Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
ce communiqué.
- Bénéfice net en hausse de 29,0 %, à
699 millions $; bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires en hausse de 32,5 %, à 657 millions $, ou
0,75 $ par action ordinaire; hausse de 8,5 % du bénéfice
net ajusté, à 667 millions $, entraînant une progression
de 5,6 % du BPA ajusté, à 0,76 $
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de
1 520 millions $ et flux de trésorerie disponibles
de 923 millions $ contribuant à la hausse, pour
l'ensemble de l'exercice, des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, de 5,9 %
et de 7,6 %, respectivement
- Augmentation des produits d'exploitation de 1,8 %
découlant d'une plus forte croissance des produits tirés des
services, de 2,3 % - la meilleure performance au chapitre du
chiffre d'affaires depuis le T3 2015 - entraînant une
croissance du BAIIA ajusté de BCE de 2,3 % et une progression
de la marge dans un trimestre où la concurrence est très
vive
- Résultats exceptionnels dans le sans-fil : 112 393
ajouts nets d'abonnés des services postpayés, une hausse de
23,1 %; croissance des produits tirés des services de
7,2 % sur un PMU en hausse de 4,7 %; BAIIA ajusté en
hausse de 5,1 %
- Recrutement continu d'abonnés des services à large bande au
T4 avec 54 307 ajouts nets de clients des services de
télé IP et Internet
- Hausse de 0,9 % du BAIIA ajusté dans le sur-fil sur des
coûts d'exploitation en baisse de 1,8 %, générant une
augmentation de 0,6 point de la marge, à 40,1 %; deuxième
exercice consécutif de croissance positive du BAIIA ajusté pour les
Services sur fil de Bell
- Contribution importante de Bell Média avec une croissance
des produits des activités ordinaires de 3,6 % entraînant une
augmentation du BAIIA ajusté de 2,2 %; accélération de la
croissance de la clientèle d'abonnés de CraveTV ce
trimestre
MONTRÉAL, le 2 févr. 2017 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX:
BCE) (NYSE: BCE), la plus grande entreprise de communications du
Canada, a présenté aujourd'hui les résultats du quatrième trimestre
(T4) et de l'ensemble de l'exercice 2016 ainsi que les
objectifs de son orientation financière pour 2017, et a annoncé une majoration de 0,14 $
par action, soit 5,1 %, du dividende annuel par action
ordinaire de BCE, qui est porté à 2,87 $.
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
(en millions $,
sauf les montants par action)
(non audité)
|
T4 2016
|
T4 2015
|
% de
variation
|
|
2016
|
2015
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 702
|
5 603
|
1,8
|
%
|
21 719
|
21 514
|
1,0
|
%
|
Bénéfice
net
|
699
|
542
|
29,0
|
%
|
3 087
|
2 730
|
13,1
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
657
|
496
|
32,5
|
%
|
2 894
|
2 526
|
14,6
|
%
|
Bénéfice net
ajusté(1)
|
667
|
615
|
8,5
|
%
|
3 009
|
2 845
|
5,8
|
%
|
BAIIA
ajusté(2)
|
2 121
|
2 073
|
2,3
|
%
|
8 788
|
8 551
|
2,8
|
%
|
BPA
|
0,75
|
0,58
|
29,3
|
%
|
3,33
|
2,98
|
11,7
|
%
|
BPA
ajusté(1)
|
0,76
|
0,72
|
5,6
|
%
|
3,46
|
3,36
|
3,0
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 520
|
1 510
|
0,7
|
%
|
6 643
|
6 274
|
5,9
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
923
|
916
|
0,8
|
%
|
3 226
|
2 999
|
7,6
|
%
|
« La performance que nous avons réalisée au T4 a permis de
terminer l'exercice sur une excellente note, l'équipe de Bell
s'étant activée sans relâche à déployer la stratégie relative au
leadership dans les services à large bande, ce qui crée de la
valeur pour nos clients, les diverses collectivités et les
actionnaires. Bell est une entreprise dynamique : elle déploie
de nouveaux réseaux de fibre et sans fil qui se classent parmi les
meilleurs du monde et elle développe de manière exclusive les
innovations en communications et médias que les Canadiens veulent
réellement », a déclaré George Cope, président et chef de
la direction de BCE et de Bell
Canada. « Les innovations continuelles dans les réseaux
et les services sont la clé de la position de mieux en mieux
affirmée de Bell en tant que chef de file dans les communications à
large bande, comme l'illustrent les données du T4, à savoir, des
ajouts nets de plus de 54 000 abonnés du service Télé
Fibe et des services Internet, et d'environ
240 000 abonnés en 2016; plus de
112 000 nouveaux abonnés nets des services sans fil
postpayés pour le trimestre et 315 000 en 2016, une
augmentation de 23 % et de 19 %, respectivement; et
l'accélération de la croissance du service de vidéo en continu
CraveTV de Bell Média. »
« Le succès remporté sur le marché par les services de
niveau supérieur de Bell, et la croissance rapide de l'utilisation
de ces services par les clients, notamment une hausse de 41 %
de l'utilisation totale des services de données sans fil et de 31 %
des services Internet à large bande par rapport au T4 de l'exercice
précédent, ont entraîné une solide croissance des produits des
activités ordinaires. Ces facteurs combinés à l'attention soutenue
de notre équipe quant à l'efficience relative aux coûts dans un
marché concurrentiel permet à Bell
de réaliser des augmentations continues au chapitre de la
rentabilité d'exploitation, en particulier pour nos activités dans
le sans-fil, qui ont donné lieu à des hausses de 7,2 % des
produits tirés des services, de 4,7 % du PMU et de 5,1 %
du BAIIA ajusté. L'accroissement de nos flux de trésorerie
disponibles nous permet de faire des investissements, plus élevés
que ceux de toute autre entreprise du secteur, dans les réseaux
primés sans fil LTE et de fibre de Bell ainsi que dans la R. et D.
de produits; de mettre l'accent sur le rendement offert aux
actionnaires en effectuant une autre majoration du dividende sur
les actions ordinaires de BCE, la 13e depuis la fin de
2008; et de contribuer au bien-être
collectif national, avec un autre don record de Bell pour la santé
mentale en 2017 rendu possible par la mobilisation sans précédent
des Canadiens la semaine dernière lors de la Journée Bell Cause
pour la cause. »
Bell centre ses efforts sur un objectif clair : être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, ce qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de six impératifs stratégiques : investir dans les
réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer
meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les
médias, améliorer le service à la clientèle et établir une
structure de coûts concurrentielle. Cette stratégie de leadership
dans les services à large bande a porté ses fruits : réseaux
de fibre et sans fil LTE figurant parmi les plus performants au
monde, solide performance continue dans les services de croissance
que sont les services sans fil, de télé, Internet et de médias,
45 trimestres consécutifs de croissance ininterrompue d'un
exercice à l'autre du BAIIA ajusté et 13 augmentations du
dividende sur les actions ordinaires de BCE depuis la fin de 2008,
soit une majoration totale de 97 %.
