seulement les appels frauduleux
vérifiables.
De nouveaux records pour la Journée Bell Cause pour la
cause
La Journée Bell Cause pour la cause du 29 janvier
établit de nouveaux records de participation avec 154 387 425
millions d'appels, textos et messages sur les réseaux sociaux de
Canadiens et de gens de partout dans le monde souhaitant la prise
d'actions en matière de santé mentale. Avec un don de 5 cents par communication, notre engagement
envers la santé mentale au Canada a augmenté de 7 719 371,25 $ pour
totaliser des fonds de 108 415 135 $. Bell Cause pour la cause a
annoncé son soutien à l'Institut des Familles Solides des
Territoires du Nord-Ouest, à la Première Nation de Peguis au Manitoba, au William Osler Health System en
Ontario et à la Fondation de ma
vie au Québec, ainsi qu'au Fonds communautaire Bell Cause pour la
cause 2020 national.
RÉSULTATS DE BCE
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions $, sauf
les montants par action)
(non audité)
|
T4
2019
|
T4
2018
|
% de
variation
|
|
2019
|
2018
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
6 316
|
6 215
|
1,6
|
%
|
23 964
|
23 468
|
2,1
|
%
|
Bénéfice
net
|
723
|
642
|
12,6
|
%
|
3 253
|
2 973
|
9,4
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
672
|
606
|
10,9
|
%
|
3 040
|
2 785
|
9,2
|
%
|
Bénéfice net
ajusté(1)
|
794
|
794
|
-
|
|
3 153
|
3 151
|
0,1
|
%
|
BAIIA
ajusté(2)
|
2 508
|
2 394
|
4,8
|
%
|
10 106
|
9 535
|
6,0
|
%
|
Bénéfice net par
action ordinaire (BPA)
|
0,74
|
0,68
|
8,8
|
%
|
3,37
|
3,10
|
8,7
|
%
|
BPA
ajusté(1)
|
0,88
|
0,89
|
(1,1)
|
%
|
3,50
|
3,51
|
(0,3)
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 091
|
1 788
|
16,9
|
%
|
7 958
|
7 384
|
7,8
|
%
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 153)
|
(974)
|
(18,4)
|
%
|
(3 988)
|
(3 971)
|
(0,4)
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
894
|
1 022
|
(12,5)
|
%
|
3 818
|
3 567
|
7,0
|
%
|
« La solide performance de Bell au quatrième trimestre a clôturé
une année fructueuse marquée par la croissance des produits des
activités ordinaires, du BAIIA ajusté et des flux de trésorerie
disponibles, conformément aux objectifs de notre orientation
financière, ainsi que par l'augmentation continue du nombre de
nouveaux abonnés. Les objectifs financiers pour 2020 annoncés
aujourd'hui s'appuient sur notre position de force dans le marché
et sur les perspectives financières positives qu'offrent tous les
secteurs opérationnels de Bell », a affirmé Glen LeBlanc, chef des affaires financières de
BCE et de Bell Canada. « Nos
perspectives favorables au chapitre des activités d'exploitation et
des finances s'appuient sur un bilan solide, notamment une
situation de trésorerie saine et un régime de retraite à
prestations déterminées entièrement capitalisé, ainsi que sur une
structure du capital offrant une bonne souplesse financière pour
satisfaire nos besoins opérationnels et assurer une croissance
soutenue du dividende pour les actionnaires de BCE. Par ailleurs,
comme l'évolution du cadre réglementaire est axée sur la génération
de valeur pour les Canadiens, nos flux de trésorerie disponibles
permettront d'effectuer les investissements dans l'infrastructure
réseau de fibre et sans fil qui sont nécessaires pour assurer la
croissance future de l'entreprise ainsi que pour maintenir la
prépondérance du Canada dans le secteur. »
Les produits d'exploitation de BCE au T4 se sont établis à 6 316
millions $, en hausse de 1,6 % comparativement au T4 2018, dans la
foulée de la forte croissance du chiffre d'affaires des Services
sans fil de Bell et de Bell Média qui a entraîné une augmentation
de 0,9 % des produits tirés des services, à 5 276 millions $. Les
produits d'exploitation tirés des Services sur fil de Bell ont été
stables d'un exercice à l'autre. Les produits d'exploitation tirés
des produits ont augmenté de 5,7 %, pour s'établir à 1 040 millions
$, en raison surtout des volumes accrus de transactions dans le
sans-fil et d'une proportion plus importante de téléphones
intelligents de valeur supérieure dans notre chiffre d'affaires.
Pour l'ensemble de l'exercice 2019, les produits d'exploitation de
BCE ont augmenté conformément aux objectifs de notre orientation,
soit une croissance de 1 % à 3 %, en hausse de 2,1 % par rapport à
2018, pour s'établir à 23 964 millions $, dans la foulée de la
croissance de 1,4 % des produits tirés des services et d'une
augmentation de 6,6 % du total des produits d'exploitation tirés
des produits.
Le bénéfice net a augmenté de 12,6 % au T4, pour s'établir à 723
millions $, et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires a totalisé 672 millions $, soit 0,74 $ par action, en
hausse de 10,9 % et de 8,8 %, respectivement. L'augmentation du
bénéfice net et du bénéfice net par action ordinaire découle de la
forte croissance du BAIIA ajusté, de la diminution des coûts liés
aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres ainsi que de
la diminution des autres charges attribuable aux pertes de valeur
hors trésorerie du secteur Média, moins élevées d'un exercice à
l'autre. Cette augmentation a été partiellement contrebalancée par
l'augmentation de la dotation aux amortissements et des charges
financières. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, le bénéfice net a
augmenté de 9,4 %, pour s'établir à 3 253 millions $ tandis que le
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est chiffré
à 3 040 millions $, soit 3,37 $ par action, en hausse de 9,2 % et
de 8,7 %, respectivement. L'adoption d'IFRS 16 n'a pas eu
d'incidence importante sur le bénéfice net.
