Étude IBM : les PDG canadiens classent la
durabilité et le cyber-risque comme étant les plus grands défis de
2022
- 56 % des PDG canadiens affirment que la durabilité est un défi
important, ce qui représente une forte augmentation par rapport à
31 % en 2021
- 59 % des PDG canadiens acceptent la responsabilité des impacts
des entreprises sur l'environnement
- Seulement 35 % des PDG canadiens estiment qu'ils disposent des
personnes et des compétences nécessaires pour mettre en œuvre leur
stratégie de développement durable
- 57 % des PDG canadiens classent la cybersécurité comme leur
priorité absolue en 2022, en hausse de 11 % face à des attaques de
plus en plus coûteuses et fréquentes
TORONTO, 2 juin 2022 /CNW/ - Les résultats
canadiens d'une enquête mondiale de l'Institut IBM
(NYSE: IBM) de recherche en valeur
commerciale ont été publiés aujourd'hui lors de Think 2022, la
conférence annuelle de l'entreprise qui se tient à Toronto. Les PDG canadiens qui ont participé à
l'enquête menée auprès de plus de 3 000 PDG du monde entier ont
marqué une étape importante, la majorité des répondants (56 %)
classant la durabilité comme une priorité élevée pour la toute
première fois. Cela représente un bond important par rapport à
l'année dernière, alors que moins d'un tiers (31 %) des dirigeants
canadiens citaient la durabilité parmi leurs priorités.
Près de la moitié (47 %) des PDG canadiens estiment que
leurs investissements dans le développement durable accéléreront la
croissance de leur entreprise. Un nombre encore plus
important (59 %) cette année accepte la responsabilité des impacts
des entreprises sur l'environnement, alors que la pression pour
agir monte de la part des parties prenantes après qu'elles aient
été témoin d'une prolifération d'engagements en matière de
développement durable au cours de la dernière année. Les PDG au
Canada déclarent subir la plus
grande pression en matière de durabilité environnementale de la
part des membres du conseil d'administration (79 %) et des
investisseurs (68 %) - les parties prenantes avec lesquelles ils
interagissent le plus directement - la pression venant des
consommateurs étant bien plus faible (17 %). Une pression
supplémentaire vient des régulateurs (56 %), du gouvernement (55 %)
et des partenaires de l'écosystème (52 %). La pression venant des
employés s'élevait à 12 % seulement.
Certains dirigeants canadiens prennent au sérieux la demande des
consommateurs, non seulement en suivant les valeurs changeantes des
clients d'aujourd'hui, mais aussi en regardant vers l'avenir. Comme
le dit Marshall Wilmot, président,
vente au détail et directeur de la transformation numérique, d'ATCO
: « Nous devons toujours être attentifs aux demandes et fournir les
bons produits et services qui conviennent non seulement aux
portefeuilles de nos clients, mais aussi à leurs valeurs
personnelles. »
Lorsqu'on leur a demandé s'ils étaient convaincus qu'ils
atteindraient leurs objectifs globaux en matière de développement
durable, 53 % des PDG canadiens ont répondu qu'ils l'étaient, alors
que 24 % ont déclaré que les objectifs annoncés par le gouvernement
pour leur secteur ne sont pas réalisables.
L'un des défis notables lorsqu'il s'agit d'exécuter leurs
stratégies de développement durable semble être d'avoir
suffisamment d'employés qualifiés pour ce faire. Seulement 35 % des
PDG canadiens disent disposer des personnes et des compétences
nécessaires, et seulement 21 % ont indiqué que leurs efforts en
matière de développement durable avaient eu un impact sur le
recrutement de talents.
Le cyber-risque - le seul défi le plus pressant pour les
entreprises
Selon les personnes interrogées, le cyber-risque est le seul
défi qui pèse plus lourd que la durabilité environnementale sur les
dirigeants canadiens. Citée comme une priorité absolue par 57 % des
PDG canadiens en 2022 - comparativement à 46 % en 2021 - la
sensibilisation à la cybersécurité semble prendre de plus en plus
d'importance face à des attaques de plus en plus coûteuses et
fréquentes, dont le prix a atteint 6,75 millions de dollars
canadiens par incident en moyenne l'an dernier, un record sans
précédent pour le Canada.
Une empreinte croissante au Canada avant Think
« En 2022, IBM s'est concentré sur le
renforcement de la main-d'œuvre canadienne par le développement des
compétences et le recrutement, la recherche et l'innovation, et en
s'attaquant à de gros problèmes - comme la durabilité - via
l'informatique quantique, l'IA, le nuage hybride et les services de
transformation. »
- Dave McCann,
président d'IBM Canada
IBM a continué d'investir dans l'innovation, la croissance, le
progrès et les talents au Canada
tout au long de l'année 2022 :
- Un investissement de plusieurs millions de
dollars avec l'Université Memorial, le gouvernement du
Canada et le gouvernement de
Terre-Neuve-et-Labrador pour
renforcer la recherche et l'innovation dans la région.
- Le premier ordinateur quantique universel du Canada sera déployé à l'usine IBM
de Bromont au Québec.
- Recrutement pour plus de 1 400 postes au
cours des six derniers mois, avec 700 autres postes vacants dans
une variété de fonctions liées à l'IA, au nuage hybride et à la
cybersécurité.
« L'industrie de la technologie stimule la
croissance dans l'ensemble de l'économie canadienne, une
trajectoire qu'IBM s'efforce de poursuivre. Nous constatons que
l'accélération numérique est un différenciateur clé entre les
entreprises qui émergent plus fortes et celles qui sont laissées
pour compte. »
- Frank Attaie,
Directeur général, technologie IBM
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Contact média d'IBM Canada : Lorraine Baldwin,
lorraine@ca.ibm.com
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SOURCE IBM Canada