« Encore une fois en 2016, BCE a atteint tous les objectifs
de son orientation financière. Année après année, nous réussissons
à assurer la constance de notre rendement, ce qui confirme
l'efficacité du modèle économique de Bell fondé sur
six impératifs stratégiques et souligne l'importance que nous
accordons sans relâche à la croissance rentable des abonnés et à la
gestion rigoureuse des coûts dans un marché extrêmement
concurrentiel et dynamique », a affirmé Glen LeBlanc, chef des affaires financières de
BCE et de Bell Canada. « À
l'aube de 2017, les activités et les bases financières de BCE sont
solides. Notre bilan sain est appuyé par des cotes de crédit
élevées et une bonne liquidité, et notre régime de retraite à
prestations définies, qui présente un niveau de capitalisation très
élevé, est bien positionné pour profiter d'un contexte de taux
d'intérêt à la hausse. »
« Les objectifs de l'orientation de BCE pour 2017 reflètent
des perspectives financières favorables pour les trois secteurs
opérationnels de Bell, avec des flux de trésorerie disponibles
constituant une base solide et stable pour la hausse de 5,1 %
du dividende sur actions ordinaires de BCE en 2017 et permettant de maintenir les dépenses
d'investissement à un niveau élevé afin de favoriser la croissance
future de l'entreprise et de soutenir notre engagement visant à
procurer aux actionnaires des rendements constants et
durables. »
Transfert de la licence de radiodiffusion et de distribution
de MTS à Bell approuvé par le CRTC
En décembre, le
CRTC a approuvé le transfert à Bell de
la licence de radiodiffusion terrestre détenue par Manitoba
Telecom Services Inc., une autre étape du processus de réalisation
de l'acquisition de MTS par BCE. La transaction, qui devrait se
conclure d'ici la fin du T1 2017, a également été approuvée par les
actionnaires de MTS et les tribunaux du Manitoba. De plus, Bell et MTS travaillent en
étroite collaboration avec le Bureau de la concurrence et
Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDE) afin
d'obtenir les dernières approbations requises.
Augmentation du dividende sur les actions ordinaires de
BCE
L'annonce d'aujourd'hui sur le dividende, la
13e augmentation du dividende annuel par action
ordinaire de BCE depuis le T4 2008, représente une
augmentation de 97 %. Le dividende par action ordinaire
annualisé de BCE augmentera de 5,1 %, ou 14 cents par action, pour passer de 2,73 $ à
2,87 $. Cette augmentation s'appliquera au dividende du
T1 2017 de BCE, payable le 15 avril 2017 aux
actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le
15 mars 2017. Il s'agit de la 9e année
consécutive pour laquelle BCE a enregistré une croissance du
dividende de 5 % ou plus, tout en maintenant le ratio de
distribution(3) à l'intérieur de la fourchette de
65 % à 75 % des flux de trésorerie disponibles établie
dans la politique. Cette décision de majorer le dividende pour 2017
s'appuie entièrement sur la croissance prévue des flux de
trésorerie disponibles.
Cotisations volontaires aux régimes de retraite
BCE a versé des cotisations volontaires aux régimes de retraite de
400 millions $ en décembre 2016, ce qui a eu pour
effet de renforcer l'excellente solvabilité de ses régimes de
retraite à prestations définies (PD), de réduire le montant des
obligations futures au titre des régimes de retraite et de placer
BCE en bonne position pour prendre en charge le régime de retraite
PD de MTS une fois l'acquisition conclue. Les cotisations
volontaires ont servi à la capitalisation anticipée des obligations
futures, ce qui a été une utilisation judicieuse des fonds en
caisse à la fin de 2016. En effet, cette démarche a eu une
incidence favorable sur les flux de trésorerie disponibles de BCE
en 2017 en raison de la déductibilité fiscale des cotisations et du
fait que la situation d'excédent des régimes sera atteinte plus
rapidement, ce qui est avantageux si les taux d'intérêt
augmentent.
Nouveaux records atteints lors de la Journée Bell
Cause pour la cause 2017
Grâce aux nouvelles façons de
communiquer à la disposition des Canadiens, comme les applications
Instagram et Snapchat, la Journée Bell Cause pour la cause 2017 a
constitué la plus importante conversation sur la santé mentale
jamais engagée. En effet, le 25 janvier,
131 705 010 textos, appels et messages sur les
réseaux sociaux pour le soutien à la cause ont été générés au
total. Le mot-clic #BellCause a de nouveau été la tendance Twitter
numéro un du Canada et dans le monde entier. De plus, globalement,
les interactions sur les réseaux sociaux comme Twitter, Facebook,
Snapchat et Instagram ont plus que triplé cette année. Comme Bell
fait un don de 5 cents par
interaction, les participants ont amassé un montant de
6 585 250,50 $ pour le financement des programmes en
santé mentale. L'engagement de Bell envers la santé mentale
représente maintenant un montant total de 86 504 429,05
$, qui atteindra au moins 100 millions $ en 2020. Bell
Cause pour la cause offre son soutien à plus de 700 organismes qui
mettent en place des initiatives en santé mentale pour la lutte
contre la stigmatisation, les soins, la recherche et les milieux de
travail dans chaque région du pays.
RÉSULTATS DE BCE
Les produits d'exploitation de BCE
ont augmenté de 1,8 % au T4, pour s'établir à
5 702 millions $, ce qui reflète une croissance d'un
exercice à l'autre de 2,3 % des produits tirés des services,
qui se sont élevés à 5 169 millions $, du fait de la
solide croissance du chiffre d'affaires dans les services sans fil,
résidentiels et de médias. Les produits d'exploitation tirés des
produits ont diminué de 3,2 %, pour s'établir à
533 millions $, ce qui résulte des rabais plus généreux
et des offres accrocheuses accordés par nos concurrents sur les
combinés mobiles ainsi que des ventes moindres de produits filaires
aux clients d'affaires. Pour l'ensemble de l'exercice 2016,
les produits d'exploitation de BCE ont augmenté conformément aux
objectifs de l'orientation pour l'exercice, s'établissant à
21 719 millions $, une hausse de 1,0 %
comparativement à 21 514 millions $ en 2015, dans la
foulée de la croissance de 1,7 % des produits tirés des
services, tandis que le total des produits d'exploitation tirés des
produits a diminué de 7,2 %.
Le bénéfice net a augmenté de 29,0 %, pour s'établir à
699 millions $, comparativement à
542 millions $ au T4 2015, tandis que le bénéfice
net attribuable aux actionnaires ordinaires a totalisé
657 millions $ ce trimestre, soit 0,75 $ par action,
en hausse de 32,5 % et de 29,3 %, respectivement,
comparativement à 496 millions $, soit 0,58 $ par
action, à l'exercice précédent. Ces augmentations d'un exercice à
l'autre sont attribuables à la croissance des produits
d'exploitation, qui a entraîné une augmentation du BAIIA ajusté,
ainsi qu'à la diminution des coûts liés aux indemnités de départ,
aux acquisitions et autres et à la réduction des autres charges.
Ces augmentations ont été partiellement contrebalancées par
l'augmentation du montant au titre de la dotation à l'amortissement
des immobilisations incorporelles et par la hausse de l'impôt sur
le résultat.
