- Le bénéfice par action diminue de 4 % pour se situer à 2,65 $;
les ventes et produits nets chutent de 9 %.
- Le rendement est soutenu par une exécution efficace et une
gestion rigoureuse des coûts.
- Les prévisions de revenus pour l'exercice demeurent à 3,3
milliards $.
MOLINE, IL, le 15 mai 2014
/CNW/ - Deere & Company (NYSE : DE) a déclaré aujourd'hui
un bénéfice net de 980,7 millions $, soit 2,65 $ par action, pour
le deuxième trimestre qui s'est terminé le 30 avril. En
comparaison, la société avait dégagé un bénéfice net de 1,084
milliard $, ou 2,76 $ par action, pour la même période l'an passé.
Pour les six premiers mois de l'exercice 2014, le bénéfice net
attribuable à Deere & Company s'élève donc à 1,662 milliard $,
soit 4,46 $ par action, comparativement à 1,734 milliard $, ou 4,41
$ par action, l'an dernier.
Les ventes et produits nets à l'échelle mondiale ont diminué de
9 pour cent au deuxième trimestre, à 9,948 milliards $, et de 4
pour cent pour les six premiers mois, à 17,602 milliards $. Les
ventes nettes des activités liées aux équipements se sont élevées à
9,246 milliards $ pour le dernier trimestre et à 16,195 milliards $
pour la période de six mois, alors qu'elles avaient été de 10,265
milliards $ et de 17,058 milliards $ lors des mêmes périodes il y a
un an.
« John Deere est en voie de connaître une autre excellente année
sur le plan du rendement financier et opérationnel », souligne
Samuel R. Allen, président et chef
de la direction. « Les bénéfices que nous avons dégagés au deuxième
trimestre montrent une fois de plus l'exécution adéquate de nos
plans d'exploitation. Nous avons bien maîtrisé les coûts et les
actifs, tout en réussissant à gérer d'importantes transitions de
nouveaux produits afin de respecter les normes d'émission plus
strictes. Par ailleurs, nos activités liées à la construction et
foresterie et aux services financiers ont obtenu de meilleurs
résultats, ce qui témoigne de la force de nos divisions. »
Résumé des activités
Les ventes nettes des activités mondiales liées aux équipements
ont chuté de 10 pour cent pour le deuxième trimestre et de 5 pour
cent pour les six premiers mois par rapport aux périodes
correspondantes de l'an dernier. Ces ventes comprennent une
réalisation des prix de 2 pour cent et une incidence
défavorable de la conversion des devises de 1 pour cent pour le
trimestre et les six premiers mois. Les ventes nettes d'équipements
aux États-Unis et au Canada ont
diminué de 12 pour cent au dernier trimestre et de 6 pour cent
depuis le début de l'exercice. Ailleurs, les ventes nettes ont
baissé de 6 pour cent pour le trimestre et de 3 pour cent pour la
période de six mois, ce qui comprend une incidence négative de la
conversion des devises de 2 pour cent pour les deux périodes.
Les activités liées aux équipements de Deere ont affiché un
bénéfice d'exploitation de 1,361 milliard $ pour le trimestre et de
2,252 milliards $ pour les six premiers mois, comparativement à
1,663 milliard $ et à 2,500 milliards $ l'année dernière. Cette
baisse est principalement attribuable à la diminution des volumes
de livraison, à l'incidence défavorable de la conversion des
devises et à une combinaison de produits moins favorable, lesquels
facteurs ont été partiellement contrebalancés par les prix
réalisés.
Le bénéfice net des activités liées aux équipements de la
société s'est élevé à 838 millions $ pour le deuxième trimestre et
à 1,381 milliard $ pour les six premiers mois, par rapport à 953
millions $ et à 1,478 milliard $ en 2013. Outre les facteurs
d'exploitation cités plus haut, le taux d'imposition effectif moins
élevé a eu un effet positif sur les résultats des deux
périodes.