Le bénéfice net ajusté au T4 s'est établi à 794 millions $, soit
0,88 $ par action ordinaire, comparativement à 794 millions $, soit
0,89 $ par action ordinaire, au T4 2018. La diminution du bénéfice
net ajusté par action (BPA ajusté) est imputable aux facteurs
susmentionnés ainsi qu'au nombre moyen d'actions ordinaires en
circulation plus élevé qu'à l'exercice précédent. Pour l'ensemble
de l'exercice 2019, le bénéfice net ajusté s'est établi à 3 153
millions $, comparativement à 3 151 millions $ en 2018, et le BPA ajusté a diminué de 0,3 %,
passant à 3,50 $.
Le BAIIA ajusté au T4 a augmenté de 4,8 %, pour s'établir à 2
508 millions $, ce qui découle des hausses de 7,4 % dans le
sans-fil, de 1,5 % dans le sur-fil et de 16,5 % dans les médias. La
marge du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a augmenté de
1,2 point de pourcentage, passant à 39,7 %, ce qui découle de la
forte progression au chapitre de la croissance des produits tirés
des services, de l'accroissement de la portée des services Internet
à large bande, ainsi que de la gestion rigoureuse continue des
coûts, comme l'indique la diminution de 0,3 % des coûts
d'exploitation totaux. Conformément à la fourchette des objectifs
de notre orientation, soit une croissance de 5 % à 7 % pour
l'exercice, le BAIIA ajusté a augmenté de 6,0 %, pour s'établir à
10 106 millions $ en 2019, tandis que la marge du BAIIA consolidée
de BCE a augmenté, passant à 42,2 %, contre 40,6 % en 2018. Le
BAIIA ajusté a été favorablement touché par IFRS 16, du fait que la
plupart des charges liées aux contrats de location simple sont
maintenant comptabilisées dans la dotation à l'amortissement des
immobilisations corporelles et dans les charges d'intérêts, plutôt
que dans les coûts d'exploitation, dans le BAIIA ajusté.
BCE a investi 1 153 millions $ en nouveau capital au T4,
comparativement à 974 millions $ à l'exercice précédent. En raison
de cette augmentation d'un exercice à l'autre attribuable au
calendrier, les dépenses d'investissement totales en 2019 se sont
élevées à 3 988 millions $, en légère hausse contre 3 971 millions
$ en 2018, et représentent un ratio
d'intensité du capital(5) (les dépenses d'investissement
en pourcentage du total des produits des activités ordinaires) de
16,6 %, contre 16,9 % à l'exercice précédent. Les dépenses
d'investissement en 2019 ont été concentrées sur la poursuite de
l'expansion des zones de couverture combinées du réseau FTTP et du
service Internet résidentiel sans fil de Bell à environ 760 000
emplacements additionnels, sur la connexion par fibre optique des
services Internet et de télé à plus de foyers et d'entreprises, sur
l'investissement continu dans les réseaux sans fil, ce qui comprend
le déploiement des petites cellules afin d'accroître la couverture,
la vitesse et la qualité du réseau LTE Advanced (LTE-A) et
l'expansion des liaisons de raccordement au réseau de fibre en vue
du lancement du service 5G, de même que sur les dépenses accrues
pour les plateformes de médias numériques.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
au T4 se sont établis à 2 091 millions $, en hausse de 16,9 % par
rapport à l'exercice précédent. Cette augmentation est surtout
attribuable à la croissance du BAIIA ajusté, à la diminution des
paiements d'intérêts et au non-versement de cotisation volontaire
aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi à la fin de 2019,
comparativement à une cotisation de 240 millions $ versée en 2018,
mais elle a été partiellement contrebalancée par l'augmentation de
l'impôt sur le résultat payé. Les flux de trésorerie disponibles
ont diminué de 12,5 % au T4, s'établissant à 894 millions $ par
rapport à 1 022 millions $ à l'exercice précédent, en raison de
l'augmentation des dépenses d'investissement, ce qui a été
partiellement compensé par l'augmentation des flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation, exclusion faite des coûts liés
aux acquisitions et autres payés et des cotisations volontaires aux
régimes de retraite. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, les flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE ont totalisé
7 958 millions $, en hausse de 7,8 % comparativement à 2018, tandis
que les flux de trésorerie disponibles ont progressé conformément
aux objectifs de notre orientation, soit une croissance de 7 % à 12
%, en hausse de 7,0 %, pour s'établir à 3 818 millions $.
Au T4, BCE a enregistré 123 582 nouveaux abonnés nets des
services sans fil (121 599 abonnés des services postpayés et 1 983
abonnés des services prépayés), 35 639 nouveaux abonnés nets des
services Internet de détail, 22 039 nouveaux abonnés nets des
services de télé IP, une perte nette de 21 618 abonnés du service
de télé par satellite de détail et une perte nette de 58 110
abonnés des SAR résidentiels de détail(5).
Les connexions de BCE dans les services sans fil et les services
Internet, de télé et SAR résidentiels de détail totalisaient 18 983
510 à la fin de 2019, soit une hausse de 1,3 % par rapport à 2018.
Ce total inclut 9 957 962 abonnés du sans-fil(4),
soit une hausse de 3,6 % (y compris les 9 159 940 abonnés des
services postpayés, soit une augmentation de 3,7 %, et les 798 022
abonnés des services prépayés, soit une augmentation de 2,3 %), 3
555 601 abonnés des services Internet de détail(4), soit
une augmentation de 4,3 %, 2 772 464 abonnés des services de télé
de détail, soit une augmentation de 0,2 % (y compris les 1 767 182
abonnés des services de télé IP, soit une augmentation de 5,5 %, et
1 005 282 abonnés du service de télé par satellite de détail, soit
une diminution de 7,8 %) et 2 697 483 abonnés des SAR résidentiels
de détail, soit une diminution de 8,9 %.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les produits d'exploitation
tirés des services sans fil ont augmenté de 3,6 % au T4, pour
s'établir à 2 493 millions $, tandis que les produits tirés des
services ont augmenté de 1,6 %, pour s'établir à 1 619 millions $,
ce qui reflète la croissance continue de la clientèle d'abonnés des
services postpayés et la contribution accrue des services prépayés
aux produits des activités ordinaires. Les produits d'exploitation
tirés des produits ont augmenté de 7,4 %, pour s'établir à 874
millions $, en raison des volumes accrus de transactions ainsi que
de la plus forte proportion de téléphones intelligents de valeur
supérieure dans notre chiffre d'affaires. Pour l'ensemble de
l'exercice 2019, les produits d'exploitation ont augmenté de 3,7 %,
pour s'établir à 9 142 millions $, les produits tirés des services
ayant affiché une croissance de 2,5 %, pour s'établir à 6 476
millions $, et les produits d'exploitation tirés des produits ayant
augmenté de 6,6 %, pour s'établir à 2 666 millions $.
