Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
ce communiqué.
- Bénéfice net de 811 millions $ avec un bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires de 762 millions $, ou 0,84
$ par action ordinaire; bénéfice net ajusté de 792 millions $,
générant un BPA ajusté de 0,88 $
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de 2
154 millions $, une hausse de 14,0 % entraînant une augmentation de
17,1 % des flux de trésorerie disponibles, établis à 1 094 millions
$
- Croissance des produits tirés des services de 7,0 %
entraînant une augmentation de 5,0 % d'un exercice à l'autre du
BAIIA ajusté dans tous les secteurs de Bell, la contribution
financière de Bell MTS s'étant avérée favorable
- 106 000 ajouts nets d'abonnés des services à large bande
pour les services sans fil postpayés et les services de télé IP et
Internet
- Excellents résultats dans le sans-fil : 88 611 ajouts nets
d'abonnés des services postpayés, une hausse de 26,9 %;
croissance des produits tirés des services de 12,8 % grâce à un PMU
combiné en hausse de 4,6 %; croissance à deux chiffres du BAIIA
ajusté de 10,2 %
- Solide croissance des produits tirés des services sur fil de
5,3 % entraînant une augmentation du BAIIA ajusté de 2,6 % et la
marge la plus élevée du secteur, établie à 41,8 %
- Exécution de 40 % du programme à long terme lié à la fibre à
large bande d'ici la fin de 2017; plus de 3,7 millions
d'emplacements dans 7 provinces, y compris la plupart des foyers et
des entreprises à Toronto,
devraient disposer de liens directs de fibre optique
- Innovation continue en matière de services à large bande de
télé, y compris le lancement du service Alt Télé, le nouveau
service de télé en continu et en direct de Bell qui repose sur une
application
- Contribution positive de Bell Média aux résultats consolidés
de BCE au T2, la croissance des produits des activités ordinaires
de 2,2 % entraînant une augmentation du BAIIA ajusté de 0,4
%
MONTRÉAL, le 3 août 2017 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX:
BCE) (NYSE: BCE), la plus grande entreprise de communications
du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats du deuxième
trimestre (T2) de 2017.
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
|
|
|
(en millions $,
sauf les montants par action) (non audité)
|
T2 2017
|
T2 2016
|
% de
variation
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 699
|
5 340
|
6,7
|
%
|
Bénéfice
net
|
811
|
830
|
(2,3)
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
762
|
778
|
(2,1)
|
%
|
Bénéfice net
ajusté(1)
|
792
|
824
|
(3,9)
|
%
|
BAIIA
ajusté(2)
|
2 381
|
2 268
|
5,0
|
%
|
BPA
|
0,84
|
0,89
|
(5,6)
|
%
|
BPA
ajusté(1)
|
0,88
|
0,94
|
(6,4)
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 154
|
1 890
|
14,0
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
1 094
|
934
|
17,1
|
%
|
« La stratégie de Bell visant à investir et à innover plus
que tout autre dans les réseaux et services à large bande au Canada
continue de susciter de solides ajouts d'abonnés et de stimuler la
performance financière dans chaque secteur d'activité lié aux
services de communications. Nous avons enregistré une croissance
exceptionnelle dans le secteur des services sans fil, un nombre
croissant de Canadiens ayant tiré parti des meilleurs téléphones
intelligents sur le réseau sans fil le plus rapide à l'échelle
nationale, notre réseau de fibre optique en expansion rapide a
entraîné des ajouts supplémentaires d'abonnés des services Internet
Fibe et Télé Fibe, et Bell Média continue de donner le ton
dans le secteur des communications multimédias au Canada en offrant
la meilleure programmation qui soit en matière de divertissement,
de nouvelles, de sports et de musique », a déclaré
George Cope, président et chef de la
direction de BCE Inc. et de Bell Canada. « Nous
poursuivons sur notre lancée et maintenons notre leadership en ce
qui a trait à la vitesse et à la capacité de notre réseau mobile
LTE, nous réalisons des progrès continus en matière de services de
télé, y compris le service novateur Alt Télé, et nous accroissons
notre position de leader en ce qui a trait à l'Internet des objets
et aux services qu'offrent les centres de données aux clients
d'affaires. »
« Au T2, l'équipe de Bell s'est efforcée d'être un pionnier
en matière d'innovations au chapitre des réseaux et des services,
ce qui s'est traduit par une solide croissance des produits tirés
des services, un BAIIA ajusté positif dans le sans-fil, le sur-fil
et le secteur Média, ainsi qu'une augmentation de 17 % des
flux de trésorerie disponibles qui permet de financer nos
investissements inégalés dans l'infrastructure à large bande, le
développement de produits et les nouveaux médias. C'est avec fierté
que nous avons accueilli MTS dans l'équipe nationale de Bell, et
nous sommes très satisfaits de la solide contribution à nos
résultats de la principale entreprise de communications au
Manitoba, les activités de la
nouvelle entité Bell MTS ayant été rapidement intégrées au T2 et la
mise en œuvre de notre plan visant à investir un milliard de
dollars dans les services à large bande dans cette province ayant
été amorcée. »
Bell centre ses efforts sur un objectif clair : être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, ce qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de 6 impératifs stratégiques : investir dans
les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil,
tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans
les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une
structure de coûts concurrentielle. Cette stratégie de leadership
dans les services à large bande a porté ses fruits : réseaux
de fibre et sans fil LTE figurant parmi les plus performants au
monde, solide performance continue dans les services de croissance
que sont les services sans fil, de télé, Internet et de médias,
47 trimestres consécutifs de croissance ininterrompue d'un
exercice à l'autre du BAIIA ajusté et 13 hausses du dividende
par action ordinaire de BCE depuis la fin de 2008, soit une
majoration totale de 97 %.
FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOTRE SOCIÉTÉ
Pour obtenir
tous les détails sur les faits récents de BCE pour ce trimestre,
veuillez vous reporter au Rapport aux actionnaires du T2 2017
de BCE, à BCE.ca.