La division des services financiers a déclaré un bénéfice net
attribuable à Deere & Company de 147,7 millions $ pour le
trimestre et de 289,9 millions $ pour les six premiers mois,
comparativement à 125,0 millions $ et à 257,9 millions $ l'année
dernière. L'amélioration observée au deuxième trimestre est due à
la croissance du portefeuille de crédit, laquelle a été
partiellement contrebalancée par l'augmentation des dépenses
commerciales, administratives et générales. Les résultats de la
période de six mois ont bénéficié eux aussi de la croissance du
portefeuille de crédit en plus d'un taux d'imposition effectif plus
favorable, des améliorations qui ont été partiellement
contrebalancées par une diminution des marges d'assurance-récolte
et une hausse des dépenses commerciales, administratives et
générales.
Perspectives de la société et résumé
Les ventes d'équipements de la société devraient diminuer
d'environ 4 pour cent pour l'exercice 2014
et le troisième trimestre, comparativement aux mêmes
périodes de 2013. Ces prévisions tiennent compte d'une incidence
négative de la conversion des devises d'environ 1 pour cent pour
l'exercice. Pour l'exercice, on s'attend à ce que le bénéfice net
imputable à Deere & Company soit d'environ 3,3 milliards
$.
« John Deere prévoit générer des bénéfices quasi records pour
l'exercice 2014, et la société est en
bonne position pour enregistrer de solides résultats financiers
dans l'ensemble de son cycle d'affaires », affirme M. Allen. « Nous
avons bon espoir que nos investissements massifs dans les nouveaux
produits et marchés, jumelés à nos efforts visant à restreindre les
coûts et les actifs permettront à la société de continuer
d'assainir ses finances et aideront à soutenir nos plans de
croissance. » Ces projets sont essentiels pour répondre au besoin
grandissant de nourriture, de logement et d'infrastructure dans le
monde entier, ajoute-t-il, et ils devraient offrir des avantages
considérables aux investisseurs et aux clients de la société pour
les années à venir.
Rendement de la division Équipements
Équipements agricoles et gazons. Les ventes ont chuté de
12 pour cent pour le trimestre et de 7 pour cent pour les six
premiers mois à cause principalement des volumes de livraison moins
élevés, de la vente annoncée de John Deere Landscapes et des effets
défavorables de la conversion des devises, lesquels facteurs ont
été partiellement contrebalancés par les prix réalisés.
Le bénéfice d'exploitation a atteint pour sa part 1,229
milliard $ pour le trimestre et 2,026 milliards $ pour les six
premiers mois, comparativement à 1,582 milliard $ et à 2,347
milliards $ respectivement l'an dernier. La détérioration constatée
pour les deux périodes est surtout attribuable à la baisse des
volumes de livraison, à l'incidence défavorable des devises
étrangères et à une combinaison de produits moins favorable. Les
prix réalisés ont partiellement contrebalancés cette baisse.
Construction et foresterie. Les ventes de la division
construction et foresterie ont augmenté de 2 pour cent pour le
trimestre et de 3 pour cent pour la période de six mois en raison
surtout de la hausse des volumes de livraison. Le bénéfice
d'exploitation, quant à lui, s'est chiffré à 132 millions $
pour le deuxième trimestre et à 226 millions $ depuis le début de
l'exercice, comparativement à 81 millions $ et à 153 millions $
l'année dernière. Cette augmentation du bénéfice d'exploitation
pour les deux périodes est attribuable principalement à une hausse
des volumes de livraison, à une baisse des coûts de production et à
une diminution des charges commerciales, administratives et
générales. Ces facteurs ont été partiellement contrebalancés par
des coûts incitatifs de vente plus élevés. Les résultats depuis le
début de l'exercice ont également bénéficié d'une réduction des
dépenses en recherche et développement.
Perspectives et conjoncture du marché
Équipements agricoles et gazons. Les ventes mondiales de
la division des équipements agricoles et gazons de Deere devraient
diminuer d'environ 7 pour cent pour l'exercice 2014, en tenant
compte d'une incidence négative d'environ 1 pour cent de la
conversion des devises.
