- Produits d'exploitation sans précédent de 19,131 G$
- Bénéfice d'exploitation de 1,650 G$
- BAIIDA de 3,636 G$ et marge BAIIDA de 19 %
- Liquidités non soumises à restrictions record
de 7,380 G$ et ratio de levier financier de 0,8
MONTRÉAL, le 18 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Air Canada a
annoncé aujourd'hui pour 2019 un BAIIDA1) (bénéfice
avant intérêts, impôts et dotation aux amortissements) de
3,636 G$, comparativement au BAIIDA de 3,213 G$ enregistré en
2018, soit une hausse de 423 M$ (+13 %). La Société a constaté
un bénéfice d'exploitation de 1,650 G$ en 2019, contre 1,496
G$ en 2018.
« Je suis fort heureux d'annoncer qu'Air Canada affiche de
solides résultats pour le quatrième trimestre de 2019, à l'instar
d'ailleurs de l'exercice au complet, pour lequel la Société a
constaté des produits sans précédent dépassant 19 G$, en plus
d'afficher un niveau record de liquidités non soumises à
restrictions, et ce, malgré l'indisponibilité d'environ le quart de
notre flotte d'appareils monocouloirs pour la plus grande partie de
l'exercice à la suite de l'interdiction de vol visant les appareils
737 MAX de Boeing à l'échelle mondiale. Ces résultats attestent la
capacité d'Air Canada de surmonter les obstacles de taille
ainsi que l'engagement indéfectible de ses
37 000 employés, qui ont su prendre soin de notre
clientèle dans un contexte opérationnel extrêmement épineux. Étant
donné cette conjoncture, je suis particulièrement fier que nous
ayons réussi à dégager des résultats conformes à nos perspectives à
l'égard des mesures financières clés pour l'exercice. La discipline
dont nous avons fait montre a été récompensée, puisque notre action
a affiché un rendement de 87 % en 2019. Compte tenu du rendement
obtenu pour les neuf derniers exercices, l'action d'Air Canada est
le titre inscrit à la cote de la TSX qui a connu le meilleur
rendement au cours de la dernière décennie, soit 3 575 %, a indiqué
Calin Rovinescu, président et chef de la direction d'Air
Canada.
« À en juger par notre agilité et notre solidité en 2019, je
suis convaincu que nous tirerons parti avec brio de plusieurs
occasions clés qui se présentent actuellement à nous. Je songe
notamment à notre nouveau programme de fidélisation dont le
lancement se déroulera dans le courant de l'année et qui sera,
prévoyons-nous, le meilleur programme de la sorte qu'offrent les
sociétés aériennes de par le monde. Nous nous réjouissons également
à la perspective de procéder à la clôture de notre projet de fusion
avec Transat A.T., transaction qui a reçu l'aval de près de
95 % des actionnaires de Transat l'été dernier et qui demeure
assujettie à l'approbation des organismes de réglementation. Cette
solution intégralement canadienne permettra de garantir des
emplois, d'accroître les options de voyages et de maximiser les
avantages tant pour la clientèle des deux sociétés aériennes que
pour leurs parties prenantes.
« Nous entamons 2020 sous le signe de l'incertitude, du fait de
l'interdiction de vol qui continue de frapper les appareils 737 MAX
de Boeing et des contraintes qui s'ensuivent, outre les risques
économiques et géopolitiques ainsi que les suspensions de liaisons
aériennes découlant de l'éclosion du virus COVID-19, a
rappelé M. Rovinescu. En revanche, notre solide situation
financière, notre réseau mondial nous permettant de diversifier les
sources de revenus, la vitalité de notre marque en qualité de
meilleur transporteur aérien en Amérique du Nord, prix que nous a
décerné Skytrax, notre parc aérien récent, nos employés
consciencieux et talentueux, outre notre direction alerte, nous
permettent de relever efficacement tous les défis qui se
présentent. Notre équipe dévouée et professionnelle n'a de cesse
d'offrir un service hors pair à notre fidèle clientèle. Je tiens à
remercier l'une et l'autre pour leur apport aux excellents
résultats obtenus en 2019 malgré les vents
contraires », a conclu M. Rovinescu.
Points saillants relativement au compte de résultat -
exercice 2019
Air Canada a commencé
à consolider les résultats financiers d'Aéroplan à la date de
son acquisition de celle-ci, soit le
10 janvier 2019.
En 2019, dans un contexte de relèvement de 1,8 % de la capacité,
les produits passages de l'ensemble du réseau ont atteint le
montant record de 17,232 G$, en hausse de 1,071 G$
(+6,6 %) par rapport à 2018. L'accroissement des produits
passages réseau est attribuable à la hausse de 4,6 % du
rendement unitaire et à l'amplification de 1,9 % du trafic. Le
rendement unitaire pour l'ensemble du réseau a progressé en raison
de la contraction de la capacité imputable à l'interdiction de vol
visant les appareils 737 MAX de Boeing, ainsi que de l'amélioration
globale du contexte tarifaire, surtout en Amérique du Nord.
L'accroissement du rendement unitaire rendait également compte des
produits supplémentaires découlant d'échanges de milles contre des
billets-primes Aéroplan et d'autres produits à la suite de
l'acquisition d'Aéroplan.
