Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise
en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans
ce communiqué.
- Bénéfice net de 725 millions $ avec un bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires de 679 millions $, ou 0,78
$ par action ordinaire; bénéfice net ajusté de 758 millions $,
entraînant une augmentation de 2,4 % du BPA ajusté, à 0,87
$
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de 1
313 millions $; flux de trésorerie disponibles en hausse de 17,0
%
- Croissance des produits tirés des services de 2,9 % et
contrôle rigoureux exercé sur les dépenses relatives à
l'acquisition d'abonnés entraînant une croissance du BAIIA ajusté
de BCE de 2,4 % et une augmentation de la marge, à 41,1 %, malgré
les incidences financières découlant de la réglementation au cours
du trimestre
- 73 000 ajouts nets d'abonnés des services à large bande pour
les services sans fil postpayés et les services de télé IP et
Internet
- Solides résultats dans le sans-fil : 35 782 ajouts nets
d'abonnés des services postpayés, une hausse de 38,7 %; croissance
des produits tirés des services de 8,0 % sur un PMU en hausse de
4,2 %; croissance du BAIIA ajusté de 7,5 %
- Croissance de 0,4 % du BAIIA ajusté dans le sur-fil, positive
pour un 11e trimestre consécutif; marge la plus élevée
du secteur, atteignant 42,3 %, sur des coûts d'exploitation en
baisse de 0,5 %
- Déploiement annoncé du service de fibre optique de Bell pour
rejoindre 1,1 million d'entreprises et de foyers montréalais; d'ici
la fin de 2017, plus de 3,6 millions d'emplacements dans 7
provinces devraient disposer de liens directs de fibre
optique
- Acquisition de Manitoba Telecom Services conclue avec succès
le 17 mars; BCE met à jour ses objectifs financiers pour
2017 et l'intégration de Bell MTS
suit son cours
MONTRÉAL, le 26 avril 2017 /CNW Telbec/ - BCE
Inc. (TSX: BCE) (NYSE: BCE), la plus grande entreprise de
communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats du
premier trimestre (T1) de 2017 ainsi que les objectifs de son
orientation financière mis à jour pour 2017 afin de refléter
l'acquisition de Manitoba Telecom Services Inc. (MTS).
FAITS SAILLANTS
FINANCIERS
|
|
|
|
|
(en millions $,
sauf les montants par action) (non audité)
|
T1 2017
|
T1 2016
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 384
|
5 270
|
2,2
|
%
|
Bénéfice
net
|
725
|
758
|
(4,4)
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
679
|
707
|
(4,0)
|
%
|
Bénéfice net
ajusté(1)
|
758
|
734
|
3,3
|
%
|
BAIIA
ajusté(2)
|
2 214
|
2 163
|
2,4
|
%
|
BPA
|
0,78
|
0,82
|
(4,9)
|
%
|
BPA
ajusté(1)
|
0,87
|
0,85
|
2,4
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 313
|
1 290
|
1,8
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles(3)
|
489
|
418
|
17,0
|
%
|
« La stratégie de Bell dans les services à large bande
poursuit sur sa lancée dans un marché caractérisé par une vive
concurrence et touché par des décisions réglementaires, mais
offrant à l'entreprise de réelles occasions de se démarquer avec
son réseau et ses services supérieurs ainsi que ses innovations
dans les médias. S'appuyant sur l'efficience des activités
d'exploitation et une approche rigoureuse face au marché, l'équipe
de Bell concentre ses efforts sur la prestation aux Canadiens de
services de communications de la plus haute qualité qui soit;
l'entreprise a ainsi enregistré une croissance des produits tirés
des services, du BAIIA ajusté et des flux de trésorerie disponibles
et ajouté 73 000 nouveaux abonnés des services de télé IP
et Internet et des services sans fil postpayés à large bande au
T1 », a déclaré George Cope, président et chef de la
direction de BCE et de Bell Canada.
« Reflétant notre leadership dans les réseaux mobiles, les
Services sans fil de Bell ont enregistré des augmentations très
importantes au chapitre du nombre d'abonnés nets, des produits des
activités ordinaires et du BAIIA ajusté des services postpayés.
Dans le sur-fil, l'accroissement continu de l'utilisation et
l'approche rigoureuse face à la concurrence en matière
d'acquisition d'abonnés pour nos services Télé Fibe et Internet de
premier ordre ont entraîné une croissance des produits tirés des
services résidentiels et un 11e trimestre
consécutif d'augmentation du BAIIA ajusté dans le sur-fil. La
position de chef de file de Bell Média dans les segments
multimédias et ses innovations constantes dans les plateformes de
prochaine génération comme CraveTV ont permis de réaliser une
croissance des produits des activités ordinaires, malgré
l'incidence des décisions réglementaires défavorables et la
faiblesse du marché publicitaire. »
« Nous avons intégré Manitoba Telecom Services au sein de
Bell au T1 et lancé la nouvelle entité Bell MTS, mettant ainsi les
talents et l'expertise de l'équipe de MTS à profit au sein des
activités de Bell à l'échelle nationale pour accroître la portée
des services sans fil et des services de télé et Internet à large
bande partout au Manitoba », a affirmé M. Cope.
« BCE est fière d'annoncer ses résultats du T1 2017
dans le cadre de son assemblée générale annuelle des actionnaires
qui se tient aujourd'hui au Musée des beaux-arts d'Ottawa, pour célébrer les 150 ans de la
Confédération ainsi que le 137e anniversaire de
Bell, dans 3 jours. Bell contribue à la croissance et à la
prospérité du Canada depuis 1880, et notre équipe continuera à
investir massivement dans l'infrastructure réseau et les services
de premier plan ainsi qu'à faire des innovations dans les médias
qui permettront au Canada de se maintenir à l'avant-garde des
communications à large bande dans le monde entier.