Réseau de Bell Mobilité, premier en Amérique du Nord capable
d'offrir les vitesses du service quadribande sur le réseau
LTE-A
Le 20 avril, Bell Mobilité a annoncé que son
réseau est le premier en Amérique du Nord capable d'offrir un
service LTE Advanced (LTE-A) quadribande, ce qui permet à ses
clients de profiter des vitesses de transmission de données mobiles
les plus rapides qui soient. Combiné à la technologie MAQ-256
(modulation d'amplitude en quadrature) améliorée, le réseau
quadribande de Bell offre des vitesses de transmission de données
mobiles pouvant atteindre 750 Mbps, avec des vitesses moyennes
attendues de 25 à 220 Mbps dans des zones choisies. Le service
quadribande de Bell est maintenant offert dans 47 marchés répartis
dans 8 provinces, incluant Corner
Brook, Glace Bay,
Kingston Village, Bedford, St.
Catharines, Hamilton,
Oakville, Waterloo et Sudbury qui, depuis récemment, font partie des
38 centres offrant le service quadribande annoncés en juillet. Les
utilisateurs des téléphones intelligents Samsung Galaxy S8 et S8+
sont les premiers à profiter de ces vitesses offertes par le
réseau, et d'autres téléphones intelligents capables d'offrir les
vitesses du service quadribande seront bientôt disponibles.
Les innovations liées au réseau sans fil au cours du trimestre
comprennent également la conclusion d'un partenariat unique entre
Bell Mobilité et Astral Affichage, une division de Bell Média,
qui vise à accroître davantage la capacité du réseau LTE dans les
zones à volume élevé du grand Toronto, grâce à l'installation de minipylônes
de transmission sans fil, désignés sous le nom de
« microcellules », sur des panneaux publicitaires
d'Astral dans 10 emplacements du grand Toronto. Dans le cadre du déploiement de la
capacité du réseau quadribande de Bell au stade BMO Field de
Toronto, qui est le domicile des
Argonauts de Toronto et des
Toronto FC, Bell Mobilité est également devenue la première
entreprise de services sans fil au Canada à utiliser des drones
aériens afin d'optimiser la vitesse et la capacité du réseau dans
de grands emplacements.
Virgin Mobile Canada classée
au premier rang en matière de satisfaction de la
clientèle
Virgin Mobile
Canada a été classée au premier rang pour ce qui est de la
satisfaction globale des clients envers le service dans l'étude
réalisée en 2017 par J. D. Power sur le service à la clientèle
offert par les fournisseurs canadiens de services sans fil, dont
les résultats ont été annoncés en mai. Plus de 5 500 clients
canadiens des services sans fil ont répondu à un sondage en ligne
et Virgin a obtenu le meilleur score des 9 fournisseurs de services
sans fil canadiens ayant fait l'objet d'une comparaison, soit 801
points (sur l'échelle de 1 000 points de J.D. Power),
s'illustrant particulièrement dans les catégories
« magasins », « centres d'appels » et
« service en ligne ».
Le service Alt Télé de Bell, une toute nouvelle façon de
regarder la télévision en direct
Le 15 mai, Bell a
lancé le service Alt Télé, une toute nouvelle façon de regarder la
télévision en direct et sur demande, sans boîtier décodeur
traditionnel. Comme Bell Télé Fibe, Alt Télé est offert en tant que
service de distribution de radiodiffusion faisant l'objet d'une
licence sur le réseau large bande privé Fibe de Bell pour le
visionnement à la maison, ou sur un réseau mobile ou Wi-Fi pour le
visionnement à l'extérieur de la maison. Alt Télé est accessible au
moyen d'un forfait Internet Fibe et de la puissante application
Télé Fibe, et offre aux clients en Ontario et au Québec jusqu'à 500 chaînes
en direct et sur demande sur un ordinateur portatif, un téléphone
intelligent, une tablette ou l'Apple TV de
4e génération. Autre innovation en télévision de
Bell : les clients de Télé Fibe en Ontario et au Québec peuvent maintenant
regarder leurs enregistrements à partir d'un téléphone intelligent,
d'une tablette ou d'un ordinateur avec l'application Télé Fibe.
En juin, la Fiber Broadband Association a décerné à Bell, qui
était en lice aux côtés de Verizon et de Google Fiber, le Prix
Étoile 2017 pour avoir dépassé les attentes en déployant les
connexions de fibre optique directement dans les foyers et les
entreprises au Canada. Le réseau de fibre jusqu'au domicile (FTTH)
de Bell, qui est le plus vaste au Canada, devrait atteindre plus de
3,7 millions d'emplacements (foyers et entreprises) d'ici la
fin de 2017.
Position de leader dans l'Internet des objets
Bell
continue d'accomplir d'importants progrès dans le secteur
florissant de l'Internet des objets (IdO). En juin, Bell et Hyundai
AutoEver Telematics America (HATA), une filiale de Hyundai Motor
Group, ont annoncé qu'elles comptent offrir une gamme de services
télématiques connectés, y compris des solutions de sécurité, de
sûreté, de diagnostic et d'infodivertissement, dans certains
véhicules Hyundai et Kia 2018.
En juin, Bell a également annoncé des plans visant le
déploiement d'un réseau LTE-M afin de soutenir l'utilisation
d'appareils IdO sur les réseaux étendus. LTE-M améliore
l'efficience opérationnelle des appareils IdO en favorisant une
très faible consommation d'énergie et en fournissant une meilleure
couverture sous terre et dans d'autres emplacements difficilement
accessibles. Bell a présenté avec succès sa toute première
application LTE-M en collaboration avec BeWhere Inc., un partenaire
canadien dans le domaine du développement. Cette application de
géolocalisation et de surveillance d'actifs permet au personnel
paramédical et aux autres employés des services médicaux d'urgence
de disposer de données en temps réel sur l'emplacement de matériel
d'urgence. Le réseau LTE-M prendra en charge une vaste gamme de
solutions IdO à grande échelle, notamment les services des villes
intelligentes, les compteurs intelligents, la géolocalisation
d'actifs, la gestion de la chaîne d'approvisionnement, la
surveillance des systèmes de sécurité et des alarmes, le transport
et la logistique, et les accessoires prêt-à-porter pour les soins
de santé, l'accessibilité et d'autres applications.
En mai, Bell MTS a contribué pour un montant de
500 000 $ au lancement du programme Innovations en
agriculture de Bell MTS à l'Université du Manitoba. Ce programme offre aux étudiants la
possibilité de développer des technologies d'IdO pour les domaines
de l'agriculture et des services d'alimentation.