Bien que la conjoncture de l'économie agricole demeure
relativement bonne, les revenus agricoles devraient être inférieurs
à ceux de l'an dernier. Cette baisse met de la pression sur la
demande d'équipements agricoles, principalement pour les gros
modèles. Cependant, la vigueur du secteur de l'élevage aux
États-Unis favorise actuellement les ventes de tracteurs de petite
et moyenne taille. En tenant compte de tous ces facteurs, les
ventes de l'industrie d'équipements agricoles aux États-Unis et au
Canada devraient diminuer de 5 à
10 pour cent pour l'année.
On prévoit que les ventes de l'exercice dans les 28 États
membres de l'UE diminuent d'environ 5 pour cent à cause de la
baisse des prix des produits de base et des revenus agricoles. En
Amérique du Sud, les ventes industrielles de tracteurs et de
moissonneuses-batteuses devraient reculer d'environ 10 pour cent,
après avoir enregistré de bons résultats en 2013. Les ventes
industrielles dans la Communauté des États indépendants devraient
être largement inférieures pour l'année en raison de la dégradation
de la conjoncture qui y prévaut. Les ventes en Asie sont appelées à
augmenter quelque peu.
Finalement, les ventes de l'industrie d'équipements utilitaires
et gazons aux États-Unis et au Canada devraient rester à peu près identiques
ou augmenter de 5 pour cent en 2013, reflétant ainsi l'amélioration
de la conjoncture du marché.
Construction et foresterie. Les ventes mondiales de la
division d'équipements de construction et de foresterie de Deere
devraient croître d'environ 10 pour cent en 2014. Cette
amélioration reflète la poursuite de la reprise économique et la
hausse des mises en chantier aux États-Unis, ainsi que la
croissance des ventes à l'extérieur des États-Unis et du
Canada. On s'attend à ce que les
ventes mondiales de la division foresterie soient supérieures pour
l'année en raison de la croissance économique générale et de
l'augmentation des ventes sur les marchés européens.
Services financiers. Pour l'exercice 2014, le bénéfice
net imputable aux activités de services financiers de Deere &
Company devrait s'élever à environ 600 millions $. Cette
prévision à la hausse est principalement due à la croissance prévue
du portefeuille de crédit et à un taux d'imposition plus favorable.
Ces facteurs devraient être partiellement contrebalancés par une
hausse des dépenses commerciales, administratives et générales, une
diminution des marges d'assurance-récolte et une augmentation des
provisions pour pertes sur créance par rapport au faible niveau de
2013.
John Deere Capital Corporation
Les renseignements suivants sont communiqués au nom de la
filiale des services financiers de la société, John
Deere Capital Corporation (JDCC), conformément aux obligations
d'information applicables à l'émission périodique de ses titres de
créance sur le marché public.
Le bénéfice net attribuable à John Deere Capital
Corporation s'est chiffré à 124,3 millions $ pour le deuxième
trimestre et à 260,8 millions depuis le début de l'exercice,
comparativement à 105,9 millions $ et à 210,9 millions $ pour les
périodes correspondantes l'an dernier. L'augmentation observée pour
ces deux périodes est due principalement à la croissance du
portefeuille de crédit, laquelle a été partiellement contrebalancée
par une hausse des dépenses commerciales, administratives et
générales. De plus, les résultats après six mois ont bénéficié d'un
taux d'imposition réel plus favorable.
Les montants nets des comptes clients et des contrats de
location financés par JDCC s'élevaient à 32,231 milliards $ au 30
avril 2014, comparativement à 28,721 milliards $ l'année
dernière.