Les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et
autres ont diminué ce trimestre principalement du fait que les
coûts de restructuration de la main-d'œuvre dans le sur-fil et les
médias avaient été plus élevés au T4 2015. Les autres charges
ont diminué du fait des pertes de valeur moindres d'un exercice à
l'autre découlant des propriétés de Bell Média. Exclusion faite de
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des pertes nettes sur placements et des
coûts relatifs au remboursement anticipé de la dette, le bénéfice
net ajusté a augmenté de 8,5 %, pour s'établir à
667 millions $, soit 0,76 $ par action ordinaire,
comparativement à 615 millions $, soit 0,72 $ par
action ordinaire, au T4 2015.
Pour l'ensemble de l'exercice 2016, le bénéfice net a
augmenté de 13,1 %, pour s'établir à
3 087 millions $, comparativement à
2 730 millions $ à l'exercice précédent, tandis que
le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est
établi à 2 894 millions $, soit 3,33 $ par
action, en hausse de 14,6 % et de 11,7 %, respectivement,
comparativement à 2 526 millions $, soit 2,98 $
par action, en 2015. Ces augmentations sont attribuables à la forte
croissance des produits d'exploitation et au contrôle rigoureux
exercé sur les coûts, qui ont entraîné une augmentation du BAIIA
ajusté, à la diminution des coûts liés aux indemnités de départ,
aux acquisitions et autres, à la réduction des charges financières
reflétant la diminution de la charge d'intérêts sur divers
instruments d'emprunt de Bell Canada
et la réduction des intérêts liés aux obligations au titre des
avantages postérieurs à l'emploi, ainsi qu'à l'augmentation des
autres produits. Ces résultats ont été en partie contrebalancés par
l'augmentation de la dotation à l'amortissement des immobilisations
incorporelles et la hausse de l'impôt sur le résultat. Le bénéfice
net ajusté de 3 009 millions $ et le bénéfice par
action (BPA) ajusté de 3,46 $ en 2016 ont augmenté de
5,8 % et de 3,0 %, respectivement, par rapport à 2015, ce
qui reflète l'augmentation du BAIIA ajusté dans les trois secteurs
opérationnels de Bell.
Le BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 2,3 %, pour s'établir
à 2 121 millions $ au T4, entraîné par des hausses
d'un exercice à l'autre de 5,1 % pour les Services sans fil,
de 0,9 % pour les Services sur fil et de 2,2 % pour Bell
Média. La marge du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a
légèrement augmenté, passant à 37,2 % ce trimestre, contre
37,0 % à l'exercice précédent, reflétant l'incidence de la
hausse du produit moyen par utilisateur(4) (PMU) dans le
sans-fil, l'accroissement de la portée de nos services Internet et
de télé IP à large bande ainsi que la diminution des coûts
d'exploitation dans le sur-fil. Conformément à la fourchette des
objectifs de notre orientation pour 2016, soit une croissance de
2 % à 4 % pour l'exercice, le BAIIA ajusté de BCE a
augmenté de 2,8 %, pour s'établir à
8 788 millions $, comparativement à
8 551 millions $ en 2015.
BCE a investi 993 millions $ en nouveau capital au T4,
ce qui porte les dépenses d'investissement totales pour 2016 à
3 771 millions $, une augmentation de 4,0 % par
rapport à 2015. Ces chiffres concordent avec les dépenses plus
élevées prévues dans l'infrastructure de réseaux sur fil et sans
fil à large bande évoluée et représentent un ratio d'intensité du
capital(4) (les dépenses d'investissement en pourcentage
du total des produits des activités ordinaires) de 17,4 % pour
2016, conformément à notre orientation prévue d'environ
17 %.
Les dépenses d'investissement ont été surtout concentrées dans
l'expansion de notre réseau de fibre à large bande en vue de
brancher un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
directement, ce qui comprend : la construction de
l'infrastructure Fibe Gigabit à Toronto et dans d'autres centres urbains;
l'investissement continu dans les réseaux de premier plan 4G
LTE et LTE Advanced (LTE-A) de Bell, y compris le déploiement de la
technologie des petites cellules afin d'optimiser la couverture, la
qualité du signal et la capacité en données; et l'augmentation de
la capacité des réseaux sans fil et Internet pour soutenir la
croissance de la clientèle et l'utilisation accrue des services de
données.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
au T4 se sont établis à 1 520 millions $, en hausse
comparativement à 1 510 millions $ à l'exercice
précédent, ce qui résulte de la croissance du BAIIA ajusté et de la
diminution de l'impôt sur le résultat payé ainsi que de
l'augmentation des coûts liés aux acquisitions et autres payés au
T4 2015 découlant principalement du paiement effectué dans le
cadre de l'exécution intégrale du jugement rendu relativement à un
litige au sujet du piratage du signal de télé par satellite et des
indemnités de départ d'employés et des coûts relatifs à
l'intégration qui se rapportent à la privatisation de Bell Aliant.
Ces résultats ont été largement contrebalancés par l'augmentation
des cotisations volontaires, qui totalisent
400 millions $, versées aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi à la fin de 2016 par rapport à
250 millions $ à la fin de 2015,
et par la diminution du fonds de roulement. BCE a généré des
flux de trésorerie disponibles de 923 millions $ ce
trimestre, une hausse de 0,8 % par rapport à
916 millions $ à l'exercice précédent, ce qui reflète
l'augmentation des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et la diminution des dividendes en trésorerie payés
sur les actions privilégiées du fait de l'échelonnement des
paiements, en partie contrebalancées par l'augmentation des
dépenses d'investissement. Pour l'ensemble de l'exercice 2016,
les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE ont
augmenté de 5,9 %, pour s'établir à
6 643 millions $, comparativement à
6 274 millions $ en 2015, tandis que les flux de
trésorerie disponibles ont progressé de 7,6 %, pour s'établir
à 3 226 millions $, comparativement à
2 999 millions $.