Le BAIIA ajusté des services sans fil a augmenté de 7,4 % au T4,
pour s'établir à 944 millions $, ce qui a permis de dégager une
augmentation de 1,4 point de pourcentage de la marge, à 37,9 %, les
coûts d'exploitation totaux ayant augmenté de 1,4 %, à 1 549
millions $, en raison des coûts plus élevés découlant des ventes de
téléphones intelligents haut de gamme et pour soutenir la
croissance de la clientèle et l'utilisation accrue des services de
données. L'amélioration du BAIIA ajusté et de la marge découle de
la forte progression au chapitre des produits tirés des services,
du contrôle rigoureux des dépenses promotionnelles ainsi que de
l'incidence favorable d'IFRS 16. Pour l'ensemble de l'exercice
2019, le BAIIA ajusté a augmenté de 9,1 %, ce qui a permis de
dégager une augmentation de 2,1 points de pourcentage de la marge,
à 42,0 %, les coûts d'exploitation ayant augmenté, soit de 0,1 %, à
5 300 millions $.
- Bell a ajouté 123 582 nouveaux abonnés nets des services
postpayés et prépayés au total au T4, comparativement à 143 114 à
l'exercice précédent. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, le total
des ajouts nets d'abonnés des services postpayés et prépayés a
augmenté de 7,4 %, à 515 409, ce qui représente notre meilleure
performance annuelle au chapitre du nombre d'abonnés depuis
2005.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés se sont
établis à 121 599, comparativement à 121 780 au T4 2018. Les ajouts
bruts d'abonnés des services postpayés au T4 ont augmenté de 1,7 %
par rapport à l'exercice précédent, découlant du niveau d'activité
plus élevé sur le marché pour le Vendredi fou et la période des
fêtes ainsi que du niveau soutenu de réalisation des ventes dans
tous nos canaux de vente au détail. Pour l'ensemble de l'exercice
2019, les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont été de
401 955, en baisse contre 447 682 en 2018, en raison du nombre
moindre d'ajouts d'abonnés d'un exercice à l'autre découlant de
notre contrat de services mobiles à long terme avec Services
partagés Canada.
- Le taux de désabonnement des services postpayés(5) a
augmenté de 0,02 point de pourcentage au T4, pour s'établir à 1,28
%, en raison du niveau habituellement élevé d'intensité de la
concurrence au cours de ce trimestre et du fait que nous avons
égalé certaines des offres promotionnelles accrocheuses de nos
concurrents. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, le taux de
désabonnement des services postpayés a diminué de 0,03 point de
pourcentage, pour s'établir à 1,13 %, ce qui reflète la qualité des
réseaux mobiles de Bell ainsi que l'accent mis sur la gestion de la
clientèle d'abonnés.
- Les ajouts nets d'abonnés des services prépayés ont totalisé 1
983 au T4, en baisse contre 21 334 à l'exercice précédent. Tandis
que les ajouts bruts ont augmenté de 42,9 %, ce qui reflète la
forte demande pour Lucky Mobile, notre service prépayé à faible
coût, ainsi que l'entente nationale exclusive de commercialisation
au détail conclue avec Dollarama, le taux de désabonnement a
augmenté de 1,96 point de pourcentage, à 5,14 %. Cette augmentation
est attribuable à l'intensification de la concurrence dans le
marché des services mobiles économiques et au changement apporté à
notre politique de désactivation d'abonnés des services prépayés au
début de 2019, qui est passée de 120 jours et de 150 jours, à 90
jours. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, les ajouts nets
d'abonnés des services prépayés ont augmenté de 253,1 %, pour
s'établir à 113 454, avec une hausse des ajouts bruts d'abonnés des
services postpayés de 61,9 % et une augmentation du taux de
désabonnement, à 4,44 % comparativement à 3,17 % en 2018.
- La clientèle totale des services sans fil de Bell en 2019 a
augmenté de 3,6 %, à 9 957 962 abonnés, ce qui comprend 9 159 940
abonnés des services postpayés, en hausse de 3,7 % par rapport à
2018, et 798 022 abonnés des services
prépayés, en hausse de 2,3 % d'un exercice à l'autre.
- La facturation moyenne par utilisateur (FMU)
combinée(5) a diminué de 0,4 %, pour s'établir à 67,20 $
au T4, en raison principalement de l'incidence des plans de
services de données illimitées sur les produits tirés des frais de
dépassement de données, de la proportion accrue des programmes de
paiements par versements au sein de notre clientèle et de l'effet
dilutif de l'augmentation du nombre d'abonnés des services
prépayés. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, la FMU combinée a
augmenté de 0,8 %, pour s'établir à 68,32 $, en raison de la
proportion grandissante d'abonnés optant pour des forfaits mensuels
à valeur plus élevée incluant une limite d'utilisation des données
supérieure, ainsi que de l'effet des modifications des prix et des
ajustements apportés à la clientèle d'abonnés au début de
2019.