Bell centre ses efforts sur un objectif clair : être
reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de
communications du Canada, ce qu'elle compte atteindre grâce à
l'exécution de six impératifs stratégiques : investir dans les
réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer
meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les
médias, améliorer le service à la clientèle et établir une
structure de coûts concurrentielle. Cette stratégie de leadership
dans les services à large bande a porté ses fruits : réseaux
de fibre et sans fil LTE figurant parmi les plus performants au
monde, solide performance continue dans les services de croissance
que sont les services sans fil, de télé, Internet et de médias,
46 trimestres consécutifs de croissance ininterrompue d'un
exercice à l'autre du BAIIA ajusté et 13 hausses du dividende
par action ordinaire de BCE depuis la fin de 2008, soit une
majoration totale de 97 %.
FAITS NOUVEAUX DE L'ENTREPRISE
Pour obtenir tous les
détails sur les faits nouveaux de BCE pour ce trimestre, veuillez
vous reporter au Rapport aux actionnaires du T1 2017 de BCE, à
BCE.ca.
Conclusion de l'acquisition de MTS
BCE a lancé Bell
MTS au Manitoba à la suite de la
conclusion de son acquisition de MTS le 17 mars. Unissant les
forces locales de MTS à celles, nationales, de Bell, la nouvelle
entité Bell MTS portera l'expansion des communications à large
bande à un niveau sans précédent dans les villes, le long des
corridors routiers et dans des communautés rurales et des régions
éloignées du Manitoba avec le plan
de Bell visant à investir 1 milliard $ sur 5 ans dans
cette province.
Construction de l'infrastructure de fibre optique à
Montréal
Bell prévoit investir un montant supplémentaire de
854 millions $ pour offrir à 1,1 million
d'entreprises et de foyers montréalais des liens directs de fibre
optique et les vitesses Internet les plus rapides sur le marché.
D'ici à la fin de l'année, la fibre optique de Bell rejoindra
directement environ 40 % des foyers et des entreprises à
l'échelle du Québec et plus de 3,6 millions d'emplacements au
total dans 7 provinces.
Réseau LTE de Bell Mobilité, premier en Amérique du Nord
capable d'offrir les vitesses du service quadribande
Bell
Mobilité a annoncé le 20 avril que son réseau primé LTE est le
premier en Amérique du Nord capable d'offrir les vitesses d'un
service LTE Advanced (LTE-A) quadribande; avec l'ajout de la
technologie MAQ-256 (modulation d'amplitude en quadrature)
améliorée, le réseau peut maintenant offrir des vitesses de
transmission de données mobiles pouvant atteindre 750 Mbps,
avec des vitesses moyennes attendues de 22 à 174 Mbps. Bell a
également annoncé que les nouveaux téléphones intelligents Samsung
Galaxy S8 et S8+ seront les premiers appareils capables de
tirer parti de ces vitesses du réseau et que leur logiciel sera mis
à niveau à cette fin au cours des prochains mois.
Hausse du dividende par action ordinaire
BCE a annoncé
une hausse de 5,1 % du dividende par action ordinaire annuel,
qui est passé de 2,73 $ par action à 2,87 $ par action, à
compter du dividende du premier trimestre de 2017 de BCE payé le
15 avril 2017. Il s'agit, pour BCE, de la
13e hausse depuis la fin de 2008, représentant une
hausse globale de 97 % du dividende par action ordinaire
annuel de BCE.
Émission de titres d'emprunt de
1,5 milliard $
Le 27 février, Bell Canada a réalisé une émission publique de 2
séries de débentures à moyen terme (MTN) pour un montant en capital
de 1,5 milliard $ : la série M-44, à
2,7 %, d'un montant en capital de 1 milliard $
venant à échéance le 27 février 2024 et la
série M-45, à 4,45 %, d'un montant en capital de
500 millions $, venant à échéance le
27 février 2047. Le produit net a servi à financer
partiellement l'acquisition de MTS par BCE et à rembourser la dette
à court terme.
Karen Sheriff nommée au conseil de BCE
Le 8
mars, BCE a annoncé la nomination de Karen Sheriff au conseil
d'administration. Mme Sheriff, l'une des hautes dirigeantes
les plus émérites du secteur des télécommunications au Canada,
occupait jusqu'à dernièrement le poste de chef de la direction de
Q9 et, antérieurement, le poste de chef de la direction de Bell
Aliant. Ronald Brenneman quitte aujourd'hui le conseil lors de
l'assemblée générale annuelle des actionnaires de BCE, après plus
de 13 ans de bons et loyaux services, notamment à titre de
président du comité des ressources en cadres et de rémunération, et
de membre du comité de la caisse de retraite.
RÉSULTATS DE BCE
« Les résultats financiers du
T1 démontrent que nous avons amorcé 2017 du bon pied, ce qui
reflète les efforts déployés de manière constante par notre équipe
dans un marché extrêmement concurrentiel et sa volonté d'agir dans
le but précis de générer une croissance rentable des abonnés,
d'assurer une gestion rigoureuse des coûts et d'investir
massivement dans les réseaux de fibre à large bande sans fil et sur
fil évolués afin de placer Bell en bonne position pour soutenir la
croissance future », a affirmé Glen
LeBlanc, chef des affaires financières de BCE et de
Bell Canada. « L'acquisition de
MTS que nous avons conclue avec succès appuie les objectifs plus
ambitieux de l'orientation financière pour 2017 que nous avons
annoncés aujourd'hui. Compte tenu de l'augmentation immédiate des
flux de trésorerie disponibles, des importantes synergies
opérationnelles de 100 millions $ ainsi que des économies
d'impôt substantielles, Bell MTS s'inscrit dans notre stratégie de
leadership dans les services à large bande et soutient notre
objectif de croissance du dividende. »
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 2,2 % au
T1, pour s'établir à 5 384 millions $, ce qui
reflète une croissance des produits tirés des services dans les
3 secteurs opérationnels de Bell. Les produits d'exploitation
tirés des produits ont diminué de 8,0 %, pour s'établir à
333 millions $, ce qui reflète les rabais promotionnels
extrêmement concurrentiels accordés sur les combinés mobiles ainsi
que les ventes moindres de produits filaires aux clients
d'affaires.