En 2019, les charges d'exploitation se sont établies à
17,481 G$, en hausse de 974 M$ (+6 %) en regard de
2018. Les charges d'exploitation par siège-mille offert
(« CESMO ») d'Air Canada ont augmenté de 4,1 %
par rapport à 2018. Les CESMO ajustées1) de la
Société ont crû de 6,1 % en regard de 2018. Ces
augmentations rendent compte en grande partie de l'incidence de
l'interdiction de vol visant les appareils 737 MAX de Boeing, qui a
donné lieu à une hausse de 1,8 % des SMO pour l'ensemble du
réseau au lieu de la croissance prévue d'environ 4,8 %, outre
l'accroissement des coûts liés aux appareils de remplacement, et le
maintien des charges d'exploitation courantes, notamment la
dotation aux amortissements et les charges salariales liées aux
pilotes, qui continuaient d'être engagées à l'égard des appareils
737 MAX de Boeing malgré leur immobilisation au sol. Étant
donné que l'entreprise de fidélisation Aéroplan n'était pas
consolidée dans les résultats financiers d'Air Canada en 2018,
aux fins d'une comparaison plus pertinente de la rentabilité des
activités courantes de la Société, les CESMO ajustées de cette
dernière pour le quatrième trimestre de 2019
et l'exercice 2019 ne tiennent pas compte des charges
d'exploitation d'Aéroplan. Air Canada a estimé que, si elle avait exploité
les 36 appareils 737 MAX de Boeing comme il était initialement
prévu en 2019, les CESMO ajustées auraient affiché une augmentation
d'environ 2,5 % en regard de 2018.
Pour l'exercice 2019, la marge BAIIDA d'Air Canada s'est établie
à 19,0 %, ce qui cadre avec la cible d'environ 19,0 % que projetait
Air Canada dans son communiqué du 29 octobre 2019. Air Canada
estime que sa marge BAIIDA en 2019 aurait été d'environ 30 points
de base supérieure, soit de 19,3 %, si l'on excluait deux
éléments exceptionnels au quatrième trimestre, chacun ayant
contribué de façon analogue à la variation : a) l'incidence
négative ponctuelle sur le chiffre d'affaires imputable au fait
qu'Air Canada ait entamé sa migration, à la mi-novembre, vers un
nouveau système de gestion des passagers et b) la hausse plus
prononcée que prévu de la charge de rémunération à base d'actions
et d'autres charges liées à la rémunération, qui découle de
l'appréciation de l'action d'Air Canada et de l'accroissement des
montants imputés à l'égard des programmes d'intéressement des
employés.
Le bénéfice net s'est établi à 1,476 G$ en 2019, soit un
bénéfice par action - résultat dilué de 5,44 $, contre un
bénéfice de 37 M$, soit un bénéfice par action - résultat
dilué de 0,13 $, en 2018. Les résultats de l'exercice 2019
tenaient compte d'un profit de change de 499 M$ alors que ceux
de 2018 comprenaient une perte de change de 578 M$. Air
Canada a inscrit une perte à la
cession d'actifs de 188 M$ en 2018. La Société a affiché un
bénéfice net ajusté1) de 917 M$, soit un bénéfice
ajusté par action - résultat dilué de 3,37 $, en 2019, en regard
d'un bénéfice net ajusté de 738 M$, soit un bénéfice ajusté par
action - résultat dilué de 2,67 $, en 2018.
Points saillants relativement au compte de résultat -
quatrième trimestre de 2019
Au quatrième trimestre de 2019, Air Canada a affiché un BAIIDA
de 665 M$ contre un BAIIDA de 619 M$ au quatrième trimestre de
2018, soit une progression de 46 M$ (+7 %). Comme
il est indiqué plus haut, le BAIIDA s'est contracté d'environ 60 M$
en raison de deux éléments exceptionnels survenus au quatrième
trimestre de 2019. La Société a constaté un bénéfice d'exploitation
de 145 M$ au quatrième trimestre de 2019 en regard de 179 M$ au
quatrième trimestre de 2018.
Au quatrième trimestre de 2019, dans un contexte de relèvement
de 3,3 % de la capacité, les produits passages réseau se sont
élevés à un montant sans précédent de 3,975 G$, en progression
de 199 M$ (+5,3 %) par rapport à ceux du quatrième
trimestre de 2018, du fait de l'amplification de 2,9 %
du trafic et de l'amélioration de 2,3 % du rendement
unitaire. L'amélioration du rendement unitaire au quatrième
trimestre de 2019, en particulier en Amérique du Nord, s'explique
en partie par la contraction de la capacité imputable à
l'interdiction de vol visant les appareils 737 MAX de Boeing, outre
les produits supplémentaires découlant d'échanges de milles contre
des billets-primes Aéroplan et d'autres produits.
Au quatrième trimestre de 2019, les charges d'exploitation se
sont établies à 4,284 G$, en hausse de 236 M$ (+6 %)
par rapport à celles du quatrième trimestre de 2018. Les CESMO
et les CESMO ajustées d'Air Canada ont augmenté de 2,5 %
et de 5,5 %, respectivement, en regard du quatrième trimestre
de 2018. Ces augmentations rendent compte en grande partie de
l'incidence de l'interdiction de vol visant les appareils
737 MAX de Boeing, facteur qui a donné lieu à un accroissement
de 3,3 % des SMO pour l'ensemble du réseau en regard d'une
croissance prévue d'environ 4,6 % des SMO pour l'ensemble du
réseau. L'interdiction de vol a également accru les charges
d'exploitation du fait des facteurs analysés à la rubrique
Points saillants relativement au compte de résultat - exercice
2019 plus haut.
Le bénéfice net a atteint le chiffre sans précédent de
152 M$ au quatrième trimestre de 2019, soit un bénéfice
par action - résultat dilué de 0,56 $, contre une perte nette
de 360 M$, soit une perte par action - résultat dilué de
1,33 $, au quatrième trimestre de 2018. Les
résultats du quatrième trimestre de 2019 tenaient compte d'un
profit de change de 92 M$ alors que ceux du quatrième
trimestre de 2018 comprenaient une perte de change de 444 M$.
Au quatrième trimestre de 2019, Air Canada a inscrit un bénéfice
net ajusté1) de 47 M$, soit un bénéfice ajusté par
action - résultat dilué de 0,17 $, contre un
bénéfice net ajusté de 55 M$, soit un bénéfice ajusté par
action - résultat dilué de 0,20 $ par action, au
quatrième trimestre de 2018.
