Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs
de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section
Mise en garde concernant les déclarations prospectives plus loin
dans ce communiqué de presse. L'information contenue dans le
présent communiqué est non auditée.
- Nombre total combiné de 241 516 activations nettes d'abonnés
des services sans fil utilisant des téléphones mobiles et des
appareils mobiles connectés, des services Internet et des services
de télé IP de détail, en hausse de 76,5 %
- Croissance de 3,5 % des produits des activités ordinaires
consolidés et de 2,1 % du BAIIA ajusté1
- Bénéfice net de 397 millions $, en baisse de 39,3 %, et
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 329
millions $, ou 0,37 $ par action ordinaire, en baisse de 44,8 %;
bénéfice net ajusté1 de 722 millions $, générant une
baisse du BPA ajusté1 de 9,2 % qui s'est chiffré à 0,79
$
- Diminution de 8,9 % des flux de trésorerie provenant des
activités d'exploitation, qui se sont chiffrés à 2 365 millions $,
et baisse des flux de trésorerie disponibles1, qui se
sont établis à 1 016 millions $, en raison du calendrier du fonds
de roulement et des dépenses d'investissement
- Poursuite de la lancée des services sans fil : plus de 10
millions d'abonnés utilisant des téléphones mobiles; hausse de 4,4
% des produits tirés des services sans fil en raison de
l'augmentation la plus élevée en 18 ans du nombre d'activations
nettes d'abonnés des services postpayés2, qui se sont
chiffrées à 111 282, soit une hausse de 33,8 %, et en raison des 79
537 activations nettes d'abonnés utilisant des appareils mobiles
connectés, en hausse de 79 881
- Nombre le plus élevé d'activations nettes des services
Internet de détail pour un T2 depuis 2007, qui se sont établies à
24 934, en hausse de 10,2 %; 52 148 activations nettes de la
clientèle des services par fibre, en hausse de 38,2 %, qui ont
entraîné une forte croissance de 7 % des produits des services
Internet résidentiels de détail; en voie d'achever 85 % du
programme de déploiement du réseau Internet à large bande
prévu3 d'ici la clôture de 2023
- Augmentation de 20 % des produits liés au contenu numérique
de Bell Média4, en raison de la baisse du total des
produits tirés des médias et du BAIIA ajusté, respectivement de 1,9
% et de 5,3 %, attribuable à la diminution actuelle des dépenses en
publicité
- Reconfirmation de tous les objectifs de l'orientation
financière pour 2023
MONTRÉAL, le 3 août 2023 /CNW/ - BCE Inc. (TSX:
BCE) (NYSE : BCE) a présenté aujourd'hui ses résultats du
deuxième trimestre (T2) de l'exercice 2023.
« Les résultats de Bell au T2 démontrent qu'une exécution
solide et constante jumelée à des services attrayants, recherchés
et appréciés par nos clients, sont une approche gagnante », a
affirmé Mirko Bibic, président et
chef de la direction de BCE et de Bell
Canada.
« Au cours des dernières années, nous sommes restés très
concentrés à construire les meilleurs réseaux, investir dans
l'expansion de notre réseau de fibre optique et fournir des
vitesses de connexion Internet et mobile toujours plus rapides. Le
service Internet pure fibre de Bell a été classé le plus rapide au
Canada par Ookla dans son rapport Speedtest pour les deux
premiers trimestres de 2023, tout comme notre service Wi-Fi. Nous
avons gagné 52 148 nouveaux abonnés nets aux services de fibre au
T2, en hausse de 38,2 % par rapport à l'exercice précédent, et nous
avons augmenté nos activations nettes des services Internet de
détail de 10,2 %, à 24 934, ce qui représente nos meilleurs
résultats des 16 dernières années pour un T2. Notre clientèle
d'abonnés avec téléphones mobiles a passé la barre des 10 millions,
les produits tirés des services ayant augmenté de 4,4 %, grâce aux
activations nettes des services postpayés les plus élevées pour un
T2 en 18 ans. Nous avons atteint ces résultats dans un
contexte de diminution des prix, démontrant que notre secteur
fournit des services de la plus haute qualité à des prix en baisse,
et ce, malgré une inflation persistante.
En dépit du ralentissement continu des dépenses en publicité en
Amérique du Nord, notre stratégie de premier plan en matière de
contenu et de médias axés sur le numérique continue de faire ses
preuves, les produits liés au contenu numérique de Bell Média étant
en hausse de 20 % par rapport à l'exercice précédent et
représentant maintenant 33 % des produits de Bell Média. »
______________________
|
1 Le
BAIIA ajusté est un total des mesures sectorielles, le bénéfice net
ajusté et les flux de trésorerie disponibles sont des mesures
financières non conformes aux PCGR et le BPA ajusté est un ratio
non conforme aux PCGR. Se reporter à la section Mesures financières
non conformes aux PCGR et autres mesures financières du présent
communiqué pour un complément d'information sur ces
mesures.
|
2 Se
reporter à la section Indicateurs de performance clés du présent
communiqué de presse pour un complément d'information sur les
unités d'abonnement (ou clients).
|
3 Programme
de base de construction du réseau à large bande fondé sur une zone
de couverture prévue composée d'environ 10 millions
d'emplacements résidentiels et commerciaux.
|
4 Les
produits liés au contenu numérique comprennent les produits tirés
de la publicité sur les plateformes numériques, dont les sites Web,
les applications mobiles, les applications sur les téléviseurs
connectés et les actifs et plateformes numériques d'affichage
extérieur, ainsi que de la publicité sur les plateformes d'achat
numériques de Bell, de même que les produits tirés des frais
d'abonnement des services directement aux consommateurs et des
services de vidéo sur demande.
|
|
PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
Réseau primé et nouveaux forfaits de Virgin Plus
Bell
est devenu le fournisseur de services Internet le plus primé au
Canada5 lorsque ses services Internet pure fibre et
sa technologie Wi-Fi ont été nommés les plus rapides au pays
dans le cadre des Speedtest Awards d'Ookla pour les premier et
deuxième trimestres de 20236. De plus, Bell MTS est
le premier choix des employés parmi les fournisseurs de services
Internet à large bande pour le travail au Canada (en anglais
seulement), selon la première étude menée par PCMag sur les
fournisseurs Internet pour le travail au Canada7. Virgin
Plus a lancé à l'échelle nationale de nouveaux forfaits sans
fil illimités 5G, en plus d'une nouvelle campagne publicitaire et
de nouveaux avantages pour ses membres.
Accélérer la réalisation de la stratégie infonuagique pour
les entreprises canadiennes
Bell a conclu l'acquisition de
FX Innovation, une société de consultation et de services de TI
située à Montréal qui fournit à la clientèle d'affaires des
services professionnels et gérés axés sur l'infonuagique et des
solutions d'automatisation des flux de travaux. Cette
acquisition permet aux entreprises canadiennes d'avoir accès à des
solutions technologiques avant-gardistes et à Bell de se positionner en tant que chef de file
des services technologiques.