CTV, le réseau de télévision le plus regardé pour une
16e année consécutive
CTV a, pour une
16e année consécutive, terminé la saison de
télédiffusion 2016-2017 en s'illustrant comme le réseau de
télévision canadien le plus regardé aux heures de grande écoute,
selon Numeris. Lors de l'événement
CTV Upfront qui s'est déroulé en juin, Bell Média a présenté
la grille horaire du réseau pour la saison 2017-2018, laquelle
compte 17 nouvelles séries dans la grille horaire des heures
de grande écoute et 11 séries reprenant l'antenne parmi les 20 les
plus regardées. La grille horaire comporte également des ajouts
importants d'émissions de nouvelles locales avec des bulletins de
nouvelles à 17 h du lundi au vendredi dans toutes les stations
de radio locales de CTV au pays; des droits exclusifs élargis de
diffusion des matchs de la National Football League, qui couvrent
notamment les matchs diffusés les jeudis en soirée, de même que les
droits numériques connexes de diffusion par Bell Média des
matchs de la NFL, ainsi que la plus abondante programmation
d'émissions de télévision en direct, notamment le Super Bowl LII,
la Coupe du Monde 2018 de la FIFA, la
90e présentation des Oscars et les présentations
des prix suivants : Golden Globe Awards (75e),
Primetime Emmy Awards (69e), American Music Awards
(2017), Billboard Music Awards (2018)
et iHeartRadio Much Music Video Awards (2018).
En juin, Bell Média a également annoncé la conclusion d'un
partenariat stratégique avec Wow Unlimited Media en vue de
produire une programmation destinée aux enfants et aux jeunes, qui
sera diffusée sur les plateformes de Bell Média, notamment
CraveTV et SnackableTV, la nouvelle application mobile gratuite de
Bell Média présentant de courts clips des chaînes de télé
payante et spécialisée ainsi que des émissions populaires de
Bell Média.
Expansion de Bell Cause pour la cause au Manitoba
En mai, Bell Cause pour la
cause et Unifor ont annoncé un don totalisant 200 000 $
au centre Ma Mawi Wi Chi Itata et à l'Association canadienne pour
la santé mentale, afin d'appuyer le lancement du programme
Strenghtening Wellness Education to Love
Life (SWELL). Dans le cadre de SWELL, des programmes de
santé mentale culturellement adaptés seront offerts aux jeunes
autochtones et à leurs familles au Manitoba, et le programme encouragera
également les jeunes à participer à l'événement annuel Indigenous
Youth Summit et à faire entendre davantage leur voix dans les
services de santé mentale.
RÉSULTATS DE BCE
« L'importance que nous avons
continué d'accorder à nos impératifs stratégiques au T2, conjuguée
à la contribution de Bell MTS, s'est traduite par une solide
performance financière ce trimestre, qui a permis d'effectuer
d'importantes dépenses d'investissement soutenues dans le réseau de
fibre à large bande et dans l'infrastructure du réseau sans fil
évolué afin de favoriser une plus importante croissance du nombre
d'abonnés dans l'avenir », a affirmé Glen LeBlanc, chef des affaires financières de
BCE et de Bell. « Les efforts déployés de manière constante et
disciplinée dans tous les secteurs opérationnels de Bell ont donné
lieu à une solide rentabilité dans le sans-fil, à une croissance
positive du BAIIA ajusté dans le sur-fil et à un excellent profil
financier dans le secteur Média au premier semestre, et nous sommes
sur la bonne voie pour atteindre les objectifs de l'orientation
financière 2017. »
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 6,7 % au
T2, pour s'établir à 5 699 millions $. Ce résultat
tient principalement à la croissance de 7,0 % des produits
tirés des services reflétant les hausses enregistrées dans les
secteurs Services sans fil de Bell et Services sur fil de Bell,
lesquelles comprennent les contributions découlant de notre
acquisition de Manitoba Telecom Services Inc. (MTS) conclue le
17 mars, ainsi qu'à l'augmentation d'un exercice à l'autre des
produits des activités ordinaires de Bell Média. Les produits
d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 3,4 %, pour
s'établir à 364 millions $, ce qui reflète les ventes
accrues d'appareils mobiles haut de gamme et le nombre plus élevé
de transactions effectuées par les abonnés du sans‑fil.
Le bénéfice net a diminué de 2,3 %, pour s'établir à
811 millions $ au T2, tandis que le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires a totalisé
762 millions $, soit 0,84 $ par action, en baisse de
2,1 % et de 5,6 %, respectivement, ce qui est imputable à
l'augmentation du montant net au titre de la dotation aux
amortissements, à la hausse de la charge d'intérêts et à la
diminution des autres produits. Le nombre moyen plus élevé
d'actions ordinaires de BCE en circulation, qui découle des actions
émises aux fins de la composante capitaux propres liée à
l'acquisition de MTS, a également contribué à la dilution du
bénéfice par action ce trimestre. À l'exclusion des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes
ou des profits nets sur placements, des charges pour dépréciation
et des coûts relatifs au remboursement anticipé de la dette, le
bénéfice net ajusté a diminué de 3,9 % au T2, pour s'établir à
792 millions $, soit 0,88 $ par action
ordinaire.
Le BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 5,0 %, pour s'établir
à 2 381 millions $ au T2, entraîné par des hausses
de 10,2 % pour les Services sans fil de Bell et de 2,6 %
pour les Services sur fil de Bell, ce qui reflète la contribution
financière de Bell MTS ce trimestre. Le BAIIA ajusté de
Bell Média a augmenté de 0,4 %, pour s'établir à
224 millions $, ce qui constitue un résultat
essentiellement stable d'un exercice à l'autre.
La marge du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a
diminué, passant à 41,8 % au T2, contre 42,5 % à
l'exercice précédent, l'incidence de la forte croissance des
produits tirés des services dans le sans-fil ayant largement été
compensée par les dépenses accrues relatives à l'acquisition
d'abonnés et à la fidélisation de la clientèle des services
postpayés dans le sans-fil, par le maintien des offres
promotionnelles pour des forfaits de services sur fil résidentiels
accrocheuses de nos concurrents, par les coûts accrus pour le
contenu dans les médias ainsi que par l'incidence sur la marge de
la baisse continue dans les services voix traditionnels. La
performance consolidée au chapitre du BAIIA ajusté et de la marge
du BAIIA ajusté au T2 a également été négativement touchée par
l'incidence d'un exercice à l'autre des décisions du CRTC sur les
tarifs Internet de gros et par les remboursements aux clients pour
les services annulés, l'ensemble de ces facteurs totalisant environ
25 millions $ ce trimestre.