Points saillants relativement à la gestion financière et à la
gestion des capitaux
Au 31 décembre 2019, les liquidités non soumises à restrictions
(trésorerie, équivalents de trésorerie, placements à court et à
long terme et facilités de crédit non utilisées) avaient atteint le
chiffre record de 7,380 G$ (5,725 G$ au 31
décembre 2018).
Au 31 décembre 2019, la dette nette se chiffrait à
2,841 G$, en baisse de 2,373 G$ par rapport au
31 décembre 2018, du fait de l'accroissement de 1,694 G$
des soldes de trésorerie, d'équivalents de trésorerie et de
placements à court et à long terme ainsi que de la baisse de
679 M$ de la dette à long terme et des obligations locatives
(y compris la partie courante). Au 31 décembre 2019, le ratio
de levier financier d'Air Canada s'établissait à 0,8, conforme
au ratio de levier financier d'au plus 1,0 que la Société projetait
dans son communiqué du 29 octobre 2019, comparativement à
1,6 au 31 décembre 2018.
Les flux de trésorerie nets liés aux activités d'exploitation se
sont établis à 5,712 G$ en 2019, en hausse de 2,242 G$
par rapport à 2018. En 2019, les flux de trésorerie
disponibles1) se sont établis à 2,075 G$, en hausse
de 748 M$ par rapport à ceux de 2018, niveau qui dépasse
la fourchette de 1,3 G$ à 1,5 G$ que prévoyait
Air Canada dans son communiqué du 29 octobre 2019. Ce
résultat supérieur aux projections en ce qui a trait aux flux de
trésorerie disponibles s'explique par la conjugaison de plusieurs
facteurs, notamment l'augmentation des flux de trésorerie liés aux
activités d'exploitation, la baisse des dépenses d'investissement
par rapport aux prévisions en raison du report à 2020 de
certains projets, outre le paiement de règlement initial de la part
de l'avionneur Boeing, lequel est décrit ci-après.
Pour la période de 12 mois close le 31 décembre 2019, le
rendement du capital investi1) s'est établi à
15,5 %, résultat qui correspond au rendement du capital
investi se situant dans une fourchette d'environ 15,5 % à 16,0
% pour 2019 que prévoyait Air Canada dans son communiqué
du 29 octobre 2019. Le rendement du capital investi d'Air
Canada au 31 décembre 2019 était considérablement supérieur à
son coût moyen pondéré du capital de 7,0 %.
Air Canada est en pourparlers avec Boeing en vue de
négocier les modalités d'une entente d'indemnisation relative à
l'immobilisation au sol des appareils 737 MAX de
Boeing. D'ici à ce que soit conclue une entente définitive à cet
égard, l'information concernant les engagements d'achat d'appareils
en cours pourrait changer. Un paiement de règlement initial
envisagé aux termes de l'entente a été versé à Air Canada au
quatrième trimestre de 2019, tout montant ultérieur étant
assujetti à la conclusion de l'entente définitive. Le dédommagement
est comptabilisé à titre d'ajustement au prix d'achat relativement
aux livraisons actuelles et futures et sera porté en réduction de
la dotation à l'amortissement des immobilisations corporelles au
compte consolidé de résultat d'Air Canada sur la durée de vie
de l'appareil. De plus, il est comptabilisé en réduction des achats
d'immobilisations corporelles au tableau consolidé des flux de
trésorerie.
Offre publique de rachat dans le cours normal des
activités
En 2019, Air Canada a racheté au total, aux fins
d'annulation, 9 082 487 actions à un prix moyen de
41,64 $ l'action pour une contrepartie totale de 378 M$.
Au 31 décembre 2019, un total de
17 877 551 actions demeurent susceptibles de rachat
dans le cadre de l'offre publique de rachat d'Air Canada, qui prend
fin le 30 mai 2020.
Perspectives
Outre les prévisions supplémentaires et les principales
hypothèses indiquées ci-après, les perspectives d'Air Canada pour
le premier trimestre et l'exercice 2020 en ce qui concerne la
croissance du BAIIDA et celle de la capacité en SMO tiennent pour
acquis que les services d'Air Canada à destination de la Chine
continentale et de Hong Kong
reprendront pleinement d'ici le troisième trimestre de 2020 et que la remise en service
des appareils 737 MAX de Boeing s'effectuera
graduellement à compter de la fin du troisième trimestre
de 2020.
Premier trimestre de 2020
Comme il est précisé ci-haut, il n'y aura pas de vols
d'appareils 737 MAX de Boeing au premier trimestre de 2020,
alors que 24 appareils 737 MAX de Boeing étaient en
exploitation durant la majeure partie du premier trimestre de 2019.
Par ailleurs, étant donné l'incidence des récentes suspensions des
dessertes vers la Chine continentale et de la liaison Toronto-Hong
Kong, conjuguée à la hausse de la proportion des charges
d'exploitation annuelles prévues imputable à la charge de
maintenance avions et aux charges sociales au premier trimestre de
2020 (comme il est indiqué ci-dessous), Air Canada prévoit que
le BAIIDA du premier trimestre de 2020 sera d'environ 200 M$
inférieur à celui du premier trimestre de 2019.
Exercice 2020
Pour l'exercice 2020, Air Canada prévoit une marge BAIIDA
d'environ 19 %, qui donnerait lieu à une légère augmentation du
BAIIDA par rapport au BAIIDA de 3,636 G$ inscrit en 2019.
Pour l'exercice 2020, Air Canada s'attend à une progression de
l'ordre de 1 % à 2 % de sa capacité en SMO en regard de l'exercice
2019.