Déclaration de règle refuge
Déclaration de règle refuge en vertu de la loi Private
Securities Litigation Reform Act de 1995 : les
déclarations contenues dans les sections « Résumé et
perspectives de la société », « Perspectives et
conjoncture du marché » et autres déclarations prospectives du
présent communiqué qui font référence à des événements futurs, à
des attentes, à des tendances et à des périodes d'exploitation
comportent certains facteurs pouvant faire l'objet de changements,
ainsi que des risques et des incertitudes importants susceptibles
d'entraîner des écarts considérables entre les prévisions et les
résultats réels. Certains de ces risques et incertitudes pourraient
avoir des répercussions sur des secteurs d'activité bien précis,
tandis que d'autres peuvent avoir une incidence sur l'ensemble des
activités de la société.
Les opérations de la division des équipements agricoles de la
société sont assujetties à certaines incertitudes, y compris de
nombreux facteurs interdépendants qui peuvent influer sur la
confiance des exploitants agricoles. Ces facteurs comprennent la
conjoncture économique à l'échelle mondiale, la demande pour les
produits agricoles, les stocks de grains mondiaux, les conditions
météorologiques (notamment ses effets sur la plantation et la
récolte au moment voulu), les conditions du sol (y compris le
manque d'humidité souterraine causé par les récentes sécheresses),
la production des récoltes, le prix des produits de base et du
bétail, les dépenses de production des produits de base et du
bétail, la disponibilité du transport des récoltes, l'utilisation
non alimentaire accrue et durable de certaines récoltes (y compris
la production d'éthanol et de biodiésel), les valeurs des biens
immobiliers, la surface disponible pour l'agriculture, les
politiques de divers gouvernements en matière de propriété
foncière, les changements dans les programmes et politiques
agricoles des gouvernements (notamment en Argentine, au Brésil, en
Chine, dans l'Union européenne, en Inde, en Russie et aux
États-Unis), les réactions à ces programmes à l'international, les
changements dans les programmes d'assurance du bétail et leurs
effets, les accords commerciaux internationaux, les maladies
animales et leurs effets sur les prix et la consommation de
volaille, de bœuf et de porc, les parasites agricoles et les
maladies, et le volume des exportations de produits agricoles (y
compris les préoccupations à l'égard des organismes génétiquement
modifiés).
Parmi les facteurs pouvant influer sur les perspectives de la
division des équipements utilitaires et gazons, mentionnons la
conjoncture économique générale, la confiance des consommateurs,
les conditions météorologiques, la rentabilité des clients, les
habitudes d'emprunt des consommateurs et leurs préférences d'achat,
les mises en chantier, l'investissement dans l'infrastructure, les
dépenses des municipalités et des terrains de golf ainsi que les
coûts des intrants consommables.
La conjoncture économique générale, les habitudes de
consommation, les prix de l'immobilier et des logements, le nombre
de mises en chantier et les taux d'intérêt sont des facteurs
particulièrement importants pour les ventes d'équipements de
construction et de foresterie de la société. Les niveaux de
construction d'édifices publics et non résidentiels ont également
une incidence sur les résultats de sa division d'équipements de
construction et de foresterie. Par ailleurs, les prix de la pâte,
du papier, du bois d'œuvre et des panneaux de charpente ont des
effets non négligeables sur les ventes d'équipements
forestiers.
L'ensemble des activités et des résultats déclarés de la société
subit les répercussions de la conjoncture économique générale qui
prévaut sur les marchés mondiaux où la société évolue, notamment
les changements importants de l'activité économique dans ces
marchés; la confiance des consommateurs à l'égard de la conjoncture
économique générale; les taux de change des devises étrangères et
leur volatilité, particulièrement les fluctuations de la valeur du
dollar américain; les taux d'intérêt; ainsi que les taux
d'inflation et de déflation. La conjoncture économique générale
peut également avoir une incidence sur la demande à l'égard de
l'équipement de la société. Les dépenses et l'imposition actuelles
du gouvernement pourraient avoir une incidence négative sur
l'économie, les emplois, les habitudes de dépense des consommateurs
et des entreprises ainsi que les résultats de la société.