Le bénéfice net a diminué de 4,4 %, pour s'établir à
725 millions $ au T1, tandis que le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires a totalisé
679 millions $, soit 0,78 $ par action, en baisse de
4,0 % et de 4,9 %, respectivement, ce qui est imputable à
l'augmentation des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres et au nombre moyen plus élevé d'actions
ordinaires de BCE en circulation, ces deux facteurs découlant de
l'acquisition de MTS. À l'exclusion des coûts liés aux indemnités
de départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes ou des
profits nets sur placements, des charges pour dépréciation et des
coûts relatifs au remboursement anticipé de la dette, le bénéfice
net ajusté a augmenté de 3,3 %, pour s'établir à
758 millions $, soit 0,87 $ par action
ordinaire.
Le BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 2,4 %, pour s'établir
à 2 214 millions $ au T1, entraîné par des hausses
de 7,5 % pour les Services sans fil de Bell et de 0,4 %
pour les Services sur fil de Bell, ce qui reflète une contribution
financière négligeable de l'acquisition de MTS conclue le
17 mars. Cette augmentation a été partiellement contrebalancée
par la baisse de 7,6 % du BAIIA ajusté de Bell Média
principalement imputable à la perte des droits relatifs à la
substitution simultanée pour le Super Bowl LI.
La marge du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a
légèrement augmenté, passant à 41,1 % au T1, contre
41,0 % à l'exercice précédent, l'incidence de la forte
croissance des produits tirés des services dans le sans-fil et les
économies de coûts d'exploitation dans le sur-fil ayant largement
compensé les dépenses accrues relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle dans le sans-fil, les rabais
plus généreux consentis pour l'acquisition d'abonnés et la
fidélisation de la clientèle dans le sur-fil pour égaler les offres
promotionnelles de forfaits de services accrocheuses de nos
concurrents, les coûts accrus pour le contenu dans les médias ainsi
que l'incidence sur la marge de la baisse continue dans les
services voix traditionnels.
La performance au chapitre du BAIIA ajusté et de la marge du
BAIIA ajusté consolidée au T1 a également été négativement touchée
par les décisions du CRTC sur les tarifs Internet de gros, les
remboursements aux clients pour les services annulés et la
substitution simultanée lors du Super Bowl, l'ensemble de ces
facteurs totalisant environ 35 millions $.
BCE a continué de faire des investissements stratégiques dans
l'infrastructure de réseaux sur fil et sans fil à large bande
évoluée, avec des dépenses d'investissement de
852 millions $ au T1, soit le même niveau total qu'au
T1 2016. Ces chiffres représentent une amélioration du ratio
d'intensité du capital(4) (les dépenses d'investissement
en pourcentage du total des produits des activités ordinaires), qui
s'est établi à 15,8 % ce trimestre comparativement à
16,2 % au T1 2016. Les dépenses d'investissement ont été
surtout concentrées dans l'expansion de notre réseau de fibre à
large bande en vue de brancher un plus grand nombre de foyers et
d'entreprises directement, ce qui comprend : la construction
de l'infrastructure Fibe Gigabit à Toronto et dans d'autres centres urbains;
l'investissement continu dans les réseaux de premier plan LTE
et LTE Advanced (LTE-A) de Bell, y compris le déploiement de
la technologie des petites cellules afin d'optimiser la couverture,
la qualité du signal et la capacité en données; et la capacité des
réseaux sans fil et Internet pour soutenir la croissance de la
clientèle et l'utilisation accrue des services de données.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE
se sont établis à 1 313 millions $, en hausse de
1,8 % comparativement à 1 290 millions $ au
T1 2016, ce qui résulte de la croissance du BAIIA ajusté, de
la diminution des coûts liés aux indemnités de départ et autres
payés et de l'évolution positive du fonds de roulement. Cette
augmentation a été en partie contrebalancée par l'augmentation des
coûts liés aux acquisitions et autres payés surtout relativement à
l'acquisition de MTS et à la hausse de l'impôt sur le résultat. Les
flux de trésorerie disponibles de BCE générés ce trimestre se sont
établis à 489 millions $, soit 17,0 % de plus qu'à
l'exercice précédent, ce qui découle de l'augmentation des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite des
coûts liés aux acquisitions et autres payés.
Au T1 2017, BCE a ajouté 35 782 nouveaux abonnés
nets des services sans fil postpayés et a subi une perte nette de
35 110 abonnés des services prépayés, a ajouté
22 402 nouveaux abonnés nets du service Télé Fibe et a
subi une perte nette de 38 065 abonnés du service de télé
par satellite et a ajouté 14 989 nouveaux abonnés nets
d'Internet haute vitesse. Les pertes nettes totales au chapitre des
SAR se sont établies à 103 274 abonnés. Par suite de
l'acquisition de MTS, la clientèle d'abonnés du sans-fil de Bell a
augmenté de 476 932 (y compris les
418 427 abonnés des services postpayés), tandis que la
clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse, de télé et
des SAR a augmenté de 229 470, de 108 107 (y compris
les 104 661 abonnés de la télé IP) et de 419 816,
respectivement.
Les connexions clients totales de BCE dans tous les services,
y compris MTS, totalisaient 22 075 373 à la fin du
T1, soit une hausse de 5,3 % par rapport à l'exercice
précédent. Ce total incluait 8 946 476 abonnés du
sans-fil, soit une hausse de 8,6 % par rapport à l'exercice
précédent (y compris les 8 144 936 abonnés des
services postpayés, soit une augmentation de 10,0 %),
3 717 270 abonnés d'Internet haute vitesse au total, soit
une augmentation de 9,0 %, 2 837 353 abonnés des
services de télé au total, soit une augmentation de 3,2 %
(y compris les 1 465 007 abonnés du service
Télé Fibe, soit une augmentation de 19,1 %), et enfin,
6 574 274 abonnés des SAR au total, soit une
augmentation de 0,1 %.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
La croissance des produits
d'exploitation des Services sans fil s'est accélérée au T1, avec
une hausse de 7,1 % par rapport au T1 2016, pour se
chiffrer à 1 814 millions $. Les produits tirés des
services ont augmenté de 8,0 %, à
1 715 millions $, dans la foulée de l'accroissement
de la clientèle d'abonnés des services postpayés, de la forte
croissance du produit moyen par utilisateur (PMU)
combiné(4) et de la contribution positive de MTS. Malgré
l'augmentation du nombre d'activations brutes et de mises à niveau
de combinés d'un exercice à l'autre, les produits d'exploitation
tirés des produits ont diminué de 5,7 %, à
99 millions $, en raison des prix concurrentiels des
offres promotionnelles sur les téléphones intelligents.