Le total des dépenses d'investissement consolidées de BCE a
augmenté pour s'établir à 1 042 millions $, en
hausse de 9,7 % par rapport au T2 de l'exercice précédent, résultat
qui représente une augmentation du ratio d'intensité du
capital(4) (les dépenses d'investissement en pourcentage
du total des produits des activités ordinaires), qui s'est établi à
18,3 % comparativement à 17,8 % au T2 2016.
L'augmentation tient essentiellement à l'investissement continu
dans le déploiement de notre réseau de fibre à large bande en vue
de brancher un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
directement, ce qui comprend : la construction de
l'infrastructure Fibe Gigabit à Toronto et dans d'autres centres urbains;
l'expansion du réseau LTE-A de Bell, le meilleur du secteur;
l'accroissement des vitesses des réseaux sans fil tenant à
l'agrégation de porteuses; le déploiement de la technologie des
petites cellules afin d'optimiser la couverture mobile, la qualité
du signal et la capacité en données; et la capacité accrue des
réseaux sans fil et Internet pour soutenir la croissance de la
clientèle ainsi que l'augmentation rapide de l'utilisation des
services vidéo et des autres services de données. L'augmentation
des dépenses d'investissement au cours du trimestre reflète
également l'investissement effectué au Manitoba afin d'améliorer la couverture, la
capacité et les vitesses du réseau et l'intégration dans les
systèmes de Bell des systèmes de comptabilité et de facturation de
MTS.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont établis à 2 154 millions $, en hausse de
14 % comparativement à 1 890 millions $ au
T2 2016, ce qui résulte de la croissance du BAIIA ajusté et de
l'évolution positive du fonds de roulement. Les flux de trésorerie
disponibles de BCE générés ce trimestre se sont établis à
1 094 millions $, soit 17,1 % de plus qu'au T2
de l'exercice précédent, ce qui découle de l'augmentation des flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite
des coûts liés aux acquisitions et autres payés, facteur
contrebalancé en partie par l'augmentation des dépenses
d'investissement.
Au T2, BCE a enregistré 88 611 nouveaux abonnés nets
des services sans fil postpayés et une perte nette de
21 695 abonnés des services sans fil prépayés,
16 427 nouveaux abonnés nets du service Télé Fibe et une
perte nette de 29 764 abonnés du service de télé par
satellite ainsi que 1 407 nouveaux abonnés nets
d'Internet haute vitesse. Les pertes nettes totales au chapitre des
SAR se sont établies à 94 959. À la fin du T2, les connexions
clients totales de BCE dans tous les services totalisaient
21 923 299, soit une hausse de 4,8 % par rapport à
l'exercice précédent. Ce total incluait
8 901 291 abonnés du sans-fil, soit une hausse de
7,5 % par rapport à l'exercice précédent (y compris les
8 126 264 abonnés des services postpayés, soit une
augmentation de 8,8 %), 3 718 677 abonnés d'Internet
haute vitesse au total, soit une augmentation de 8,8 %,
2 824 016 abonnés des services de télé au total, soit une
augmentation de 2,7 % (y compris les
1 481 434 abonnés du service Télé Fibe, soit une
augmentation de 17,0 %), et enfin,
6 479 315 abonnés des SAR au total, soit une
augmentation de 0,04 %.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les Services sans fil de
Bell ont de nouveau affiché une excellente performance financière
ce trimestre, les produits ayant augmenté de 12,9 % pour
s'établir à 1 959 millions $, en hausse par rapport
à 1 735 millions $ au T2 2016. Les produits
tirés des services ont augmenté de 12,8 %, pour s'établir à
1 828 millions $, en raison de la solide croissance
de la clientèle d'abonnés des services postpayés, de l'augmentation
du produit moyen par utilisateur (PMU) combiné(4) et de
la contribution de Bell MTS pour le trimestre complet. Les produits
d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 13,9 %, pour
s'établir à 131 millions $, en raison des ventes accrues
d'appareils mobiles haut de gamme et du nombre plus élevé de
transactions effectuées par les abonnés.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil a augmenté de 10,2 %
au T2, pour se chiffrer à 851 millions $, en raison de la
solide croissance à deux chiffres des produits tirés des services
découlant de la proportion accrue d'abonnés des services postpayés,
qui génèrent une valeur plus élevée, parmi notre clientèle totale
et en raison de la gestion rigoureuse des prix. La marge des
produits tirés des services a diminué pour s'établir à 46,6 %,
par rapport à 47,7 % au T2 2016, en raison d'une
augmentation de 75 millions $ d'un exercice à l'autre,
des dépenses totales combinées à l'égard de la fidélisation de la
clientèle et des coûts d'acquisition d'abonnés, facteur qui,
conjugué à la contribution accrue de Bell MTS aux charges, a
donné lieu à une croissance des coûts d'exploitation de 15,1 %
ce trimestre.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont augmenté
de 26,9 %, pour s'établir à 88 611 au T2. Ce résultat tient à la
hausse de 7,1 % des ajouts bruts, établis à 339 392, ce qui reflète
l'accroissement général des activités sur le marché, le leadership
de Bell en matière de réseaux mobiles et la solide mise en œuvre de
promotions de ventes ciblées dans tous nos canaux de vente au
détail, ainsi que la réduction du taux de
désabonnement(4).
- Le taux de désabonnement des services postpayés a diminué de
0,07 point de pourcentage au T2, pour s'établir à 1,08 %, ce qui
reflète l'importance que nous accordons aux investissements
continus dans la vitesse et la qualité des réseaux, la fidélisation
de la clientèle et l'amélioration du service.
- La clientèle des services postpayés des Services sans fil de
Bell totalisait 8 126 264 abonnés au 30 juin 2017, une augmentation
de 8,8 % par rapport au T2 de l'exercice précédent. La clientèle
totale des services sans fil a augmenté de 7,5 %, pour s'établir à
8 901 291 abonnés, résultat qui tient compte de la baisse de 104
833 du nombre d'abonnés des services postpayés au cours du
trimestre considéré, laquelle reflète la cession d'abonnés à TELUS
dans le cadre de l'acquisition de MTS par BCE.
- Le PMU combiné a augmenté de 4,6 %, pour s'établir à 67,28 $,
en raison de la proportion accrue d'abonnés des services postpayés,
de la plus grande utilisation des services de données LTE, de la
proportion accrue d'abonnés avec des forfaits offrant plus de
données et à prix plus élevés dans la composition globale des
produits et de l'effet des variations des prix par rapport à
2016.