Les activités et les résultats des clients et de la société
pourraient être influencés par des changements dans les régimes
climatiques (y compris les effets de la sécheresse dans certaines
régions des États-Unis et des conditions plus sèches que la normale
sur d'autres marchés); la stabilité politique et sociale des
marchés mondiaux dans lesquels la société exerce ses activités; les
effets du terrorisme et des menaces contre la sécurité ou les
réactions qu'ils engendrent; les guerres et autres conflits
internationaux et les risques de ceux-ci; et la propagation
d'épidémies majeures.
D'importants changements dans l'état de la liquidité du marché
et le non-respect des obligations financières associées aux accords
de crédit pourraient avoir une incidence sur l'accès au financement
et sur les coûts de financement, ce qui pourrait réduire les
bénéfices et les flux de trésorerie de la société. Les conditions
du marché financier pourraient aussi avoir une incidence négative
sur l'accès des clients au capital leur permettant d'acheter les
produits de la société de même que sur la confiance des
consommateurs et leurs décisions d'achat; les habitudes d'emprunt
et de remboursement; ainsi que le nombre et l'ampleur des défauts
de paiement ou des refus de remboursement de la part du client. Une
crise d'endettement, en Europe ou ailleurs, pourrait
avoir une incidence négative sur les devises, les marchés
financiers mondiaux, la stabilité sociale et politique, les sources
et les coûts de financement, les valeurs des actifs et des
obligations, les clients et les fournisseurs ainsi que les
activités et les résultats de l'entreprise. Une crise de la dette
des États pourrait également influer négativement sur les clients,
les fournisseurs, la demande d'équipement ainsi que sur les
opérations et les résultats de l'entreprise. Les activités de
gestion des investissements de la société pourraient être entravées
par des changements au sein des marchés des actions et des
obligations, ce qui aurait une incidence négative sur les
bénéfices.
Parmi les autres facteurs qui pourraient affecter de manière
considérable les activités, l'accès au capital, les dépenses et les
résultats de la société figurent les changements au niveau des
politiques commerciales, bancaires, monétaires et fiscales du
gouvernement ainsi que leurs impacts, y compris la réforme de la
réglementation financière et ses effets sur l'industrie de la
finance des consommateurs, les instruments dérivés, les coûts de
financement et autres domaines, ainsi que les programmes,
politiques, tarifs et sanctions des gouvernements dans des
juridictions particulières ou au profit de certains secteurs ou
industries (incluant les politiques protectionnistes, économiques,
punitives et d'expropriation ainsi que les restrictions dans le
commerce et la concession de licences qui pourraient perturber le
commerce international); les mesures prises par le Federal Reserve
Board des États-Unis et d'autres banques centrales; les mesures
prises par la Securities and Exchange Commission (SEC) des
États-Unis, la Commodity Futures Trading Commission des États-Unis
et d'autres organismes de réglementation financière; les mesures
prises par les organismes de réglementation en matière
d'environnement, de santé et de sécurité, y compris celles qui sont
liées aux émissions des moteurs (en particulier les normes sur les
émissions de niveau 4 intérim/étape IIIB et de niveau 4
final/étape IV pour les moteurs diésel des véhicules non routiers
aux États-Unis et dans l'Union européenne), aux émissions de
carbone et d'autres gaz à effet de serre, au bruit et au risque de
changement climatique; les changements des règlements sur le
travail; les changements des normes comptables; les changements
dans les taux d'imposition, les devis et les règlements ainsi que
les mesures prises par la société à cet effet; le respect des lois
américaines et étrangères lors de l'expansion vers de nouveaux
marchés; et les actions entreprises par d'autres organismes de
règlementation incluant les changements dans les lois et les
règlements qui touchent les secteurs dans lesquels l'entreprise
évolue. Les sanctions commerciales, financières et autres qui sont
imposées par les États-Unis, l'Union européenne, la Russie et
d'autres pays pourraient avoir une incidence négative sur les
actifs, les activités, les ventes, les prévisions et les résultats
de la société. Les activités et les résultats des clients et de la
société pourraient aussi être affectés par les changements dans les
bandes de fréquences radioélectriques GPS ou leurs utilisations
approuvées.