Offrir le contenu le plus captivant
TSN, RDS, CTV et
Noovo ont diffusé le Grand Prix de Formule 1 du Canada, qui a
attiré en moyenne 1,34 million de téléspectateurs au Canada, ce qui
en fait la course de Formule 1 la plus regardée de l'histoire au
Canada. La dernière ronde de l'Omnium canadien RBC n'a jamais
rassemblé autant de téléspectateurs sur les ondes de TSN que celle
de cette année. Environ 2,35 millions de Canadiens et de
Canadiennes l'ont regardé, soit une hausse de 41 % par rapport
à la finale de 2022. Bell Média a annoncé sa programmation de
contenu original 2023-2024 dans le cadre de son événement
Upfront 23 and Futur 23. Les émissions originales en anglais
et en français totalisent 96 titres et 1 037 heures
de contenu. CTV a été la chaîne la plus regardée au Canada
pour la 22e année consécutive. Billionaire
Murders (en anglais seulement) est la série canadienne qui a
été la plus visionnée dans la première semaine après son lancement
sur Crave et Survivor Québec a été l'émission la plus
populaire sur Noovo ce printemps. La finale de Survivor Québec a
été l'émission la plus regardée à la télévision francophone du
Québec la semaine de sa diffusion et l'épisode qui compte le plus
de vues sur Noovo depuis la naissance de la chaîne en 2020.
Crave, service de diffusion en continu directement aux
consommateurs, a élargi son offre d'abonnements en lançant une
formule soutenue par la publicité. Bell Média a aussi présenté de
nouvelles solutions publicitaires accessibles directement sur
la Plateforme Marketing Bell, qui comprennent le service Télévision
adressable, de nouvelles mises à niveau à son outil de gestion
stratégique des audiences (SAM), un inventaire élargi sur Bell DSP
(plateforme côté demande), dont la technologie Audio adressable, et
de nouvelles capacités d'attribution.
L'initiative Mieux pour tous de Bell : bâtir un monde
meilleur, de meilleures collectivités et un meilleur milieu de
travail
Bell a conclu ses premiers produits dérivés liés
à la durabilité, conçus pour aligner les coûts de financement
sur la performance par rapport aux cibles liées aux facteurs
environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Poursuivant son
soutien envers la santé mentale des jeunes, Bell Cause pour la
cause a renforcé son partenariat de longue date avec
La Fondation de l'Hôpital de Montréal pour enfants avec
un don de 500 000 $ pour améliorer l'offre thérapeutique
du programme des troubles alimentaires. Les membres de l'équipe
Bell ont aussi amassé près de 300 000 $ lors de la marche
annuelle Faites un pas vers les jeunes au profit de Jeunesse,
J'écoute et de son initiative Libère tes émotions, qui veut étendre
l'accès aux services numériques en santé mentale au Canada.
L'engagement de Bell à respecter les normes ESG par des
investissements ainsi que des initiatives de diversité et d'équité
lui a permis encore une fois de se hisser très haut dans la liste
Corporate Knights Best 50 Corporate Citizens (en anglais
seulement)8.
______________________
|
5 Fournisseur le plus primé selon
l'analyse concurrentielle de Bell. Bell a entre autres reçu les
reconnaissances suivantes : Speedtest Awards d'Ookla pour les
T1 et T2 de 2023, meilleur FSI parmi les principaux
fournisseurs pour les jeux en 2023 selon l'indice de
qualité de PCMag (vitesse, temps d'attente et instabilité)
comparant les principaux FSI canadiens du 1er décembre
2021 au 5 décembre 2022 et fournisseur de services Internet le plus
digne de confiance en 2023 selon BrandSpark. BrandSpark est
une société de recherche et de services-conseils. Les gagnants ont
été sélectionnés en fonction des résultats d'un sondage national
réalisé auprès de 15 878 acheteurs canadiens qui ont
répondu spontanément et sans aide lorsqu'on leur a demandé quelles
marques leur inspiraient le plus confiance et pourquoi, dans les
catégories de services qu'ils avaient récemment achetés.
|
6 Selon
l'analyse, par Ookla, une société spécialisée dans les tests et les
diagnostics de réseau, de données obtenues avec Speedtest
Intelligence pour les T1 et T2 de 2023. Ookla a comparé
13 671 040 tests lancés par des utilisateurs sur
diverses applications Speedtest connectées à un réseau fixe, y
compris des tests réalisés sur des téléphones mobiles connectés à
un réseau Wi-Fi.
|
7 Étude
menée par PCMag du 3 au 24 avril 2023 auprès des membres
de la communauté de PCMag.com, à qui on a demandé d'évaluer les
produits et services qu'ils utilisent. PCMag fournit des
évaluations indépendantes qui s'appuient sur des données obtenues
en laboratoire et portent sur les produits et services reposant la
technologie la plus récente. Pour en savoir plus sur la
méthodologie, consulter le site :
https://www.pcmag.com/news/readers-choice-methodology (en
anglais seulement).
|
8 Selon
Corporate Knights Inc. Le classement annuel a été publié
le 28 juin 2023. Il est établi selon un ensemble de
25 critères ESG et compare les entreprises canadiennes dont
les produits bruts s'élèvent à au moins 1 milliard de dollars.
Pour des renseignements supplémentaires, consulter le site :
https://www.corporateknights.com/rankings/best-50-rankings/2023-best-50-rankings/these-are-canadas-top-corporate-citizens-of-2023/
(en anglais seulement).
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RÉSULTATS DE BCE
Faits saillants financiers
(en millions $,
sauf les montants par action) (non audité)
|
T2 2023
|
T2 2022
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
6 066
|
5 861
|
3,5
|
%
|
Bénéfice net
|
397
|
654
|
(39,3)
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
329
|
596
|
(44,8)
|
%
|
Bénéfice net
ajusté
|
722
|
791
|
(8,7)
|
%
|
BAIIA ajusté
|
2 645
|
2 590
|
2,1
|
%
|
Bénéfice net par action
ordinaire (BPA)
|
0,37
|
0,66
|
(43,9)
|
%
|
BPA ajusté
|
0,79
|
0,87
|
(9,2)
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 365
|
2 597
|
(8,9)
|
%
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 307)
|
(1 219)
|
(7,2)
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 016
|
1 333
|
(23,8)
|
%
|
« Avec ce qui est maintenant devenu une tendance confirmée de
BCE, nous avons enregistré un autre trimestre d'exécution constante
et ciblée qui a généré une solide croissance de 3,5 % des
produits des activités ordinaires consolidés et une hausse de
2,1 % du BAIIA ajusté. Ce rendement est attribuable à une
hausse importante de 7 % des produits tirés des services
Internet résidentiels et à une augmentation de 4,4 % des produits
tirés des services sans fil, stimulées par quelques-uns des
meilleurs résultats au chapitre des activations nettes d'abonnés
utilisant des téléphones mobiles et des services Internet de détail
au T2 que nous avons enregistrés en plus de 15 ans. Ceci a été
réalisé malgré les obstacles continus dans le secteur de la
publicité dans les médias, l'augmentation de la concurrence et un
secteur interentreprises qui ne s'est pas encore complètement
remis des perturbations de la chaîne d'approvisionnement mondiale
qui ont eu lieu au cours des dernières années », a affirmé
Glen LeBlanc, chef des affaires
financières de BCE et de Bell Canada.