Prévisions supplémentaires
Pour l'exercice 2020 :
Charge de maintenance avions
Air Canada prévoit que la
charge de maintenance avions augmentera d'environ 150 M$ en
regard de l'exercice 2019, un tiers de l'augmentation devant
survenir au premier trimestre de 2020. Cette augmentation projetée
tient compte de l'incidence du nombre accru d'appareils A330
d'Airbus dans le parc aérien en exploitation (aux termes d'ententes
assorties d'une facturation à l'heure de vol) et du volume accru
d'activités de maintenance avions en glissement annuel.
Charges sociales
Air Canada prévoit que les
charges sociales augmenteront d'environ 105 M$ par rapport à
l'exercice 2019, un tiers de l'augmentation devant survenir au
premier trimestre de 2020. Cette augmentation projetée tient
principalement au fléchissement des taux d'actualisation visant les
régimes de retraite et les régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi.
Dotation aux amortissements
Air Canada prévoit que la
dotation aux amortissements augmentera d'environ 35 M$ par
rapport à l'exercice 2019. L'augmentation projetée est le fait
essentiellement des acquisitions d'appareils.
Principales hypothèses
Outre les hypothèses susmentionnées relativement à la remise en
service des appareils 737 MAX de Boeing d'Air Canada et
la reprise des services d'Air Canada à destination de la Chine
continentale et de Hong Kong, Air
Canada formule les hypothèses suivantes dans le cadre de la
préparation et de la communication d'énoncés prospectifs. Dans le
cadre de ses prévisions pour 2020, Air Canada part des
hypothèses suivantes :
- la croissance du PIB du Canada
sera relativement modeste pour le premier trimestre et pour
l'exercice 2020;
- le dollar canadien se négociera en moyenne à 1,33 $ CA pour
1,00 $ US au premier trimestre de 2020
et pour l'exercice 2020;
- le cours du carburant aviation s'établira en moyenne à 0,71 $
CA le litre pour le premier trimestre et à 0,74 $ CA le litre pour
l'exercice;
- six des 12 appareils 737 MAX de Boeing non livrés dont la
livraison était initialement prévue pour 2019 seront livrés en
2020 et les six appareils restants
seront livrés en 2021; de plus, les 14 appareils 737 MAX de Boeing
non livrés dont la livraison était initialement prévue pour 2020
seront livrés en 2021.
Les hypothèses visant les appareils 737 MAX de Boeing et la
reprise des activités liées aux dessertes de la Chine
continentale et de Hong Kong sont valables également pour les
prévisions financières de 2021 évoquées ci-après.
Cibles de la Journée des investisseurs
Les prévisions financières pour l'exercice 2021 présentées dans
le communiqué du 28 février 2019 d'Air Canada à l'égard de la
marge BAIIDA annuelle, du rendement du capital investi annuel,
ainsi que des flux de trésorerie disponibles cumulés pour la
période 2019-2021 demeurent en vigueur. Les cibles s'établissent
comme suit :
- Marge BAIIDA annuelle de l'ordre de 19 % à 22 %.
- Rendement du capital investi annuel dans une fourchette de 16 %
à 20 %.
- Flux de trésorerie disponibles cumulés se situant dans une
fourchette de 4,0 G$ à 4,5 G$ pour la période 2019-2021. (Comme
indiqué plus haut, Air Canada a généré des flux de trésorerie
disponibles de 2,075 G$ en 2019.)
Il est trop tôt pour évaluer quelle serait l'incidence de
l'acquisition envisagée de Transat A.T. par Air Canada. Par
conséquent, les prévisions d'Air Canada n'en tiennent pas
compte.
Les perspectives fournies dans le présent communiqué constituent
des énoncés prospectifs au sens de la législation en valeurs
mobilières applicable; elles sont fondées sur diverses hypothèses
(y compris celles fournies ci-dessus) et sont exposées à
plusieurs risques. On se reportera à cet égard à la « Mise en
garde concernant les énoncés
prospectifs » qui suit.
1) Mesures hors PCGR
Sont décrites ci-après certaines mesures financières hors PCGR
qu'utilise Air Canada pour fournir aux lecteurs des
renseignements supplémentaires sur sa performance financière et
opérationnelle. Comme ces mesures ne sont pas conformes aux PCGR
pour la présentation d'états financiers et qu'elles n'ont pas de
sens normalisé, elles ne sauraient être comparées à des mesures
similaires présentées par d'autres entités et ne doivent pas être
considérées comme pouvant se substituer à des résultats établis
selon les PCGR ou comme ayant préséance sur ceux-ci. Les lecteurs
sont invités à se reporter à la rubrique intitulée « Mesures
financières hors PCGR » du rapport de gestion de 2019
d'Air Canada pour un complément d'information sur les mesures
hors PCGR et pour un rapprochement de ces mesures avec les PCGR du
Canada.
- Air Canada utilise le bénéfice
net ajusté (perte nette ajustée) et le bénéfice ajusté (perte
ajustée) par action - résultat dilué afin de mesurer le rendement
financier global de ses activités sans égard aux effets après
impôts du profit ou de la perte de change, du coût financier net au
titre des avantages du personnel, du profit ou de la perte sur les
instruments financiers comptabilisés à la juste valeur, du profit
ou de la perte à la cession‑bail d'actifs, du profit ou de la perte
aux règlements et modifications de dettes, du profit ou de la perte
à la cession d'actifs ainsi que des éléments particuliers, car ces
éléments peuvent fausser l'analyse de certaines tendances
commerciales et rendre toute analyse comparative en regard d'autres
sociétés aériennes moins pertinente.