Le BAIIA ajusté des Services sans fil a augmenté de 7,5 %,
pour se chiffrer à 818 millions $, contre
761 millions $ au T1 2016, en raison de l'effet de
la forte croissance des produits tirés des services et de la
gestion rigoureuse des prix, ce qui a dégagé une marge des produits
tirés des services de 47,7 %. Ces résultats ont été réalisés
malgré l'augmentation de 35 millions $ des dépenses
totales combinées à l'égard de la fidélisation de la clientèle et
des coûts d'acquisition d'abonnés, qui a contribué à la croissance
des coûts d'exploitation de 6,9 % par rapport au T1 de
l'exercice précédent.
- Les ajouts bruts d'abonnés des services postpayés ont totalisé
296 616, en hausse de 7,7 % par rapport au T1 2016, ce qui a
entraîné une augmentation de 38,7 % des ajouts nets d'abonnés des
services postpayés, à 35 782. Cette solide performance reflète le
leadership de Bell en matière de réseaux mobiles, l'importante
gamme de téléphones intelligents et autres appareils mobiles très
prisés et la réalisation efficace des ventes globalement dans tous
nos canaux de vente au détail.
- Le taux de désabonnement des services postpayés(4) a
augmenté de 0,02 point de pourcentage au T1, pour s'établir à 1,17
%, en raison du maintien de la désactivation d'abonnés générant un
PMU peu élevé découlant de la perte d'un contrat avec une
entreprise en 2016.
- À la fin du T1 2017, la clientèle des services postpayés des
Services sans fil de Bell totalisait 8 144 936 abonnés, une
augmentation de 10,0 % par rapport à l'exercice précédent. La
clientèle totale des services sans fil a augmenté de 8,6 %, pour
s'établir à 8 946 476 abonnés, y compris les 476 932 abonnés acquis
de MTS (418 427 abonnés des services postpayés). Après la fin du
trimestre, soit le 1er avril, environ le quart des
abonnés des services postpayés acquis de MTS ont été cédés à
TELUS.
- Le PMU combiné a augmenté de 4,2 %, pour s'établir à 65,66 $,
en raison de la proportion plus favorable d'abonnés des services
postpayés, de l'utilisation plus intensive des services de données
LTE, reflétée par le nombre accru d'abonnés avec des forfaits plus
avantageux en matière de données, et de l'effet des initiatives
prises par le secteur en 2016 dans l'établissement des prix pour
refléter la faiblesse du dollar canadien et son incidence sur les
coûts des combinés.
- Le réseau mobile LTE de Bell fournissait une couverture à près
de 98 % des Canadiens à la fin du T1, y compris à 74 % de la
population couverte par le service LTE Advanced. Le pourcentage
d'abonnés des services postpayés utilisant un appareil LTE s'est
élevé à 83 % au T1, en hausse comparativement à 73 % à la période
correspondante de l'exercice précédent.
Services sur fil de Bell
Les produits tirés des
services sur fil ont augmenté de 0,7 %, pour s'établir à
2 743 millions $, ce qui reflète la croissance
positive des produits tirés des services résidentiels découlant du
recrutement d'abonnés des services Internet et de télé IP à large
bande ainsi que de l'augmentation du PMU par foyer, l'amélioration
de la performance de nos activités soutenue par l'acquisition de
l'exploitant de centres de données Q9 et la contribution
financière progressive provenant de l'acquisition de MTS à partir
de la date de sa conclusion le 17 mars.
La diminution des produits d'exploitation tirés des produits
conjuguée à l'incidence financière des révisions à la baisse des
tarifs pour les services Internet de gros et des remboursements au
titre de services annulés ordonnés par le CRTC ont contribué à la
diminution de 0,1 % des produits d'exploitation des Services
sur fil de Bell au T1, à 2 980 millions $.
Le BAIIA ajusté des Services sur fil a augmenté de 0,4 %, à
1 262 millions $ au T1, même en tenant compte des
incidences financières défavorables liées à la réglementation, qui
se chiffrent à environ 19 millions $ ce trimestre. Les
coûts d'exploitation ont diminué de 0,5 %, à
1 718 millions $, entraînant une augmentation de
0,2 point de base de notre marge, la plus élevée du secteur, à
42,3 %. Cette réduction des coûts d'exploitation reflète le
maintien des mesures rigoureuses déployées pour gérer les coûts,
les économies liées à la fibre ainsi que l'efficience accrue
découlant de l'amélioration du service.
- Bell Télé a ajouté 22 402 nouveaux abonnés nets du service Télé
Fibe au T1, une diminution comparativement aux 47 740 abonnés
recrutés à l'exercice précédent en raison du volume accru de
clients de détail de Bell dont les offres promotionnelles ont pris
fin, du niveau réduit d'expansion de la zone de couverture et du
taux de pénétration en voie de saturation des marchés actuels pour
le service Télé Fibe, du nombre moindre de clients délaissant la
télé par satellite, ainsi que de la substitution croissante en
faveur des services de télé par contournement. Avec les 104 661
abonnés de la télé IP obtenus par suite de l'acquisition de MTS,
ces ajouts nets d'abonnés de Télé Fibe ont fait augmenter le nombre
total d'abonnés de la télé IP de BCE à 1 465 007 à la fin du T1,
soit une hausse de 19,1 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont été
relativement stables, à 38 065 comparativement à 37 741 au T1 de
l'exercice précédent. À la fin du T1, BCE comptait un nombre total
de 2 837 353 abonnés des services de télé (y compris les 108 107
abonnés au total obtenus par suite de l'acquisition de MTS),
comparativement à 2 748 495 au T1 2016.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse ont totalisé
14 989, comparativement à 19 783 au T1 2016. Malgré la croissance
plus élevée d'un exercice à l'autre pour ce qui est des activations
d'abonnés résidentiels découlant de l'expansion de la zone de
couverture de notre service de fibre, le total des ajouts nets
d'abonnés d'Internet a diminué en raison de la hausse du taux de
désabonnement découlant des offres promotionnelles pour des
forfaits de services exceptionnellement accrocheuses lancées par
nos concurrents dans la câblodistribution.