Au T4 2016, BCE a ajouté 112 393 nouveaux abonnés
nets des services sans fil postpayés et a subi une perte nette de
24 470 abonnés des services prépayés, a ajouté
35 905 nouveaux abonnés nets du service Télé Fibe et a
subi une perte nette de 36 869 abonnés du service de télé
par satellite et a ajouté 18 402 nouveaux abonnés nets
d'Internet haute vitesse. Les pertes nettes totales au chapitre des
SAR se sont établies à 100 630 abonnés. À la fin de 2016,
BCE comptait au total 8 468 872 abonnés du sans-fil,
soit une hausse de 2,7 % par rapport au T4 2015 (y
compris les 7 690 727 abonnés des services
postpayés, soit une augmentation de 4,3 %),
2 744 909 abonnés des services de télé au total, soit une
augmentation de 0,2 % (y compris les
1 337 944 abonnés du service Télé Fibe, soit une
augmentation de 13,1 %), 3 476 562 abonnés
d'Internet haute vitesse au total, soit une augmentation de
1,9 %, et, enfin, 6 257 732 abonnés des SAR au
total, soit une diminution de 6,4 %.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
La croissance des produits
d'exploitation des Services sans fil s'est accélérée ce trimestre,
en hausse de 6,4 % par rapport au T4 2015, pour se
chiffrer à 1 883 millions $, dans la foulée de
l'augmentation de 7,2 % des produits tirés des services, à
1 702 millions $, découlant de la proportion accrue
d'abonnés des services postpayés parmi notre clientèle et de la
forte croissance d'un exercice à l'autre du PMU combiné. Les
produits d'exploitation tirés des produits, de
170 millions $, sont essentiellement inchangés par
rapport au T4 2015. Pour l'ensemble de l'exercice 2016,
les produits d'exploitation des Services sans fil de Bell ont
augmenté de 4,1 %, pour s'établir à
7 159 millions $, tandis que les produits tirés des
services ont progressé de 5,7 %, à
6 602 millions $. Toutefois, le total des produits
d'exploitation tirés des produits en 2016 a diminué de 12,7 %,
à 515 millions $, malgré le nombre accru d'ajouts bruts
d'abonnés par rapport à 2015, en raison de la diminution du prix
moyen des combinés reflétant le maintien à un niveau soutenu de
l'activité promotionnelle concurrentielle sur le marché tout au
long de l'exercice et le nombre moins élevé de mises à niveau d'un
exercice à l'autre.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil a augmenté de 5,1 %,
pour se chiffrer à 674 millions $ au T4, dans la foulée
de la forte croissance des produits tirés des services découlant de
la proportion accrue d'abonnés des services postpayés, qui génèrent
une valeur plus élevée, parmi notre clientèle totale et en raison
de la gestion rigoureuse des prix. La marge des produits tirés des
services a diminué à 39,6 %, comparativement à 40,4 % au
T4 2015, en raison de l'augmentation de
67 millions $ d'un exercice à l'autre des dépenses
totales combinées à l'égard de la fidélisation de la clientèle et
des coûts d'acquisition d'abonnés, qui a contribué à la croissance
des coûts d'exploitation de 7,1 % ce trimestre. Pour
l'ensemble de l'exercice 2016, le BAIIA ajusté a enregistré
une augmentation de 6,2 %, pour se chiffrer à
3 003 millions $. La hausse du PMU combiné a
largement compensé les coûts plus élevés relatifs à la fidélisation
de la clientèle et à l'acquisition d'abonnés, ce qui a entraîné une
augmentation de 0,2 point de pourcentage de la marge liée aux
services, qui s'est établie à 45,5 %.
- Les ajouts bruts d'abonnés des services postpayés ont totalisé
434 008, en hausse de 11,9 % par rapport au T4 2015,
ce qui reflète l'intensification du niveau d'activité dans le
marché en raison des offres plus avantageuses lancées pendant la
période des fêtes par rapport à l'exercice précédent, le maintien
du leadership de Bell en matière de vitesses des réseaux mobiles et
le niveau soutenu de réalisation des ventes globalement dans tous
nos canaux. Pour l'ensemble de l'exercice 2016, les ajouts
bruts d'abonnés des services postpayés ont augmenté de 5,2 %,
à 1 408 030, comparativement à 1 338 141 en
2015.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont augmenté
de 23,1 %, à 112 393, comparativement à 91 308 au
T4 2015, ce qui résulte du nombre plus élevé d'ajouts bruts.
Pour l'ensemble de l'exercice 2016, les ajouts nets d'abonnés
des services postpayés ont augmenté de 18,8 %, à 315 311,
comparativement à 265 369 en 2015, dans la foulée du nombre
plus élevé d'ajouts bruts et de la diminution du taux de
désabonnement(4).
- Le taux de désabonnement des services postpayés a augmenté de
0,07 point de pourcentage, pour s'établir à 1,45 % ce
trimestre, ce qui reflète l'activité promotionnelle saisonnière
habituellement plus intense sur le marché et la désactivation
d'abonnés générant un PMU peu élevé découlant de la perte d'un
contrat avec une entreprise. Le taux de désabonnement des services
postpayés pour l'ensemble de l'exercice 2016 a diminué de
0,03 point de pourcentage, pour s'établir à 1,25 %, ce
qui reflète l'activité plus intense globalement sur le marché en
2015 en raison de l'émergence de la double cohorte ainsi que les
retombées positives sur le plan opérationnel découlant de nos
investissements continus dans la vitesse et la qualité des réseaux,
la fidélisation de la clientèle et l'excellence du service.
- La clientèle des services postpayés des Services sans fil de
Bell totalisait 7 690 727 abonnés à la fin de 2016,
une augmentation de 4,3 % par rapport à 2015. La clientèle
totale des services sans fil a augmenté de 2,7 %, pour
s'établir à 8 468 872 abonnés. Le pourcentage des
abonnés des services postpayés utilisant un téléphone intelligent a
augmenté à 83 %, comparativement à 78 % à la fin de 2015,
tandis que la proportion d'abonnés des services postpayés sur le
réseau LTE a atteint 81 %, en hausse comparativement à
68 % à l'exercice précédent.
- Le PMU combiné a augmenté de 4,7 %, pour s'établir à
66,69 $ au T4, en raison de la proportion plus élevée
d'abonnés des services postpayés, d'un pourcentage accru d'abonnés
avec des contrats de deux ans, à tarifs plus élevés, de
l'utilisation plus intensive des services de données sur nos
réseaux mobiles 4G LTE et LTE-A et d'une approche rigoureuse
en matière d'établissement des prix. Pour l'ensemble de
l'exercice 2016, le PMU combiné a augmenté de 3,8 %, pour
s'établir à 65,46 $.
- Le coût d'acquisition(4) a augmenté de 3,0 %,
pour s'établir à 541 $ par abonné au T4, en raison de
l'alignement des offres à l'égard des combinés sur celles, plus
généreuses, de nos concurrents, de la proportion plus importante de
téléphones intelligents haut de gamme en service, du nombre plus
élevé d'ajouts bruts d'abonnés des services postpayés par rapport à
l'exercice précédent et des coûts plus élevés pour les combinés en
raison de la faiblesse du dollar canadien. Pour l'ensemble de
l'exercice 2016, le coût d'acquisition a augmenté de
5,8 %, pour s'établir à 494 $.
- Les dépenses relatives à la fidélisation de la clientèle ont
augmenté, pour s'établir à 16,4 % des produits tirés des
services sans fil, contre 14,3 % au T4 2015, ce qui
reflète la proportion plus élevée de mises à niveau de combinés
haut de gamme et l'activité promotionnelle plus intense sur le
marché. Les dépenses relatives à la fidélisation de la clientèle
pour l'ensemble de l'exercice 2016 se sont établies à
13,2 % du total des produits tirés des services sans fil.
- Le réseau sans fil LTE-A de Bell fournissait le service à
73 % de la population canadienne à la fin de 2016, à des
vitesses de téléchargement de données pouvant atteindre
260 mégabits par seconde (Mbps) (vitesses moyennes attendues
de 18 Mbps à 74 Mbps). De plus, notre service LTE-A tribande
offrait des vitesses de téléchargement pouvant atteindre 335 Mbps
(vitesses moyennes attendues de 25 Mbps à 100 Mbps). Le réseau
mobile national 4G LTE est également offert à titre de
complément, rejoignant 97 % des Canadiens à la fin de 2016, à
des vitesses de téléchargement allant de 75 Mbps à
150 Mbps (vitesses moyennes attendues de 12 Mbps à 40
Mbps).