« Compte tenu de la hausse prévue du BAIIA ajusté et des
flux de trésorerie disponibles au second semestre de l'exercice,
qui est soutenue par l'essor que connaissent les activités de
l'ensemble du secteur, les investissements dans les réseaux à large
bande, la gestion rigoureuse des coûts et l'exécution éprouvée dans
un marché concurrentiel, je reconfirme tous les objectifs de
l'orientation financière pour 2023. »
- Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 3,5 % par
rapport au T2 2022, pour s'établir à 6 066 millions $. Cette
augmentation s'explique par la hausse de 1,3 % des produits tirés
des services, qui se sont élevés à 5 303 millions $, et la hausse
de 21,5 % des produits d'exploitation tirés des produits, qui se
sont chiffrés à 763 millions $, découlant de la croissance de Bell
Services de communications et de technologies (Bell SCT),
partiellement contrebalancée par une baisse d'un exercice à l'autre
liée à Bell Média.
- Le bénéfice net a diminué de 39,3 % pour s'établir à 397
millions $ et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires a totalisé 329 millions $, soit 0,37 $ par action, en
baisse de 44,8 % et de 43,9 %, respectivement. Les baisses d'un
exercice à l'autre découlent de la hausse des autres charges qui
incluaient une perte sans effet sur la trésorerie de 377 millions $
sur la quote-part revenant à BCE d'une obligation de rachat à la
juste valeur d'une participation minoritaire dans l'une de ses
coentreprises mises en équivalence, de la hausse de la charge
d'intérêts, de l'augmentation des coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres qui se rapporte principalement à
une initiative de réduction des effectifs, de la hausse de la
dotation aux amortissements et de la hausse de l'impôt sur le
résultat. Ces facteurs ont été partiellement contrebalancés par la
hausse du BAIIA ajusté, la baisse de la perte de valeur d'actifs
car nous avons comptabilisé une charge au T2 2022 liée à certains
espaces de bureaux que nous avons cessé d'utiliser dans le cadre de
notre stratégie d'optimisation des biens immobiliers en raison de
la politique de travail hybride de Bell, et la hausse des
rendements nets au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi. Le bénéfice net ajusté a diminué de 8,7 %, pour se
chiffrer à 722 millions $, ce qui a entraîné une diminution de 9,2
% du BPA ajusté, qui s'est établi à 0,79 $.
- Le BAIIA ajusté a augmenté de 2,1 % pour s'établir à 2 645
millions $, reflétant l'augmentation de 2,8 % dans le secteur Bell
SCT, contrebalancée en partie par la baisse de 5,3 % dans le
secteur Bell Média. La marge du BAIIA ajusté
consolidée9 de BCE a diminué de 0,6 point de
pourcentage pour se chiffrer à 43,6 %, par rapport à 44,2 % au T2
2022, en raison principalement de la hausse d'un exercice à l'autre
de la composition des ventes de produits à faible marge.
- Les dépenses d'investissement de BCE ont augmenté de 7,2
%, pour se chiffrer à 1 307 millions $, par rapport à 1 219
millions $ à l'exercice précédent, ce qui correspond à une
intensité du capital10 de 21,5 %, par rapport à
20,8 % au T2 2022. L'augmentation d'un exercice à l'autre des
dépenses d'investissement s'explique par le calendrier des
investissements prévus visant à poursuivre l'expansion du réseau
entièrement optique de Bell et la hausse d'un exercice à l'autre
des dépenses visant à offrir des connexions aux services Internet
de Bell à un plus grand nombre de foyers et d'entreprises.
- Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
de BCE se sont élevés à 2 365 millions $, en baisse de 8,9 %
par rapport au T2 2022, ce qui reflète la réduction des fonds
provenant du fonds de roulement imputable essentiellement au
calendrier des paiements aux fournisseurs, à l'augmentation des
intérêts payés et à l'augmentation de l'impôt sur le résultat,
facteurs partiellement contrebalancés par la hausse du BAIIA ajusté
et la diminution des cotisations aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi.
- Les flux de trésorerie disponibles ont diminué de 23,8 % pour
s'établir à 1 016 millions $, par rapport à 1 333 millions $ au T2
2022, en raison de la baisse des flux de trésorerie provenant des
activités d'exploitation, compte non tenu des coûts liés aux
acquisitions et autres payés, et de l'augmentation des dépenses
d'investissement.
_______________________
|
9 La
marge du BAIIA ajusté se définit comme le BAIIA ajusté divisé par
les produits d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs
de performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur la marge du BAIIA ajusté.
|
10 L'intensité du capital correspond
aux dépenses d'investissement divisées par les produits
d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs de performance
clés du présent communiqué de presse pour un complément
d'information sur l'intensité du capital.
|
RÉSULTATS D'EXPLOITATION PAR SECTEUR
Bell Services de communications et de technologies (Bell
SCT)
- Le total des produits d'exploitation de Bell SCT a augmenté de
4,3 % pour s'établir à 5 354 millions $, stimulé par l'augmentation
des produits tirés des services et des produits d'exploitation
tirés des produits.
- Les produits tirés des services ont augmenté de 1,9 % pour
s'établir à 4 591 millions $, ce qui découle principalement de la
solidité continue de la croissance de la clientèle d'abonnés des
services de téléphonie mobile et d'appareils connectés et des
services Internet de détail, de la hausse des produits tirés des
services d'itinérance du sans-fil, et de la contribution financière
provenant des acquisitions effectuées au cours de l'exercice
précédent, y compris Distributel et FX Innovation. Ces facteurs ont
été contrebalancés en partie par les baisses continues liées aux
services voix traditionnels, aux services de données et au service
de télé par satellite; les rabais plus généreux consentis pour
l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle et sur
les forfaits de services résidentiels et la baisse des ventes de
minutes de conversations interurbaines internationales à la
clientèle de gros.
- Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de
21,5 % pour se chiffrer à 763 millions $, en raison de la hausse
des ventes d'équipements de transmission de données de
télécommunications aux grandes entreprises clientes,
comparativement aux perturbations plus importantes de la chaîne
d'approvisionnement à l'échelle mondiale qui ont eu lieu au cours
de l'exercice précédent, ainsi que de la plus grande proportion des
ventes des téléphones mobiles à valeur supérieure.
- Le BAIIA ajusté de Bell SCT a augmenté de 2,8 % pour s'établir
à 2 431 millions $. Cette hausse a découlé de l'effet de la hausse
des produits tirés des services d'un exercice à l'autre, malgré
l'augmentation de 5,5 % des coûts d'exploitation qui a contribué à
une baisse de 0,6 point de pourcentage de la marge qui s'est
établie à 45,4 %, par rapport à 46,0 % à l'exercice précédent.
L'augmentation des coûts d'exploitation pour le trimestre
s'explique surtout par la hausse du coût des produits vendus
attribuable à l'augmentation des ventes de produits et les
acquisitions de Distributel et de FX Innovation et les autres
acquisitions de plus petite envergure.
- Les activations nettes d'abonnés des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles11 ont totalisé 111 282,
en hausse de 33,8 % par rapport à 83 197 au T2 2022, ce qui
représente notre meilleur résultat du T2 en 18 ans. La hausse est
attribuable à l'augmentation de 30,4 % des activations brutes
d'abonnés, ce qui reflète l'augmentation de l'immigration, l'essor
continu de la 5G et l'offre à succès de forfaits de services, la
pénétration accrue des abonnés qui ajoutent une deuxième ligne et
l'efficacité des promotions. Ces facteurs ont été partiellement
contrebalancés par une hausse du taux de désabonnement des abonnés
des services postpayés utilisant des téléphones
mobiles10, qui s'est établi à 0,94 % par rapport à 0,75
% au T2 2022, ce qui rend compte de l'accroissement de l'activité
globale du marché et à l'intensification des offres
promotionnelles, par rapport à l'exercice précédent.