- La clientèle des services Internet haute vitesse de BCE
totalisait 3 717 270 abonnés à la fin du T1, en hausse de 9,0 %
d'un exercice à l'autre, ce qui comprend également les 229 470
abonnés obtenus par suite de l'acquisition de MTS.
- Les produits tirés des services de données filaires ont
augmenté de 3,0 %, pour s'établir à 1 707 millions $, ce qui
reflète la croissance de la clientèle d'abonnés des services
Internet et de télé, l'utilisation accrue et la hausse du PMU ainsi
que l'augmentation des produits tirés des solutions d'affaires,
reflétant la contribution financière plus élevée de Q9.
- Les produits d'exploitation tirés des produits filaires ont
diminué de 8,8 %, pour s'établir à 237 millions $, en raison de la
diminution d'un exercice à l'autre des ventes d'équipements aux
grandes entreprises clientes et aux clients de gros.
- Les pertes nettes d'abonnés résidentiels des SAR ont augmenté
de 8,9 %, à 73 421, comparativement à 67 428 au T1 2016, par suite
des offres promotionnelles pour des forfaits de services
accrocheuses lancées par nos concurrents dans la câblodistribution
et de l'augmentation constante de la substitution technologique en
faveur des services sans fil et Internet.
- Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont diminué de
25,7 %, à 29 853, comparativement à 40 204 au T1 de l'exercice
précédent, en raison de la diminution du nombre de désactivations
de grandes entreprises et de l'amélioration de la performance des
petites entreprises.
- La clientèle totale des abonnés des SAR à la fin du T1 2017
était de 6 574 274, une hausse de 0,1 % par rapport au T1 de
l'exercice précédent, y compris les 419 816 abonnés obtenus par
suite de l'acquisition de MTS. Les produits tirés des services
locaux et d'accès ont diminué de 1,8 %, à 775 millions $, surtout
en raison de l'érosion constante de notre clientèle d'abonnés des
SAR ainsi que des remboursements au titre de services annulés
ordonnés par le CRTC. Les produits tirés des services interurbains
ont diminué de 12,0 %, à 168 millions $, en raison des pertes au
chapitre des SAR, de la substitution technologique en faveur des
services sans fil et Internet et des ventes de minutes de
conversations interurbaines internationales aux clients de
gros.
Bell Média
Les produits d'exploitation tirés du
secteur Média ont augmenté de 1,3 %, pour s'établir à 751
millions $, en hausse comparativement à 741 millions $ au
T1 de l'exercice précédent. La forte croissance des produits tirés
des frais d'abonnement ce trimestre reflète l'expansion à l'échelle
nationale du service The Movie Network (TMN), qui a pris effet en
mars 2016, les renouvellements de contrats avec plusieurs
fournisseurs de services de télé et l'augmentation des produits
tirés de CraveTV et de la gamme de produits GO de Télé Partout.
Les produits tirés de la publicité ont été touchés par la
décision du CRTC d'éliminer la substitution simultanée lors du
Super Bowl LI ainsi que par la faiblesse persistante des
marchés de la publicité à la télé et à la radio. Cette situation a
été partiellement compensée par la hausse modeste d'un exercice à
l'autre des produits tirés des chaînes de services spécialisés dans
les sports et l'information de Bell Média et par la croissance au
chapitre de l'affichage extérieur enregistrée par Astral
Affichage.
Le BAIIA ajusté du secteur Média a diminué de 7,6 %, pour
se chiffrer à 134 millions $, comparativement à
145 millions $ au T1 2016, ce qui résulte de
l'augmentation de 3,5 % des coûts d'exploitation découlant de
la hausse des coûts associés aux droits de diffusion dans les
sports et de l'enrichissement de la programmation de CraveTV, de
l'expansion à l'échelle nationale du service TMN et des coûts
accrus d'Astral Affichage découlant des acquisitions et de
l'exécution des nouveaux contrats. À l'exclusion de l'incidence
financière du Super Bowl, le BAIIA ajusté de Bell Média au T1 est
demeuré stable par rapport à l'exercice précédent.
- CTV s'est classée au rang de premier réseau au Canada pour la
13e saison d'hiver consécutive pour l'ensemble des
téléspectateurs et dans toutes les principales catégories
démographiques chez les adultes en ce qui a trait à la
programmation des heures de grande écoute, avec 9 des 20 émissions
les plus regardées pour l'ensemble des téléspectateurs et 10 des 20
émissions les plus regardées dans toutes les principales catégories
démographiques chez les adultes.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante
anglophone, Bell Média a rejoint 81 % des téléspectateurs canadiens
anglophones de la télé spécialisée et de la télé payante d'une
semaine moyenne. Bell Média a diffusé 9 des 20 émissions de
divertissement les plus regardées par l'ensemble des
téléspectateurs au T1, et possède 4 des 10 chaînes de télé
spécialisée et de télé payante les plus populaires auprès des
téléspectateurs dans la tranche des 25 à 54 ans : TSN, Discovery,
Space et TMN.
- Bell Média a conservé sa position de leader du marché du
Québec, les cotes d'écoute de sa télé spécialisée et de sa télé
payante s'élevant à 77 % de l'ensemble des téléspectateurs
francophones d'une semaine moyenne au T1. Trois des 5 chaînes de
télé spécialisée et de télé payante les plus populaires chez les
téléspectateurs dans les tranches déterminantes de 25 à 54 ans sont
des propriétés de Bell Média : RDS, Super Écran et Canal D.
- Le nombre de téléspectateurs aux heures de grande écoute pour
TSN affiche une hausse de 13 % par rapport au T1 de l'exercice
précédent, du fait de l'élargissement de l'auditoire moyen des
Raptors de Toronto, du football de
la NCAA, des Internationaux de tennis d'Australie et du NASCAR. En
février, TSN et RDS ont conclu une prolongation de plusieurs années
des contrats avec NASCAR, ce qui leur permet de conserver les
droits de diffusion canadiens exclusifs à l'égard de toutes les
courses de la série de la coupe Monster Energy NASCAR ainsi que de
toutes les courses de la série NASCAR Xfinity sur l'ensemble des
plateformes, y compris l'exclusivité de la couverture canadienne
pour la course Daytona 500.