Services sur fil de Bell
Les produits d'exploitation
des Services sur fil ont diminué de 0,8 %, pour s'établir à
3 137 millions $ au T4, en raison de la diminution
des produits tirés des services de gros dans la foulée des
révisions à la baisse des tarifs pour les services Internet de gros
par le CRTC et de la diminution au chapitre des ventes de minutes
de conversations interurbaines internationales, ainsi que de la
diminution des dépenses des clients d'affaires d'un exercice à
l'autre pour les principaux services de connectivité ainsi que les
produits de données, ce qui reflète la faible croissance économique
et les pressions concurrentielles sur les prix. Cette situation a
été compensée par la performance financière de l'unité Services
résidentiels des Services sur fil de Bell, qui a enregistré une
croissance positive des produits des activités ordinaires ce
trimestre, malgré les rabais plus généreux consentis pour
l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle afin
d'aligner les offres promotionnelles de forfaits de services
lancées par nos concurrents, et par la contribution de l'exploitant
de centres de données Les Réseaux Q9 Inc. (Q9), qui a été
acquis le 3 octobre 2016. De même, les produits
d'exploitation des Services sur fil pour l'ensemble de
l'exercice 2016 ont diminué de 1,3 %, à
12 104 millions $.
Compte tenu de la portée croissante de la large bande et de la
diminution de 1,8 % du total des coûts d'exploitation
découlant du maintien d'un contrôle des dépenses, des économies
liées à la fibre ainsi que de l'amélioration du service à la
clientèle et d'autres mesures d'efficience opérationnelle, le BAIIA
ajusté dans le sur-fil a augmenté de 0,9 %, à
1 259 millions $ au T4, entraînant une augmentation
de 60 points de base de la marge, qui est passée à
40,1 %.
Pour un deuxième exercice consécutif en 2016, les Services sur
fil de Bell ont généré une croissance positive du BAIIA ajusté, qui
a augmenté de 0,8 %, à 5 042 millions $, ce qui
a permis une amélioration de 0,9 point de pourcentage de la
marge de Bell, la plus élevée en Amérique du Nord, à 41,7 %.
Cette croissance a été favorisée par la diminution de 2,7 %
des coûts d'exploitation d'un exercice à l'autre, qui résulte des
synergies réalisées à la suite de l'intégration de Bell Aliant, des
économies de coûts découlant des initiatives de restructuration de
la main-d'œuvre entreprises à la fin de 2015
et de l'amélioration continue du service.
- Bell Télé a ajouté 35 905 nouveaux abonnés nets du
service Télé Fibe, comparativement à 74 092 au T4 2015,
ce qui reflète le niveau limité d'expansion de la zone de
couverture combiné au niveau croissant de maturité des marchés
établis pour le service Télé Fibe, le nombre moindre de clients
délaissant la télé par satellite, ainsi que des offres de forfaits
de services généralement moins généreuses qu'à l'exercice
précédent. En 2016, les ajouts nets du service Télé Fibe ont
totalisé 155 153, comparativement à 253 329 à l'exercice
précédent. À la fin de 2016, BCE comptait
1 337 944 abonnés du service Télé Fibe, soit une
hausse de 13,1 % d'un exercice à l'autre.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont été
relativement stables ce trimestre, à 36 869, comparativement à
36 306 au T4 2015. Pour l'ensemble de
l'exercice 2016, les pertes nettes d'abonnés du service Télé
Satellite ont augmenté de 1,9 %, pour s'établir à
148 740, contre 145 949 en 2015, du fait que nos
concurrents dans la câblodistribution ont proposé leurs offres de
recrutement d'abonnés de manière ciblée dans les zones où nos
services de télé IP ne sont pas offerts. À la fin de 2016, BCE
comptait un nombre total combiné de
2 744 909 abonnés des services de télé,
comparativement à 2 738 496 à la fin de 2015.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont totalisé
18 402 ce trimestre, comparativement à 38 908 au
T4 2015. Malgré une solide croissance d'un exercice à l'autre
pour ce qui est des nouvelles activations d'abonnés dans la zone de
couverture de notre service de fibre jusqu'au domicile (FTTH) qui
s'accroît rapidement, le total des ajouts nets d'abonnés d'Internet
a diminué par suite de la hausse du taux de désabonnement des
clients résidentiels découlant des offres promotionnelles pour des
forfaits de services encore plus accrocheuses lancées par nos
concurrents dans la câblodistribution et du volume accru de clients
de Bell dont les offres promotionnelles ont pris fin, ainsi que du
nombre moindre d'activations de clients de gros.
- Avec, pour l'ensemble de l'exercice 2016, des ajouts nets
d'abonnés d'Internet de 85 099, comparativement à 155 052
en 2015, BCE a continué de fortifier sa position de premier
fournisseur de services Internet du Canada grâce à une clientèle
d'abonnés d'Internet haute vitesse de 3 476 562 à la fin
de 2016, en hausse de 1,9 % par rapport à 2015.
- La zone de couverture du réseau de fibre à large bande de Bell
rejoignait environ 8,3 millions de foyers et d'entreprises à
la fin de 2016, comprenant environ 2,9 millions d'emplacements
de la fibre jusqu'aux locaux de l'abonné (FTTP).
- Les produits tirés des données filaires ont augmenté de
2,9 %, pour s'établir à 1 916 millions $ au T4,
ce qui découle de la croissance combinée des produits tirés des
services Internet et de télé résidentiels, de 5,8 %, et de la
forte croissance, de 11,8 %, au chapitre des solutions
d'affaires, reflétant la contribution financière plus élevée de Q9.
Cette augmentation a été partiellement contrebalancée par la
diminution des ventes de produits de données filaires aux grandes
entreprises clientes en raison de la faiblesse de l'économie et par
la baisse continue dans les services de données traditionnels, dans
la foulée de la migration des clients d'affaires vers les services
IP et de la réduction des dépenses globales dans les
communications. De même, pour l'ensemble de l'exercice 2016,
les produits tirés des services de données filaires ont augmenté de
2,6 %, pour s'établir à 7 350 millions $.
- Les pertes nettes d'abonnés résidentiels des SAR ont augmenté
de 16,0 %, à 67 385, comparativement à 58 081 au
T4 2015, en raison de la diminution de l'effet marqué des
activations de Télé Fibe, qui ont affiché une baisse d'un exercice
à l'autre, des généreux rabais consentis par nos concurrents dans
les offres promotionnelles pour des forfaits de services ainsi que
de l'augmentation constante de la substitution technologique des
services locaux en faveur des services sans fil et Internet. Pour
l'ensemble de l'exercice 2016, les pertes nettes d'abonnés
résidentiels des SAR ont totalisé 283 993, en hausse de
2,1 % comparativement à 278 124 en 2015.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont diminué de
31,9 %, à 33 245 au T4, comparativement à 48 829 à
l'exercice précédent, reflétant l'amélioration de la performance
des petites entreprises ainsi que la diminution du nombre de
désactivations de grandes entreprises et le ralentissement de la
conversion des lignes téléphoniques d'affaires au profit des
services IP. De même, pour l'ensemble de l'exercice 2016, les
pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont diminué de
18,0 %, à 131 415, comparativement à 160 310 en
2015.
- La clientèle totale des abonnés des SAR à la fin de 2016 était
de 6 257 732, soit 6,4 % de moins qu'à l'exercice
précédent, entraînant une diminution des produits tirés des
services locaux et d'accès au T4 et pour l'ensemble de
l'exercice 2016 de 6,1 % et de 5,6 %,
respectivement, à 753 millions $ et à
3 089 millions $. Les produits tirés des services
interurbains ont diminué de 12,7 %, à 178 millions $
ce trimestre, et de 10,8 %, à 741 millions $ en
2016, par suite de la diminution au chapitre des SAR et des ventes
de minutes de conversations interurbaines internationales par
rapport à 2015.