- Les activations nettes d'abonnés des services prépayés
utilisant des téléphones mobiles de Bell11 ont
diminué pour se chiffrer à 14 257, par rapport à 27 564 au T2 2022,
malgré une hausse de 4,4 % des activations brutes, en raison de la
hausse du taux de désabonnement, qui a augmenté pour s'élever à
4,68 %, par rapport à 4,41 % à l'exercice précédent. L'augmentation
du taux de désabonnement d'un exercice à l'autre découle du nombre
accru de désactivations d'abonnés partiellement en raison des
offres promotionnelles accrocheuses visant des marques économiques
de services postpayés.
- La clientèle d'abonnés utilisant des téléphones mobiles de Bell
totalisait 10 028 031 abonnés à la fin du T2 2023, en hausse de 4,4
% par rapport à l'exercice précédent, ce qui comprend 9 151 229
abonnés des services postpayés, en hausse de 4,6 %, et 876 802
abonnés des services prépayés, en hausse de 2,6 %.
- Le RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones
mobiles12 est demeuré essentiellement inchangé,
s'étant établi à 59,16 $ par rapport à 59,17 $ au T2 2022.
- Les activations nettes d'abonnés utilisant des appareils
mobiles connectés ont totalisé 79 537, comparativement à une perte
nette de 344 au T2 2022. L'augmentation d'un exercice à l'autre est
attribuable à la demande accrue de la clientèle pour les services
IdO de Bell, y compris les solutions d'affaires et les abonnements
pour voiture connectée, et à la baisse des désactivations
d'appareils de données. À la fin du T2, la clientèle d'abonnés
utilisant des appareils mobiles
connectés11 totalisait 2 589 520 abonnés, en hausse
de 12,7 % par rapport à l'exercice précédent.
- Bell a ajouté 24 934 nouveaux abonnés nets des services
Internet de détail11, en hausse de 10,2 % par rapport à
22 620 au T2 2022, grâce à l'expansion continue de la zone de
couverture du réseau de fibre optique de Bell et à la pénétration
accrue des offres de forfaits de services. Ces facteurs ont été
partiellement contrebalancés par la hausse des désactivations
d'abonnés dans les régions où le service est fourni au moyen de la
technologie utilisant du cuivre, imputable aux offres accrocheuses
des concurrents offrant des services de câblodistribution, des
services Internet sans fil fixe et des services Internet par
satellite. En ce qui concerne la couverture du réseau entièrement
optique de Bell, les activations nettes d'abonnés des services
Internet de détail ont totalisé 52 148, soit une hausse de 38,2 %
par rapport au T2 2022. Le nombre d'abonnés des services Internet
de détail a totalisé 4 338 511 à la fin du T2, en hausse de 9,1 %
par rapport à l'exercice précédent, ce qui comprend 35 080 abonnés
acquis dans le cadre des acquisitions de petite envergure
effectuées au cours du trimestre.
- Bell Télé a ajouté 11 506 abonnés nets des services de télé IP
de détail11, en hausse par rapport à 3 838 au T2 2022,
surtout en raison de l'augmentation des activations d'abonnés liée
à l'utilisation accrue des services Internet et à l'efficacité des
promotions. À la fin du T2, Bell desservait 2 010 829 abonnés des
services de télé IP de détail, en hausse de 5,4 % par rapport à
l'exercice précédent, ce qui comprend 243 abonnés acquis dans le
cadre des acquisitions de petite envergure effectuées au cours du
trimestre.
- Les pertes nettes d'abonnés du service de télé par satellite de
détail11 se sont chiffrées à 25 910, en hausse par
rapport à 15 365 au T2 2022, ce qui s'explique par le nombre
moindre d'activations brutes et la hausse du taux de désabonnement
découlant de l'intensification des offres promotionnelles des
concurrents. Les services de télé par satellite de détail de Bell
totalisaient 712 559 abonnés à la fin du T2, en baisse de 12,7 %
par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR résidentiels de
détail11 se sont améliorées de 5,9 % pour se
chiffrer à 49 608, ce qui reflète la réussite de notre stratégie
d'offrir des forfaits pour augmenter les activations brutes. La
clientèle d'abonnés des SAR résidentiels de détail de Bell a
totalisé 2 101 740 à la fin du T2, en baisse de 4,8 % par rapport à
l'exercice précédent, ce qui comprend 7 458 abonnés acquis dans le
cadre des acquisitions de petite envergure effectuées au cours du
trimestre.
_______________________
|
11 Se
reporter à la section Indicateurs de performance clés du présent
communiqué de presse pour un complément d'information sur le taux
de désabonnement et les unités d'abonnement (ou
clients).
|
12 À
compter du T1 2023, en raison de l'incidence des changements
apportés à l'information sectorielle sur les éliminations
intersectorielles, le RMU a été mis à jour et se définit comme les
produits externes tirés des services sans fil du secteur Bell SCT
(auparavant, les produits d'exploitation tirés des services sans
fil) divisés par le nombre moyen d'abonnés utilisant des téléphones
mobiles pour la période visée exprimé en unité monétaire
par mois. Se reporter à la section Indicateurs de
performance clés du présent communiqué de presse pour un complément
d'information sur le RMU combiné.
|
Bell Média
- Les produits d'exploitation de Bell Média ont diminué de 1,9 %
pour s'établir à 805 millions $, en raison de la baisse d'un
exercice à l'autre des produits tirés de la publicité,
partiellement contrebalancée par la hausse des produits tirés des
frais d'abonnement.
- Les produits tirés de la publicité ont diminué de 9,0 %, car la
demande des annonceurs et les dépenses dans l'ensemble des
plateformes médiatiques traditionnelles sont demeurées faibles en
raison de la conjoncture économique défavorable. Ce facteur a été
partiellement contrebalancé par la forte croissance de la publicité
numérique.
- Les produits tirés des frais d'abonnement ont augmenté de 3,9
%, surtout en raison de la croissance des services de diffusion en
continu directement aux consommateurs de Crave et de programmation
sportive.
- Les produits liés au contenu numérique totaux ont augmenté de
20 %, en raison de la croissance continue de Crave et de celui axé
sur les sports, ainsi que de la hausse des dépenses des annonceurs
provenant de l'outil de gestion stratégique des audiences (SAM) de
Bell Média, un outil de vente dans les médias. Le nombre total des
abonnements à Crave a augmenté de 5 % par rapport à l'exercice
précédent pour s'établir à environ 3,2 millions d'abonnés, ce qui
inclut une hausse de 27 % du nombre d'abonnés du service de
diffusion en continu directement aux consommateurs.
- Le BAIIA ajusté a diminué de 5,3 % pour se chiffrer à 214
millions $, ce qui a généré une baisse de 0,9 point de pourcentage
de la marge qui s'est établie à 26,6 %, en raison de la diminution
d'un exercice à l'autre des produits d'exploitation. Malgré les
majorations contractuelles liées au contenu de choix, les coûts
d'exploitation se sont améliorés de 0,7 %, en raison du retour à la
normale du calendrier des parties de hockey en 2023 et de l'élimination des droits de licence de
la partie II du CRTC en avril 2023.