Services sur fil de Bell
Les produits d'exploitation
tirés des services sur fil ont totalisé 3 138 millions $ au T4,
comparativement à 3 137 millions $ à l'exercice précédent. Les
produits tirés des services ont augmenté de 0,1 %, pour s'établir à
2 969 millions $, tandis que les produits d'exploitation tirés des
produits ont diminué de 0,6 %, pour s'établir à 169 millions $. La
hausse des produits tirés des services Internet et de télé IP
conjuguée à la croissance des solutions d'affaires a été
contrebalancée par la diminution des produits tirés des services
voix dans les SAR traditionnels et les services interurbains, par
l'incidence des rabais consentis pour l'acquisition d'abonnés et la
fidélisation de la clientèle pour les forfaits de services
résidentiels afin d'égaler les offres promotionnelles accrocheuses
de nos concurrents, par la diminution des produits tirés des
services de télé à la carte par rapport à l'exercice précédent
ainsi que par la diminution des ventes d'équipements de
transmission de données générant de faibles marges aux grandes
entreprises clientes. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, le total
des produits d'exploitation tirés des services sur fil a augmenté
de 0,7 %, pour s'établir à 12 356 millions $, les produits tirés
des services ayant affiché une croissance de 0,4 %, pour s'établir
à 11 788 millions $, et les produits d'exploitation tirés des
produits ayant augmenté de 7,2 %, pour s'établir à 568 millions
$.
Le BAIIA ajusté des services sur fil a augmenté de 1,5 % au T4,
pour s'établir à 1 359 millions $, donnant lieu à une augmentation
de 60 points de base de notre marge, la plus élevée du secteur, à
43,3 %. Ce résultat découle de la croissance de la clientèle
d'abonnés des services Internet et de télé IP à large bande, de
l'amélioration d'un exercice à l'autre de la rentabilité
d'exploitation dans les marchés d'affaires et de la diminution de
1,1 % des coûts d'exploitation reflétant l'incidence favorable
d'IFRS 16 ainsi que l'amélioration continue du service, le contrôle
des dépenses et les mesures d'efficience opérationnelle liée à la
fibre. Pour un cinquième exercice consécutif, les services sur
fil ont généré une croissance positive du BAIIA ajusté en 2019, en
hausse de 1,7 %, à 5 414 millions $, les coûts d'exploitation ayant
diminué de 0,1 %, pour s'établir à 6 942 millions $, ce qui a
permis de dégager une augmentation de 0,4 point de pourcentage de
la marge, à 43,8 %.
- Bell a ajouté 35 639 nouveaux abonnés des services Internet de
détail au T4, une augmentation de 9,6 % par rapport à l'exercice
précédent, ce qui reflète la croissance continue de la clientèle
des services à large bande haute vitesse dans les zones de
couverture du réseau FTTP et du service Internet résidentiel sans
fil de Bell, (qui, ensemble, rejoignaient environ 5,4 millions
d'emplacements à la fin de 2019, en hausse comparativement à
environ 4,6 millions en 2018). Pour l'ensemble de l'exercice 2019,
les ajouts nets dans les services Internet de détail au total ont
augmenté de 16,5 %, pour s'établir à 135 861, ce qui résulte de
l'augmentation des activations brutes, notamment l'effet des
activations d'abonnés des services Internet découlant du service
Alt Télé de Bell, ainsi que de la diminution du taux de
désabonnement.
- La clientèle des services Internet de détail totalisait 3 555
601 abonnés à la fin de 2019, une augmentation de 4,3 % par rapport
à 2018, consolidant la position de Bell en tant que premier
fournisseur de services Internet du Canada.
- Bell Télé a ajouté 22 039 nouveaux abonnés nets des services de
télé IP de détail, en baisse par rapport à 36 473 au T4 2018, en
raison du taux de pénétration élevé dans les marchés actuels de
Fibe, du taux de saturation accru de notre service Alt Télé ainsi
que de la substitution constante en faveur des services de télé par
contournement. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, les ajouts nets
du service de télé IP de détail ont totalisé 91 476,
comparativement à 110 790 à l'exercice précédent. À la fin de 2019,
Bell comptait 1 767 182 abonnés des services de télé IP de détail,
soit une hausse de 5,5 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service de télé par satellite de
détail au T4 et pour l'ensemble de l'exercice 2019 ont diminué de
7,0 % et de 4,3 %, respectivement, pour s'établir à 21 618 et à 85 423, en raison du nombre moindre de
désactivations d'abonnés. À la fin de 2019, Bell demeurait le
premier fournisseur de services de télé en importance au Canada,
comptant un nombre total combiné de 2 772 464 abonnés des services
de télé IP et de télé par satellite de détail, soit une hausse de
0,2 % par rapport à 2018.
- Les produits tirés des services de données filaires ont
augmenté de 1,6 % au T4, pour s'établir à 1 941 millions $, ce qui
découle de la croissance de la clientèle d'abonnés des services
Internet et de télé IP, des augmentations de tarifs des services
résidentiels, de la hausse du PMU découlant des mises à niveau à
des vitesses Internet plus élevées et de l'adoption de forfaits
offrant plus de données, ainsi que de l'augmentation des ventes de
solutions d'affaires. Pour l'ensemble de l'exercice 2019, les
produits tirés des services de données filaires ont augmenté de 2,9
%, à 7 684 millions $.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR résidentiels de détail ont
diminué de 3,2 % au T4, pour s'établir à 58 110, ce qui reflète la
fidélisation accrue de la clientèle dans la zone de couverture en
expansion du réseau de fibre optique de Bell et les répercussions
du mouvement de réorientation du secteur vers les forfaits
comprenant deux produits, soit Internet et de télé, au détriment
des forfaits comprenant trois produits, un mouvement qui s'est
amorcé au milieu de 2018 et qui a eu
une incidence défavorable sur les nouvelles activations. Pour
l'ensemble de l'exercice 2019, les pertes nettes d'abonnés des SAR
résidentiels de détail ont totalisé 263 325, en hausse de 1,7 % par
rapport à 2018, ce qui reflète la substitution en faveur des
services sans fil et IP. Il en est résulté une diminution de 8,9 %,
d'un exercice à l'autre, de la clientèle totale des SAR
résidentiels de Bell, à 2 697 483 abonnés à la fin de 2019.
- Les produits tirés des services voix filaires ont diminué de
5,8 %, pour se chiffrer à 879 millions $ au T4, et de 5,8 %, pour
se chiffrer à 3 564 millions $ pour l'ensemble de l'exercice 2019,
par suite de la diminution de la clientèle d'abonnés des SAR, de la
conversion des clients d'affaires aux services de données IP ainsi
que de l'utilisation moindre des services interurbains
traditionnels, tant par les clients résidentiels que par les
clients d'affaires.