- Bell Média demeure le chef de file du secteur des médias
numériques parmi tous les diffuseurs et producteurs de vidéos
canadiens concurrents, atteignant un record de 62 % de l'auditoire
des médias numériques, avec 19 millions de visiteurs uniques
mensuellement au T1 et avec une moyenne mensuelle de 851 millions
de minutes de temps d'utilisation et de 48 millions de vidéos
regardées.
- Bell Média a maintenu sa position de premier radiodiffuseur du
Canada au T1, rejoignant 16,7 millions d'auditeurs, lesquels ont
écouté, chaque semaine, plus de 75 millions d'heures de
contenu.
- Bell Média et ses partenaires de production se sont vu décerner
53 prix par l'Académie canadienne du cinéma et de la télévision
lors du récent gala annuel Les prix Écrans canadiens. Démontrant
une détermination plus ferme en matière de création et de
développement de contenu original canadien, Bell Média et ses
partenaires ont récolté 35 prix en télé, notamment dans les
principales catégories, dont celle de la meilleure émission de
nouvelles, de la meilleure série dramatique, de la meilleure série
humoristique et de la meilleure émission ou série de téléréalité ou
de compétition, de la meilleure émission ou série de musique et de
la meilleure série ou émission-débat. TSN a récolté 4 prix au
total, soit plus que tous les autres diffuseurs de sports réunis, y
compris le prix de la meilleure direction pour un événement sportif
en direct, soit pour la Coupe Grey 2016. Les projets de films
soutenus par Bell Média ont récolté 18 prix, dont le prix de la
meilleure œuvre cinématographique, celui de la meilleure direction,
celui de la meilleure actrice dans un rôle principal et celui du
meilleur scénario original.
DIVIDENDE PAR ACTION ORDINAIRE
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,7175 $ par action ordinaire, payable le
15 juillet 2017 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 15 juin 2017.
PERSPECTIVES POUR 2017
En raison de la conclusion de
l'acquisition de MTS le 17 mars 2017, BCE a mis à jour
les objectifs de son orientation financière pour 2017 comme
suit :
|
Orientation
au 2 février
|
Orientation
au 26 avril
|
Croissance des
produits des activités ordinaires
|
1 % à
2 %
|
4 % à
6 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
1,5 % à
2,5 %
|
4 % à
6 %
|
Intensité du
capital
|
approx.
17 %
|
approx.
17 %
|
BPA ajusté
|
3,42 $ à
3,52 $
|
3,30 $ à
3,40 $
|
Croissance des flux
de trésorerie disponibles
|
approx. 3 % à
7 %
|
approx. 5 % à
10 %
|
Dividende par action
ordinaire annualisé
|
2,87 $
|
2,87 $
|
Politique de
distribution de dividendes(3)
|
65 % à 75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
65 % à 75 %
des flux de trésorerie disponibles
|
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des
analystes financiers afin de traiter de ses résultats du
T1 2017 et de la mise à jour de l'orientation financière pour
2017, le mercredi 26 avril, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais
1-866-223-7781 ou le 416-340-2216. Une reprise sera disponible
pendant une semaine au 1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez
le code d'identification 5361883#).
La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE
sous : Téléconférence sur les résultats de BCE pour le
T1 2017. Le fichier MP3 sera également disponible pour
téléchargement sur cette page, peu de temps après la
téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent
communiqué est non auditée.
Au T1 2017, nous avons mis à jour notre définition du
bénéfice net ajusté et du BPA ajusté de manière à exclure également
les pertes de valeur, car elles pourraient avoir une influence sur
la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Il n'y a eu
aucune incidence sur nos résultats au T1 2017, ni sur les
résultats présentés antérieurement en 2016, à la suite de cette
modification.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) sur placements, les charges pour perte de valeur et
les coûts liés au remboursement anticipé de la dette. Nous
définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action
ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA
ajusté et nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer la performance de
nos activités avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de
départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes (profits
nets) sur placements, des charges pour perte de valeur et des coûts
liés au remboursement anticipé de la dette, déduction faite de
l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont
une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de
l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise.
Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires
et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus
comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec
le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par
action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de
dollars, sauf les montants par action)
|
|
|
T1 2017
|
T1 2016
|
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
TOTAL
|
PAR ACTION
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
679
|
0,78
|
707
|
0,82
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
65
|
0,07
|
31
|
0,03
|
Pertes nettes (profits
nets) sur placements
|
14
|
0,02
|
(12)
|
(0,01)
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
-
|
-
|
8
|
0,01
|
Bénéfice net
ajusté
|
758
|
0,87
|
734
|
0,85
|
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA
ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il
est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous
définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins
les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes
consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE
correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4,
Information sectorielle, des états financiers du
T1 2017 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté
comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous
utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer
la performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur
rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une
société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à
d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure
courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des
télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et
analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA
ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA
ajusté est également un facteur dans la détermination de la
rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des
dirigeants.
Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement
comparable au BAIIA ajusté et à la marge du BAIIA ajusté. Pour
remédier à cette situation, le tableau suivant présente un
rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
|
|
T1 2017
|
|
T1 2016
|
|
Bénéfice
net
|
725
|
|
758
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
84
|
|
42
|
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
722
|
|
739
|
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
185
|
|
149
|
|
Charges
financières
|
|
|
|
|
|
Charge
d'intérêts
|
234
|
|
219
|
|
|
Intérêts liés aux
obligations au titre des avantages postérieurs à
l'emploi
|
18
|
|
20
|
|
Autres
produits
|
(17)
|
|
(23)
|
|
Impôt sur le
résultat
|
263
|
|
259
|
|
BAIIA
ajusté
|
2 214
|
|
2 163
|
|
|
Produits
d'exploitation de BCE
|
5 384
|
|
5 270
|
|
Marge du BAIIA
ajusté
|
41,1
|
%
|
41,0
|
%
|
(3) Les termes flux de trésorerie disponibles et
ratio de distribution n'ont pas de définition normalisée en
vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être
comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles
comme les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation,
déduction faite des coûts liés aux acquisitions et autres payés,
qui comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes par action
privilégiée et les dividendes payés par des filiales aux détenteurs
de PNDPC. Nous excluons les coûts liés aux acquisitions et autres
payés et le financement des cotisations volontaires aux régimes de
retraite parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Nous considérons les flux de trésorerie
disponibles comme un important indicateur de la solidité financière
et de la performance de nos activités, car ils révèlent le montant
des fonds disponibles pour payer des dividendes, rembourser la
dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie
disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents
et pour évaluer la solidité financière et la performance de nos
activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Nous
définissons le ratio de distribution comme les dividendes payés sur
les actions ordinaires divisés par les flux de trésorerie
disponibles. Nous considérons le ratio de distribution comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités, car il met en évidence la pérennité des paiements
de dividendes de la société. Le tableau ci-après présente un
rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base
consolidée.