- La chaîne CTV est demeurée le réseau de télé généraliste en
anglais le plus regardé au Canada pour une 22e année
consécutive, en tête le jour, aux heures de grande écoute et en
soirée pour le nombre total de téléspectateurs et dans toutes les
principales tranches démographiques pour la saison 2022-2023. CTV
rejoint plus de 15 millions de Canadiens et de Canadiennes en
moyenne par semaine et son avance sur son plus proche concurrent,
au cours de la saison de diffusion du printemps, représente environ
30 % aux heures de grande écoute chez l'ensemble des
téléspectateurs et dans la principale tranche démographique des
adultes âgés de 25 à 54 ans.
- Bell Média s'est classée au premier rang pour l'ensemble du
nombre de téléspectateurs et sur un jour entier dans le marché de
la télé spécialisée dans le divertissement et payante de langue
française auprès des adultes âgés de 25 à 54 ans au T2. RDS est
restée la chaîne de télé spécialisée hors nouvelles de langue
française numéro un, alors que l'auditoire sur un jour entier chez
les adultes âgés de 25 à 54 ans de Noovo a augmenté de 17 % au T2,
car le marché de la télé traditionnelle de langue française a
diminué de 10 % dans l'ensemble, ce qui a généré une hausse de la
part de marché de 5 points.
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,9675 $ par action ordinaire, payable le
16 octobre 2023 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 septembre 2023.
PERSPECTIVES POUR 2023
BCE a confirmé les objectifs de son orientation financière
pour 2023, tels qu'ils ont été présentés le
2 février 2023 :
|
Résultats
pour 2022
|
Orientation
pour 2023
|
Croissance des
produits
|
3,1 %
|
1 % -
5 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
3,1 %
|
2 % -
5 %
|
Intensité du
capital
|
21,2 %
|
19 % -
20 %
|
Croissance du BPA
ajusté
|
5,0 %
|
(3) % -
(7) %
|
Croissance des flux de
trésorerie disponibles
|
2,9 %
|
2 % -
10 %
|
Dividende sur actions
ordinaires annualisé
|
3,68 $
|
3,87 $
|
Pour 2023, nous prévoyons une baisse du BPA ajusté par rapport
à 2022, en raison d'un ajustement de l'impôt moindre, d'une
hausse de la dotation aux amortissements et d'une augmentation de
la charge d'intérêts. Pour 2023, nous prévoyons que la
croissance du BAIIA ajusté, la diminution des cotisations aux
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi et des paiements en
vertu de régimes d'autres avantages postérieurs à l'emploi, ainsi
que la baisse des dépenses d'investissement donneront lieu à une
hausse des flux de trésorerie disponibles.
Veuillez consulter la section Mise en garde concernant les
déclarations prospectives plus loin dans ce communiqué pour obtenir
une description des principales hypothèses sur lesquelles repose
l'orientation financière 2023 de BCE, ainsi que des principaux
facteurs de risque connexes.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des analystes
financiers afin de traiter de ses résultats du T2 2023, le
jeudi 3 août, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes
sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour y
assister, veuillez composer le numéro sans frais 1-800-806-5484 ou
le 416-340-2217 et utilisez le code
d'identification 5876835#. Une reprise sera disponible jusqu'à
minuit le 31 août 2023 au 1-800-408-3053 ou au
905-694-9451 (composez le code
d'identification 4674564 #). La conférence téléphonique
fera également l'objet d'une webdiffusion en direct sur le site Web
de BCE, à Téléconférence sur les résultats de BCE pour le
T2 2023.
MESURES FINANCIÈRES NON CONFORMES AUX PCGR ET AUTRES MESURES
FINANCIÈRES
BCE utilise diverses mesures financières pour évaluer son
rendement. Certaines de ces mesures sont calculées conformément aux
Normes internationales d'information financière (IFRS ou PCGR),
tandis que d'autres n'ont pas de définition normalisée en vertu des
PCGR. Nous croyons que nos mesures financières conformes aux PCGR,
lues conjointement avec les mesures financières ajustées non
conformes aux PCGR et les autres mesures financières, permettent
aux lecteurs de mieux comprendre comment la direction évalue le
rendement de BCE.
Le Règlement 52-112 sur l'information concernant les
mesures financières non conformes aux PCGR et d'autres mesures
financières (le Règlement 52-112) prescrit les obligations
d'information qui s'appliquent aux mesures financières
suivantes :
- mesures financières non conformes aux PCGR;
- ratios non conformes aux PCGR;
- total des mesures sectorielles;
- mesures de gestion du capital;
- mesures financières supplémentaires.
La présente rubrique fournit une description et un classement
des mesures financières définies dans le Règlement 52-112 que
nous utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer
nos résultats financiers, et, dans le cas des mesures financières
supplémentaires, une explication de ces mesures est fournie
lorsqu'il en est fait mention pour la première fois dans le présent
communiqué de presse si le libellé des mesures financières
supplémentaires n'est pas suffisamment descriptif.
Mesures financières non conformes aux PCGR
Une mesure financière non conforme aux PCGR est une mesure
financière utilisée pour décrire notre performance financière,
notre situation financière ou nos flux de trésorerie passés ou
futurs prévus et, en ce qui concerne sa composition, elle exclut un
montant compris dans la mesure financière la plus directement
comparable présentée dans les états financiers consolidés de base
de BCE ou encore inclut un montant non compris dans cette
mesure. Nous sommes d'avis que les mesures financières non
conformes aux PCGR reflètent nos résultats d'exploitation courants
et permettent aux lecteurs de comprendre le point de vue de la
direction et l'analyse de notre rendement.
Les mesures financières non conformes aux PCGR que nous
utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer nos
résultats sont décrites ci-après, et nous présentons des
rapprochements avec les mesures financières conformes aux IFRS les
plus directement comparables.
Bénéfice net ajusté - Le bénéfice net ajusté est une
mesure financière non conforme aux PCGR qui n'a pas de définition
normalisée en vertu des normes IFRS. Par conséquent,
il est peu probable qu'elle soit comparable à des mesures
similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres,
les pertes nettes (profits nets) sur participations mises en
équivalence dans des entreprises associées et des coentreprises,
les pertes nettes (profits nets) sur placements, les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette, la perte de valeur d'actifs et
les activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des
PNDPC.
Nous utilisons le bénéfice net ajusté et nous croyons que
certains investisseurs et analystes utilisent cette mesure, entre
autres, pour évaluer la performance de nos activités avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à
la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture
économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui
sont réglés en instruments de capitaux propres, des pertes nettes
(profits nets) sur participations mises en équivalence dans
des entreprises associées et des coentreprises, des pertes nettes
(profits nets) sur placements, des coûts liés au remboursement
anticipé de la dette, de la perte de valeur d'actifs et des
activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des
PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une
influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise.
Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires est la
mesure financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires et du bénéfice net ajusté
sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T2 2023
|
T2 2022
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
329
|
596
|
Éléments de
rapprochement :
|
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
100
|
40
|
(Profits nets) pertes
nettes lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre
de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux
propres
|
(1)
|
81
|
Pertes nettes sur
participations mises en équivalence dans
des entreprises associées et des coentreprises
|
377
|
42
|
Profits nets sur
placements
|
(79)
|
(16)
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
1
|
-
|
Perte de valeur
d'actifs
|
-
|
106
|
Impôt lié aux éléments
de rapprochement ci-dessus
|
(5)
|
(62)
|
PNDPC au titre des
éléments de rapprochement susmentionnés
|
-
|
4
|
|
|
|
Bénéfice net
ajusté
|
722
|
791
|
Flux de trésorerie disponibles - Les flux de trésorerie
disponibles sont une mesure financière non conforme aux PCGR qui
n'a pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Par
conséquent, il est peu probable qu'elle soit comparable à des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les
flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, exclusion
faite des rentrées de trésorerie provenant des activités
abandonnées, des coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui
comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC. Nous excluons les rentrées de trésorerie
provenant des activités abandonnées, les coûts liés aux
acquisitions et autres payés et le financement des cotisations
volontaires aux régimes de retraite parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités. Les flux de trésorerie disponibles indiquent le
montant de trésorerie disponible pour verser des dividendes sur les
actions ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans notre
société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une
entreprise et ses actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité
financière et la performance de ses activités. Les flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T2 2023
|
T2 2022
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 365
|
2 597
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 307)
|
(1 219)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(46)
|
(34)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs
de PNDPC
|
(1)
|
(14)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
5
|
3
|
|
|
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 016
|
1 333
|
Ratios non conformes aux PCGR
Un ratio non conforme aux PCGR est une mesure financière
présentée sous la forme d'un ratio, d'une fraction, d'un
pourcentage ou d'une représentation similaire et dont une ou
plusieurs composantes sont des mesures financières non conformes
aux PCGR.
Le ratio financier non conforme aux PCGR que nous utilisons dans
le présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après.
BPA ajusté - Le BPA ajusté est un ratio non conforme aux
PCGR et n'a pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS.
Par conséquent, il est peu probable qu'elle soit comparable à des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par
action ordinaire de BCE. Le bénéfice net ajusté est une
mesure financière non conforme aux PCGR. Pour plus de détails sur
le bénéfice net ajusté, voir la section Mesures financières non
conformes aux PCGR ci-dessus.
Nous utilisons le BPA ajusté et nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent cette mesure, entre autres,
pour évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des
coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres,
des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur
participations mises en équivalence dans des entreprises associées
et des coentreprises, des pertes nettes (profits nets) sur
placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
de la perte de valeur d'actifs et des activités abandonnées,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces
éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière
de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments
ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
Total des mesures sectorielles
Un total de mesures sectorielles est une mesure financière qui
correspond à un total partiel ou à un total de deux secteurs à
présenter ou plus et qui est présenté dans les notes des états
financiers consolidés de base de BCE.
Le total des mesures sectorielles que nous utilisons dans le
présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après, et nous présentons un rapprochement avec la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
BAIIA ajusté - Le BAIIA ajusté est un total des mesures
sectorielles. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les
produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il
est présenté dans les états consolidés du résultat net de BCE.
La mesure financière conforme aux normes IFRS la plus
directement comparable est le bénéfice net. Le tableau suivant
présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté sur
une base consolidée.
(en millions $)
|
T2 2023
|
T2 2022
|
Bénéfice net
|
397
|
654
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
100
|
40
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
936
|
933
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
296
|
266
|
Charges
financières
|
|
|
Charges
d'intérêts
|
359
|
269
|
Rendements nets au
titre des régimes d'avantages postérieurs
à l'emploi
|
(27)
|
(7)
|
Perte de valeur
d'actifs
|
-
|
106
|
Autres
charges
|
311
|
97
|
Impôt sur le
résultat
|
273
|
232
|
|
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 645
|
2 590
|
Mesures financières supplémentaires
Une mesure financière supplémentaire est une mesure financière
qui n'est pas présentée dans les états financiers consolidés
de BCE et qui est, ou est destinée à être, présentée périodiquement
pour représenter la performance financière, la situation financière
ou les flux de trésorerie passés ou futurs prévus.
Une explication de ces mesures est fournie lorsqu'il en est fait
mention pour la première fois dans le présent communiqué de presse
si le libellé des mesures financières supplémentaires n'est pas
suffisamment descriptif.
INDICATEURS DE PERFORMANCE CLÉS (IPC)
Nous utilisons la marge du BAIIA ajusté, le RMU combiné,
l'intensité du capital, le taux de désabonnement et les unités
d'abonnement (ou clients ou SAR) afin d'évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant
l'orientation financière de BCE (ce qui inclut les produits des
activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le
BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le dividende sur
actions ordinaires annualisé de BCE pour 2023, nos plans en matière
de déploiement du réseau et nos dépenses d'investissement prévues
et les avantages qui devraient en découler, la révision à la hausse
du BAIIA ajusté et des flux de trésorerie disponibles prévus pour
le second semestre de 2023, nos objectifs en matière de facteurs
ESG, les perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités
stratégiques de BCE, ainsi que d'autres déclarations qui ne
renvoient pas à des faits historiques. Habituellement, les termes
comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective,
projet, stratégie, cible, engagement et d'autres
expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le
futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser,
s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier,
chercher à et aspirer à, permettent de repérer les
déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives
sont faites conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform
Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 3 août 2023 et, par conséquent,
pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les
lois applicables en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous
ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les
déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même
à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de
l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Nous
envisageons régulièrement des opérations potentielles comme des
acquisitions, des cessions, des fusions, des regroupements
d'entreprises, des investissements, des monétisations, des
coentreprises ou d'autres transactions, qui pourraient être
importantes. Sauf indication contraire de notre part, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel de telles transactions ou d'éléments exceptionnels qui
pourraient être annoncés ou survenir après le 3 août 2023.
L'incidence financière de ces transactions et de ces éléments
exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend de faits
particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de
manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même
façon que les risques connus touchant nos activités. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
sont présentées dans le but d'aider les investisseurs et les autres
parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats
financiers prévus ainsi que nos objectifs, priorités stratégiques
et perspectives commerciales, et à mieux comprendre le contexte
dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est
donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne
pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les déclarations prospectives contenues dans le présent
communiqué de presse reposent sur un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché, à l'exploitation et à la finance
formulées par BCE, notamment, sans s'y limiter, les hypothèses qui
suivent.
Hypothèses relatives à l'économie canadienne
Nos déclarations prospectives reposent sur certaines hypothèses
concernant l'économie canadienne. Plus particulièrement, nous
nous sommes appuyés sur les hypothèses suivantes :
- un ralentissement de la croissance économique, étant donné la
plus récente estimation de la Banque du Canada en ce qui concerne
la croissance, qui est de 1,8 % du produit intérieur brut canadien
pour 2023, soit une baisse par rapport à 3,4 % en 2022;
- une inflation mesurée par l'indice des prix à la consommation
(IPC) qui ralentit, mais qui demeure élevée, en raison de la baisse
des prix de l'énergie, des améliorations au chapitre des chaînes
d'approvisionnement à l'échelle mondiale et de l'effet des hausses
des taux d'intérêt sur l'ensemble de l'économie;
- des conditions qui demeurent difficiles sur le marché de
l'emploi, mais connaîtront toutefois un certain assouplissement,
car le resserrement de la politique monétaire diminue la demande de
main-d'œuvre;
- un ralentissement de la croissance des dépenses des ménages,
car la demande de biens et de services sensibles aux taux d'intérêt
ralentit et un plus grand nombre de ménages renouvellent leur prêt
hypothécaire à des taux plus élevés;
- une faible croissance des investissements des entreprises en
raison de l'affaiblissement de la demande et des coûts de
financement élevés;
- des taux d'intérêt qui demeurent aux niveaux élevés observés
actuellement ou près de ces niveaux;
- une augmentation de la population en raison de la hausse de
l'immigration;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises.