D'autres facteurs susceptibles d'influer sensiblement sur les
résultats comprennent les innovations et les difficultés en ce qui
a trait à la production, à la conception et à la technologie, y
compris les prix et les contraintes liés à la capacité de
production et à l'approvisionnement; la disponibilité et les prix
des matériaux, des composantes et des biens entiers qui ont été
acquis de manière stratégique; les retards et les perturbations
dans la chaîne d'approvisionnement de la société ou la perte de
solvabilité des fournisseurs; l'incapacité des fournisseurs de se
conformer aux règlements, aux lois et aux politiques de la société
ayant trait à l'emploi, aux droits de la personne, à la santé, à la
sécurité, à l'environnement et à d'autres pratiques d'entreprise
conformes à la déontologie; les événements qui portent atteinte à
la réputation ou à la marque de l'entreprise; la création de
nouvelles usines ou de nouveaux produits; le succès des initiatives
visant à lancer de nouveaux produits et l'acceptation de ces
nouveaux produits par la clientèle; les changements dans les
préférences des clients à l'égard des produits et le portefeuille
des ventes que ce soit à la suite de changements dans la conception
des équipements pour se conformer aux réglementations
gouvernementales ou pour toute autre raison; les écarts ou les
limitations dans la capacité, la vitesse et la couverture rurale à
large bande nécessaires pour soutenir les solutions technologiques;
les prix et les niveaux d'approvisionnement du pétrole et de
l'énergie; la disponibilité et le coût du transport de
marchandises; les mesures prises par les compétiteurs dans les
différentes industries où l'entreprise entre en concurrence,
particulièrement les rabais sur les prix; les pratiques des
marchands surtout en ce qui a trait aux niveaux d'inventaires sur
le terrain de marchandises neuves et usagées; les relations de
travail; les acquisitions et les cessions d'entreprises;
l'intégration de nouvelles activités; la mise en œuvre de
changements organisationnels; les difficultés liées à la
transformation et la mise en place des systèmes de planification
des ressources de l'entreprise qui perturbent les activités, ont
une incidence négative sur les relations d'approvisionnement ou de
distribution ou entraînent des coûts plus élevés que prévu; les
atteintes à la sécurité ou autres perturbations de l'infrastructure
informatique de la société; les changements dans les dividendes
déclarés de l'entreprise, ainsi que les émissions et les rachats
d'actions ordinaires.
Les résultats de la société sont également influencés par les
modifications dans le niveau et le financement des prestations de
retraite des employés, les changements dans les valeurs marchandes
de l'actif d'investissement, le niveau des taux d'intérêt et
d'escompte, ainsi que les taux de compensation, de retraite et de
mortalité qui influent sur les frais liés aux prestations de
retraite, de même que les changements importants des frais liés aux
soins de santé, y compris ceux qui pourraient découler d'actions
gouvernementales.
La liquidité et la rentabilité actuelle de John
Deere Capital Corporation et d'autres filiales de crédit
dépendent en grande partie de l'accès opportun au capital afin de
répondre aux exigences futures en termes de flux de trésorerie et
d'opérations de financement, ainsi que des frais associés à la
participation à des activités de financement diversifiées et au
financement des achats de produits de la société. Si la volatilité
du marché et la conjoncture économique générale s'aggravent, le
financement risquerait d'être indisponible ou insuffisant. De plus,
les niveaux de confiance des consommateurs sont susceptibles
d'entraîner une diminution des demandes de crédit et une
augmentation des taux de défauts de paiement, ce qui pourrait avoir
une incidence considérable sur les imputations et les provisions
pour les pertes sur créances. L'échec des réassureurs des activités
d'assurance de la société pourrait également avoir une incidence
considérable sur les résultats.