- Le réseau mobile LTE de Bell fournissait une couverture à près
de 98 % des Canadiens à la fin du T2, y compris à 81 % de la
population couverte par le service LTE-A. Le pourcentage d'abonnés
des services postpayés utilisant un appareil LTE s'est élevé à 85 %
au T2, en hausse comparativement à 76 % au T2 2016.
Services sur fil de Bell
La croissance des produits
d'exploitation tirés des services sur fil s'est accélérée ce
trimestre, ces produits ayant augmenté de 4,8 % par rapport au
T2 2016, pour s'établir à 3 121 millions $,
grâce aux produits tirés des services qui ont augmenté de
5,3 %, pour s'établir à 2 883 millions $, en
raison de la croissance de la clientèle d'abonnés des services
Internet et de télé IP à large bande ainsi que de l'augmentation du
PMU par foyer, de l'amélioration de la performance au chapitre des
produits tirés des services d'affaires soutenue par l'acquisition
de l'exploitant de centres de données Les Réseaux Q9 Inc.
(Q9), et de la contribution financière provenant de l'acquisition
de MTS pour un trimestre complet. Ces résultats ont été atténués
par des incidences financières défavorables d'un exercice à l'autre
liées à la réglementation, qui se chiffrent à environ
22 millions $ ce trimestre et qui découlent des révisions
à la baisse des tarifs pour les services Internet de gros et des
remboursements au titre de services annulés ordonnés par le CRTC,
ainsi que par une diminution de 0,8 % des produits
d'exploitation tirés des produits, qui se sont chiffrés à
238 millions $.
Le BAIIA ajusté des Services sur fil a augmenté de 2,6 %,
pour s'établir à 1 306 millions $ au T2, ce qui
reflète l'incidence de la solide croissance des produits tirés des
services, alors que les coûts d'exploitation ont augmenté de
6,4 % pour s'établir à 1 815 millions $, en
raison essentiellement des acquisitions de MTS et de Q9, de la
hausse des frais de commercialisation afin de soutenir les
activités d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la
clientèle des services résidentiels ainsi que de l'augmentation des
coûts de soutien liés au service à la clientèle. La marge du BAIIA
ajusté du sur-fil a diminué de 0,9 point de pourcentage au T2,
pour s'établir à 41,8 %, ce qui tient principalement à
l'incidence des décisions réglementaires du CRTC et à
l'augmentation des coûts d'exploitation d'un exercice à l'autre. En
excluant l'incidence des décisions réglementaires, le BAIIA ajusté
des Services sur fil a augmenté de 4,3 % ce trimestre.
- Bell Télé a ajouté 16 427 nouveaux abonnés nets du service Télé
Fibe au T2, une diminution comparativement aux 35 255 abonnés
recrutés à l'exercice précédent en raison du volume accru de
clients de détail de Bell dont les offres promotionnelles ont pris
fin et des offres de forfaits de services de câblodistribution plus
accrocheuses, du niveau minimal d'expansion de la zone de
couverture, du taux de saturation accru des marchés actuels pour le
service Télé Fibe, ainsi que de la substitution accélérée en faveur
des services de télé par contournement. À la fin du T2, BCE avait 1
481 434 abonnés de la télé IP, soit une hausse de 17,0 % par
rapport au T2 2016. Les pertes nettes d'abonnés du service Télé
Satellite se sont améliorées de 10,2 %, pour s'établir à 29 764 par
rapport à l'exercice précédent.
- À la fin du T2, BCE comptait un nombre total de 2 824 016
abonnés des services de télé, soit une hausse de 2,7 %
comparativement à 2 750 596 au T2 2016.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet sur le réseau de fibre
jusqu'au domicile (FTTH) se sont établis à 17 426 clients au T2, en
raison de la zone de couverture en expansion rapide de notre
service de fibre à large bande, qui rejoignait 3,4 millions
d'emplacements à la fin du trimestre, en hausse par rapport à 3,2
millions à la fin du T1 2017. Ce résultat a été atténué par la
hausse du taux de désabonnement dans les zones où le service FTTH
de Bell n'est pas disponible, et par l'augmentation d'un exercice à
l'autre du nombre de désactivations du service pour des étudiants,
ce qui s'est traduit par des ajouts nets d'abonnés d'Internet haute
vitesse de 1 407 au deuxième trimestre, qui affiche une faiblesse
saisonnière, en baisse par rapport à 7 539 au T2 2016.
- La clientèle des services Internet haute vitesse de BCE
totalisait 3 718 677 abonnés à la fin du T2, en hausse de 8,8 % par
rapport au T2 2016.
- Les produits tirés des services de données filaires ont
augmenté de 6,7 %, pour s'établir à 1 798 millions $, ce qui
reflète l'incidence favorable de Bell MTS, la croissance de la
clientèle d'abonnés des services Internet et de télé, l'utilisation
accrue et la hausse du PMU ainsi que l'augmentation des produits
tirés des solutions d'affaires, reflétant la contribution
financière plus élevée de Q9.
- Les produits d'exploitation tirés des produits filaires ont
diminué de 0,8 %, pour s'établir à 238 millions $, en raison de la
plus faible demande des grandes entreprises clientes et des clients
de gros pour les équipements de télécommunications, en raison de la
faiblesse du marché et des pressions concurrentielles sur les
prix.
- Les pertes nettes d'abonnés résidentiels des SAR se sont
améliorées de 2,3 %, pour s'établir à 67 005, comparativement à 68
593 au T2 2016, malgré les offres promotionnelles pour des forfaits
de services accrocheuses lancées par nos concurrents dans la
câblodistribution et l'augmentation constante de la substitution
technologique en faveur des services sans fil et Internet, en
raison de l'effet marqué des activations de forfaits de services de
Télé Fibe.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont augmenté
pour s'établir à 27 954, comparativement à 20 232 au T2 de
l'exercice précédent, ce qui reflète le nombre plus élevé de
désactivations de grandes entreprises tenant à l'accélération de la
conversion des lignes téléphoniques au profit des services IP et à
l'augmentation de la demande à l'égard des nouvelles installations
au T2 2016, en raison de la conclusion d'un nouveau contrat.