Hypothèses relatives au marché canadien
Nos déclarations prospectives reflètent également diverses
hypothèses relatives au marché canadien. En particulier, nous
avons formulé les hypothèses relatives au marché suivantes :
- l'intensité accrue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration de la
clientèle d'affaires vers des solutions de télécommunications à
plus faible prix ou des services par contournement offerts par des
concurrents;
- le marché publicitaire canadien connaît un ralentissement
reflétant les tendances à l'œuvre dans le marché publicitaire
mondial, une amélioration étant attendue à moyen terme, quoiqu'il
soit difficile de prévoir avec précision le moment et le rythme de
la reprise;
- la diminution de la clientèle d'abonnés des entreprises de
distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par
l'intensification de la concurrence découlant du lancement constant
de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par
abonnement (VSDA) et de l'expansion des agrégateurs de services par
contournement.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell SCT
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell SCT :
- le maintien de notre part du marché des ajouts nets d'abonnés
des services postpayés utilisant des téléphones mobiles dans le
sans-fil pour les exploitants nationaux et une croissance de notre
clientèle des services prépayés;
- l'accroissement de l'intensité de la concurrence et des
activités promotionnelles dans toutes les régions et tous les
segments de marché;
- la poursuite de l'expansion et du déploiement des réseaux sans
fil de cinquième génération (5G) et 5G+, en offrant une couverture
et une qualité concurrentielles;
- la poursuite de la diversification de notre stratégie de
distribution, en mettant l'accent sur l'accroissement des
transactions directes avec le consommateur et en ligne;
- le ralentissement de la croissance du RMU combiné des abonnés
utilisant des téléphones mobiles découlant de la hausse des
abonnements aux services 5G et de la hausse des produits tirés des
services d'itinérance attribuable à l'assouplissement des
restrictions en matière de voyages imposées en raison de la
pandémie de COVID-19, en partie contrebalancées par la diminution
des produits tirés des frais de dépassement de données imputable
notamment à la poursuite de l'adoption de plans de services de
données illimitées;
- l'adoption accélérée par la clientèle d'affaires de solutions
évoluées 5G, 5G+ et Internet des objets (IdO);
- l'accroissement de la disponibilité des combinés sans fil et la
stabilité des prix des appareils et des marges connexes;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans la zone de couverture des services sur fil;
- une croissance continue du nombre d'abonnés des services
Internet et de télé IP de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la poursuite des lancements d'offres accrocheuses de forfaits
de services résidentiels par nos concurrents dans la
câblodistribution dans les zones où nous fournissons des services
sur fil locaux, facteur atténué par la croissance de notre part de
marché en ce qui a trait aux forfaits de services résidentiels
concurrentiels;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler la
clientèle d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption accrue par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau
d'investissements constants;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de l'efficacité
opérationnelle découlant de l'expansion de la zone de couverture du
réseau de fibre au moyen de connexions directes, des changements
liés aux comportements des consommateurs, de l'innovation au
chapitre des produits, de l'adoption du numérique, de
l'amélioration des produits et des services, de l'augmentation des
fonctions libre-service, de nouveaux investissements dans les
centres d'appels et le numérique, d'autres améliorations au
chapitre de l'expérience en matière de service à la clientèle, de
la réduction du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de
départs naturels et de départs à la retraite, et de la réduction
des taux contractuels des fournisseurs;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités liées aux communications et aux services
technologiques.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell
Média
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
- des produits liés au contenu numérique totaux qui devraient
refléter la mise à profit continue de notre outil de gestion
stratégique des audiences (SAM) télévisuelles et des plateformes
d'achats DSP (plateforme côté demande), ainsi que la croissance du
nombre d'abonnés aux services de diffusion directement aux
consommateurs qui devrait contribuer à la mise en œuvre de notre
stratégie axé sur les médias numériques;
- la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir
de la programmation de qualité;
- le soutien continu à l'adoption des produits de Crave grâce à
une offre élargie de contenus, à l'amélioration de l'expérience
client et à une distribution rehaussée;
- la poursuite des investissements dans la programmation
originale de Noovo pour mieux servir notre clientèle francophone en
leur offrant un vaste éventail de contenu sur leurs
plateformes;
- la mise à profit de données de première main pour améliorer le
ciblage, la prestation de services publicitaires et
l'attribution;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'éstablissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités dans notre secteur des médias.
Hypothèses financières relatives à BCE
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses financières internes suivantes concernant BCE pour 2023
:
- un coût des services rendus au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi estimatif d'environ 210 millions $;
- un rendement net au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi estimatif d'environ 100 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 4 900 millions $ à 4
950 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ 1 425 millions $ à 1 475
millions $, au lieu de1 375 millions $ à 1 425 millions $;
- des intérêts payés d'environ 1 450 millions $ à 1 500 millions
$, au lieu de 1 400 millions $ à 1 450 millions $;
- un taux d'imposition moyen effectif d'environ 26 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle d'environ 65
millions $;
- des cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
d'environ 60 millions $;
- des paiements en vertu de régimes d'autres avantages
postérieurs à l'emploi d'environ 75 millions $;
- des impôts payés (déduction faite des remboursements) d'environ
800 millions $ à 900 millions $;
- un nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation de
BCE d'environ 914 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,87 $ par
action.
Hypothèses sous-tendant les réductions prévues des
cotisations annuelles à nos régimes de retraite en
2023
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses principales suivantes sous-tendant les réductions
prévues des cotisations annuelles à nos régimes de retraite en
2023 :
- au moment opportun, la situation de capitalisation de nos
régimes de retraite à prestations définies correspondra à des
excédents évalués sur une base de continuité, les ratios de
solvabilité demeurant supérieurs aux exigences minimales prévues
par la loi pour une suspension des cotisations pour les composantes
prestations définies et cotisations définies, selon ce qui
s'applique;
- aucune détérioration importante de la situation financière de
nos régimes de retraite à prestations définies en raison d'une
diminution du rendement des placements ou des taux d'intérêt;
- aucune perte importante liée à l'expérience découlant d'autres
événements, comme un litige ou un changement dans les lois, les
réglementations ou les normes actuarielles ne sera subie.