- Air Canada se sert du résultat
avant impôts ajusté pour mesurer le rendement financier avant
impôts global de ses activités sans égard aux effets du profit ou
de la perte de change, du coût financier net au titre des avantages
du personnel, du profit ou de la perte sur les instruments
financiers comptabilisés à la juste valeur, du profit ou de la
perte à la cession-bail d'actifs, du profit ou de la perte aux
règlements et modifications de dettes, du profit ou de la perte à
la cession d'actifs ainsi que des éléments particuliers, car ces
éléments peuvent fausser l'analyse de certaines tendances
commerciales et rendre toute analyse comparative en regard d'autres
sociétés aériennes moins pertinente. Air Canada se sert du résultat avant impôts ajusté
avant les intérêts afin de déterminer le rendement du capital
investi.
- Le BAIIDA (à savoir le bénéfice avant intérêts, impôts et
dotation aux amortissements) est une mesure couramment employée
dans le secteur du transport aérien et Air Canada s'en sert afin
d'avoir un aperçu des résultats d'exploitation avant intérêts,
impôts et dotation aux amortissements, étant donné que ces coûts
peuvent varier sensiblement d'une société aérienne à l'autre en
raison de la façon dont chacune finance ses appareils et ses autres
actifs. Air Canada retranche les
éléments particuliers du BAIIDA, car ces éléments peuvent fausser
l'analyse de certaines tendances commerciales et rendre toute
analyse comparative en regard d'autres sociétés aériennes moins
pertinente.
- Air Canada se sert des CESMO
ajustées afin de mesurer le rendement courant des activités de la
Société et d'analyser l'évolution de ses coûts, à l'exclusion de
l'incidence de la charge de carburant aviation, des coûts liés à la
portion terrestre des forfaits de Vacances Air CanadaMD,
des charges d'exploitation d'Aéroplan durant l'exercice initial
suivant l'acquisition et des éléments particuliers, car ces
éléments peuvent fausser l'analyse de certaines tendances
commerciales et rendre toute analyse comparative en regard d'autres
sociétés aériennes moins pertinente.
Dans le calcul des CESMO ajustées, la charge de carburant aviation
est exclue des charges d'exploitation, car elle fluctue largement
sous l'effet de facteurs multiples, dont la conjoncture
internationale, les événements géopolitiques, les coûts de
raffinage du carburant aviation et le taux de change entre le
dollar canadien et le dollar américain. Qui plus est, Air Canada
engage des coûts relativement à la portion terrestre des forfaits
de Vacances Air Canada que certaines sociétés aériennes qui
n'exercent pas d'activités de voyagiste comparables n'engagent pas.
En outre, ces coûts ne génèrent pas de SMO. Par conséquent, le fait
d'exclure ces coûts des charges d'exploitation permet d'établir une
comparaison plus pertinente d'une période à l'autre lorsque ces
coûts peuvent varier.
Le fait d'exclure des charges d'exploitation la charge de carburant
aviation, les coûts liés à la portion terrestre des forfaits de
Vacances Air Canada et les éléments particuliers rend possible de
manière générale une analyse plus juste du rendement des charges
d'exploitation d'Air Canada ainsi qu'une comparaison plus
pertinente avec celui d'autres sociétés aériennes.
À la suite de la réalisation de l'acquisition d'Aéroplan le 10
janvier 2019, Air Canada a commencé à consolider les résultats
d'Aéroplan. Étant donné que l'entreprise de fidélisation Aéroplan
n'était pas consolidée dans les résultats financiers d'Air Canada
en 2018, aux fins d'une comparaison plus pertinente de la
rentabilité des activités courantes de la Société, les CESMO
ajustées d'Air Canada pour 2019 ne tiennent pas compte des charges
d'exploitation d'Aéroplan.
- Le ratio de levier financier s'entend du ratio dette
nette-BAIIDA des 12 derniers mois. Ce ratio est couramment utilisé
dans le secteur du transport aérien et Air Canada s'en sert pour
évaluer le levier financier. Le ratio de levier financier
correspond à la dette nette divisée par le BAIIDA (compte non tenu
des éléments particuliers) des 12 derniers mois. Comme il est
mentionné plus haut, Air Canada retranche les éléments particuliers
des résultats relatifs au BAIIDA (qui sont utilisés pour déterminer
le ratio de levier financier), car ces éléments peuvent fausser
l'analyse de certaines tendances commerciales et rendre toute
analyse comparative en regard d'autres sociétés aériennes moins
pertinente.
- Les flux de trésorerie disponibles sont couramment utilisés
dans le secteur du transport aérien et Air Canada s'en sert comme
indicateur de la vigueur financière et du rendement de ses
activités exprimant le montant de trésorerie que la Société est en
mesure de dégager de ses activités, compte tenu des dépenses
d'investissement. Les flux de trésorerie disponibles correspondent
aux flux de trésorerie nets liés aux activités d'exploitation,
moins les acquisitions d'immobilisations corporelles et
incorporelles et déduction faite du produit tiré d'opérations de
cession-bail. Les flux de trésorerie disponibles pour 2019 ne
tiennent pas compte non plus du produit exceptionnel tiré de
l'acquisition d'Aéroplan.
- Air Canada se sert du
rendement du capital investi afin d'évaluer la rentabilité du
capital qu'elle utilise pour générer des rendements. Le rendement
du capital investi se fonde sur le résultat avant impôts ajusté,
compte non tenu des charges d'intérêts. Le capital investi comprend
la moyenne de la dette à long terme en glissement annuel, la
moyenne des obligations locatives en glissement annuel, la moyenne
des capitaux propres attribuables aux actionnaires en glissement
annuel, déduction faite de la trésorerie excédentaire. Air
Canada définit la trésorerie
excédentaire comme le total de la trésorerie et des placements qui
excède le niveau minimal de trésorerie nécessaire au soutien des
activités d'exploitation. Cette mesure de la liquidité comprend la
trésorerie, les équivalents de trésorerie, les placements à court
terme, les liquidités soumises à restrictions à court terme ainsi
que les placements à long terme. Air Canada estime que le niveau minimal de
trésorerie nécessaire au soutien des activités commerciales
courantes correspond à 20 % des produits d'exploitation des 12
derniers mois. Cette estimation du niveau minimal de trésorerie
suffit pour couvrir les produits passages perçus d'avance et
combler les besoins de liquidité d'Air Canada. Air Canada calcule le capital investi en fonction
d'une méthode de calcul du rendement du capital investi basée sur
la valeur comptable, comme il est décrit ci‑dessus. Se reporter à
la définition du résultat avant impôts ajusté plus haut pour savoir
pourquoi Air Canada recourt au résultat avant impôts ajusté pour
évaluer le rendement financier avant impôts global de ses
activités.