Bell Média
Les produits d'exploitation tirés du
secteur Média ont augmenté de 3,6 %, pour s'établir à
845 millions $, en hausse comparativement à 816 millions
$ au T4 2015. Cette augmentation est le résultat des produits tirés
des frais d'abonnement plus élevés découlant de l'expansion à
l'échelle nationale du service The Movie Network (TMN) en
mars 2016 et de la croissance continue de CraveTV et de la
gamme de produits vidéo en continu GO de Télé Partout.
Les produits tirés de la publicité au T4 sont essentiellement
inchangés par rapport à l'exercice précédent, car les baisses au
chapitre des services de télé traditionnelle reflètent
principalement la non-récurrence des produits générés au
T4 2015 par l'élection fédérale et la faiblesse du marché
publicitaire à la radio, qui ont été compensées par la croissance
au chapitre de l'affichage extérieur enregistrée par Astral
Affichage découlant d'acquisitions et de nouveaux contrats obtenus
en 2016 et par l'augmentation d'un
exercice à l'autre des produits tirés des services des chaînes
spécialisées dans le divertissement et dans l'information de Bell
Média.
Le BAIIA ajusté du secteur Média a augmenté de 2,2 %, pour
se chiffrer à 188 millions $, comparativement à
184 millions $ au T4 2015, ce qui résulte de
l'augmentation d'un exercice à l'autre des produits des activités
ordinaires qui a largement compensé la croissance des coûts
d'exploitation, de 4,0 %, attribuable à l'expansion à
l'échelle nationale du service TMN, l'enrichissement du contenu de
CraveTV ainsi que les charges accrues d'Astral Affichage liées aux
acquisitions et aux contrats obtenus pour l'affichage extérieur au
dernier exercice.
Pour l'ensemble de l'exercice 2016, les produits
d'exploitation ont augmenté de 3,6 %, à
3 081 millions $, les coûts d'exploitation ayant
augmenté de 3,9 %, ce qui a entraîné une croissance du BAIIA
ajusté de 2,8 %, à 743 millions $.
- CTV s'est classée au rang de premier réseau pour la
13e saison d'automne consécutive pour l'ensemble
des téléspectateurs et dans toutes les principales catégories
démographiques chez les adultes, avec 10 des 20 émissions les
plus regardées, soit plus que tous les autres réseaux canadiens
réunis.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante
anglophone, Bell Média a rejoint 82 % des téléspectateurs
canadiens anglophones de la télé spécialisée et de la télé payante
d'une semaine moyenne au T4 et a diffusé 12 des 20 émissions
les plus regardées par les téléspectateurs adultes dans les
tranches déterminantes. Discovery est demeurée la meilleure chaîne
spécialisée dans le divertissement aux heures de grande écoute,
tandis que TMN, Space et Bravo se classent toutes parmi les
10 meilleures chaînes.
- Bell Média a conservé sa position de leader du marché
francophone au Québec, les cotes d'écoute de sa télé spécialisée et
de sa télé payante s'élevant à 77 % de l'ensemble des
téléspectateurs d'une semaine moyenne. Cinq des dix chaînes de
télé spécialisée et de télé payante les plus populaires chez les
téléspectateurs dans les tranches déterminantes sont des propriétés
de Bell Média : RDS, Canal D, Super Écran, Canal Vie et Z.
- L'auditoire total aux heures de grande écoute au T4 pour TSN
affiche une hausse de 11 % par rapport à l'exercice précédent,
du fait de la hausse de l'auditoire moyen de la LCF, de la NFL et
des Raptors de Toronto ainsi que
des séries éliminatoires de la Coupe MLS, trois de ces matchs se
classant parmi les matchs de la MLS les plus regardés de l'histoire
de la télé canadienne et ayant attiré 1,3 million de
téléspectateurs pour la finale. Au cours du trimestre, le contrat
de TSN avec MLS a été prolongé de cinq ans.
- La finale du championnat mondial junior du
5 janvier a été l'émission de hockey la plus regardée à
la télé canadienne depuis 2015, faisant converger 5,2 millions
de téléspectateurs vers TSN et RDS.
- Bell Média demeure le chef de file du secteur canadien des
médias numériques avec un total de 18,4 millions de visiteurs
uniques mensuellement au T4, une moyenne de 961 millions de
minutes de temps d'utilisation mensuellement et une moyenne de
47,3 millions de vidéos regardées mensuellement.
- Bell Média a maintenu sa position de premier radiodiffuseur du
Canada au T4, rejoignant 17,1 millions d'auditeurs, lesquels
ont écouté, chaque semaine, plus de 77 millions d'heures de
contenu.
- Le 3 janvier, Bell Média a acquis Cieslok Media, une
entreprise spécialisée dans les panneaux publicitaires extérieurs
grand format installés dans les principales régions urbaines.
Permettant l'intensification de la présence numérique d'Astral
Affichage, Cieslok est une entreprise de publicité extérieure
prépondérante avec 120 panneaux d'affichage très en vue à
Vancouver, Edmonton, Calgary et Montréal, ainsi qu'à Toronto, dont les plus imposants panneaux
d'affichage multimédias du Canada sont situés dans le Yonge-Dundas Square. Astral Affichage compte
30 000 panneaux publicitaires au Québec, en Ontario, en Alberta, en Nouvelle-Écosse et en C.-B.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,7175 $ par action ordinaire, payable le
15 avril 2017 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 mars 2017.
PERSPECTIVES POUR 2017
Notre plan d'affaires pour 2017
s'appuie sur les résultats financiers positifs et l'élan
opérationnel réalisés en 2016 et
reflétant le haut niveau de rentabilité dans le sans-fil et les
activations d'abonnés des services postpayés, l'accroissement de la
portée des services Internet et de télé à large bande,
l'amélioration de la performance financière du secteur Média, ainsi
qu'une gestion efficace des coûts d'exploitation et une approche
rigoureuse en matière d'établissement des prix dans l'ensemble de
nos secteurs opérationnels et pour tous nos produits.
Les objectifs de l'orientation de BCE pour 2017 s'appuient sur
les progrès continus dans la réalisation de nos six impératifs
stratégiques et sur des perspectives financières favorables pour
les trois secteurs opérationnels de Bell, avec des flux de
trésorerie disponibles plus élevés constituant une base solide et
stable pour la majoration de 5,1 % du dividende par action
ordinaire annualisé de BCE en 2017, ainsi que pour le maintien à un
niveau élevé de nos dépenses d'investissement dans l'infrastructure
réseau sur fil et sans fil visant à soutenir la croissance future.
Ces objectifs reflètent également le fait que nous avons confiance
de pouvoir poursuivre avec succès nos activités dans les Services
sans fil, les Services sur fil et le secteur Média dans le contexte
d'un marché extrêmement concurrentiel et dynamique.