Les hypothèses ci-dessus, bien qu'elles soient considérées comme
raisonnables par BCE en date du 3 août 2023, pourraient se révéler
inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient
différer de façon importante des attentes exprimées dans le présent
communiqué de presse.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
significative de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation financière
2023, sont énumérés ci-après. La réalisation de nos
déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre nos
résultats financiers cibles pour 2023, dépend essentiellement de la
performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie à
de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est prié de noter
que les risques qui suivent pourraient avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, sans s'y limiter : l'effet négatif de la
conjoncture économique défavorable, y compris risque de récession,
et les pressions inflationnistes connexes, l'augmentation des taux
d'intérêt et la volatilité des marchés des capitaux et des marchés
financiers; l'effet négatif du contexte défavorable lié aux
événements géopolitiques; une réduction des dépenses des
entreprises et des consommateurs, et l'incidence négative connexe
sur la demande de nos produits et services et sur les prix de
ceux-ci; les initiatives, les procédures et les décisions
réglementaires ainsi que les consultations gouvernementales et les
positions gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos
activités, notamment en ce qui a trait à l'accès obligatoire aux
réseaux, aux ventes aux enchères de spectre, à l'imposition de
codes de conduite à l'égard des consommateurs, à l'approbation
d'acquisitions, à l'octroi de licences de radiodiffusion et de
spectre, aux exigences relatives à la propriété étrangère, aux
obligations liées à la protection de la vie privée et à la
cybersécurité et au contrôle du piratage des droits d'auteur;
l'incapacité à mettre en œuvre des cadres de conformité améliorés
et à respecter les obligations légales et réglementaires; un
règlement défavorable des litiges; l'intensité de l'activité de nos
concurrents et l'incapacité à réagir efficacement à la dynamique
concurrentielle en pleine évolution; le regroupement de Rogers
Communications Inc. et de Shaw Communications Inc., ayant donné
naissance à un concurrent canadien de plus grande envergure, et
l'acquisition de Freedom Mobile par Vidéotron ltée qui augmente
également son envergure et modifiera probablement la dynamique
concurrentielle dans plusieurs provinces; le rythme de substitution
technologique et la présence d'autres fournisseurs de services qui
contribuent aux perturbations et à la désintermériation dans chacun
de nos secteurs d'activité; l'évolution des habitudes de la
clientèle et l'expansion des services en nuage et par contournement
et autres solutions; les pressions sur le marché de la publicité
découlant de la joncture économique, de la fragmentation et des
services numériques non traditionnels ou mondiaux; l'augmentation
des coûts du contenu et les obstacles à notre capacité à acquérir
ou à concevoir du contenu de premier plan; la hausse du taux de
pénétration des téléphones intelligents au Canada et la baisse ou
le ralentissement de l'immigration; l'incapacité à protéger nos
actifs corporels et incorporels contre des événements comme des
atteintes à la sécurité de l'information, l'accès ou l'entrée non
autorisés, des incendies et des catastrophes naturelles;
l'incapacité à mettre en place une gouvernance efficace des
données; l'incapacité à faire évoluer et à transformer nos réseaux,
nos systèmes et nos activités avec des technologies de prochaine
génération tout en aplanissant notre structure de coûts;
l'incapacité à créer une expérience client positive; l'incapacité à
attirer, à perfectionner et à conserver une équipe diversifiée et
talentueuse capable de faire avancer nos impératifs stratégiques;
l'incapacité à gérer adéquatement les préoccupations de santé et de
sécurité; les interruptions de travail et les pénuries de
main-d'œuvre; l'incapacité à maintenir des réseaux opérationnels;
le risque que nous puissions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
l'incapacité d'assurer la constance du service en raison de pannes
et de ralentissements de réseau, la défaillance des autres
infrastructures ou les perturbations dans la prestation des
services; les interruptions de service ou les pannes en raison de
l'obsolescence de l'infrastructure traditionnelle et la possibilité
d'une certaine instabilité au moment de notre transition vers des
réseaux convergents sur fil et sans fil et des nouvelles
technologies; notre propre incapacité, ou celle d'autres
entreprises de télécommunications sur lesquelles repose la
prestation de nos services, à effectuer les tests, la maintenance,
les remplacements ou les mises à niveau prévus et appropriés de nos
réseaux, de notre matériel et d'autres installations, ou des leurs,
ce qui pourrait entraîner une interruption de nos activités,
notamment par suite de défaillances du réseau ou d'autres
infrastructures; les événements liés à la fonctionnalité de nos
réseaux, de nos systèmes de technologies de l'information (TI), de
notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre
capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir, à les
remplacer et à les mettre à niveau; la complexité de nos activités;
l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des processus et des
systèmes de TI très performants; les risques liés au matériel en
orbite et les autres risques opérationnels auxquels sont exposés
les satellites utilisés pour fournir notre service de télé par
satellite; notre dépendance aux tiers fournisseurs, aux
impartiteurs et aux consultants qui nous fournissent de façon
ininterrompue les produits et services dont nous avons besoin; la
défaillance de nos processus de sélection, de gouvernance et de
surveillance des fournisseurs, y compris notre gestion du risque
lié aux fournisseurs en ce qui a trait à la sécurité, à la
gouvernance des données et à l'approvisionnement responsable; la
qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts ou ne pas être conformes
aux normes et aux règlements gouvernementaux applicables; les
risques de réputation et l'incapacité à tenir compte des facteurs
ESG de façon pertinente dans notre stratégie d'affaires et nos
activités; l'incapacité à prendre les mesures appropriées pour nous
adapter aux répercussions environnementales actuelles et
émergentes, y compris les changements climatiques; les pandémies,
épidémies et autres risques pour la santé, y compris les
préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de
radiofréquences par des appareils et des équipements de
communications sans fil; l'incapacité à gérer adéquatement les
enjeux sociaux; l'incapacité à développer et à mettre en œuvre de
solides pratiques de gouvernance d'entreprise; divers facteurs
internes et externes qui pourraient remettre en question notre
capacité à atteindre nos objectifs ESG, y compris, sans s'y
limiter, ceux liés à la réduction des émissions de gaz à effet de
serre (GES) et à la diversité, à l'équité, à l'inclusion et à
l'appartenance; l'incapacité à accéder à des sources de capital
adéquates et à générer des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation suffisants pour répondre à nos besoins de
liquidités, financer les dépenses d'investissement et soutenir la
croissance planifiée; l'impossibilité de garantir que des
dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE
ou que le dividende sur actions ordinaires sera majoré;
l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité
et de marché; l'incapacité à réduire les coûts, ainsi que toute
augmentation imprévue de coûts; l'incapacité à faire évoluer nos
pratiques afin d'effectuer un suivi et un contrôle efficaces des
activités frauduleuses; des impôts nouvellement exigés ou plus
élevés découlant de l'adoption de nouvelles lois fiscales ou de
modifications apportées aux lois fiscales existantes ou à leur
interprétation, et l'incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux; l'incidence d'un certain nombre de facteurs sur
nos états financiers et nos estimations et la volatilité des
obligations au titre des prestations de retraite et l'accroissement
des cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel de 2022 de BCE daté du 2 mars 2023 et les rapports de gestion du premier et du
deuxième trimestres de 2023 de BCE respectivement datés du
3 mai 2023 et du 2 août 2023,
pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de
risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et
hypothèses, lesquels ont été déposés par BCE auprès des autorités
des provinces canadiennes en valeurs mobilières (disponibles à
Sedarplus.ca) et de la Securities and Exchange Commission des
États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces documents sont
également disponibles à BCE.ca.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de communications du Canada13,
BCE offre des services large bande évolués sans fil, Internet, de
télévision, de médias et de communications d'affaires. Pour en
savoir plus, visitez les sites Bell.ca ou BCE.ca.
Dans le cadre de Mieux pour tous, nous investissons dans
l'amélioration du présent et de l'avenir en soutenant la prospérité
sociale et économique de nos collectivités. Parmi nos
initiatives, Bell Cause pour la cause fait la promotion de la santé
mentale au Canada par des campagnes nationales de sensibilisation
et de lutte contre la stigmatisation, comme la Journée Bell Cause
pour la cause, et par le versement de dons importants pour les
soins et l'accès communautaires, la recherche et les initiatives en
milieu de travail à l'échelle du pays. Pour en savoir plus,
visitez le site Bell.ca/Cause.
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13 En
fonction du total des revenus et du total combiné de connexions
clients.
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Questions des médias :
Ellen Murphy
media@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
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SOURCE Bell Canada