- La clientèle des abonnés des SAR à la fin du T2 était de 6 479
315, une hausse légère par rapport à 6 476 683 à l'exercice
précédent. Les produits tirés des services locaux et d'accès ont
augmenté de 4,1 %, pour s'établir à 813 millions $, en raison de la
contribution financière supplémentaire de Bell MTS et des hausses
de tarifs de nos services résidentiels. Les produits tirés des
services interurbains ont diminué de 8,7 %, pour s'établir à 167
millions $, en raison des pertes au chapitre des lignes d'accès aux
SAR, de la substitution technologique en faveur des services sans
fil et Internet et des pressions sur les tarifs découlant de
l'adoption par les clients de forfaits plus avantageux.
Bell Média
Les produits d'exploitation tirés du
secteur Média ont totalisé 796 millions $, en hausse de
2,2 % comparativement à 779 millions $ au T2 2016,
en raison de l'augmentation des produits tirés de la publicité et
des frais d'abonnement.
Les produits tirés de la publicité ont augmenté, malgré la
faiblesse persistante des marchés de la publicité à la télé et à la
radio, en raison de la croissance au chapitre de l'affichage
extérieur enregistrée par Astral Affichage et de l'augmentation
d'un exercice à l'autre des produits tirés des chaînes anglophones
de services spécialisés dans le divertissement et des propriétés
numériques de Bell Média. Les produits tirés des frais
d'abonnement ont augmenté légèrement en raison de l'accroissement
des produits tirés de Crave TV et de la gamme de produits GO de
Télé Partout.
Le BAIIA ajusté du secteur Média a augmenté de 0,4 %, pour
se chiffrer à 224 millions $, comparativement à
223 millions $ au T2 2016, ce qui résulte de
l'augmentation d'un exercice à l'autre des produits, laquelle a
largement compensé la hausse de 2,9 % des coûts d'exploitation
découlant de l'enrichissement de la programmation de CraveTV et de
celui du contenu de HBO et de SHOWTIME, ainsi que des coûts accrus
d'Astral Affichage découlant des acquisitions et de la conclusion
de nouveaux contrats de publicité sur les tableaux publicitaires
extérieurs au cours du dernier exercice.
- CTV s'est classée au rang de premier réseau au Canada pour la
13e saison printanière consécutive pour l'ensemble des
téléspectateurs et dans toutes les principales catégories
démographiques chez les adultes en ce qui a trait à la
programmation des heures de grande écoute, avec 11 des 20 émissions
les plus regardées pour l'ensemble des téléspectateurs.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante
anglophone, Bell Média a rejoint 80 % des téléspectateurs canadiens
anglophones de la télé spécialisée et de la télé payante d'une
semaine moyenne. Bell Média a diffusé au moins la moitié des 20
émissions de divertissement les plus regardées par l'ensemble des
téléspectateurs au T2, et possède
5 des 10 chaînes de télé spécialisée et de télé payante anglophones
les plus populaires auprès des téléspectateurs dans la tranche des
25 à 54 ans : TSN, Space, TMN, Discovery et CP24.
- Bell Média a conservé sa position de leader du marché du
Québec, les cotes d'écoute de sa télé spécialisée et de sa télé
payante s'élevant à 72 % de l'ensemble des téléspectateurs
francophones d'une semaine moyenne au T2. Cinq des 10 chaînes de
télé spécialisée et de télé payante les plus populaires chez les
téléspectateurs dans les tranches déterminantes de 25 à 54 ans sont
des propriétés de Bell Média : RDS, Super Écran, Canal D, Canal Vie
et Z.
- Bell Média a conclu une nouvelle entente pluriannuelle globale
sur les droits de diffusion régionale avec Les Canadiens de
Montréal, faisant de TSN le diffuseur anglophone officiel de
l'équipe dès la saison 2017-2018. Dans le cadre de cette nouvelle
entente, TSN diffusera des matchs dans la région de diffusion
désignée des Canadiens de Montréal, qui couvre l'est et le nord de
l'Ontario, le Québec et le Canada
atlantique. RDS demeure la plateforme de diffusion francophone des
matchs régionaux des Canadiens de Montréal.
- Bell Média a conclu une prolongation de plusieurs années de
l'entente sur les droits avec la NFL aux termes de laquelle Bell
Média devient le partenaire exclusif de télédiffusion des matchs de
la NFL au Canada. Ce partenariat prévoit également des possibilités
numériques accrues comprenant des droits de syndication pour les
faits saillants de la NFL au Canada, ainsi que de plus nombreux
enregistrements et des droits de programmation visant à promouvoir
le contenu de la NFL autre que les matchs qui est diffusé par Bell
Média. L'entente élargie comprend également toute la programmation
relative au Thursday Night football de la NFL, qui sera diffusée
sur TSN et CTV Two pour la première fois, et reprendra l'antenne à
RDS, à partir de la saison 2017.
- iHeartRadio Canada, la chaîne de radio en continu la plus
populaire au Canada, a dépassé le cap du million de téléchargements
en juin. Lancée en octobre 2016, iHeartRadio se maintient
continuellement parmi les 10 applications de musique gratuites les
plus populaires dans les magasins Apple et Google Play.
- Bell Média a maintenu sa position de premier radiodiffuseur du
Canada au T2, rejoignant plus de 17,4 millions d'auditeurs,
lesquels ont écouté, chaque semaine, plus de 77 millions d'heures
de contenu.
- Bell Média demeure le chef de file du secteur des médias
numériques parmi tous les diffuseurs et producteurs de vidéos
canadiens concurrents, atteignant un record de 68 % de l'auditoire
des médias numériques au T2, avec 21 millions de visiteurs uniques
mensuellement, une moyenne mensuelle de 1,3 milliard de minutes de
temps d'utilisation sur les sites et 195 millions de vidéos
regardées.
DIVIDENDE PAR ACTION ORDINAIRE
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,7175 $ par action ordinaire, payable le
15 octobre 2017 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 septembre 2017.
PERSPECTIVES POUR 2017
BCE a confirmé les objectifs de
son orientation financière pour 2017, tels qu'ils ont été présentés
le 26 avril 2017 afin de refléter l'acquisition de MTS, comme
suit :
|
Orientation
au 26 avril
|
Orientation
au 3 août
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
4 % à
6 %
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
4 % à
6 %
|
Sur la bonne
voie
|
Intensité du
capital
|
approx.