(en millions de
dollars)
|
|
|
|
T1 2017
|
T1 2016
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 313
|
1 290
|
Dépenses
d'investissement
|
(852)
|
(852)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(43)
|
(36)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de participations
ne donnant pas le contrôle
|
(12)
|
(12)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
83
|
28
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
489
|
418
|
(4) Nous utilisons le PMU, le taux de désabonnement et
l'intensité du capital pour évaluer les progrès accomplis à l'égard
de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés
ne sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas être
comparables à des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent
communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces
déclarations prospectives comprennent, sans s'y limiter, des
déclarations concernant l'orientation financière pour 2017 (ce qui
comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté,
l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie
disponibles), le dividende par action ordinaire annualisé et la
politique de distribution de dividendes sur actions ordinaires de
BCE pour 2017, nos plans de déploiement pour les réseaux et les
dépenses d'investissement connexes, nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques, ainsi que d'autres
déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement,
les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif,
perspective, projet, stratégie, cible et d'autres expressions
semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le
conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à,
croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine intitulée Private Securities
Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la
réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 26 avril 2017 et, par
conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la
mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux
renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ni pour toute
autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de
monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements
d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 26 avril 2017. L'incidence financière de
ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus pour 2017, ainsi que nos
objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales pour
2017, et à mieux comprendre le
contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le
lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information
pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation
et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la
préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché
canadiens
- Une amélioration graduelle de la croissance économique, basée
sur la plus récente estimation de la Banque du Canada de la
croissance du produit intérieur brut du Canada de 2,6 % en 2017, ce
qui représente une augmentation de 50 points de base par rapport à
l'estimation antérieure de 2,1 %;
- une modeste croissance des niveaux d'emploi, car le niveau
d'investissement des entreprises devrait demeurer peu élevé
globalement;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises;
- l'intensification de la concurrence dans le marché résidentiel,
le marché d'affaires et le marché de gros des services sur fil et
sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones
intelligents;
- le maintien d'une approche rigoureuse en matière
d'établissement des prix dans le secteur du sans-fil;
- la faiblesse attendue du marché publicitaire en raison de la
demande variable, et les coûts croissants pour obtenir de la
programmation télé.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de
Bell
- Le maintien de notre part du marché des activations d'abonnés
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes
et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus
grand nombre d'appareils 4G LTE et de nouveaux services de
données;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés
et à la fidélisation de la clientèle, en raison de la hausse des
coûts des combinés et d'un nombre plus élevé de mises à niveau des
appareils, ce qui reflète un nombre plus important d'abonnés qui
n'ont plus de contrat, en raison de la durée plus courte des
contrats de deux ans;
- une croissance du PMU combiné, stimulée par une proportion
accrue d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones
intelligents, une consommation croissante des services de données
sur les réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs d'accès
découlant de l'augmentation des tarifs;
- l'achèvement de la construction du réseau LTE, qui couvre 99 %
de la population canadienne, et l'expansion de la couverture du
réseau LTE-A à environ 87 % de la population canadienne, incluant
le Manitoba;
- la capacité de tirer profit de l'augmentation au chapitre de
l'utilisation des services de données et de l'abonnement des
clients à de nouveaux services de données;
- les perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de combinés ainsi que l'accélération des vitesses de
transmission, qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation
de nos services;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de
Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de
l'exercice;
- une croissance continue du nombre d'abonnés résidentiels des
services de télé IP et Internet;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- la croissance du PMU des services résidentiels par foyer,
générée par l'adoption croissante des forfaits multiproduits par
foyer et l'augmentation des tarifs;
- des offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels
lancées par nos concurrents dans la câblodistribution dans les
zones où nous fournissons des services sur fil;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les
clients d'affaires;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu
d'investissements constants;
- le dégroupement des chaînes de télé qui n'accélérera pas de
façon significative la réduction des forfaits télé par les
clients;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction des
postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la
retraite, de la réduction des taux contractuels des fournisseurs,
de la diminution du trafic non acheminé par nos propres réseaux et
des synergies opérationnelles découlant de l'intégration de
MTS;
- une plus faible performance financière des services de gros en
raison d'une décision du CRTC, publiée en octobre 2016, qui diminue
considérablement les tarifs facturés en fonction de la capacité
pour les services Internet haute vitesse de gros groupés;
- aucune autre modification de la réglementation sur nos
activités dans le sur-fil ayant une incidence significative de
nature financière, opérationnelle ou concurrentielle.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- Une augmentation des produits des activités ordinaires d'un
exercice à l'autre reflétant la croissance de la clientèle
d'abonnés de CraveTV, l'expansion à l'échelle nationale de The
Movie Network, qui a commencé en mars 2016,
et la croissance de la publicité sur les panneaux
publicitaires extérieurs soutenue par les acquisitions et les
nouveaux contrats obtenus;
- l'augmentation des coûts d'exploitation entraînée par la hausse
des coûts de la programmation télé et des droits de diffusion dans
les sports et l'investissement continu dans le contenu de
CraveTV;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption de CraveTV;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'augmentation des produits des activités ordinaires générés
grâce à la monétisation des droits sur le contenu et des propriétés
de Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses
propriétés de télé de Bell Média entraînée par le dégroupement des
chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de
contenu par contournement;
- l'absence d'incidence significative de nature financière,
opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la
réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La
section qui suit présente les principales hypothèses financières de
BCE pour 2017.