Les prévisions de la société sont fondées sur des hypothèses
liées aux facteurs décrits précédemment, lesquelles hypothèses
reposent parfois sur des estimations et des données préparées par
des organismes publics. Ces prévisions et données font l'objet de
fréquentes révisions. La société ne s'engage d'aucune façon à
actualiser ni à réviser ses prévisions à la lumière de nouveaux
événements ou pour toute autre raison, sauf si la loi l'exige. Pour
obtenir de plus amples renseignements sur la société et ses
activités, y compris les facteurs susceptibles d'avoir une
incidence considérable sur ses résultats financiers, veuillez
consulter les autres documents déposés auprès de la SEC (entre
autres les facteurs discutés à l'article 1A. Facteurs de
risque du plus récent rapport annuel de la société sur le
formulaire 10-K et des rapports trimestriels sur le formulaire
10-Q).
Communiqué du
deuxième trimestre 2014
|
|
(en millions de
dollars)
|
|
Non
vérifié
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Trimestre terminé
le
30 avril
|
|
Période de six mois
terminée le
30 avril
|
|
|
2014
|
|
2013
|
|
% de
variation
|
|
2014
|
|
2013
|
|
% de
variation
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ventes et produits
nets :
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Équipements agricoles et
gazons
|
|
7 646
|
$
|
|
8 691
|
$
|
|
-12
|
|
13 242
|
$
|
|
14 182
|
$
|
|
-7
|
Construction et
foresterie
|
|
1 600
|
|
|
1 574
|
|
|
+2
|
|
2 953
|
|
|
2 876
|
|
|
+3
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Total
des ventes nettes
|
|
9 246
|
|
|
10 265
|
|
|
-10
|
|
16 195
|
|
|
17 058
|
|
|
-5
|
Services financiers
|
|
572
|
|
|
536
|
|
|
+7
|
|
1 159
|
|
|
1 063
|
|
|
+9
|
Autres produits
|
|
130
|
|
|
113
|
|
|
+15
|
|
248
|
|
|
214
|
|
|
+16
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Total des ventes et
produits nets
|
|
9 948
|
$
|
|
10 914
|
$
|
|
-9
|
|
17 602
|
$
|
|
18 335
|
$
|
|
-4
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Bénéfice
d'exploitation : *
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Équipements agricoles et
gazons
|
|
1 229
|
$
|
|
1 582
|
$
|
|
-22
|
|
2 026
|
$
|
|
2 347
|
$
|
|
-14
|
Construction et
foresterie
|
|
132
|
|
|
81
|
|
|
+63
|
|
226
|
|
|
153
|
|
|
+48
|
Services financiers
|
|
229
|
|
|
198
|
|
|
+16
|
|
411
|
|
|
395
|
|
|
+4
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Total du bénéfice
d'exploitation
|
|
1 590
|
|
|
1 861
|
|
|
-15
|
|
2 663
|
|
|
2 895
|
|
|
-8
|
Éléments de
rapprochement **
|
|
(130)
|
|
|
(111)
|
|
|
+17
|
|
(241)
|
|
|
(206)
|
|
|
+17
|
Impôt sur le
revenu
|
|
(479)
|
|
|
(666)
|
|
|
-28
|
|
(760)
|
|
|
(955)
|
|
|
-20
|
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Bénéfice net imputable
à
Deere &
Company
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981
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$
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1 084
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$
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-10
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1 662
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$
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1 734
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$
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-4
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*
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Le bénéfice
d'exploitation est le bénéfice des activités poursuivies avant les
charges du siège social, certains intérêts débiteurs externes,
certains gains ou pertes de change et les impôts sur le revenu. Le
bénéfice d'exploitation du segment des services financiers comprend
l'effet des intérêts débiteurs et des gains ou pertes de
change.
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**
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Les éléments de
rapprochement sont principalement les charges du siège social,
certains intérêts débiteurs externes, certains gains ou pertes de
change et le bénéfice net imputable aux intérêts
minoritaires.
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SOURCE Deere & Company