Les états financiers consolidés et les notes complémentaires de
2019 d'Air Canada ainsi que son rapport de gestion de 2019
peuvent être consultés sur son site à aircanada.com et
seront déposés sur SEDAR au www.sedar.com.
Pour un complément d'information sur les documents publics d'Air
Canada, dont sa Notice annuelle datée du 25 mars 2019, veuillez
consulter SEDAR au www.sedar.com.
Avis concernant la téléconférence du quatrième
trimestre
Air Canada invite les analystes à sa téléconférence
trimestrielle qui se tiendra aujourd'hui,
18 février 2020, à 8 h 30 HE. Calin
Rovinescu, président et chef de la direction,
Michael Rousseau, chef de la direction adjoint et chef des
Affaires financières, ainsi que Lucie Guillemette,
vice‑présidente générale et chef des Affaires commerciales,
répondront aux questions des analystes. Après la période de
questions des analystes, Michael
Rousseau et Pierre Houle, directeur général et
trésorier, répondront aux questions des prêteurs à terme de type B
et des porteurs d'obligations d'Air Canada.
Les membres des médias et du public peuvent écouter cette
téléconférence. Suivent les renseignements détaillés :
Composez le 416 340-2219 ou le 1 800 377-0758
Écoutez la webémission audio en direct au
: https://edge.media-server.com/mmc/p/h3hedwvi
MISE EN GARDE CONCERNANT LES ÉNONCÉS
PROSPECTIFS
Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs au
sens de la législation en valeurs mobilières applicable.
Ces énoncés découlent d'analyses et d'autres renseignements
fondés sur la prévision de résultats à venir et l'estimation de
montants qu'il est actuellement impossible de déterminer. Ils
peuvent porter sur des observations concernant, entre autres, des
prévisions, des stratégies, des attentes, des opérations projetées
ou des actions futures. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à
l'emploi de termes comme « préliminaires »,
« prévoir », « croire », « pouvoir »,
« estimer », « projeter » et
« planifier », employés au futur et au conditionnel, et
d'autres termes semblables, ainsi qu'à l'évocation de certaines
hypothèses.
Comme, par définition, les énoncés prospectifs partent
d'hypothèses, dont celles décrites dans le présent communiqué, ils
sont soumis à de grands risques et incertitudes. Les énoncés
prospectifs ne sont donc pas entièrement assurés en raison,
notamment, de la survenance possible d'événements externes ou de
l'incertitude qui caractérise le secteur. Les résultats réels
peuvent donc différer sensiblement des résultats évoqués par ces
énoncés prospectifs du fait de divers facteurs, notamment la
capacité d'Air Canada de dégager ou de maintenir une
rentabilité nette, la conjoncture économique et le contexte
géopolitique, le calendrier et les modalités de la remise en
service des appareils 737 MAX de Boeing de son parc
aérien (notamment l'intégration de ceux qui font l'objet de
commandes, de même que la gestion du parc aérien d'Air Canada
et de ses activités jusqu'à la remise en service ou l'intégration
des appareils), l'état du secteur et du marché et le contexte
influant sur la demande, la concurrence, les cours de l'énergie, sa
dépendance à l'égard des technologies, sa capacité de mettre en
œuvre efficacement des initiatives stratégiques opportunes et
d'autres initiatives importantes (notamment sa faculté de réduire
les charges d'exploitation), les risques liés à la cybersécurité,
les conflits armés, les attentats terroristes, les épidémies, sa
dépendance envers les fournisseurs clés, les pertes par sinistre,
l'évolution de la législation, de la réglementation ou de
procédures judiciaires, sa capacité de lancer et d'exploiter avec
succès son nouveau programme de fidélisation, les changements
climatiques et les facteurs liés à l'environnement (dont les
systèmes météorologiques et autres phénomènes naturels, et des
facteurs d'origine humaine), les interruptions de services, sa
dépendance envers les transporteurs régionaux et autres, sa
capacité de préserver et de faire croître sa marque, les relations
de travail et les coûts connexes, sa dépendance envers les
partenaires Star Alliance et les coentreprises, les limites
imposées aux termes de clauses restrictives, sa capacité de
rembourser ses dettes et de conserver la liquidité, les litiges
actuels et éventuels avec des tiers, les taux de change, les
régimes de retraite, sa capacité de recruter et de conserver du
personnel qualifié, les questions d'assurance et les coûts qui y
sont associés, ainsi que les facteurs dont il est fait mention dans
le dossier d'information publique d'Air Canada qui peut être
consulté à l'adresse www.sedar.com, notamment à
la rubrique 20, Facteurs de risque, du rapport de
gestion de 2019 d'Air Canada. Par ailleurs, l'acquisition de
Transat A.T. Inc. est assujettie à l'approbation des organismes de
réglementation et à la satisfaction de certaines conditions
usuelles, et rien ne garantit que l'acquisition sera réalisée, ou
qu'elle le sera conformément aux modalités décrites dans le rapport
de gestion de 2019 d'Air Canada. Les énoncés prospectifs contenus
ou intégrés par renvoi dans le présent communiqué de presse
représentent les attentes d'Air Canada en date de ce
communiqué (ou à la date à laquelle ils sont censés avoir été
formulés) et ils peuvent changer par la suite. Toutefois,
Air Canada n'a ni l'intention ni l'obligation d'actualiser ou
de réviser ces énoncés à la lumière de nouveaux éléments
d'information ou d'événements futurs ou pour quelque autre motif,
sauf si elle y est tenue par la réglementation en valeurs
mobilières applicable.