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
qui devrait être d'environ 320 millions $ à 340 millions $, selon
un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,0 %, qui se
compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des
régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA
ajusté d'environ 250 millions $ à 260 millions $ et de charges
financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 70
millions $ à 80 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 3 850 millions $ à 3
900 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 950 millions $ à 975
millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,01 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 27 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC) d'environ
50 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite d'environ
400 millions $ à 450 millions $, au total;
- des impôts en trésorerie d'environ 650 millions $ à 700
millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ 950 millions $ à 975
millions $;
- d'autres éléments des flux de trésorerie disponibles, ce qui
inclut une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux
indemnités de départ et autres payés, des dividendes par action
privilégiée et des dividendes aux détenteurs de PNDPC payés
d'environ (25) millions $ à (150) millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE
d'environ 895 millions;
- un dividende par action ordinaire annuel de 2,87 $ par
action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été
considérées comme raisonnables par BCE le 26 avril 2017,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon significative de nos attentes,
telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque,
en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations
pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels
pourraient différer de façon significative de ceux qui sont
exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives,
y compris notre orientation financière pour 2017, sont
énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations
prospectives, y compris notre capacité à atteindre les
résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation
financière pour 2017, dépend essentiellement de la performance de
notre entreprise qui, à son tour, est assujettie à de nombreux
risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait
que tous les risques suivants sont susceptibles d'avoir une
incidence défavorable significative sur nos déclarations
prospectives.
Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y
compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire
aux réseaux, le principe de neutralité du Net, les ventes aux
enchères de spectre, l'approbation d'acquisitions et les exigences
relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion et à la
propriété étrangère;
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de
concurrents nouveaux et émergents, ainsi que l'incidence connexe
sur le coût lié à la conservation de nos clients actuels et à
l'obtention de nouveaux clients, de même que sur nos parts de
marché, nos volumes de service et nos stratégies d'établissement
des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation
de nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le
contenu et le service de connectivité, ce qui modifie
l'environnement de nos activités liées à la télé et aux médias et
pourrait accélérer le débranchement des services de télé et la
réduction des dépenses pour ces services, ainsi que la
fragmentation du marché de la publicité et les changements qui s'y
rapportent;
- la concurrence avec des concurrents mondiaux, en plus des
concurrents canadiens traditionnels, pour le contenu de
programmation, qui pourrait entraîner d'importantes hausses des
coûts d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir
du contenu de premier plan;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des
capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et
commerciale en baisse, l'incidence négative connexe sur la demande
de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et le
volume des créances douteuses;
- l'incapacité à protéger nos actifs, notamment les réseaux, les
systèmes de TI, les locaux et l'information de nature sensible,
contre des événements et des attaques comme les cybermenaces, et
les dommages causés par les incendies et les catastrophes
naturelles;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et
la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer
correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies
ainsi qu'à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir de manière rigoureuse et
stratégique dans des fonctions de prochaine génération, notamment
des stratégies de service à la clientèle reposant sur l'information
en temps réel;
- l'incapacité à susciter une expérience client positive
découlant, en particulier, du défaut d'adopter de nouvelles
approches et de repousser les limites opérationnelles;
- la complexité de nos activités découlant des multiples
plateformes technologiques, systèmes de facturation et bases de
données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits,
d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale
de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la
demande relativement à la capacité des réseaux pour les services
Internet et sans fil;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de
TI performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel
efficace;
- le risque que nous puissions devoir engager des dépenses
d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en
matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité
supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos
restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à
jour de systèmes, des refontes de processus, et de l'intégration
des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations,
ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les
maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour
fournir nos services de télé par satellite;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences
appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un
environnement sûr et sécuritaire;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de
distribution de dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de
liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de
retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi;
- des impôts plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles
lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales
existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à prévoir
l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation
imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses, y
compris l'utilisation non autorisée de notre contenu et le vol de
nos services de télé;
- les événements ayant une incidence sur la capacité de nos tiers
fournisseurs et impartiteurs à continuer de nous fournir les
produits et les services dont nous avons besoin pour exercer nos
activités;
- l'incapacité d'adopter des pratiques de gestion de
l'approvisionnement et des fournisseurs permettant de gérer
adéquatement les risques associés aux modèles de nos fournisseurs,
existants ou nouveaux;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables;
- les risques liés à la sécurité et les risques de fuite de
données advenant le contournement des protocoles de contrôle de la
sécurité applicables à nos solutions infonuagiques;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des
actions collectives;
- des modifications défavorables aux lois applicables et
l'incapacité d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos
obligations juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions
de radiofréquences par des appareils de communication sans
fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer
le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et
d'autres éventualités menaçantes pour la santé survenaient;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les
changements climatiques ou les attentes du public et du
gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à
y répondre adéquatement.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel 2016 de BCE (inclus dans le rapport annuel 2016 de
BCE), daté du 2 mars 2017, ainsi que le rapport de gestion du
premier trimestre 2017 de BCE, daté du 25 avril 2017, pour
obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque
et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et
hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des
autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières
(disponibles à Sedar.com) et de la Securities and Exchange
Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces documents
sont également disponibles à BCE.ca.
À PROPOS DE BCE
À titre de plus grande entreprise de
communications du Canada, BCE fournit la gamme la plus étendue de
services sans fil à large bande, de télé, Internet et de
communications d'affaires à des clients résidentiels et d'affaires
dans l'ensemble du pays. Première entreprise canadienne de services
multimédias, Bell Média possède des actifs de premier plan dans les
secteurs de la télévision, de la radio, de l'affichage et des
médias numériques. Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la
santé mentale au Canada par des campagnes nationales de
sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation, comme la
Journée Bell Cause pour la cause, et par un important financement
par Bell des soins communautaires, de la recherche et des
initiatives en milieu de travail. Pour en savoir plus, visitez
Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
514-870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca
Questions des investisseurs :
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514-870-4619
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SOURCE Bell Canada