17 %
|
Sur la bonne
voie
|
BPA ajusté
|
3,30 $ à
3,40 $
|
Sur la bonne
voie
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles
|
approx. 5 % à
10 %
|
Sur la bonne
voie
|
Dividende par action
ordinaire annualisé
|
2,87 $
|
2,87 $
|
Politique de
distribution de dividendes(3)
|
65 % à 75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
Sur la bonne
voie
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T2 2017, le jeudi 3 août, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1-866-223-7781 ou le 416-340-2216. Une reprise sera disponible
pendant une semaine au 1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez
le code d'identification 3318870#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une
webdiffusion en direct sur le site Web de BCE, à Appel conférence
BCE T2 2017. Le fichier MP3 sera également disponible pour
téléchargement sur cette page, peu de temps après la
téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
Au T1 2017, nous avons mis à jour notre définition du
bénéfice net ajusté et du BPA ajusté de manière à exclure également
les pertes de valeur, car elles pourraient avoir une influence sur
la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) sur placements, les charges pour perte de valeur et
les coûts liés au remboursement anticipé de la dette. Nous
définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action
ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA
ajusté et nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer la performance de
nos activités avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets)
sur placements, des charges pour perte de valeur et des coûts liés
au remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt
et des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une
influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise.
Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires
et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus
comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
T2 2017
|
T2 2016
|
|
TOTAL
|
PAR
ACTION
|
TOTAL
|
PAR
ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
762
|
0,84
|
778
|
0,89
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
27
|
0,04
|
44
|
0,05
|
Pertes nettes (profits
nets) sur placements
|
-
|
-
|
2
|
-
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
3
|
-
|
-
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
792
|
0,88
|
824
|
0,94
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes
consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4,
Information sectorielle, des états financiers du
T2 2017 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté
comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous
utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer
la performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur
rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une
société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à
d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure
courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des
télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA
ajusté est également un facteur dans la détermination de la
rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des
dirigeants.
Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement
comparable au BAIIA ajusté et à la marge du BAIIA ajusté. Pour
remédier à cette situation, le tableau suivant présente un
rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
T2 2017
|
T2 2016
|
Bénéfice
net
|
811
|
830
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
36
|
57
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
769
|
713
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
211
|
156
|
Charges
financières
|
|
|
|
Charge
d'intérêts
|
238
|
217
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
18
|
21
|
Autres
produits
|
(1)
|
(41)
|
Impôt sur le
résultat
|
297
|
315
|
BAIIA
ajusté
|
2 381
|
2 268
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 699
|
5 340
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
41,8 %
|
42,5 %
|
(3) Les termes flux de trésorerie disponibles et
ratio de distribution n'ont pas de définition normalisée en
vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être
comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles
comme les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation,
déduction faite des coûts liés aux acquisitions et autres payés,
qui comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes par action
privilégiée et les dividendes payés par des filiales aux détenteurs
de PNDPC. Nous excluons les coûts liés aux acquisitions et autres
payés et le financement des cotisations volontaires aux régimes de
retraite parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Nous considérons les flux de trésorerie
disponibles comme un important indicateur de la solidité financière
et de la performance de nos activités, car ils révèlent le montant
des fonds disponibles pour payer des dividendes, rembourser la
dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie
disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents
et pour évaluer la solidité financière et la performance de nos
activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Nous
définissons le ratio de distribution comme les dividendes payés sur
les actions ordinaires divisés par les flux de trésorerie
disponibles. Nous considérons le ratio de distribution comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités, car il met en évidence la pérennité des paiements
de dividendes de la société. Le tableau ci-après présente un
rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base
consolidée.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
T2 2017
|
T2 2016
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 154
|
1 890
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 042)
|
(950)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(30)
|
(35)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de participations
ne donnant pas le contrôle
|
(9)
|
(10)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
21
|
39
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 094
|
934
|
(4) Nous utilisons le PMU, le taux de désabonnement et
l'intensité du capital pour évaluer les progrès accomplis à l'égard
de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés
ne sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas être
comparables à des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent
communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces
déclarations prospectives comprennent, sans s'y limiter, des
déclarations concernant l'orientation financière pour 2017 (ce qui
comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté,
l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie
disponibles), le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de distribution de dividendes sur actions ordinaires de
BCE pour 2017, nos plans de déploiement pour les réseaux et les
dépenses d'investissement connexes, nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques, ainsi que d'autres
déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement,
les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif,
perspective, projet, stratégie, cible et d'autres expressions
semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le
conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à,
croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine intitulée Private Securities
Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la
réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 3 août 2017 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ni pour toute
autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 3 août 2017. L'incidence financière de
ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2017, ainsi que nos
objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales pour
2017, et à mieux comprendre le
contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le
lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information
pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Une amélioration graduelle de la croissance économique, basée
sur la plus récente estimation de la Banque du Canada de la
croissance du produit intérieur brut du Canada de 2,8 % en 2017,
une légère augmentation par rapport à l'estimation antérieure de
2,6 %;
- une modeste croissance des niveaux d'emploi, car le niveau
d'investissement des entreprises devrait demeurer peu élevé
globalement;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises;
- l'intensification de la concurrence dans le marché résidentiel,
le marché d'affaires et le marché de gros des services sur fil et
sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- la faiblesse attendue du marché publicitaire en raison de la
demande variable, et les coûts croissants pour obtenir de la
programmation télé.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien de notre part du marché des ajouts nets d'abonnés
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison de la hausse des
coûts des combinés et d'un nombre plus élevé de mises à niveau des
appareils, ce qui reflète un nombre plus important d'abonnés qui
n'ont plus de contrat, en raison de la durée plus courte des
contrats de deux ans;
- une croissance du PMU combiné, stimulée par une proportion
accrue d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones
intelligents, une consommation croissante de données sur les
réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs d'accès découlant
de la modification des prix effectuée en 2016;
- l'achèvement de la construction du réseau LTE, qui couvre 99 %
de la population canadienne, et l'expansion de la couverture du
réseau LTE-A à environ 87 % de la population canadienne, incluant
le Manitoba;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission, qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- une croissance continue du nombre d'abonnés résidentiels des
services de télé IP et Internet;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels par foyer,
générée par l'adoption croissante des forfaits multiproduits par
foyer et l'augmentation des tarifs;
- des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
zones où nous fournissons des services sur fil;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu
d'investissements constants;
- le dégroupement des chaînes de télé qui n'accélérera pas de
façon significative la réduction des forfaits télé par les
clients;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction des
postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la
retraite, de la réduction des taux contractuels des fournisseurs,
de la diminution du trafic non acheminé par nos propres réseaux et
des synergies opérationnelles découlant de l'intégration de
MTS;
- une plus faible performance financière des services de gros en
raison d'une décision du CRTC, publiée en octobre 2016, qui diminue
considérablement les tarifs facturés en fonction de la capacité
pour les services Internet haute vitesse de gros groupés;
- aucune autre modification de la réglementation sur nos
activités dans le sur-fil ayant une incidence significative de
nature financière, opérationnelle ou concurrentielle.