À propos d'Air Canada
Air Canada est le plus important transporteur aérien du
Canada à proposer des services
intérieurs et internationaux, desservant près de 220 aéroports
sur six continents. Le transporteur national du Canada compte parmi les 20 plus
importantes sociétés aériennes à l'échelle mondiale et a accueilli
plus de 51 millions de passagers en 2019. Air Canada
fournit des services passagers réguliers directs sur
62 aéroports au Canada,
53 aux États-Unis et 101 en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie,
en Australie, dans les Antilles, au Mexique, en
Amérique centrale et en Amérique du Sud.
Air Canada est un membre fondateur du réseau
Star Alliance, le plus vaste regroupement de transporteurs
aériens du monde, qui dessert 1 250 aéroports dans
195 pays. Air Canada est le seul transporteur
nord-américain d'envergure internationale offrant une gamme
complète de services à obtenir le classement quatre étoiles de la
firme de recherche indépendante Skytrax du Royaume-Uni, qui a
également nommé Air Canada meilleur transporteur aérien en
Amérique du Nord pour 2019. Pour de plus amples
renseignements, consultez le aircanada.com/fr/media, suivez
@AirCanada dans Twitter, et joignez-vous à Air Canada dans
Facebook.
Internet : aircanada.com/medias
Matériel médias :
Photos
Vidéos
Articles
POINTS SAILLANTS
Le tableau ci-dessous présente les points saillants
de nature financière et opérationnelle d'Air Canada pour
les périodes indiquées ci-après.
|
|
Quatrièmes
trimestres
|
Exercices
|
(en millions de
dollars canadiens,
sauf indication contraire)
|
20191)
|
2018
|
Variation
($)
|
20191)
|
2018
|
Variation
($)
|
Mesures de
performance financière
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
4 429
|
|
4 227
|
|
202
|
|
19 131
|
|
18 003
|
|
1 128
|
|
Bénéfice
d'exploitation
|
145
|
|
179
|
|
(34)
|
|
1 650
|
|
1 496
|
|
154
|
|
Bénéfice (perte)
avant impôts sur
le résultat
|
172
|
|
(391)
|
|
563
|
|
1 775
|
|
228
|
|
1 547
|
|
Bénéfice net (perte
nette)
|
152
|
|
(360)
|
|
512
|
|
1 476
|
|
37
|
|
1 439
|
|
Résultat avant impôts
ajusté2)
|
66
|
|
68
|
|
(2)
|
|
1 273
|
|
1 036
|
|
237
|
|
Bénéfice net
ajusté2)
|
47
|
|
55
|
|
(8)
|
|
917
|
|
738
|
|
179
|
|
Marge d'exploitation
(en %)
|
3,3
|
%
|
4,2
|
%
|
(0,9)
|
pt
|
8,6
|
%
|
8,3
|
%
|
0,3
|
pt
|
BAIIDA2)
|
665
|
|
619
|
|
46
|
|
3 636
|
|
3 213
|
|
423
|
|
Marge BAIIDA
(en %)2)
|
15,0
|
%
|
14,6
|
%
|
0,4
|
pt
|
19,0
|
%
|
17,8
|
%
|
1,2
|
pt
|
Liquidités non
soumises à restrictions3)
|
7 380
|
|
5 725
|
|
1 655
|
|
7 380
|
|
5 725
|
|
1 655
|
|
Flux de trésorerie
nets provenant des activités d'exploitation
|
677
|
|
548
|
|
129
|
|
5 712
|
|
3 470
|
|
2 242
|
|
Flux de trésorerie
disponibles2)
|
426
|
|
288
|
|
138
|
|
2 075
|
|
1 327
|
|
748
|
|
Dette
nette2)
|
2 841
|
|
5 214
|
|
(2 373)
|
|
2 841
|
|
5 214
|
|
(2 373)
|
|
Rendement du capital
investi (en %)2)
|
15,5
|
%
|
13,5
|
%
|
2,0
|
pt
|
15,5
|
%
|
13,5
|
%
|
2,0
|
pt
|
Ratio de levier
financier2)
|
0,8
|
|
1,6
|
|
(0,8)
|
|
0,8
|
|
1,6
|
|
(0,8)
|
|
Bénéfice (perte) par
action - résultat dilué
|
0,56
|
$
|
(1,33)
|
$
|
1,89
|
$
|
5,44
|
$
|
0,13
|
$
|
5,31
|
$
|
Bénéfice ajusté par
action - résultat dilué2)
|
0,17
|
$
|
0,20
|
$
|
(0,03)
|
$
|
3,37
|
$
|
2,67
|
$
|
0,70
|
$
|
Statistiques
d'exploitation4)
|
|
|
Variation
(%)
|
|
|
Variation
(%)
|
Passagers-milles
payants (« PMP »)
(en millions)
|
21 403
|
|
20 801
|
|
2,9
|
|
94 113
|
|
92 360
|
|
1,9
|
|
Sièges-milles offerts
(« SMO »)
(en millions)
|
26 431
|
|
25 597
|
|
3,3
|
|
112 814
|
|
110 866
|
|
1,8
|
|
Coefficient
d'occupation (en %)
|
81,0
|
%
|
81,3
|
%
|
(0,3)
|
pt
|
83,4
|
%
|
83,3
|
%
|
0,1
|
pt
|
Produits passages par
PMP
(« rendement unitaire ») (en cents)
|
18,6
|
|
18,2
|
|
2,3
|
|
18,3
|
|
17,5
|
|
4,6
|
|
Produits passages par
SMO (« PPSMO ») (en cents)
|
15,0
|
|
14,7
|
|
2,0
|
|
15,3
|
|
14,6
|
|
4,8
|
|
Produits
d'exploitation par SMO (en cents)
|
16,8
|
|
16,5
|
|
1,5
|
|
17,0
|
|
16,2
|
|
4,4
|
|
Charges
d'exploitation par SMO (« CESMO ») (en cents)
|