Bell Média
Les produits d'exploitation de Bell Média
ont augmenté de 3,4 % au T4, pour s'établir à 879 millions $, du
fait de l'augmentation des produits tirés de la croissance des
abonnés de Crave en 2019 et des
renouvellements de contrats avec des fournisseurs de services de
télé. Les produits tirés de la publicité sont demeurés
essentiellement stables étant donné que les augmentations
enregistrées dans nos services spécialisés dans le divertissement,
les sports et l'information ainsi que dans les activités
d'affichage extérieur d'Astral ont été contrebalancées par la
performance moindre, d'un exercice à l'autre, de la télé
généraliste et de la radio.
Le BAIIA ajusté de Bell Média a augmenté de 16,5 %, pour
s'établir à 205 millions $, en raison de la forte croissance des
produits des activités ordinaires, tandis que les coûts
d'exploitation sont demeurés stables, à 674 millions $, les coûts
accrus des droits de diffusion dans les sports ainsi que
l'expansion continue du contenu de Crave ayant été compensés par
l'incidence favorable d'IFRS 16.
Pour l'ensemble de l'exercice 2019, les produits d'exploitation
de Bell Média ont augmenté de 3,1 %, pour s'établir à 3 217
millions $, et les coûts d'exploitation ont diminué de 2,5 %, pour
s'établir à 2 367 millions $, entraînant une croissance du BAIIA
ajusté de 22,7 %, à 850 millions $.
- CTV s'est illustré comme le réseau de télévision le plus
regardé au Canada aux heures de grande écoute par l'ensemble des
téléspectateurs pour la saison d'automne, avec 12 des 20 émissions
les plus regardées à l'échelle nationale.
- TSN est demeuré le chef de file des sports au Canada et la
chaîne de télé spécialisée et de télé payante la plus regardée au
T4. L'auditoire moyen a progressé de 9 % d'un exercice à l'autre,
reflétant les cotes d'écoute élevées pour les principales
propriétés de TSN, notamment la Coupe Grey, le football de la NFL,
le soccer de la MLS, le Championnat mondial de hockey junior 2020
IIHF et la diffusion des matchs des Raptors de Toronto. RDS est demeurée la première chaîne
francophone de télé spécialisée dans les sports et de télé
spécialisée au T4 pour les adultes dans la tranche des 25 à 54
ans.
- Les propriétés anglophones de télé spécialisée dans le
divertissement de Bell Média ont généré une croissance de
l'ensemble des téléspectateurs de 7 % au T4. Bell Média arrive
également en tête dans la télé spécialisée dans le divertissement
et la télé payante francophones avec 4 des 10 meilleures chaînes
(RDS, Super Écran, Canal D et Z) pour les adultes dans la tranche
des 25 à 54 ans.
- Bell Média a maintenu sa position de premier radiodiffuseur du
Canada, avec une croissance de l'auditoire canadien de 7 % au T4,
rejoignant en moyenne 16,8 millions d'auditeurs, lesquels ont
écouté, chaque semaine, environ 77 millions d'heures de
contenu.
- Chef de file du secteur numérique parmi tous les concurrents
canadiens dans les médias, Bell Média a rejoint 23,5 millions de
visiteurs uniques mensuellement et a enregistré des moyennes de 515
millions de pages consultées et de 1 milliard de minutes passées en
ligne chaque mois.
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,8325 $ par action ordinaire, payable le 15 avril 2020 aux
actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16 mars
2020.
PERSPECTIVES POUR 2020
Le tableau ci-dessous présente
les objectifs de notre orientation financière pour 2020. Ces
fourchettes tiennent compte des perspectives actuelles ainsi que de
nos résultats financiers consolidés de 2019, ce qui reflète
l'incidence favorable sur les taux de croissance du BAIIA ajusté et
des flux de trésorerie disponibles de l'adoption de la comptabilité
selon IFRS 16 au début de 2019.
|
Orientation
pour 2019
|
Résultats de
2019
|
Orientation
pour 2020
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
1 % à 3 %
|
2,1 %
|
1 % à 3 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
5 % à 7 %
|
6,0 %
|
2 % à 4 %
|
Intensité du
capital
|
environ 16,5
%
|
16,6 %
|
environ 16,5
%
|
BPA ajusté
|
3,48 $ à 3,58
$
|
3,50 $
|
3,50 $ à 3,60
$
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles
|
7 % à 12 %
|
7,0 %
|
3 % à 7 %
|
Dividende sur actions
ordinaires annualisé
|
3,17 $
|
3,17 $
|
3,33 $
|
Politique de
distribution de dividendes(3)
|
65 % à 75
%
des flux de
trésorerie disponibles
|
73,8 %
|
65 % à 75
%
des flux de
trésorerie disponibles
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T4
2019 et de l'orientation financière
pour 2020, le jeudi 6 février, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1800273-9672 ou le 416-340-2216. Une reprise sera disponible
jusqu'à minuit le 6 mars 2020 au 1800408-3053 ou au 905-694-9451
(composez le code d'identification 1191984#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une
webdiffusion en direct sur le site Web de BCE, à Téléconférence sur
les résultats de BCE pour le T4 2019. Le fichier MP3 sera également
disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après
la téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté
n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est
donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le
bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux
actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes (profits
nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de
couverture économique des régimes de rémunération fondée sur des
actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres, les
pertes nettes (profits nets) sur placements, les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette et les charges pour perte de
valeur, déduction faite de l'impôt et des participations ne donnant
pas le contrôle (PNDPC). Nous définissons le BPA ajusté comme le
bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le
bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent ces mesures, entre autres,
pour évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des
coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres,
des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur
placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette et
des charges pour perte de valeur, déduction faite de l'impôt et des
PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA
sont les mesures financières conformes aux normes IFRS les plus
comparables. Le tableau suivant présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
|
|
|
T4 2019
|
T4 2018
|
2019
|
2018
|
|
Total
|
Par action
|
Total
|
Par action
|
Total
|
Par action
|
Total
|
Par action
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
672
|
0,74
|
606
|
0,68
|
3 040
|
3,37
|
2 785
|
3,10
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
20
|
0,02
|
44
|
0,05
|
83
|
0,10
|
100
|
0,11
|
Pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux
propres
|
45
|
0,05
|
(25)
|
(0,03)
|
(101)
|
(0,11)
|
58
|
0,07
|
(Profits nets) pertes
nettes sur placements