Notre orientation pour 2016, nos résultats de 2016 ainsi que nos
objectifs de l'orientation financière pour 2017, qui ne tiennent
pas compte actuellement de l'acquisition de MTS en cours, sont les
suivants :
|
|
|
|
|
Orientation
pour
2016
|
Résultats de
2016
|
Orientation
pour
2017
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
1 % à
3 %
|
1,0 %
|
1 % à
2 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2 % à
4 %
|
2,8 %
|
1,5 % à
2,5 %
|
Intensité du
capital
|
approx.
17 %
|
17,4 %
|
approx.
17 %
|
BPA ajusté
|
3,45 $ à
3,55 $
|
3,46 $
|
3,42 $ à
3,52 $
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles
|
approx. 4 %
à
12 %
|
7,6 %
|
approx. 3 % à
7 %
|
Dividende par action
ordinaire annualisé
|
2,73 $
|
2,73 $
|
2,87 $
|
Politique de
distribution du
dividende
|
65 % à 75 %
des
flux de trésorerie
disponibles
|
71,5 % des
flux
de trésorerie
disponibles
|
65 % à 75 %
des
flux de trésorerie
disponibles
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T4 2016 et de l'orientation financière pour 2017, le jeudi
2 février, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont
invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour
participer, composez le numéro sans frais 1-866-223-7781 ou le
416-340-2216. Une reprise sera disponible pendant une semaine au
1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez le code
d'identification 2972315#).
La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE
sous : Téléconférence sur les résultats de BCE pour le
T4 2016. Le fichier MP3 sera également disponible pour
téléchargement sur cette page, peu de temps après la
téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et
BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des
IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits
nets) pertes nettes sur placements et les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté
comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous
utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous croyons
que certains investisseurs et analystes utilisent ces mesures,
entre autres, pour évaluer la performance de nos activités avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur
placements et des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
déduction faite de l'impôt et des participations ne donnant pas le
contrôle (PNDPC). Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une
influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise.
Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires
et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus
comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T4 2016
|
T4 2015
|
2016
|
2015
|
|
Total
|
Par
action
|
Total
|
Par
action
|
Total
|
Par
action
|
Total
|
Par
action
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
657
|
0,75
|
496
|
0,58
|
2 894
|
3,33
|
2 526
|
2,98
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
9
|
0,01
|
112
|
0,12
|
104
|
0,12
|
327
|
0,38
|
Pertes nettes
(profits nets) sur placements
|
1
|
-
|
1
|
0,01
|
3
|
-
|
(21)
|
(0,02)
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
-
|
-
|
6
|
0,01
|
8
|
0,01
|
13
|
0,02
|
Bénéfice net
ajusté
|
667
|
0,76
|
615
|
0,72
|
3 009
|
3,46
|
2 845
|
3,36
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes
consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4 des
états financiers consolidés de 2016 de BCE. Nous définissons la
marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA ajusté divisé par les produits
d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités, puisqu'ils
reflètent leur rentabilité continue. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer
la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de
satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue
une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans
l'industrie des télécommunications. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent également le BAIIA ajusté et
la marge du BAIIA ajusté pour évaluer la performance de nos
activités. Le BAIIA ajusté est également un facteur dans la
détermination de la rémunération incitative à court terme pour
l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière
selon les IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge
du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau
suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA
ajusté.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
T4 2016
|
|
T4 2015
|
|
2016
|
|
2015
|
|
Bénéfice
net
|
699
|
|
542
|
|
3 087
|
|
2 730
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ,
aux acquisitions et autres
|
11
|
|
152
|
|
135
|
|
446
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
719
|
|
731
|
|
2 877
|
|
2 890
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
165
|
|
136
|
|
631
|
|
530
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Charge
d'intérêts
|
225
|
|
226
|
|
888
|
|
909
|
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des
avantages postérieurs à l'emploi
|
20
|
|
28
|
|
81
|
|
110
|
|
Autres (charges)
produits
|
30
|
|
70
|
|
21
|
|
12
|
|
Impôt sur le
résultat
|
252
|
|
188
|
|
1 110
|
|
924
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 121
|
|
2 073
|
|
8 788
|
|
8 551
|
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 702
|
|
5 603
|
|
21 719
|
|
21 514
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
37,2
|
%
|
37,0
|
%
|
40,5
|
%
|
39,7
|
%
|
(3) Les termes flux de trésorerie disponibles et
ratio de distribution n'ont pas de définition normalisée en
vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être
comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles
comme les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation,
déduction faite des coûts liés aux acquisitions et autres payés,
qui comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC. Nous excluons les coûts liés aux acquisitions
et autres payés et le financement des cotisations volontaires aux
régimes de retraite parce qu'ils ont une influence sur la
comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement
donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en
matière de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces
éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Nous
considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important
indicateur de la solidité financière et de la performance de nos
activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour
payer des dividendes, rembourser la dette et réinvestir dans notre
société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une
entreprise et ses actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité
financière et la performance de nos activités. Les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière selon les IFRS la plus comparable. Nous définissons le
ratio de distribution comme les dividendes payés sur les actions
ordinaires divisés par les flux de trésorerie disponibles. Nous
considérons le ratio de distribution comme un important indicateur
de la solidité financière et de la performance de nos activités,
car il met en évidence la pérennité des paiements de dividendes de
la société. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
|
|
|
T4 2016
|
T4 2015
|
2016
|
2015
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 520
|
1 510
|
6 643
|
6 274
|
Dépenses
d'investissement
|
(993)
|
(958)
|
(3 771)
|
(3 626)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(21)
|
(37)
|
(126)
|
(150)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de participations
ne donnant pas le contrôle
|
(11)
|
(8)
|
(46)
|
(41)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
28
|
159
|
126
|
292
|
Cotisation volontaire
au régime de retraite à prestations définies
|
400
|
250
|
400
|
250
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
923
|
916
|
3 226
|
2 999
|
(4) Nous utilisons le PMU, le taux de désabonnement, le
coût d'acquisition et l'intensité du capital pour évaluer les
progrès accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces
indicateurs de performance clés ne sont pas des mesures comptables
et pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent
communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces
déclarations prospectives comprennent, sans s'y limiter, des
déclarations concernant l'orientation financière pour 2017 (ce qui
comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté,
l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie
disponibles), le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de distribution du dividende sur actions ordinaires de
BCE pour 2017, l'échéancier et la réalisation prévus de
l'acquisition proposée par BCE de la totalité des actions émises et
en circulation de MTS, nos plans de déploiement pour les réseaux et
les dépenses d'investissement connexes, nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques, ainsi que
d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques.
Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation,
objectif, perspective, projet, stratégie, cible et d'autres
expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le
futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser,
s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier,
chercher à et aspirer à, permettent de repérer les
déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives
sont faites conformément aux « dispositions refuges »
prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs
mobilières et dans la loi américaine intitulée Private
Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans
ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints.
Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des
déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur
contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces
déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 2 février 2017 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ni pour toute
autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 2 février 2017. L'incidence financière de
ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2017, ainsi que nos
objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales pour
2017, et à mieux comprendre le
contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le
lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information
pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives contenues dans le présent communiqué, y compris, sans
s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Une amélioration graduelle de la croissance économique, basée
sur la plus récente estimation de la Banque du Canada de la
croissance du produit intérieur brut du Canada de 2,1 % en
2017;
- une modeste croissance des niveaux d'emploi, car le niveau
d'investissement des entreprises devrait demeurer peu élevé
globalement;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises;
- l'intensification de la concurrence dans le marché résidentiel,
le marché d'affaires et le marché de gros des services sur fil et
sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- le maintien d'une approche rigoureuse en matière
d'établissement des prix dans le secteur du sans-fil;
- la faiblesse attendue du marché publicitaire en raison de la
demande variable, et les coûts croissants pour obtenir de la
programmation télévisuelle.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien de notre part du marché des activations d'abonnés
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison de la hausse des
coûts des combinés et d'un nombre plus élevé de mises à niveau des
appareils, ce qui reflète un nombre plus important d'abonnés qui
n'ont plus de contrat, en raison de la durée plus courte des
contrats de deux ans;
- une croissance du PMU combiné, stimulée par une proportion
accrue d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones
intelligents, une consommation croissante des services de données
sur les réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs d'accès
découlant de l'augmentation des tarifs;
- l'achèvement de la construction du réseau LTE, qui couvre
99 % de la population canadienne, et l'expansion de la
couverture du réseau LTE-A à environ 83 % de la population
canadienne;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission, qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance continue du nombre d'abonnés résidentiels des
services de télé IP et Internet;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels par foyer,
générée par l'adoption croissante des forfaits multiproduits par
foyer et l'augmentation des tarifs;
- des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
zones où nous fournissons des services sur fil;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu
d'investissements constants;
- le dégroupement des chaînes de télé qui n'accélérera pas de
façon significative la réduction des forfaits télé par les
clients;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction des
postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la
retraite, de la réduction des taux contractuels des fournisseurs et
de la diminution du trafic non acheminé par nos propres
réseaux;
- une plus faible performance financière des services de gros en
raison d'une décision du CRTC, publiée en octobre 2016, qui diminue
considérablement les tarifs facturés en fonction de la capacité
pour les services Internet haute vitesse de gros groupés;
- aucune autre modification de la réglementation sur nos
activités dans le sur-fil ayant une incidence importante de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Une augmentation des produits des activités ordinaires d'un
exercice à l'autre reflétant la croissance de la clientèle
d'abonnés de CraveTV, l'expansion à l'échelle nationale de The
Movie Network, qui a commencé en mars 2016,
et la croissance de la publicité sur les panneaux
publicitaires extérieurs soutenue par les acquisitions et les
nouveaux contrats obtenus;
- l'augmentation des coûts d'exploitation entraînée par la hausse
des coûts de la programmation télévisuelle et des droits de
diffusion dans les sports et l'investissement continu lié au
contenu de CraveTV;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption de CraveTV;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'augmentation des produits des activités ordinaires générés
grâce à la monétisation des droits sur le contenu et des propriétés
de Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé de Bell Média entraînée par le dégroupement des
chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de
contenu par contournement;
- l'absence d'incidence importante de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 2 février 2017,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés
ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris
notre orientation financière pour 2017, sont énumérés ci-dessous.
La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre
capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans
notre orientation financière pour 2017, dépend essentiellement de
la performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie
à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde
contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles
d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations
prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, le principe de neutralité du Net, les ventes aux
enchères de spectre, l'approbation d'acquisitions et les exigences
relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion et à la
propriété étrangère;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, ainsi que l'incidence connexe
sur le coût lié à la conservation de nos clients actuels et à
l'obtention de nouveaux clients, de même que sur nos parts de
marché, nos volumes de service et nos stratégies d'établissement
des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent à réduire l'utilisation de
nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité, ce qui modifie
l'environnement de nos activités liées à la télé et aux médias et
pourrait accélérer le débranchement des services de télé et la
réduction des dépenses pour ces services, ainsi que la
fragmentation du marché de la publicité et les changements qui s'y
rapportent;
- la concurrence avec des concurrents mondiaux, en plus des
concurrents canadiens traditionnels, pour le contenu de
programmation, qui pourrait entraîner d'importantes hausses des
coûts d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir
du contenu de premier plan;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence négative connexe sur la demande
de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et le
volume des créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs, notamment les réseaux, les
systèmes de TI, les locaux et l'information de nature sensible,
contre des événements et des attaques comme les cybermenaces, et
les dommages causés par les incendies et les catastrophes
naturelles;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et
la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer
correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
ainsi qu'à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir de manière rigoureuse et
stratégique dans des fonctions de prochaine génération, notamment
des stratégies de service à la clientèle reposant sur l'information
en temps réel;
- l'incapacité à susciter une expérience client positive
découlant, en particulier, du défaut d'adopter de nouvelles
approches et de repousser les limites opérationnelles;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation et bases de
données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits,
d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel
efficace;
- le risque que nous puissions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
jour de systèmes, des refontes de processus, et de l'intégration
des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour
fournir nos services de télé par satellite;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr et sécuritaire;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
distribution de dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles
lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales
existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à prévoir
l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses, y compris
l'utilisation non autorisée de notre contenu et le vol de nos
services de télé;
- les événements ayant une incidence sur la capacité de nos tiers
fournisseurs et impartiteurs à continuer de nous fournir les
produits et les services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités;
- l'incapacité d'adopter des pratiques de gestion de
l'approvisionnement et des fournisseurs permettant de gérer
adéquatement les risques associés aux modèles de nos fournisseurs,
existants ou nouveaux;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- les risques liés à la sécurité et les risques de fuite de
données advenant le contournement des protocoles de contrôle de la
sécurité applicables à nos solutions infonuagiques;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
actions collectives;
- des modifications défavorables aux lois applicables et
l'incapacité d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos
obligations juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et
d'autres éventualités menaçantes pour la santé survenaient;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement;
- l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée
de MTS et de la cession subséquente proposée, de MTS à TELUS
Corporation, d'un certain nombre d'abonnés des services sans fil
postpayés et d'emplacements exploités par des concessionnaires, qui
sont assujettis à des conditions de clôture ainsi qu'à d'autres
risques et incertitudes et pour lesquels rien ne garantit que les
avantages anticipés seront réalisés.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également l'Avis
concernant les déclarations prospectives de BCE daté du
2 février 2017 pour obtenir plus de détails au sujet de
certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, ce document étant déposé
par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs
mobilières (disponible à Sedar.com) et de la Securities and
Exchange Commission des États-Unis (disponible à SEC.gov). Ce
document est également disponible à BCE.ca.
L'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE
daté du 2 février 2017 est intégré par renvoi dans le présent
communiqué de presse.
Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter la
présentation intitulée Téléconférence sur les résultats du
T4 2016 et l'orientation financière 2017, datée du
2 février 2017, disponible sur le site Web de BCE.
À PROPOS DE BCE
Plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE fournit des services d'accès large
bande sans fil, de télévision, Internet et de communications
d'affaires large bande par l'intermédiaire de Bell Canada et de Bell Aliant. Première
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des actifs de premier plan dans les secteurs de la télévision, de
la radio, de l'affichage et des médias numériques. Pour en savoir
plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la
santé mentale par des campagnes nationales de sensibilisation et de
lutte contre la stigmatisation, comme la Journée Bell Cause pour la
cause, et par un important financement des soins communautaires, de
la recherche et des initiatives en milieu de travail. Pour en
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