16,2
|
|
15,8
|
|
2,5
|
|
15,5
|
|
14,9
|
|
4,1
|
|
CESMO ajustées (en
cents)2)
|
11,7
|
|
11,1
|
|
5,5
|
|
10,9
|
|
10,3
|
|
6,1
|
|
Effectif moyen en
équivalents temps plein (« ETP ») (en
milliers)5)
|
33,3
|
|
30,5
|
|
9,2
|
|
32,9
|
|
29,9
|
|
10,1
|
|
Avions composant le
parc en exploitation
à la clôture de la période6)
|
403
|
|
400
|
|
0,8
|
|
403
|
|
400
|
|
0,8
|
|
Utilisation moyenne
du parc aérien (en heures par jour)
|
10,1
|
|
9,7
|
|
3,8
|
|
10,6
|
|
10,4
|
|
2,1
|
|
Sièges routés (en
milliers)
|
15 506
|
|
15 184
|
|
2,1
|
|
64 653
|
|
63 800
|
|
1,3
|
|
Mouvements
des appareils (en milliers)
|
130,3
|
|
137,7
|
|
(5,4)
|
|
548,5
|
|
578,9
|
|
(5,3)
|
|
Longueur d'étape
moyenne (en milles)7)
|
1 705
|
|
1 686
|
|
1,1
|
|
1 745
|
|
1 738
|
|
0,4
|
|
Coût du litre de
carburant (en cents)
|
75,0
|
|
84,3
|
|
(11,0)
|
|
76,1
|
|
80,4
|
|
(5,4)
|
|
Consommation
de carburant
(en milliers de litres)
|
1 349 573
|
|
1 293 063
|
|
4,4
|
|
5 713 924
|
|
5 597 232
|
|
2,1
|
|
Passagers payants
transportés
(en milliers)8)
|
12 048
|
|
11 909
|
|
1,2
|
|
51 543
|
|
50 904
|
|
1,3
|
|
|
|
1)
|
Air Canada a
commencé à consolider les résultats financiers d'Aéroplan inc.
(auparavant Aimia Canada Inc., « Aéroplan ») le
10 janvier 2019, soit la date de son acquisition
d'Aéroplan. Se reporter à la rubrique 14, Méthodes comptables,
et à la rubrique 15, Jugements et estimations comptables
critiques, du rapport de gestion de 2019 d'Air Canada pour un
complément d'information.
|
2)
|
Le résultat avant
impôts ajusté, le bénéfice net ajusté (la perte nette ajustée), le
BAIIDA (à savoir le bénéfice avant intérêts, impôts et dotation aux
amortissements), la marge BAIIDA, les flux de trésorerie
disponibles, le rendement du capital investi, le ratio de levier
financier, le bénéfice ajusté par action - résultat dilué et les
CESMO ajustées ne sont pas des mesures financières reconnues par
les PCGR et la dette nette est une mesure complémentaire aux PCGR.
Se reporter à la rubrique 22 du rapport de gestion
de 2019 d'Air Canada pour la description des mesures
financières hors PCGR et mesures complémentaires aux PCGR
d'Air Canada.
|
3)
|
Les liquidités non
soumises à restrictions s'entendent de la somme de la trésorerie,
des équivalents de trésorerie et des placements à court et à long
terme ainsi que des fonds disponibles aux termes des facilités de
crédit renouvelables d'Air Canada.
Au 31 décembre 2019, les liquidités non soumises à
restrictions se composaient de trésorerie, d'équivalents de
trésorerie et de placements à court terme de 5 889 M$, de
placements à long terme de 512 M$ et de facilités de crédit
non utilisées de 979 M$. Au 31 décembre 2018, les
liquidités non soumises à restrictions se composaient de
trésorerie, d'équivalents de trésorerie et de placements à court
terme de 4 707 M$ et de facilités de crédit non utilisées
de 1 018 M$.
|
4)
|
À l'exception de
l'effectif moyen en ETP, les statistiques d'exploitation dans le
présent tableau tiennent compte des transporteurs tiers exerçant
leurs activités aux termes de contrats d'achat
de capacité avec Air Canada.
|
5)
|
Rend compte des
ETP à Air Canada et aux filiales de celle-ci, à
l'exclusion des ETP chez des transporteurs tiers exerçant leurs
activités au titre de contrats d'achat de capacité avec
Air Canada.
|
6)
|
Au 31 décembre
2019, le nombre d'avions composant le parc aérien en exploitation
d'Air Canada comprenait 24 appareils 737 MAX de Boeing qui
sont immobilisés au sol et ce nombre ne tenait pas compte des
avions visés par des contrats de location avec équipage. Se
reporter à la rubrique 9, Parc aérien, du présent rapport de
gestion pour un complément d'information à cet
égard.
|
7)
|
La longueur
d'étape moyenne correspond au total de sièges-milles offerts divisé
par le total de sièges routés.
|
8)
|
Les passagers
payants sont dénombrés en fonction des indicatifs de vol (et non en
fonction du voyage/de l'itinéraire ou du segment de trajet),
conformément à la définition établie par l'IATA.
|
SOURCE Air Canada