|
(13)
|
(0,01)
|
27
|
0,03
|
44
|
0,05
|
47
|
0,05
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
-
|
-
|
-
|
-
|
13
|
0,01
|
15
|
0,02
|
Charges pour perte de
valeur
|
70
|
0,08
|
142
|
0,16
|
74
|
0,08
|
146
|
0,16
|
Bénéfice net
ajusté
|
794
|
0,88
|
794
|
0,89
|
3 153
|
3,50
|
3 151
|
3,51
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes
IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les états
consolidés du résultat net de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de
BCE correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4,
Information sectorielle, des états financiers consolidés du
T3 2019 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté comme le
BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous utilisons
le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer la
performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur rentabilité
continue. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une société
d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres
obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante
servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des
télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA
ajusté est également un facteur dans la détermination de la
rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des
dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière conforme aux
normes IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge du
BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau suivant
présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
T4 2019
|
|
T4 2018
|
|
2019
|
|
2018
|
|
Bénéfice
net
|
723
|
|
642
|
|
3 253
|
|
2 973
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
28
|
|
58
|
|
114
|
|
136
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
865
|
|
799
|
|
3 496
|
|
3 145
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
228
|
|
216
|
|
902
|
|
869
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Charges
d'intérêts
|
286
|
|
259
|
|
1 132
|
|
1 000
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
16
|
|
18
|
|
63
|
|
69
|
|
Autres charges
(produits)
|
119
|
|
158
|
|
13
|
|
348
|
|
Impôt sur le
résultat
|
243
|
|
244
|
|
1 133
|
|
995
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 508
|
|
2 394
|
|
10 106
|
|
9 535
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
6 316
|
|
6 215
|
|
23 964
|
|
23 468
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
39,7
|
%
|
38,5
|
%
|
42,2
|
%
|
40,6
|
%
|
(3) Les termes flux de trésorerie disponibles et ratio
de distribution n'ont pas de définition normalisée en vertu des
normes IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés
avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite des
coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui comprennent les
coûts importants liés aux litiges, et du financement des
cotisations volontaires aux régimes de retraite, moins les dépenses
d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées et les
dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC. Nous
excluons les coûts liés aux acquisitions et autres payés et le
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Nous considérons les flux de trésorerie
disponibles comme un important indicateur de la solidité financière
et de la performance de nos activités, car ils révèlent le montant
des fonds disponibles pour payer des dividendes sur actions
ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans notre société.
Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les
flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses
actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité financière et la
performance de nos activités. Les flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation sont la mesure financière conforme aux
normes IFRS la plus comparable. Nous définissons le ratio de
distribution comme les dividendes payés sur actions ordinaires
divisés par les flux de trésorerie disponibles. Nous considérons le
ratio de distribution comme un important indicateur de la solidité
financière et de la performance de nos activités, car il met en
évidence la pérennité des paiements de dividendes de la société. Le
tableau suivant présente un rapprochement des flux de trésorerie
liés aux activités d'exploitation et des flux de trésorerie
disponibles, sur une base consolidée.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
|
|
T4 2019
|
T4 2018
|
2019
|
2018
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 091
|
1 788
|
7 958
|
7 384
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 153)
|
(974)
|
(3 988)
|
(3 971)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(37)
|
(46)
|
(147)
|
(149)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de
PNDPC
|
(14)
|
-
|
(65)
|
(16)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
7
|
14
|
60
|
79
|
Cotisation volontaire
aux régimes de retraite à prestations définies
|
-
|
240
|
-
|
240
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
894
|
1 022
|
3 818
|
3 567
|
(4) Au début du T1 2019, nous avons ajusté notre clientèle
d'abonnés des services sans fil afin de retrancher 167 929 abonnés
(72 231 abonnés des services postpayés et 95 698 abonnés des
services prépayés) comme suit : 65 798 abonnés (19 195 abonnés des
services postpayés et 46 603 abonnés des services prépayés), en
raison de l'achèvement des travaux de mise hors service du réseau
AMRC le 30 avril 2019; 49 095 abonnés des services prépayés par
suite de la modification des conditions de notre politique de
désactivation qui, principalement, sont passées de 120 jours pour
Bell et Virgin Mobile et de 150 jours pour Lucky Mobile, à 90
jours; 43 670 abonnés des services postpayés qui se rapportent à
l'Internet des objets (IdO), précision attribuable au fait que nous
avons raffiné notre définition du terme abonné pour tenir compte de
l'évolution technologique, et 9 366 abonnés du service Internet
sans fil fixe postpayé transférés à Bell Internet.
(5) Nous utilisons la FMU, le taux de désabonnement, l'intensité
du capital et les unités d'abonnement comme indicateurs de
performance clés afin d'évaluer les progrès accomplis à l'égard de
nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés ne
sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas être
comparables à des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre
orientation financière (ce qui comprend les produits des activités
ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le BPA ajusté
et les flux de trésorerie disponibles), le dividende sur actions
ordinaires annualisé et la politique de distribution de dividendes
sur actions ordinaires de BCE pour 2020, nos plans de déploiement
pour les réseaux et les dépenses d'investissement, nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques, ainsi que
d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques.
Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation,
objectif, perspective, projet, stratégie, cible et d'autres
expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le
futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser,
s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier,
chercher à et aspirer à, permettent de repérer les
déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives
sont faites conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform
Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 6 février 2020 et, par conséquent,
pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les
lois applicables en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous
ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les
déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même
à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de
l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf
indication contraire de la part de BCE, les déclarations
prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments
exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions,
d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres
transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 6
février 2020. L'incidence financière de ces transactions et de ces
éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend de faits
particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de
manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même
façon que les risques connus touchant nos activités. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
sont présentées dans le but d'aider les investisseurs et les autres
parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats
financiers prévus, ainsi que nos objectifs, priorités stratégiques
et perspectives commerciales, et à mieux comprendre le contexte
dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est
donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne
pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Un taux constant de croissance économique, étant donné la plus
récente estimation de la Banque du Canada de la croissance du
produit intérieur brut du Canada de 1,6 % en 2019 et en 2020;
- les gains au chapitre de l'emploi devraient continuer en 2020,
car le niveau d'investissement des entreprises devrait augmenter,
mais demeurer variable;
- les taux d'intérêt devraient se maintenir à leur niveau actuel
ou près de ce niveau;
- le dollar canadien devrait se maintenir à son niveau actuel.
Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de l'incidence
de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt et des
variations des prix des marchandises;
- l'intensité continue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil;
- l'adoption plus généralisée des plans de services de données
illimitées et des programmes de paiements par versements Paiements
intelligents;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration des
clients d'affaires vers des solutions de télécommunications
traditionnelles à plus faible prix ou des services par
contournement offerts par des concurrents;
- l'incidence éventuelle de la baisse des cotes d'écoute sur le
marché publicitaire;
- la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir
de la programmation de qualité;
- la diminution de la clientèle d'abonnés des entreprises de
distribution de radiodiffusion (EDR) et l'intensification de la
concurrence découlant de l'apparition d'un plus grand nombre de
plateformes de diffusion en continu de vidéo à la demande par
abonnement (VADA) sur le marché des services par
contournement;
- l'érosion constante de la clientèle du service de télé
linéaire, en raison du nombre grandissant d'abonnés qui se
débranchent du câble et de personnes qui n'ont jamais été abonnées
à un service de câblodistribution.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien de notre part du marché des ajouts nets d'abonnés
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- la hausse des ajouts nets d'abonnés des services prépayés;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils de quatrième génération (4G) évolution à
long terme (LTE) et LTE Advanced (LTE-A) et de nouveaux services de
données;
- l'expansion de la couverture du réseau LTE-A à environ 96 % de
la population canadienne et le lancement du service initial de
cinquième génération (5G) dans des centres urbains partout au
Canada à mesure que des téléphones intelligents compatibles
arriveront sur le marché;
- l'amélioration au chapitre des dépenses relatives à
l'acquisition d'abonnés et à la fidélisation de la clientèle
découlant de l'adoption plus généralisée des programmes de
paiements par versements;
- l'incidence défavorable sur la FMU combinée découlant de la
diminution des produits tirés des frais de dépassement de données
imputable au lancement des plans de services de données illimitées
en 2019, et l'effet de la proportion
accrue d'abonnés des services prépayés parmi l'ensemble de notre
clientèle;
- l'adoption plus généralisée des plans de services de données
illimitées et des programmes de paiements par versements;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- une croissance continue du nombre d'abonnés des services
Internet et de télé IP de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du produit moyen par utilisateur des services
résidentiels par foyer, générée par l'adoption croissante des
forfaits multiproduits par foyer et l'augmentation des tarifs;
- la poursuite des lancements d'offres accrocheuses de forfaits
de services résidentiels par nos concurrents dans la
câblodistribution dans les zones où nous fournissons des services
sur fil locaux;
- le ralentissement de l'activité promotionnelle visant à
acquérir de nouveaux abonnés;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption accélérée par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans la zone de couverture des services sur fil et de la
technologie sans fil fixe au domicile (WTTH) dans les collectivités
rurales;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau
d'investissements constants;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction du
nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs naturels
et de départs à la retraite, de la réduction des taux contractuels
des fournisseurs, de l'efficacité opérationnelle découlant de
l'expansion de la zone de couverture du réseau de fibre au moyen de
connexions directes, des changements liés aux comportements des
consommateurs et à l'innovation au chapitre des produits, de la
nouvelle technologie pour centres d'appels permettant de fournir
des fonctions libre-service ainsi que d'autres améliorations au
chapitre de l'expérience en matière de service à la clientèle;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- La performance au chapitre des produits des activités
ordinaires devrait refléter la hausse des tarifs pour les EDR,
l'établissement de tarifs stratégiques pour les ventes de publicité
et la substitution simultanée des messages publicitaires canadiens
pendant le Super Bowl, qui a été autorisée par la décision de la
Cour suprême rendue en décembre 2019, annulant la décision de 2016
du Conseil de la radiodiffusion et
des télécommunications canadiennes (CRTC);
- l'augmentation des coûts d'exploitation entraînée par la hausse
des coûts de la programmation, découlant principalement de
l'investissement continu dans le contenu de Crave et des droits de
diffusion dans les sports;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption des produits de
Crave et le lancement du contenu en français de Crave;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- la monétisation des droits sur le contenu et des propriétés de
Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- une baisse du nombre d'abonnés pour de nombreuses propriétés
vidéo de Bell Média entraînée par la popularité grandissante du
visionnement de contenu par contournement;
- l'acquisition du réseau généraliste V et de ses actifs
numériques, y compris le service de VSD financé par la publicité
Noovo.ca, sous réserve de l'obtention des approbations
réglementaires;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La
section qui suit présente les principales hypothèses financières de
BCE pour 2020 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 300 millions $ à 320 millions $, selon
un taux d'actualisation comptable estimatif de 3,1 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 265 millions $ à 275 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 35
millions $ à 45 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 4 450 millions $ à 4
