- Accroît les activités des Services aux entreprises de la
Banque
- Renforce la position de la Banque comme joueur pancanadien
dans le secteur du financement d'équipement
- Début des activités de la filiale LBC Capital Inc.
MONTRÉAL, le 3 oct. 2016 /CNW
Telbec/ - La Banque Laurentienne du Canada (TSX : LB) (« Banque
Laurentienne » ou la « Banque ») a annoncé
aujourd'hui qu'elle a complété l'acquisition des activités
canadiennes de financement d'équipement et de financement
corporatif de CIT Group Inc. (« CIT Canada »), qui
représentent un portefeuille d'environ 1 milliard $ (CA).
Cette acquisition avait été annoncée le 29 juin 2016. Tel que
spécifié lors de cette annonce, les activités de financement
d'équipement sont regroupées au sein d'une nouvelle filiale
nationale nommée LBC Capital Inc., qui débute ses activités
aujourd'hui.
« Nous sommes heureux d'accueillir les employés de CIT
Canada dont l'expertise et les relations d'affaires bien établies
sont complémentaires à notre expertise interne, ce qui nous
permettra d'accélérer davantage le développement de notre offre de
services aux entreprises canadiennes » a mentionné Stéphane
Therrien, vice-président exécutif, Services aux entreprises et aux
particuliers de la Banque Laurentienne. « Il me fait également
plaisir d'annoncer la nomination d'Éric Provost, premier
vice-président, financement commercial au poste de président de LBC
Capital Inc. Au cours de sa carrière, Éric a démontré un leadership
fort et nous sommes convaincus qu'il saura propulser le
développement de LBC Capital tout en continuant à générer une
croissance rentable dans nos secteurs commerciaux des Services aux
entreprises » a ajouté M.Therrien.
Cette acquisition s'inscrit dans le plan de transformation de la
Banque Laurentienne qui vise à accroître la proportion des prêts à
la clientèle commerciale de même qu'à étendre sa présence sur le
territoire canadien. En ce qui concerne le déploiement de la
stratégie d'intégration, la Banque Laurentienne s'assurera que le
processus se fasse de façon harmonieuse, autant pour les clients,
les employés, que pour les fournisseurs et les concessionnaires
locaux.
Par suite de la clôture de l'acquisition, les
3 247 600 reçus de souscription de la Banque ont
été, conformément à leurs modalités, automatiquement échangés
contre des actions ordinaires de la Banque, à raison d'une action
ordinaire par reçu de souscription. La Banque prévoit que les reçus
de souscription cesseront immédiatement d'être négociés à la Bourse
de Toronto et seront radiés de la
cote après la fermeture des marchés aujourd'hui.
À propos de la Banque Laurentienne
La Banque Laurentienne du Canada est une institution bancaire dont les
activités s'étendent à la grandeur du Canada. Fondée en 1846, elle a pour mission
d'aider ses clients à améliorer leur santé financière et est guidée
par ses valeurs de proximité, simplicité et honnêteté.
Elle sert un million et demi de clients partout au pays et
emploie plus de 3 600 personnes dont le talent et le dévouement
font d'elle un joueur solide dans plusieurs segments de marché. La
Banque répond aux besoins des particuliers par l'intermédiaire de
son réseau de succursales au Québec et à Ottawa. Elle jouit également d'une solide
réputation auprès des petites et moyennes entreprises et des
promoteurs immobiliers, grâce à ses équipes spécialisées situées
partout au Canada, notamment en
Ontario, au Québec, en
Alberta, en Colombie-Britannique,
en Nouvelle-Écosse et à Terre-Neuve. Sa filiale B2B Banque est
quant à elle un leader canadien dans la fourniture de produits et
services bancaires et d'investissements aux conseillers financiers
et aux courtiers, tandis que Valeurs mobilières Banque Laurentienne
offre des services de courtage de plein exercice à une clientèle
d'investisseurs institutionnels et particuliers.
La Banque gère un actif au bilan de plus de 40 milliards $, de
même que des actifs administrés de 43 milliards $.
Mise en garde au sujet des énoncés prospectifs
Dans le présent document et dans les autres documents déposés
auprès des autorités de réglementation canadiennes ou ses autres
communications, la Banque Laurentienne du Canada peut, à l'occasion, formuler des
énoncés prospectifs, écrits ou oraux, au sens des lois applicables
en matière de valeurs mobilières. Ces énoncés prospectifs
comportent, sans s'y limiter, des énoncés relatifs au plan
d'affaires et aux objectifs financiers de la Banque. Les énoncés
prospectifs formulés dans le présent document sont destinés à aider
les porteurs de titres de la Banque et les analystes financiers à
mieux comprendre la situation financière de la Banque et les
résultats de ses activités aux dates indiquées et pour les périodes
closes à ces dates, et pourraient ne pas convenir à d'autres fins.
Les énoncés prospectifs sont habituellement marqués par l'emploi du
conditionnel et l'usage de mots tels que
« perspectives », « croire »,
« estimer », « prévoir », « projeter »,
« escompter », « anticiper », « planifier
», « pourrait », « devrait », « ferait », ou la forme
négative ou des variantes de tels termes, ou une terminologie
similaire.
Par leur nature, ces énoncés prospectifs reposent sur des
hypothèses et comportent un certain nombre de risques et
d'incertitudes d'ordre général et spécifique. Il est donc possible
que les prévisions, projections et autres énoncés prospectifs ne se
matérialisent pas ou s'avèrent inexacts. Quoique la Banque soit
d'avis que les attentes exprimées dans ces énoncés prospectifs sont
raisonnables, elle ne peut garantir que ces attentes s'avéreront
exactes.
La Banque déconseille aux lecteurs de se fier indûment à ces
énoncés puisqu'un certain nombre de facteurs importants pourraient
faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement des
attentes exprimées dans ces énoncés prospectifs. Ces facteurs
comprennent, notamment, la possibilité que les avantages anticipés
de l'opération ne se matérialisent pas ou ne se matérialisent pas
au moment prévu, y compris en raison de la vigueur de l'économie et
des forces concurrentielles dans les secteurs dans lesquels la
Banque Laurentienne du Canada et
CIT Canada exercent des activités, les répercussions des
modifications apportées aux lois et aux règlements régissant les
services financiers et l'application de celles-ci; l'incidence de
la concurrence sur les marchés au sein desquels la Banque
Laurentienne du Canada et CIT
Canada exercent des activités; les décisions judiciaires et
réglementaires et les actions en justice; la capacité de la Banque
Laurentienne du Canada de réussir
l'intégration de CIT Canada; et d'autres facteurs qui pourraient
influer sur les résultats futurs de la Banque Laurentienne du
Canada et de CIT Canada, y compris
la conception et l'introduction de nouveaux produits et services
dans les meilleurs délais; la capacité de la Banque Laurentienne du
Canada à effectuer plus de ventes
croisées de produits aux clients; et les changements
technologiques. La Banque prévient que la liste de facteurs
ci-dessus n'est pas exhaustive. Pour de plus amples renseignements
sur les risques, incertitudes et hypothèses qui pourraient faire en
sorte que les résultats réels de la Banque diffèrent des attentes
exprimées, veuillez également consulter la rubrique « Profil de
risque et cadre de gestion des risques » du rapport de gestion
inclus dans le rapport annuel de la Banque et les autres documents
publics disponibles sur le site www.sedar.com.
La Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés
prospectifs, écrits ou oraux, formulés par elle ou en son nom, sauf
dans la mesure où la réglementation en valeurs mobilières
l'exige.
SOURCE Banque Laurentienne du Canada