Hypothèses concernant notre secteur
Bell Média
- Une augmentation des produits des activités ordinaires d'un
exercice à l'autre reflétant la croissance de la clientèle
d'abonnés de CraveTV, l'expansion à l'échelle nationale de The
Movie Network, qui a commencé en mars 2016,
et la croissance de la publicité sur les panneaux
publicitaires extérieurs soutenue par les acquisitions et les
nouveaux contrats obtenus;
- l'augmentation des coûts d'exploitation entraînée par la hausse
des coûts de la programmation télé et des droits de diffusion dans
les sports, ainsi que l'investissement continu dans le contenu de
CraveTV;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption de CraveTV;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'augmentation des produits des activités ordinaires générés
grâce à la monétisation des droits sur le contenu et des propriétés
de Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé de Bell Média entraînée par le dégroupement des
chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de
contenu par contournement;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La
section qui suit présente les principales hypothèses financières de
BCE pour 2017 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 320 millions $ à 340 millions $, selon
un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,0 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 250 millions $ à 260 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 70
millions $ à 80 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 3 850 millions $ à 3
900 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 950 millions $ à 975
millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,01 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 27 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC) d'environ
50 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite d'environ
400 millions $ à 450 millions $, au total;
- des impôts en trésorerie d'environ 650 millions $ à 700
millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ 950 millions $ à 975
millions $;
- d'autres éléments des flux de trésorerie disponibles, ce qui
inclut une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres payés, des dividendes par action
privilégiée et des dividendes aux détenteurs de PNDPC payés
d'environ (25) millions $ à (150) millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 895 millions;
- un dividende par action ordinaire annuel de 2,87 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 3 août 2017,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon significative de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon significative de ceux qui sont
exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y
compris notre orientation financière pour 2017, sont énumérés
ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y
compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles
indiqués dans notre orientation financière pour 2017, dépend
essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son
tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le
lecteur est mis en garde contre le fait que tous les risques
suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable
significative sur nos déclarations prospectives. Ces risques
comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, le principe de neutralité du Net, les ventes aux
enchères de spectre, l'approbation d'acquisitions et les exigences
relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion et à la
propriété étrangère;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, ainsi que l'incidence connexe
sur le coût lié à la conservation de nos clients actuels et à
l'obtention de nouveaux clients, de même que sur nos parts de
marché, nos volumes de service et nos stratégies d'établissement
des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation
de nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité, ce qui modifie
l'environnement de nos activités liées à la télé et aux médias et
pourrait accélérer le débranchement des services de télé et la
réduction des dépenses pour ces services, ainsi que la
fragmentation du marché de la publicité et les changements qui s'y
rapportent;
- la concurrence avec des concurrents mondiaux, en plus des
concurrents canadiens traditionnels, pour le contenu de
programmation, qui pourrait entraîner d'importantes hausses des
coûts d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir
du contenu de premier plan;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence négative connexe sur la demande
de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et le
volume des créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs, notamment les réseaux, les
systèmes de TI, les locaux et l'information de nature sensible,
contre des événements et des attaques comme les cybermenaces, et
les dommages causés par les incendies et les catastrophes
naturelles;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et
la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer
correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
ainsi qu'à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir de manière rigoureuse et
stratégique dans des fonctions de prochaine génération, notamment
des stratégies de service à la clientèle reposant sur l'information
en temps réel;
- l'incapacité à susciter une expérience client positive
découlant, en particulier, du défaut d'adopter de nouvelles
approches et de repousser les limites opérationnelles;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation et bases de
données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits,
d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel
efficace;
- le risque que nous puissions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
jour de systèmes, des refontes de processus, et de l'intégration
des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour
fournir nos services de télé par satellite;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr et sécuritaire;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
distribution de dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles
lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales
existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à prévoir
l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses, y compris
l'utilisation non autorisée de notre contenu et le vol de nos
services de télé;
- les événements ayant une incidence sur la capacité de nos tiers
fournisseurs et impartiteurs à continuer de nous fournir les
produits et les services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités;
- l'incapacité d'adopter des pratiques de gestion de
l'approvisionnement et des fournisseurs permettant de gérer
adéquatement les risques associés aux modèles de nos fournisseurs,
existants ou nouveaux;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- les risques liés à la sécurité et les risques de fuite de
données advenant le contournement des protocoles de contrôle de la
sécurité applicables à nos solutions infonuagiques;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
actions collectives;
- des modifications défavorables aux lois applicables et
l'incapacité d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos
obligations juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et
d'autres éventualités menaçantes pour la santé survenaient;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2016 de BCE (inclus dans le rapport annuel 2016 de
BCE), daté du 2 mars 2017, ainsi que les rapports de gestion
du premier et du deuxième trimestre 2017 de BCE, datés du
25 avril 2017 et du 2 août
2017, respectivement, pour obtenir plus de détails au sujet de
certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant
déposés par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en
valeurs mobilières (disponibles à Sedar.com) et de la Securities
and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces
documents sont également disponibles à BCE.ca.
À propos de BCE
À titre de plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE fournit la gamme la plus étendue de
services sans fil à large bande, de télé, Internet et de
communications d'affaires à des clients résidentiels et d'affaires
dans l'ensemble du pays. Première entreprise canadienne de services
multimédias, Bell Média possède des actifs de premier plan
dans les secteurs de la télévision, de la radio, de l'affichage et
des médias numériques. Pour en savoir plus, visitez le site
BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la
santé mentale au Canada par des campagnes nationales de
sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation, comme la
Journée Bell Cause pour la cause, et par un important
financement par Bell des soins communautaires, de la recherche et
des initiatives en milieu de travail. Pour en savoir plus, visitez
le site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
514-870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514-870-4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE Bell Canada