550 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ 1 100 millions $ à 1 125
millions $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 27 %;
- des PNDPC d'environ 65 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite
totalisant environ 350 millions $ à 375 millions $;
- des impôts en trésorerie d'environ 625 millions $ à 725
millions $;
- des paiements d'intérêts nets d'environ 1 100 millions $ à 1
125 millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 906 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,33 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 6 février 2020,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon significative de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon significative de ceux qui sont
exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y
compris notre orientation financière pour 2020, sont énumérés
ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y
compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles
indiqués dans notre orientation financière pour 2020, dépend
essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son
tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le
lecteur est mis en garde contre le fait que tous les risques
suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable
significative sur nos déclarations prospectives. Ces risques
comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, les ventes aux enchères de spectre, l'imposition de
codes de conduite à l'égard des consommateurs, l'approbation
d'acquisitions, l'octroi de licences de radiodiffusion, les
exigences relatives à la propriété étrangère et le contrôle du
piratage des droits d'auteur;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, jumelée au lancement de nouveaux
produits et services, ainsi que l'incidence connexe sur le coût lié
à l'acquisition d'abonnés et à la fidélisation de la clientèle, de
même que sur nos parts de marché, nos volumes de ventes et nos
stratégies d'établissement des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à l'accélération des
perturbations et à la désintermédiation dans chacun de nos secteurs
d'activité;
- la croissance du nombre d'abonnés et de téléspectateurs
compromise par l'évolution des habitudes en matière de visionnement
et l'expansion des fournisseurs de télé par contournement et les
autres fournisseurs de services, ce qui pourrait accélérer le
débranchement des services de télé et la réduction des dépenses
pour ces services, ainsi que la fragmentation du marché de la
publicité et les changements qui s'y produisent;
- l'augmentation des coûts du contenu liée au nombre croissant de
concurrents nationaux et mondiaux convoitant le même contenu, et
les obstacles à notre capacité à acquérir ou à concevoir du contenu
de premier plan pour stimuler la croissance des produits des
activités ordinaires et des abonnements;
- la prolifération du piratage de contenu, qui pourrait avoir une
incidence sur notre capacité à monétiser les produits et les
services, et également comprimer la bande passante;
- la hausse du taux de pénétration des téléphones intelligents au
Canada et du coût des appareils qui pourrait nuire à la croissance
du nombre d'abonnés et augmenter le coût d'acquisition d'abonnés et
de fidélisation de la clientèle;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence défavorable connexe sur la
demande de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et
le volume des créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs corporels et incorporels,
notamment les réseaux, les systèmes de technologies de
l'information (TI), les bureaux, les magasins et l'information de
nature sensible, contre des événements comme des atteintes à la
sécurité de l'information, l'accès ou l'entrée non autorisés, des
incendies et des catastrophes naturelles;
- l'incapacité à transformer nos activités en vue de créer les
conditions propices à une expérience véritablement centrée sur le
client à tous les points d'interaction dans le contexte d'une gamme
de produits et de services de premier plan en constante évolution,
tout en aplanissant notre structure de coûts;
- l'incapacité à continuer d'investir dans des fonctions de
prochaine génération de manière rigoureuse et stratégique;
- l'incapacité à créer une expérience client positive dans tous
les aspects de notre engagement envers la clientèle;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation, canaux de
vente et bases de données de commercialisation, ainsi que d'une
myriade de forfaits, d'offres promotionnelles et de gammes de
produits;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI très performants soutenus par un cadre de gouvernance et
opérationnel efficace;
- le risque que nous puissions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
niveau de systèmes, des réductions de personnel, des refontes de
processus, et de l'intégration des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir, à les remplacer et à les mettre à niveau;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour
fournir notre service de télé par satellite;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr;
- les interruptions de travail;
- notre dépendance aux tiers fournisseurs, aux impartiteurs et
aux consultants qui nous fournissent de façon ininterrompue les
produits et services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités, mettre en œuvre de nouvelles technologies liées aux
réseaux et autres, offrir de nouveaux produits et services, ainsi
que respecter différentes obligations;
- les modifications à notre répertoire de fournisseurs et
d'impartiteurs que nous pourrions décider d'effectuer ou que nous
serions tenus d'apporter;
- l'incapacité d'assurer, par nos processus de sélection, de
gouvernance et de surveillance des fournisseurs conçus pour ce
faire, la pleine transparence en ce qui concerne le risque lié aux
fournisseurs actuels ou aux nouveaux fournisseurs;
- le risque lié à la sécurité et à la fuite de données si les
protocoles de contrôle de la sécurité qui concernent nos
fournisseurs sont contournés;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE, que le dividende sur
actions ordinaires sera majoré ou que la politique de distribution
de dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts nouvellement exigés ou plus élevés découlant de
l'adoption de nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées
aux lois fiscales existantes ou à leur interprétation, et
l'incapacité à prévoir l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- le règlement défavorable des litiges, en particulier des
actions collectives;
- de nouvelles modifications ou des modifications défavorables
aux lois applicables et l'incapacité d'agir en amont pour ce qui
est du respect de nos obligations juridiques et
réglementaires;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils et des équipements de
communication sans fil;
- l'incapacité à assurer le fonctionnement de nos réseaux et à
fournir un service à la clientèle en cas d'épidémies, de pandémies
ou d'autres éventualités menaçantes pour la santé.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également l'Avis
concernant les déclarations prospectives de BCE daté du 6
février 2020 pour obtenir plus de détails au sujet de certains des
facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de
risque et hypothèses, ce document étant déposé par BCE auprès des
autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières
(disponible à Sedar.com) et de la Securities and Exchange
Commission des États-Unis (disponible à SEC.gov). Ce document est
également disponible à BCE.ca.
L'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE
daté du 6 février 2020 est intégré par renvoi dans le présent
communiqué de presse.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE offre des services large bande
évolués sans fil, de télévision, Internet et de communications
d'affaires et exploite Bell Média, première entreprise de création
de contenu et d'actifs média au pays. Pour en savoir plus, visitez
les sites Bell.ca ou BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la
santé mentale au Canada par des campagnes nationales de
sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation comme la
Journée Bell Cause pour la cause, et elle assure un important
financement aux soins communautaires, à la recherche et aux
initiatives de leadership en milieu de travail. Pour en savoir
plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Marie-Eve Francoeur
514-391-5263
marie-eve.francoeur@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514-870-4619
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SOURCE BCE inc.